La famille Belleverge

3 | Quand la fête est finie

Pour de nombreuses personnes, la vie universitaire se résume à de nombreuses soirées alcoolisées et des nuits dévergondée. Dans le cas de Denis Belleverge... c’était exactement ça.

Depuis que Denis avait rejoint la fraternité “Gamma Alpha Upsilon” du campus, il passait beaucoup de nuit à faire la fête, picoler et baiser. Pour cette dernière activité, Denis Belleverge n’avait pas de préférence; blonde, brune, gros nichon, vierge, salope et même les mecs, tous y passaient. Quand Denis Belleverge avait trempé sa queue pour la première fois dans le cul d’un mec, il n’avait vu aucune différence avec celui d’une femme. Dès lors, Denis considéra qu’un trou reste un trou.

Denis accumula donc conquête sur conquête. La gente masculine réclamait ses 20cm bien plus que les meufs. Ce qui était le plus bizarre, c’est qu’il ne faisait aucun effort pour les trouver. C’est comme si quelqu’un avait fait passer une annonce.

Denis se plaisait à l’université. C’était la vie de ses rêves. Et comme il vivait tout près, nul besoin de louer une chambre et en plus il pouvait dormir dans la maison de la fraternité. Et l’avantage d’habiter tout près, c’est qu’il pouvait rentrer chez lui à n’importe quelle heure du jour comme de la nuit si besoin se faisait sentir, comme cette nuit ...

Cette nuit-là, la fraternité de Denis avait encore une fois organisé une party. L’alcool coulait à flot et la musique était à fond. C’était sans aucun doute l’une des meilleures party de tous les temps. Un petit minet à capuche rouge avait fait toute la soirée à reluquer Denis, et il l’avait repéré.

Mais c’était une soirée où Denis avait trop bu. Lui qui supportait bien l’alcool, ce soir il avait bu le verre de trop. Ne se sentant pas bien, il sortit vomir dans les buisson. Ce fut le parfait timing. La police du campus avait débarqué. C’était effectivement un party non annoncé et les voisins à coup sûr se sont pleins de la musique. Denis en profita pour foutre le camp.

C’est donc l’estomac vide et les couilles pleines que Denis rentra chez lui. Lui qui s’imaginait tout ce qu’il allait faire au petit minet à la capuche rouge, comment il allait le faire couiner en enfonçant son pieu en lui. Denis bandait dans son jeans rien qu’en imaginant tout cela.

Denis était toujours sous l’effet de l’alcool quand il rentra chez lui. Il s’efforçait de faire le moins de bruit que possible pour ne pas réveiller le daron qui pourrait se fâcher et lui donner une fessée malgré ses 22 ans.

Denis gravit les escaliers en s’accrochant à la rampe. Une fois à l’étage, il ne se dirigea pas vers sa chambre, mais vers celle de Frederic, son jeune frère. Denis avait envie de se vider les couilles et pour avoir baiser son frère une fois, il était sûr que ce dernier serait plus que content de se faire démonter le cul encore une fois. Mais Fred n’était pas là. Denis s’était résolu à l’idée de se masturber seul dans son lit, quand il passa devant la chambre des benjamins de la famille, les jumeaux.

Les jumeaux, Yanick et Youry (18 ans), dormaient dans le même lit. C’était une nuit où il faisait trop chaud pour dormir trop habillé. L’un portait un mayo et un slip, tandis que l’autre torse nu portait tout juste un caleçon trop ample. Sans réfléchir, Denis entra dans la chambre et enleva ses habits. Une fois tout nu, il se glissa doucement entre les jumeaux faisant en sorte de ne pas les réveiller.

Yanick était couché sur le dos tandis que Youry était couché sur le côté et fixait le mur. C’est vers Youry que Denis tourna. Le petit gars lui donnait dos. Il ne portait qu’un caleçon trop ample pour bien lui ceindre la ceinture. Denis avait vue sur la raie de son cul, ce qui lui donna encore plus envie. Denis entoura Youry de ses bras et lui flatta les pectoraux et les abdos. Il avait le nez dans les cheveux bouclés de Youry et se surprit d’en apprécier l’odeur. Il lui fit même des bisous dans le cou.

Youry ne sursauta pas quand il sentit une main lui caresser tendrement le ventre. Lui et son frère avait l’habitude de dormir en cuillère, et certaines fois au cours de la nuit Yanick aimait frotter sa verge contre son cul. Youry recula ses fesses vers le bassin de son frère et roula du cul pour l’encourager. La main se glissa entre l’élastique désuet de son caleçon et lui pétrissait à présent les fesses. Youry émergeait lentement de son sommeil au fur et à mesure qu’il était excité. Il se souleva même pour aider la main à descendre totalement son caleçon. Et tandis qu’il se réveillait, il pouvait sentir que quelque chose clochait. 1) Yanick n’aurait pas enlevé son caleçon, mais aurait remonté un pied afin de le baiser tout en restant habillé 2) Ce n’était pas la main de Yanick et 3) Avec cette forte odeur d’alcool, cette autre personne n’était personne autre que Denis. Youry super excité le laissa continuer.

Denis sûr que Youry était réveillé: il a relevé son bassin quand il lui a enlevé le caleçon. Denis savait bien que les jumeaux s’enculaient entre eux. Mais ce qu’il ne savait pas, c’était qui prenait la queue de l’autre et il prit une chance en se tournant vers Youry. Mais honnêtement, ce qui avait expliqué son choix, c’est que le cul de Youry était plus facil d’accès.

À présent Denis caressait les fesses de son frère, il appréciait leur douceur. En d’autres circonstances, Denis se serait baisser pour lui lécher la rose. Mais ce soir, tout ce que Denis voulait faire ètait tirer son cou, décharger son foutre vite fait.

Denis cracha dans sa paume et se lubrifia le gland décalotter. Il cracha deux à trois fois encore pour humidifier le trou de Youry qu’il avait repéré du doigt. Denis positionna son gland contre l’anus de Youry et d’un coup de rein il le fit entrer. Youry poussa un gémissement que Denis étouffa de sa main. Même si Youry avait l’habitude de se prendre la queue de Yanick, son trou se resserrait toujours quelques heure après comme si rien ne s’était passé.

Quand Denis senti que Youry s’était habitué à la présence de sa queue, il commença des petits mouvements faisant coulisser lentement sa bite dans le fondement de son frère. A chaque va et vient, il rentrait sa bite le plus profondément que possible faisant attention à ne pas faire mal à son petit frère.

Après de nombreux coup de hanche, le pubis de Denis se frottait à présent contre le cul de Youry et il pouvait sentir les couilles se toucher. Denis enleva sa main de la bouche de son frère. Il lui souleva la jambe afin d’avoir un meilleur accès à son cul.

Denis avait un bon jeu de hanche. Il le savait. Et à présent Youry le savait. La bite de Denis lui élargissait bien la rondelle et frottait contre sa prostate. Denis le baisait à présent avec des coups secs, violents et profonds. Il avait réussit à toucher le point sensible de Youry. Une boule se forma dans le creux de ses reins et il sentit le sang lui monter au visage. Youry bandait dur et de son gland s’échappait de la mouille. A chaque pointe, Youry poussait un léger couinement. Youry tendait bien son cul afin que son grand frère lui laboure les entrailles comme il le faut. Denis avait plongé son visage dans le cou de Youry et lui faisait un suçon tout en le baisant.

Yanick fut réveillé par la sensation d’être secoué. Il pensa d’abord qu’il s’agissait d’un tremblement de terre. Mais en ouvrant les yeux, il reconnut Denis entrain de baiser Youry.

- Alors on s’amuse sans moi?

Comme toute réponse, Denis se tourna vers Yanick et lui sourit. Il retourna à sa besogne labourant sans ménagement le fion de l’autre jumeaux.

Yanick banda direct. Était-ce la vue du cul de Denis effectuant ses va et vient? Ou les gémissements jouissif de son jumeaux. Il savait que Youry ne simulait pas, il prenait vraiment son pied. Yanick fut même jaloux car jamais lui il n’a entendu Youry geindre de la sorte quand il le baisait.

Yanick fit passer son membre au dessus de l’élastique de son slip et commença le caressa tendrement tout en matant. De la mouille vint perler son gland et du doigt il l’étala. Il ne supporta plus d’être spectateur, il voulait participer.

Pendant que Denis se déhanchait dans les entrailles de Youry, Yanick se rapprocha de Denis et d’un coup sec il le pénétra. Denis étouffa un cri. Mais le gland de Yanick avait cogné directement la prostate de Denis et ce dernier éjacula instantanément dans les tripes de Youry. Parcouru par des tremblements, la queue de Yanick frottait encore plus sur la prostate de Denis qui ne s’empêcha de lacher un râle de plaisir.

Pour Denis, c’était la toute première fois qu’un corps étranger lui traversait la rondelle. Lui qui se disait ouvert à toute expérience sexuelle, il n’avait jamais laissé quiconque se rapprocher de son anus. Si une fois il avait laissé un mec du campus lui lécher la rose, il avait cependant refusé de se faire doigter, prétendant que cette pratique était réservée au gay, et lui, il ne se considérerait pas comme tel. C’est vrai qu’il baisait homme et femme, Denis n’avait jamais senti le besoin de se faire étiqueter. Il ne s’est jamais identifié comme gay, ni même bisexuel.

Mais ce soir, quand Yanick l’avait pénétré, Denis avait senti quelque chose de différent. C’est vrai qu’il avait senti son cul se déchirer, mais quand le gland de Yanick avait heurté sa prostate, il y eut comme une explosion dans la tête de Denis, il pouvait voir des feux d’artifice. Il éjacula tout son jus dans les boyau de Youry qu’il enculait. C’était l’orgasme le plus puissant qu’il n’a jamais eu et c’était provoqué par une queue dans son cul.

Denis reprenait son souffle tandis que son sexe se ramollissait dans le cul de Youry. Mais pour Yanick, la fête n’était pas finie. Il enfonça doucement sa bite dans les entrailles de Denis qui se remettait de ses émotions. Yanick entrepris de limer Denis dans la même position qu’il limait Youry. Denis se laissa faire. Sa prostate était toujours sensible et la sensation de la queue de Yanick bougeant dans ses entrailles était agréable.

Yanick se montra tendre envers Denis. Ses mouvements étaient délicats. Mais il poursuivit sa progression dans le fondement de son grand frère. Les jumeaux avaient une plus grosse et plus longue queue de Denis, Yanick savait donc qu’il fallait y aller doucement pour ne pas lui faire mal et finit par tout entrer.

Entre temps, Denis avait rebandé dans le cul de Youry. Denis se surprit à onduler som cul tandis que Yanick le baisait. Petit à petit, ce fut Denis qui fut le seul à bouger sur le lit. Quand il avançait, il enfonçait sa verge dans le cul de Youry, et quand il reculait, il s’empalait sur la bite de Yanick.

Yanick se délectait du cul serré de Denis. Il ne lui fallut pas longtemps pour sentir le plaisir monter en lui. Il saisit Denis par la hanche et l’encula à un rythme effréné. La prostate de Denis se dévoila beaucoup plus sensible qu’il ne le crut. Et au bout de quelques minutes de ce traitement, Denis fut le premier à éjaculer et il répandit sa semence une fois de plus dans le cul de Youry. Quand il éjacula, il resserra ses sphincters sur la pine de Yanick et ce dernier ne résistant pas éjacula lui aussi dans le fion de son frère.

Denis décula le premier. Du sperme s’échappa du cul de Youry et coulait sur sa fesse. Yanick décula le deuxième. Les frères reprenaient leur souffle. Denis était couché sur le ventre les fesses en l’air.

- A mon tour! s’exclama Youry

Youry s’enfonça beaucoup plus facilement dans le cul de Denis, lubrifié par le sperme de son frère. Denis étouffa un cri dans l’oreiller. Youry labourait les entrailles de son frère beaucoup plus sauvagement que Yanick. Il s’enfonçait profondément en lui et lui tapait les fesses. Mais l’excitation ayant raison de lui, il éjacula beaucoup plus précocement dans le cul de son frère. Quant à Denis, il avait éjaculé une troisième fois en maculant les draps.

***

Francis Belleverge (leur père) s’était réveillé vers les 6h du matin par une furieuse envie de pisser. La porte de la chambre des jumeaux était grande ouverte, et quand Francis y jeta un coup d’œil, il fut surpris par ce qu’il vit. Denis et les jumeaux, s’était endormi nus et entrelacés.

Francis ferma soigneusement leur porte et se rendit aux toilettes.

A suivre ...

N’hésitez pas à me laisse des commentaires.

(NDLA: Cette histoire est une fiction. Les choses ne se déroulent pas ainsi dans la vraie vie. Protégez-vous).