La famille Belleverge

5 | Une longue nuit

Quand il s’était rendu chez Frédérique pour réviser, Camille ne se doutait pas qu’il allait enfin rencontrer Denis. Il allait enfin mettre un visage sur le nom qui alimentait ses fantasmes. Il ne savait pas qu’il allait recevoir en ses fondements la belle queue dont sa cousine lui avait tant parlé, et que cette verge allait lui donner à trois reprises un orgasme anal.

Ayant pris du retard dans leur révision, Frédérique avait proposé à Camille de rester pour la nuit, ce qu’il accepta. Au cours de la nuit, il avait senti Frédérique lui mettre la main au cul, et pour donner sa permission, Camille descendit son slip donnant libre accès à Fred.

Fred ne s’était pas touché depuis que Denis avait baisé Camille sous ses yeux dans le salon. Ces images l’ont hanté durant toute la journée et il ne put résister au cul de Camille qui était à portée de main. Et quand ce dernier descendit son slip, Fred n’hésita pas et lui enfonça la bite bien profond dans le cul.

C’était un cul chaud et préalablement ouvert qui attendait Fred. Certes il n’avait pas les dimensions de son frère, mais sa bite avait réussi à susciter un petit quelque chose chez Camille. Fred savait que s’il ne pouvait pas rivaliser en taille, il devait le faire en technique. C’est ainsi donc que Fred s’acharnait dans le cul de Camille. Chaque coup de rein était fort, profond et certaines fois accompagnées d’une petite fessée. Ce traitement ne dura pas longtemps, et Fred éjacula son foutre dans le trou de Camille.

Dix minutes après cette baise, Fred s’était rapidement rendormi laissant Camille seul avec le cul plein de foutre et l’anus palpitant. Camille en voulait encore. Il regarda l’heure: 1:43 du matin. Il mit un caleçon et se rendit vers la chambre de Denis. Vide. Denis était sorti et ne risquait pas de rentrer aussi tôt. Déçu, Camille décida de se rendre au salon se rafraîchir un peu.

En bas, la télé était allumée. Quelqu’un regardait la rediffusion d’un talk-show populaire. Camille passa la tête et vit assis sur le canapé, Francis Belleverge, le père de son ami. Francis était bien conservé pour son age. Ses cheveux ont grisé beaucoup plus tot, il avait la mine fatigué, un corps qui témoigne de plusieurs heures passées à la salle de sport durant sa jeunesse quoiqu’il avait un petit ventre naissant.

La lumière du salon était éteinte et seul la luminosité de l’écran illuminait toute la pièce. Près de Francis reposaient les carcasses de 4 canettes de bière et il en avait une 5eme en main. Il ne portait rien d’autre qu’un slip kangourou blanc. Ce qui captait l’attention de Camille, c’était l’entre jambe déformée de Francis par sa bite au repos et une couille qui dépassait.

- Qui est là? Approche mon garçon.

Captivé, Camille ne s’était pas rendu compte que Francis avait remarqué sa présence.

- T’es qui toi? Et avec lequel de mes fils tu baises?

Les questions de Francis étaient directes et à un certain point, elles avaient excité le petit blond.

- Je suis Camille, un ami de Fred.

- Fred? C’est toi qui le baise?

- Euh non. C’est lui qui me la met.

- Bah, elle n’est pas si grosse que ça sa bite, mais je suppose que ça peut quand même plaire.

- Denis m’a aussi baisé, ajouta Camille.

- T’en a morflé à coup sûr.

Camille avait le regard fixé sur l’entre jambe de Francis. Ce dernier s’en rendit compte et fit un geste de la main pour que Camille se rapproche.

Camille se mit automatiquement à genou entre les jambes de Francis. Il avait enfoui sa tête contre son entrejambe et humait une odeur musquée et un doux parfum d’urine. Une qui ne s’était pas encore lavé, pensa Camille.

Camille lui même sorti la bite monstrueuse de Francis de son slip. Elle était grosse. Elle était lourde. Elle était toujours molle. Camille salivait déjà à l’idée de se la garer dans le cul. Camille lapa le gland puis le pris en bouche. Lentement, la bite du père Belleverge se mit à grossir arborant des dimensions honorables. À présent, Camille peinait à prendre toute cette verge en bouche. Il craignait une luxation de la mâchoire tout en poursuivant sa fellation.

Francis profitait du mieux qu’il pouvait de la bouche du petit blond. Ce n’est pas tous les jours qu’un petit jeunot voulait avaler sa queue. Il lui caressait souvent les boucles blondes tout en sirotant sa bière. Des fois il le complimentait sur sa technique et lui disait combien sa bouche était douce.

Francis fit relever Camille et se débarrassa du caleçon qu’il portait. Le tenant par la taille, il demanda au garçon de s’asseoir sur lui en califourchon. Camille avait à peine plier les genoux qu’il senti le gland dur de Francis contre sa rosette. Quoique Camille s’était fait prendre par la grosse queue de Denis il ya quelques heures, et quoique son cul était lubrifié au sperme de Fred il y a quelques minutes, le gland de Francis avait une certaine difficulté à passer.

Il fallut beaucoup plus de temps à Camille pour que ses sphincters s’ouvrent et laisse passer la bite de Francis. Camille se senti comme déchiré en deux par le pieu du père de son ami. Mais il savait que ça valait la peine. Le gland passé, il se laissa glisser le long de la hampe. La douleur se dissipa pour laisser la place à une autre sensation. Camille s’étonna de sentir les poils de Francis frotter contre son cul. Il avait tout pris et pour la première fois Camille se sentait rempli.

Camille prenait appui sur les épaules de Francis afin de s’élever et se laissait glisser encore une fois sur la bite toute raide. Francis avait posé les mains sur la hanche du garçon et l’accompagnait dans son geste. Il en profitait aussi pour le caresser et bien lui malaxer les fessiers. Les occasions pour lui de tirer son coup n’étaient pas aussi nombreuses, donc il voulait profiter de ce petit cul qui s’offrait à lui le plus que possible.

Père Belleverge avait une queue si ample qu’à chaque passage elle frottait sans aucun problème la prostate de Camille. Ce dernier était aux anges à chaque coup de hanche. Camille compris que dans le cul la grosseur comptait aussi bien que la longueur. A chaque fois que la grosse verge de Francis sortait de son cul, Camille sentait comme un vide et ressentait le besoin de s’asseoir rapidement pour se sentir remplit à nouveau. Et a chaque fois que les couilles velue de Francis lui chatouillaient l’anus, Camille voulait qu’elle sorte pour recommencer son manège. À présent, les bras de Camille enlaçait Francis et sans s’en rendre compte, ses lèvres cherchaient les siennes. Francis s’étonna lui-même d’avoir accepté le baiser de l’ami de son fils. Mais l’anus du petit blond qui se resserrait de plus en plus sur son pénis et lui procurait un plaisir indescriptible.

Au fur et à mesure que Camille se levait et se laissait tomber lourdement sur la queue de Camille, il sentait un plaisir monter en lui. Une boule avait pris naissance au creux de ses reins. Un courant parcourait tout son corps. Camille se sentait être une boule de nerfs, prêt à explose a n’importe quelle moment. Ses mouvements étaient beaucoup plus fluides. Sans difficulté il faisait disparaître cette barre de chaire aussitôt qu’il se levait dessus.

Soudainement, les bras musclés de Francis soulevèrent Camille tout en restant attaché à sa bite et se leva. Les pieds de Camille ne touchaient terre. C’est avec des coups de reins de plus en plus brutaux que Francis enculait le petit passif. Camille ne retenait plus ses gémissements. Il se foutait pas mal de réveiller tout le monde. Les couilles de Francis claquaient lourdement contre le cul de Camille.

C’était la première fois qu’un homme le baisait de la sorte. Il avait l’impression d’être une poupée gonflable que le père de son ami manipulait comme il voulait.

- T’aime ça petite salope? Tu voulais goûter à la bonne bite, et bien t’es servi.

Ça y est. Camille senti le courant électrique partait de ses orteils et de ses cheveux et qui venait se rencontrer dans le creux de ses reins. Des jets de sperme jaillirent de la bite de Camille et éclaboussèrent les deux torses. A ce moment précis, Francis tapissait les entrailles du blondinet.

Une fois vidée de toute sa jute, Francis déposa doucement Camille sur le canapé et s’affala à son tour. Repu et satisfait, Francis ne se doutait pas que ce petit effort allait lui valoir un mal de dos.

Camille regarda l’horloge du salon. 2:27 am.

Quand Camille remonta les escaliers pour regagner la chambre de Fred, dans le couloir, une porte s’ouvrit devant lui. Deux jumeaux, complètement nus, étaient dans l’encadrement.

- Nous avons entendu tes ébats avec notre père en bas, dit l’un.

- Et nous savons que tu as baisé avec Denis et Fred, dit l’autre.

- Si tu veux te taper tous les hommes qui vivent sous ce toit, il faut pas nou rater.

Camille jeta un coup d’œil aux sexes des jumeaux. Ils paraissaient plus long et plus larges que ceux de Denis et de Francis. Camille ravala sa salive et rentra courageusement dans la chambre des jumeaux.

Il était 4h exacte quand Camille laissa la chambre des jumeaux. Ils l’avait baisé chacun séparément jusqu’à éjaculé leur foutre dans ses entrailles. Quand ils reprirent des forces, ils le prirent en même temps et inondèrent encore une fois son cul.

C’est le cul ouvert et dégoulinant de sperme que Camille regagnait le lit de Fred. Il avait oublié son caleçon dans la chambre des jumeaux. Il avait arpenté le couloir tout nu se foutant pas mal de qui il pourrait croiser.

A peine couché, que Frédérique, toujours endormi, venait de l’entourer de ses bras le prenant en cuillère. Sa bite dure se trouvait entre ses fesses. Camille n’eut qu’à faire qu’un léger coup de rein et Fred se trouvait bien au chaud en Camille.

Cette nuit là, Camille dormit le coeur et le cul comblé.