Premier épisode
Chapitre 2
Ne voulant pas attendre 7 jours pour lui reparler, j’entamais la conversation durant le week-end. Toutefois, sentant sa fébrilité, je commençais par des banalités sur son lycée, sa classe, pour faire les présentations d’usage, ne souhaitant surtout pas lui faire peur. Au fil de la discussion, je réussis malgré tout à orienter la discussion. Premièrement, je lui fis comprendre que je détestais attendre, directement, il se mit à faire davantage attention pour me répondre rapidement. Ensuite, on parlait du Badminton, c’était notre principal point commun, je me devais de m’en servir. Cela ne fut pas inutile puisqu’au passage, je le complimente sur son cul, travaillé par des heures d’échange de volant. Benoit était comblé de recevoir des compliments ce qui n’était pas toujours le cas dans sa famille.
Je pus profiter tant de sa docilité que de son excitation pour lui demander de se montrer. J’utilise en premier la fonctionnalité photo temporaire pour lui envoyer une photo prise à la sortie du bain où l’on apercevait mon corps musclé malgré la buée sur le miroir. En réponse, je reçus toute les photos exigées, il se laissait guider jusqu’à même me demander si j’avais d’autres idées de position. Je le sentais devenir mien, il ne refuse aucune photo y compris avec son visage. A ce moment, je n’en enregistrais aucune, je voulais les prendre moi-même.
Je lui propose instinctivement de se voir, malheureusement avec un père à la retraite, je ne peux recevoir facilement. Mais Benoit trouva la solution, ses parents étaient invités à un repas mardi soir, il pouvait très bien se faire passer malade et réussir à rester chez lui. J’acceptai volontiers l’invitation. On connaissait tous les deux la fin de l’histoire et il était impatient, cela se sentait. De mon côté, je devais sécher un cours, mais bon entre un prof ennuyeux et un minet à initier, le choix est vite fait.
Mardi soir, j’arrive vers 19h chez lui, je lui avais demandé la veille de m’accueillir en simple caleçon, et quand il ouvrit la porte, ma demande avait été satisfaite. Mais peut-il me refuser quelque chose ? Je ne pense pas. J’entrais chez lui, la maison est très grande, elle fait bourgeoise, si j’ai bien compris ses parents gagnent bien leur vie dans la banque.
On monte dans sa chambre, l’attente ne fut pas longue, je pointe du doigt ma queue et directement, il se mit à genoux. Il défit ma ceinture, mon bouton, ma braguette et sortit enfin ma bite de sa prison de coton. Je n’avais rien à faire, Benoit avala goulûment mon membre, il était vraiment assoiffé de bite le petit. Il arrivait enfin à prendre ma queue en entier dans sa bouche comme s’il s’était entraîné. A ce moment, je sortis mon téléphone et pris photos et vidéos de Benoit en plein travail.
Je changeais de position pour l’installer sur son lit, dès lors, j’ai pu facilement accéder à son cul. Je commençais à caresser ses fesses pendant qu’il me suçait. Je dirigeai un doigt léché par ses soins en direction de son trou.
- Moi : « Ca a l’air bien serré par là »
Benoit se laissait faire, et même en redemandais vu l’augmentation du nombre des gorges profondes. Je resaliva et essaya de le glisser plus loin.
- Moi : « Tu sais ce qui t’attends ? As-tu acheté ce que je t’ai demandé ? »
- Benoit : « Oui, tout est dans le tiroir, mais elle est trop grosse, c’est ma 1ère fois ça ne passera pas, peux-tu commercer par les doigts ? »
- Moi « Ne t’en fais pas ça va s’ouvrir, tu peux le faire et je sais m’y prendre avec les culs serrés »
Il sortir le lubrifiant, je le pris en badigeonna son trou et ma queue. Je commence par un premier doigt, puis un second, rapidement son trou s’ouvre, je peux aisément y mettre le troisième.
- Moi : « Tu vois rien d’impossible, mets toi à 4 pâtes »
- Benoit : « vas-y doucement »
- Moi « Putain que c’est beau, ton cul est si bandant »
Benoit se mit en place sans réfléchir, j’écartais ses fesses pour admirer son cul vierge dont j’allais prendre l’assaut. Pour immortaliser l’instant, une virginité, c’est important tout de même, je sortis mon téléphone pour prendre une photo. Je pris position, mon gland droit devant son trou, et commença à faire pression. Je pris l’initiative de le rassurer tout en poussant délicatement. Je rajoutais du gel et poussa jusqu’à pouvoir remplir son cul.
- Moi : « C’est bon tu es dépucelé »
- Benoit : « C’est douloureux vraiment »
- Moi : « Attends un moment, tu vas t’habituer »
Au premier coup de rein, Benoit cria, au fil des va-et-vient, les cries se transforma en plaisir.
- Moi : « C’est trop bon ton cul commence à s’ouvrir »
- Moi : « Je savais que j’allais faire de toi une salope, je vais bien profiter de ton cul. Je m’étais fixé deux mois après la rentrée pour mettre une bouche au bout de ma queue, j’ai réussi en 2 semaines à te le mettre dans le cul. Tu es en avance, et je pense que d’ici peu, tu ne pourras rien me refuser »
Je me suis lâché à ce moment, mais au contraire d’avoir peur, le gars en redemande, je continuais alors à le défoncer davantage. Au bout de 20 minutes d’intense pénétration, je me crispai et par un râle de plaisir envoya mon jus au fond de son cul. Je me suis retiré et lui demande d’écarter son trou avec ses mains pour prendre une photo du chef d’œuvre : mon jus coulant sur ses fesses.
Après ce moment de plaisir, je me suis dirigé vers la salle de bain pour me laver. A mon retour dans sa chambre, Benoit s’était endormi de fatigue. Je récupère mes affaires et avant de partir, je pris une dernière photo du soumis naissant.
PS : Si vous avez des conseils pour la suite n'hésitez pas.
Louisorigine
louis.origine@gmail.com