Premier épisode
Chapitre 2 | Sa première fois
Ce soir-là, ni lui ni moi n’en menions bien large. Son studio était encore plus petit que le mien : à part le coin cuisine et la salle de bain, il n’avait qu’une pièce avec un canapé-lit qui était déjà en mode « lit ». Il avait mis le chauffage à fond. On a commencé par boire un verre en discutant de tout et de rien, comme pour éviter « le » sujet. Il a fumé deux joints, je me suis contenté d’une bière. Puis on n’a plus rien eu à se dire. On savait pourquoi on était là mais passer à l’étape suivante me paraissait compliquée… J’avais imaginé cette scène je ne sais pas combien de fois les jours précédents – en me branlant à chaque fois, sauf le vendredi pour ne pas être vidé. Mais là, je n’ai pas su quoi dire. J’avais dix-huit ans, il en avait 24, il était hétéro, viril… J’avais trop peur de me prendre une baffe en cas d’un mauvais geste.
C’est lui qui s’est lancé :
Kader : Bon, on y va ?
Sans attendre de réponse, il s’est levé et il s’est complètement désapé devant moi. Autant Kamel (cf. « les potes de mon grand-frère) était un peu plus petit que moi, bien foutu mais plutôt trapu, autant Kader devait faire 1m85, musclé, souple, élancé. Les abdos dessinés mais pas trop – la musculature d’un gars qui faisait du foot, pas qui allait en salle. J’ai pu voir pour la première fois sa queue– au repos mais très belle : longue, brune, se terminant par un large gland rose, et surmontée d’une belle touffe de poils noirs frisés. Des poils, il y en avait aussi sur ses couilles qui pendaient bien ! Pour le reste, il n’était pas très poilu. Puis il s’est mis à quatre pattes sur le lit en disant :
Lui : Vas-y, mon cul est à toi, fais-toi plaisir, qu’on en finisse.
Je me suis mis à poil à mon tour – je n’étais pas trop mal foutu, mais plutôt mince, « normal », sans les muscles aussi développés que Kader. Je trouvais la situation très bizarre mais aussi très excitante et le voir se déshabiller comme ça devant moi, avec naturel, ça m’a fait bander… Je me suis mis à genoux derrière lui, ma queue dressée vers son cul. On s’était mis d’accord qu’on ferait ça sans capote, j’avais fait un test et mon seul partenaire sans capote avait été Fred, qui lui aussi s’était fait tester pendant l’été.
Il avait un très beau cul – de belles fesses bien musclées, bien en chair (mais pas trop). Et, pour le coup, assez poilu mais ça ne me dérangeait pas. Non, c’était pas un beau cul, c’était un cul magnifique, sur un corps magnifique également. Il avait suivi mes conseils : il était propre, à l’extérieur comme à l’intérieur. J’ai un peu caressé ses fesses, son trou – il a tressauté – ses grosses couilles et sa queue. Avoir ce beau rebeu offert à moi, comme ça, était très excitant. Mais je me doutais aussi que le prendre comme ça, direct, ça ne marcherait pas, ou alors il aurait eu très mal. Je rappelle que j’avais été plutôt bien gâté par la nature, avec mes bons 18cm, toute droite, assez épaisse. Ça surprenait généralement sur un gars comme moi, qui ne faisait rien pour se faire remarquer. Le but était de l’habituer à se faire prendre, pas à le traumatiser. Alors je me suis penché et j’ai commencé à le lécher.
Il a sursauté.
Kader : Hé oh, putain, tu fais quoi là ?
Moi : - Laisse-toi faire ! On en a parlé. Détends-toi.
Kader : Nan, nan, laisse mon cul tranquille avec ta langue, là On fait ce qu’on a dit, tu m’encules et c’est tout. N’en profite pas pour faire je sais pas quoi.
Bon, c’est lui qui décide… Tant pis pour l’anulingus. J’ai pris du gel et j’ai commencé à enfoncer un doigt. C’est rentré difficilement et ça lui faisait mal – j’avais envie de lui dire que c’était idiot de venir me demander des conseils pour ne pas les suivre mais bon, il était déjà tendu, je ne voulais pas me prendre une baffe. Je faisais des allers-retours, j’essayais de le caresser de l’intérieur. De mon autre main, j’ai voulu lui caresser la queue – mais il ne bandait pas du tout ! Et il m’a dit d’arrêter. Décidément… J’ai essayé d’entrer un deuxième doigt mais ça ne voulait pas et il a poussé un cri. Là, j’en ai eu marre.
Moi : Bon, ok cette fois on fait comme je dis, sinon on arrête là ok ?
Kader : C’est bon, t’énerves pas ! Tu veux faire quoi ?
Moi : Retourne-toi sur le dos.
Il a suivi mes indications et je me suis retrouvé à genoux entre ses cuisses bien écartes. J’avais un beau spectacle à admirer : son ventre plat et dessiné avec le petit filet de poil, sa poitrine musclée, sa gueule de rebeu, ses poils sous les bras… Par contre, sa queue était encore plus petite qu’avant – il la cacha avec sa main d’ailleurs, ce qui me fit hausser les épaules. J’ai écarté sa main pour qu’il mette ses bras le long du corps.
Moi : Maintenant, tu te détends et tu te laisses faire !
Je lui ai un peu caressé le torse, le ventre, la queue et les couilles aussi – sans chercher à le faire bander, juste pour le masser un peu. Il avait de belles couilles aussi, assez grosses, très poilues. Sa respiration est devenue plus régulière. J’ai remis une couche de gel sur mon index et je suis entré – cette fois, ce fut plus facile. Puis un deuxième, et c’est entré aussi ! Victoire, on tenait le bon bout, ou en tout cas la bonne position.
Moi : T’es prêt ?
Kader : T’occupes pas de moi, vas-y !
Je prends ses deux jambes que je mets sur mes épaules – moi, le gringalet prêt à enculer ce mec d’1m85 musclé ! J’ai guidé ma queue et j’ai poussé. Ce n’était pas facile, il serrait les dents.
Moi : respire, détend-toi ! pousse.
Mon gland était passé, je suis entré encore un peu puis j’ai fait quelques petits allers-retours.
Kader : Ah ben ça va en fait.
Il croyait que j’étais complètement entré ! Mais j’ai poussé jusqu’à la mettre jusqu’au bout. Il a ouvert grand les yeux.
Kader : Oh putain !
Moi : C’est bon, je suis dedans, le plus dur est passé !
Je suis resté un instant sans bouger, puis j’ai commencé des mouvements assez lents, sans trop reculer pour commencer. Il souffrait mais il encaissait en silence. Puis je suis quasiment ressorti et j’ai enfoncé à nouveau jusqu’au bout.
Moi : Ça va toujours ?
Kader : Ouais, ça va mieux là, tu peux y aller !
J’ai continué en faisant des mouvements assez amples, en bougeant bien le bassin pour que ma bite touche bien tous les côtés de la paroi. Et là, j’ai vu son regard changer : il n’était plus crispé mais interrogatif. Et surtout, sa queue s’est mise à grossir. Il a mis une main devant pour la cacher mais je voyais bien qu’il bandait. J’ai continué mes mouvements et chaque fois que j’arrivais bien au fond, il répétait « Oh putain ! ». J’ai pris sa main pour l’enlever – je voulais aussi profiter du spectacle ! Il ne voulait pas, il a résisté mais j’avais pris ses deux poignets pour l’empêcher de bouger et je continuais à le pénétrer. J’ai pu admirer sa belle queue – 17cm environ, assez épaisse, courbée vers le haut, avec un gros gland rose.
Il s’est un peu débattu mais chaque fois qu’il voulait se redresser, je lui donnais un coup de bite qui lui faisait dire « Oh putain ! » et il a fini par se laisser retomber et se laissait faire. Pris par le plaisir, j’ai approché mon visage du sien mais il a détourné son visage et je n’ai pas insisté. Pas grave si je ne pouvais pas l’embrasser, j’en profitais déjà assez. Désormais ma queue entrait sans difficulté et je pouvais accélérer mon mouvement. J’ai même lâché un de ses poignets pour caresser sa queue en accompagnant mes mouvements. Il avait fermé les yeux mais il n’avait pas pu s’empêcher de se mordre la lèvre inférieure sous l’effet des vagues de plaisir qui le prenaient à chacun de mes mouvements.
Sans m’arrêter, je lui ai dit :
Moi : Bon, on va changer de position.
Kader : Nan, attends, continue !
Mais je me suis retiré et je lui ai dit de se mettre à genoux sur le lit en s’appuyant contre le mur. C’est moi qui avais l’initiative désormais et il s’est dépêché de se mettre en position pour continuer. J’étais à genoux derrière lui, j’ai remis une bonne couche de gel sur ma queue, j’ai appuyé sur son dos pour lui faire bien tendre son cul – il se laissait faire docilement - , j’ai guidé ma queue et je suis entré d’un coup. Il a poussé un cri – de douleur et de plaisir mélangé. Ça rentrait bien. Cette fois, je me suis mis à le pilonner sans pitié, en le tenant par les hanches, en baisant son cul poilu de rebeu. Je pouvais admirer son dos musclé en sueur. Il avait baissé la tête, concentré. Puis je me suis collé à lui – une main le tenant par le cou, et l’autre qui s’est faufilée vers son bas-ventre. Et là, j’ai pu voir qu’il n’avait pas débandé. Au contraire, sa queue était encore plus dure qu’avant, dressée vers le haut. Je pouvais caresser ses couilles et sentir ma queue qui entrait en lui avec ses 18cm. Il ne résistait plus.
J’ai pris sa queue dans ma main en serrant très fort et, tout en le tenant fermement par le cou, j’ai repris mon pilonnement intense.
Kader : Nan, attends, attends !
Mais j’ai continué et, très vite après ça, j’ai senti son cul se fermer sur ma queue et sa bite lâcher plusieurs jets de sperme qui ont giclé sur le mur, et le reste a coulé sur ma main. Il n’avait pas crié, il avait juste la bouche grande ouverte. Je n’avais pas joui mais je me suis retiré. Il est resté dans cette position quelques instants, sans bouger. Je ne savais pas quoi faire. En fait, il avait honte de ce qui venait de se passer et ne voulait pas me regarder en face.
Moi : Tu veux t’allonger ? Tu veux du sopalin ?
Kader : Lâche-moi ok ? Merci, t’as fait ton taff, tu peux rentrer chez toi maintenant ?
Ce n’était pas très cool de sa part mais je pouvais comprendre qu’il ne s’était pas attendu à ça. Je me suis rhabillé vite fait (il n’y avait que nos deux appartements sur le palier de toute façon) et je suis rentré chez moi. Je n’avais pas joui mais j’avais de quoi alimenter mes fantasmes pendant plusieurs semaines. Je me demandais surtout comment allait se passer la suite de nos rapports…
Marc
micmac67@live.fr
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