Mon initiation

Chapitre 2

Après une très belle nuit, où j’ai dormi comme un bébé, je suis réveillé par une drôle de sensation que je ne connaissais pas, je suis sur le ventre les jambes écartées, et parrain est en train de me doigter doucement.

Ça fais bizarre, mais ce n’ai pas désagréable, jusqu’à ce qu’ils me mettent un autre doigt, et la je sens mon anus être étiré, et c’est un peu douloureux, mais supportable, après un long moment à me doigter avec 2 doigts, il essaie de mettre un 3e doigts, mais ça deviens très douloureux, il me dit que c’est normal, mais que la douleur ne va pas durer, comme je lui fais entièrement confiance, je le laisse faire et je serre les dents.

Ses 3 doigts me pénètrent profondément, j’ai envie de crier, car la douleur est vive, mais je me retiens, il retire ses doigts.

« oufff »

Quel soulagement !

Il me demande de me mettre à 4 pattes, ce que je fais aussitôt puis il écarte mes genoux au maximum, et me demande de poser ma tête dans l’oreiller, et de cambré le dos, me voilà positionné comme une chienne attendant que son male la baise.

Il crache de la salive sur mon anus et aussi sur ça bite, et vient positionner son gros gland contre mon petit trou, parrain me demande de me détendre, mais je crains la douleur, je suis contracté de partout, alors il me caresse les fesses, le dos, et commence à pousser son gland pour le faire rentrer.

Je me relâche au maximum, et je sens mon anus s’ouvrir un peu sous la pousser de son gland, il se retire et recommence à pousser, et son gland rentre encore plus jusqu’à rentrer entièrement, et je sens mon anus serré autour de sa bite, il crache encore de la salive et enduit ça bite et mon anus, et pousse encore en me maintenant par les hanches.

C’est vraiment très douloureux, je sens ça bite rentrer cm par cm, c’est interminable, comme si ça bite faisait 1 mètre de long, il s’arrête un petit moment pour laisser le temps à mon anus de s’habituer, puis reprend sa poussé, et viens écraser son bas ventre contre mes fesses, et me dit :

Ça y est ma chérie, je suis entièrement en toi.

Je serre les dents aussi fort que je puis, car la douleur est presque insupportable, mais il me dit :

détend toi le plus dur est fait, maintenant tu va commencer à te sentir mieux.

J’essaie de me détendre, mais la douleur est tellement présente que je ne pense qu’à ça, parrain se retire doucement puis renfonce ça bite au plus profond, puis recommence comme ça plusieurs fois, et c’est vrais, la douleur commence à s’estomper, pour laisser place à une sensation de chaleur intense très agréable.

Je me détends petit à petit, à chaque allé retour de sa bite en moi, et cette sensation d’être rempli par la grosse bite de mon parrain m’excite terriblement, et je commence à bander très fort.

Alors ma chérie, tu aimes ?

Oui parrain j’aime sentir ta bite en moi.

Tu m’aimes ?

Oui je t’aime parrain.

Ne m’appelle plus parrain, mais mon homme ou mon amour OK ma chérie ?

Oui mon homme.

Sur c’est mots, il commence à me pénétrer doucement et profondément, puis il accélère faisant claquer ses grosses couilles contre mes fesses, il m’empale sur sa grosse bite à chaque coup de reins et me fait gémir comme une petite chienne.

Il retire ça bite d’un coup et me retourne sur le dos, saisi mes chevilles et les relèvent au-dessus de ma tête, en les maintenant d’une main, et de l’autre prend ça bite luisante et la guide à l’entré de mon anus, et me pénètre d’un coup sec, étant très agile grâce à plusieurs années de gym, je replie mes jambes de chaque côté de ma tête bien écarté, pour libérer la main qui me tenait les chevilles, mon homme se met en position comme pour faire des pompes et commence à me baiser généreusement et même brutalement.

Ça bite tape dans le fond à chaque coup de reins, il colle sa bouche à la mienne et me roule une grosse pelle tout en me baisant à fond, il se couche sur moi et m’enserre avec ses bras, je suis plié en 2, mes jambes contre moi et mon parrain allongé sur mes jambes et mon corps, il transpire beaucoup et sa bouche ne quitte pas la mienne.

Il me baise longtemps et ne s’arrête pas, je suis totalement offert à mon homme et je ne veux qu’une chose, qu’il jouit en moi, et lui dit :

Oui mon amour, baise moi à fond je t’aime.

Je vais te féconder ma chérie, te remplir le ventre.

Oui mon amour donne moi ton sperme, je veux le sentir couler en moi.

Tu va l’avoir mon sperme chéri je ne vais pas tarder à venir.

Il respire très fort et ses coups de reins commence à être saccadés, je sens qu’il va venir alors j’attrape ses fesses, et les tire contre moi pour lui signifier que je veux qu’il s’enfonce au plus profond pour jouir, il se plaque contre moi est dans un long râle, il déverse tout son sperme, je sens chaque contraction de sa bite serrée par mon anus et les giclé exploser dans mon ventre, amplifié par les énormes coups de reins qu’il me donne à chaque giclé, il finit par s’écrouler sur moi vidé de toutes ses forces, et après avoir libéré mes jambes il retombe sur le côté, mais je ne le lâche pas et suis son mouvement pour qu’il se retrouve sur le dos et moi sur lui.

Ça bite toujours planté en moi, et toujours tendu comme un arc je profite d’être sur lui pour faire quelques monté et descente sur ça bite et je sens qu’elle ne perd pas sa vigueur, alors je continu à m’empaler et faire rouler mon bassin, me déhancher sur ça bite.

Tu l’aimes ma bite, ma chérie ?

Oui mon amour, je l’aime je la veux encore.

Si tu continues comme ça, tu vas avoir une seconde dose.

C’est ce que je veux, mon homme.

Alors, vas-y fais toi plaisir, fais-moi encore jouir.

Je me suis déchainé sur ça bite, et il a du aimer ça, car 5 minutes après la première dose, il mon envoyée une seconde dose aussi forte que la première, quand il eut fini de jouir il me releva et sorti ça bite et me demanda de laisser le sperme couler sur son ventre, et me demanda de tout lécher.

Quand j’ai vu tout le sperme sur son ventre, je ne pensais pas pouvoir tout avaler, mais j’ai quand même tout léché, et je me suis allongé sur son torse et nous nous sommes reposés, et dans ma tête je me suis dit que j’étais encore là 4 semaines, ça promettait de belles journées...