Le bruit d’une clef dans la serrure de la porte, je regarde l’heure : 17h30.
C’est l’heure pour Papa de rentrer à la maison. Effectivement, dans la minute qui suit, c’est toi qui pousses la porte. Je me presse pour t’aider à enlever ta veste. Je te fais un baiser et ta moustache vient gratter la lèvre. Cela me fait toujours rire.
Sans dire un seul mot, tu te diriges vers le canapé et t’empares de la télécommande. Je me mets à tes pieds pour enlever une par une tes chaussures. J’en profite pour te faire un massage des pieds dont moi seul ai le secret. Tu ne manques pas d’apprécier ce que je te fais. J’attaque maintenant ta ceinture. Tu relèves le bassin pour que je puisse descendre totalement ton pantalon. Te voilà en caleçon devant la télé à regarder les nouvelles.
Je plonge mon visage entre tes jambes. Je frotte mon nez contre le tissu pour humer ce relent de sueur que j’aime tant. Ça sent l’homme. Ça sent mon homme. Ton sexe commence à durcir et du bout de la langue je mouille la hampe de ton sexe. Comme j’ai attendu toute la journée pour l’avoir.
Mais tu me repousses doucement.
– Manger !
Déçu, je me relève. La queue bien dure entre les jambes. Je pars à la cuisine récupérer le bon petit plat que je t’avais préparé. Je l’avais mis à chauffer quelques minutes avant que tu n’arrives de manière à ce qu’elle soit bien tiède à ton arrivée. Je te regarde manger. J’aime ça te regarder manger. J’ai toujours aimé te regarder manger. Un peu de sauce te coule sur le menton. Je le récupère du bout de ma langue et te le rapporte en pleine bouche. Nous échangeons un baiser passionné. Mais encore une fois tu me repousses. Je te laisse donc manger en paix.
Une fois le repas fini, je ne te laisse pas me le demander, je t’apporte un pack de bière. Tu me souris. Je sais que tu aimes ça, boire ta bière après avoir mangé en attendant le journal de 20h. Je connais bien mon homme. Je m’occupe bien de toi depuis que maman nous a quittés. Et c’est moi qui joue le rôle de la petite femme de la maison. Je fais ta lessive, je plie ton linge, je repasse tes vêtements, je te prépare à manger, je te soulage au lit…
Tu déposes ta troisième canette de bière vide sur le sol. Tu ouvres la quatrième. Tu passes ensuite ta main autour de mon épaule. J’attendais avec impatience ce contact et je me blottis contre toi. Sentir la chaleur de ton corps contre ma joue me rend fou de joie. Le journal de 20h commence. Je déteste le journal, mais tranquillement posé sur ta poitrine, j’écoute le battement de ton cœur. Je m’endors en écoutant cette douce mélodie.
Je me réveille, la tête sur tes genoux, durant mon sommeil ma tête a du glisser. Tu passes tes doigts dans mes cheveux tout en regardant un film. Je regarde le sol. Tu as fini toutes tes bières.
Ta verge est à quelques centimètres de mon visage. Je recommence mon manège. Je tends ma langue pour te lécher les couilles à travers le tissu de ton caleçon. Tu es un peu surpris de me voir réveiller. Cette fois-ci tu me laisses faire. Je m’applique comme un bon élève. Il ne faut pas longtemps pour que ta queue prenne ses mensurations les plus nobles. Tu n’as cessé de me caresser la tête. Je décide de passer à autre chose.
Je tire sur l’élastique de ton caleçon. Ton sexe jaillit me frappant en pleine figure. Le voilà l’objet de tous mes désirs. Je te prends en bouche. Le gland d’abord que je fais tourner avec ma langue. Tu aimes et tu me félicites. Je suis un bon fils. Je suis fier de moi.
Pour donner une meilleure performance, je m’agenouille à tes pieds et profite pour t’enlever totalement le caleçon. Tu es à moi. Je t’enfonce le membre loin dans ma gorge. Tu apprécies la chaleur de mon gouffre buccale. Mais tu n’y restes pas trop, car je manque de m’étouffer. Je reprends mon ouvrage le cœur joyeux. Je te pompe la queue, mais je n’oublie pas les boules. Je sais que tu aimes quand je joues avec eux de mes mains. Ou quand encore je les prends une à une dans ma bouche. Je lève les yeux vers toi. Tu ne regardes plus la télé. La tête penche en arrière tu apprécies ce que je te fais. Je souris en mon for intérieur. Je suis un bon fils qui sait donner du plaisir à son papa.
Tu te lèves brusquement, m’arrachant presque ta bite de la bouche. Tu éteins la télé, alors je sais que les choses vont devenir sérieuses.
Tu m’indiques la chambre du doigt. Je te précède et en route j’enlève le surplus de vêtements. Nous sommes nus tantôt toi sur moi, tantôt moi sur toi. Tu me caresses ma peau lisse, imberbe. Et moi je te caresse le corps de tes 40 ans avec celui de mes 20 ans. Le temps a été tendre avec toi. Tu es plutôt bien conservé, tes muscles sont toujours saillants, un léger gras atour de l’abdomen.
Tu viens bloquer de tout ton poids contre le lit. Ta bouche me dévore le cou. Ma zone sensible. Tu le sais. Je n’arrive plus à contenir mes cris. Les voisins viendront encore demain pour me demander si tout a été bien.
Tu me relèves les jambes.
– Propre ?
– Toujours !
Tu glisses alors ta langue entre mes deux fessiers. Cette caresse humide fait hérisser tous les poils de mon corps. Bouffe-moi ma chatte d’homme. Je dois mettre les mains devant la bouche pour ne pas faire trop de bruit. Ta langue experte se fraye facilement un passage à travers mes anneaux. Tu me lapes encore une fois et tu te lèves.
Sans plus d’autres formes, yeux dans les yeux, tu me transperces de ton vit. Je retiens mon souffle et finis par le relâcher quand je te sens entier contre moi. Il y a ce contraste de tes couilles poilues contre mon cul lisse. Alors commence le doux va et viens que nous connaissons tant. Ce frottement répété de ton gland sur ma paroi rectale à la recherche de mon point P. tu fouilles bien dans les alentours. Mon plaisir augmente. Et le tien aussi. Tu te penches sur moi et m’embrasses à pleine bouche. Nos langues dansent un ballet synchronisé au mouvement de nos reins.
Tu te retires de moi. Je me sens vide. Mais tu me demandes de me retourner. De me mettre à quatre pattes. Je m’exécute. Ta queue rentre encore une fois en moi, mais plus profondément. Je lâche un petit cri. Tu l’as trouvé. Tu ne te retiens plus. Tu t’agrippes à ma ceinture et me bourrin violemment les entrailles. Tes lourdes couilles se frappent à mes fesses et le son remplit la salle. Loin de ressentir de la douleur, je suis en extase. Tes coups de hanche se font de plus en plus rapprochés et de plus en plus profonds. Tu me tires la tête en arrière par les cheveux. Tu aimes ça. J’aime ça. D’une main, je m’active sur ma verge délaissée, car je sens que tu vas venir. Et je veux venir avec toi, en même temps que toi.
Le moment fatidique arrive. Tu me retiens fermement par la hanche. Tes coups sont tellement violents que je dois faire attention pour ne pas être éjecté du lit. Mais Vas-y. défonce-moi. Tu sais que je peux encaisser. Tandis que je te sens te déverser en moi. Je sens ma propre semence prêt-à sorti de mon corps. Je ferme les yeux. Je salis le drap. Mon anus se referme sur ta verge. Tu aimes ça.
Mes jambes tremblent et je m’effondre. Tu te couches sur moi. Tu n’es pas encore sorti. Tu aimes ces petits moments après l’amour où nos corps repus retrouvent leur repère en silence.
Tu sors enfin de moi. Mais tes doigts se plongent en moi comme si tu avais peur que je me referme à jamais. Tu joues avec mon sperme dans mon anus. Cela t’amuse.
– Un jour je t’engrosserai.
– Je n’attends que ça.
Trois doigts sont déjà dans mon cul. C’est vraiment étrange que tu veuilles me dilater après l’amour et non pas avant. Ton sexe a déjà repris du volume et tu le remets dans mon cul. Mais tu ne le bouges pas. Tu me prends dans tes bras et me fais un bisou dans le cou. On dormira comme ça. Moi, dans tes bras. Toi, en moi.
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Dej407
dej407@yahoo.com
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