Premier épisode
- Et quelle note je vais avoir maintenant?
Je lui souris. J’étais gêné. Je bande encore. Il reprend ma queue dans sa main en me masturbant tout en m’embrassant.
- Je vais voir ce que je peux faire.
- Parfait. Je vais en informer mon père. Il sera heureux de l’apprendre.
- Anthony! Il ne faut plus que ça se reproduise. C’est trop risqué.
- Oui! Oui! Je sais. Ne t’inquiète pas.
Il m’embrasse une dernière fois avec ses grosses lèvres gorgées de sang pendant que je remettais mon pantalon et ma bite en place dans celui-ci.
- Bonne journée Guillaume. On se voit au cours de demain.
Le lendemain, Anthony n’était pas à mon cours. Je ne m’attendais pas à ce qu’il soit absent. Je me suis mis à paniquer un peu et plein de scénarios se bousculaient dans ma tête. J’étais hyper nerveux. Je m’imaginais perdre mon emploi. Faire la première page du journal. Être au cœur d’une dénonciation sur les réseaux sociaux. J’avais l’impression que ces camarades de classe savaient tout. Évidemment, je me faisais des idées.
Je suis rentré à la maison après ma journée. On était vendredi. Je n’avais rien de prévu pour le weekend. J’ouvre Grindr pour me prévoir un bon plan Q ce soir/cette nuit. Je jase avec quelques tops. Je m’arrange même un plan avec un mec qui termine de travailler vers une heure du mat. Et je me suis assoupi quelques minutes (ou heures) sur mon divan. C’est la sonnette de la porte d’entrée qui m’a réveillé.
J’étais en bobette blanche. J’adore répondre à la porte en sous-vêtements. C’est mon côté exhibitionniste. La réaction des gens (surtout) des mecs me fait bander tout de suite. Je me suis même déjà filmé en répondant nu à un livreur UPS et j’ai filmé le tout… c’est une autre histoire ça.
J’ouvre la porte et c’est Anthony avec un homme mulâtre.
- Bonsoir Guillaume!
- Euh! Allô Anthony!
Je me suis senti tout d’un coup ridicule et extrêmement gêné.
- Comment t’as eu mon adresse? Je lui demande.
- C’est ton collègue Lou qui me l’a donnée en échange de mon cul. Il a une très grosse queue ton ami. Tu devrais te mettre à quatre pattes pour lui, tu aimerais ça. Il m’a dit que tu lui avais tout raconté à propos de mon travail.
- Euh!?!
- Je te présente mon père, Maxence.
Et là le grand mec métisse s’avance vers moi, me serre la main et me prend dans ses bras. L’homme d’au moins 6 pieds 3 m’enlace longuement en me caressant le dos et la nuque.
- On peut entrer? Dit-il en me prenant par les épaules.
- Oui. Entrez.
Anthony et Maxence entre dans mon appartement. Je ne savais pas quoi dire.
- Mon fils m’a raconté la pipe qu’il t’a fait. Ça t’excite notre histoire?
- Oui beaucoup.
- Je te l’avais dit papa. Je crois qu’on a trouvé le bon gars.
- Tu penses ?
J’essaie de parler mais je ne sais pas trop quoi dire ou faire. Moi qui est très entreprenant dans la vie et plutôt cochon et kinky je suis à la fois excité mais très confus. Est-ce possible que tout soit vrai finalement. Le père et le fils. L’histoire raconté dans son récit. Je bredouille nerveusement :
- Voulez-vous un verre ? De l’eau ? Du vin ? Je n’attendais pas personne… Je m’excuse pour votre fils, ça ne recommencera plus. Je ne veux pas perdre mon travail. Je suis prêt à tout.
Maxence s’approche de moi, masculin et menaçant. Il me prend le visage avec ses deux grosses mains et colla sa bouche contre la mienne. Elle était chaude. Sa grosse langue pénétra dans ma bouche doucement. Il était tendre et aimant. Ses grosses lèvres massaient les miennes. J’ose répliquer en posant mes mains sur ses pectoraux. Je me rends compte qu’Anthony est venu se placer derrière moi. Il me caresse les fesses à travers mon slip. Le père et le fils me serrent entre leurs deux corps et me caressent. Les deux gémissent doucement. Le même gémissement. Maxence continue de m’embrasser langoureusement et Anthony me lèche le cou, passe ses doigts sous mes aisselles et fait aller la bosse de son jeans sur mes fesses rebondies.
Tranquillement, Maxence ramène son fils devant moi. Ils prennent un pas de recul pour m’observer. Antho a enlevé son t-shirt. Son torse est parfait. Petits pectoraux. Gros mamelons. Poils noirs et soyeux répartis sur tout le tronc. Maxence prend son fils par le coup et le tire vers lui pour l’embrasser goulument. Anthony gémit fort.
Je suis hyper excité et du même coup subjugué par la vitesse à laquelle les choses se passent. Et là, les deux commencent à parler en me regardant. Ils sont très excités. Comme des gamines.
- T’as vu son corps, commence Anthony.
- Mon garçon, tu as du goût. Il est beau. Il est chaud. Il est pute c’est certain.
- Il va faire un grand frère parfait, hein Papa ?
- Oui mon garçon. La famille s’agrandit. Allez Antho, dis-lui notre secret.
- Guillaume, papa et moi on couche ensemble depuis quelques mois.
- Et on pense que c’est important que tu le saches. Je suis ton père et tu dois savoir ces choses-là.
Je suis sans mot. Bandé et sans mot. Il s’agit d’une invitation à me joindre à leur duo. À leur histoire. Ça me tente. Me je reste silencieux. Maxence me pose une main sur l’épaule et continue le jeu :
- Tu es magnifique Guillaume. Nous sommes s’y content de t’avoir trouvé. Papa serait très content de pouvoir compter sur toi pour garder notre petit secret. Et bien sûr tu es le bienvenu dans notre équipe.
Je sourie. Anthony s’approche de moi et me prends la main. Maxence aussi s’approche. On s’embrasse tous les trois. Maxence et moi. Anthony et Maxence. Anthony et moi. Nos trois visages se collent et nos trois langues jouent ensembles. Le père et le fils défont leur pantalon et l’enlève. On respire fort. Les baisers sont cochons. Il y a beaucoup de salive.
- Mes fils, dit Maxence, je vous aime.
- Papa, je t’aime! Dit à son tour Anthony. Je t’aime mon grand frère.
- Et je réponds. Je t’aime Papa. Je t’aime Anthony.
- Nous sommes la famille parfait mes beaux garçons.
Puis Maxence, avec ses immenses bras, nous enlace Anthony et moi. Nos queues, dans nos slips, sont bandées. Mon precum coule sur ma jambe. Où est-ce celui d’’Antho? Lui et moi on se laisse blottir dans l’immensité de Maxence.
Dans quoi me suis-je embarqué.
À suivre…
Billy
N.B. À tous les lecteurs… désolé pour le délai… quelle drôle d’année…
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