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5 | Le petit vicieux
Les Belleverge se transmettent dans leur code génétique de génération en génération, comme un héritage, une caractéristique anatomique bien particulière: une queue bien longue et des couilles lourdes qui pendouillent entre les cuisses de tous les héritiers mâles de cette lignée. Un autre trait qu’ils partagent tous mais s’en rendront compte bien plus tard, c’est leur attirance pour les femmes aussi bien que pour les hommes. Peu de gens connaissent le secret des Belleverge et Camille Ducrépin allait bientôt rejoindre cette minorité.
Camille Ducrépin, 19 ans, blond aux yeux bleus, gay et fier de l’être, efféminé sur les bords, Camille a le physique typique du minet (twink). Camille adore la bite. Il s’en tape une toutes les semaines depuis le soir de ses 18 ans où il perdit sa virginité anale avec un mec qu’il venait à peine de rencontrer. Camille aime les bites. Il les veut dans sa bouche, dans le trou, dans chacune de ses mains. Camille est insatiable et toujours à la recherche de cette bite qui lui marquerait les deux esprit.
Quand Camille apprit qu’il y aurait un “Belleverge” avec lui dans le cours géographie politique, Camille sentit son coeur bondir dans sa poitrine et son anus palpiter. Il avait appris par sa cousine, qu’un certain Denis Belleverge avait une queue de belles dimensions qu’il ne se laissait de montrer à personne. Ce même Denis s’était vanté et eut à dire que tout les membres de sa famille avait une aussi longue et épaisse que la sienne.
Camille salivait déjà à l’idée de se faire prendre par un ttbm. Ce serait la première fois qu’il se ferai prendre par une queue de cette dimension. Bien sur il y eut ce black qui lui avait éclaté la rondelle avec ces 17 centimètres, mais Camille en voulait plus. Camille avait même acheté des godes assez gros qu’il s’enfilait tous les soirs afin de calmer ses ardeurs.
Le plan de Camille était bien clair dans sa tête, et quand Camille rencontra Frédérique Belleverge, il enclencha un processus complex dont lui seul avait le secret. Si Fred se montrait un méfiant et retissant au début, Camille avait gagné sa confiance. Camille était un AS dans l’art du flirt et avait réussi à plusieurs reprises d’ébranler la conviction de certains mecs qui se disaient “pur hétéro”.
Un après-midi, Camille avait réussi à convaincre Frédérique de le suivre dans les toilettes de la fac. Une fois dans les cabines, il s’était mis à genou et déboutonna lui même le pantalon de Fred. Combien grande fut sa surprise quand il vit la bite de 14 cm de Fred pointer en sa direction. Déçu de sa découverte, il se résolut tout de même à le sucer copieusement jusqu’à ce que Frédérique lui tapisse l’arrière gorge de sa blanche semence. Camille lui avait même enfoncé un doigt dans l’anus qu’il ne refusa pas.
Sa cousine avait peut-être mal entendu ou mal compris, ou encore, peut-être que le Denis Belleverge en question était le seul membre de sa famille à avoir une bite de grand calibre. Camille ne cessait de penser à tout ça après le fellation dans les toilettes, lui qui s’attendait à être épaté ...
Ils sont quand même rester amis. Frédérique se montra être quelqu’un de fort sympathique et Camille et lui vinrent très proche. Camille ne questionna jamais Frédérique sur le mythe qui entourait sa famille. Il allait finir par tout découvrir de part lui même.
Un vendredi après-midi, Frédérique avait invité Camille a venir réviser chez lui pour la première fois, voulant profiter de la maison vide : son père ne rentrerait pas encore du boulot, Denis ... ben, il serait sûrement entrai de se soûler la gueule quelque part; quant aux jumeaux, cela faisait plusieurs semaines qu’ils rentraient tard sans dire ce qu’ils faisaient.
Ils étaient posés dans le salon quand Denis rentra. Il avait pris au passage une canette bien fraîche du frigo. Quand Frédérique présenta son frère à Camille, les yeux de ce dernier brillèrent comme des étoiles quand il reconnut le nom de Denis Belleverge. C’était lui le mec dont sa cousine lui avait tant parlé. Denis aurait enlevé son pantalon au cours d’une fete de fraternité et aurait exposé à tous sa queue de dimension respectable même en étant mou.
S’il y avait bien un don que Denis possédait, c’était bien de pouvoir reconnaître une salope quand il en voyait une; et les yeux de Camille Ducrépin criaient qu’il était une. Denis jugea l’occasion trop belle pour la rater et se jura de se faire le petit trou de Camille aujourd’hui même. Denis monta dansa sa chambre, se changea en optant pour un short moulant qu’il porterait sans rien en dessous. Puis il se rendit dans le salon et s’assis en face de son frère et de son ami qui révisait tranquillement.
La présence de Denis dérangeait clairement Camille. Il ne pouvait s’empêcher de lui jeter des petits coups d’œil de temps en temps. Denis lui, ne faisait rien d’autre que de siroter tranquillement sa bière faisant mine de les ignorer. Denis, bien calé dans le canapé avait écarté ses jambes le plus que possible et les balançait de temps en temps pour capter l’attention de Camille. Les regards de ce dernier se faisait de plus en plus insistant. La bite de Denis était déjà de belle taille tout en étant flasque, Camille salivait en l’imaginant dure. Il mouillait littéralement de la bite et du cul.
- Tu en veux n’est-ce pas? demanda Denis.
Le coeur de Camille rata un battement.
- Je parle de la bière, ajouta Denis.
Camille lâcha un soupir. Il croyait s’être fait griller.
- A moins que tu croyais qu’il s’agissait de quelque chose d’autre, dit Denis en se frottant ouvertement la bite. Tu peux aussi en prendre si tu veux. Ca ne me dérange pas. Je sais que c’est pas tous les jours qu’on trouve d’aussi gros à se mettre sous la dent.
Camille lança un regard à Frédérique. Se dernier faisait semblant de ne rien suivre et resta figé contre l’écran de son ordi. Camille ravala sa salive. Denis avait raison, ce n’est pas les grosses bites ne cours pas les rues. Il était sur le point de réaliser un de ses fantasmes.
La gorge sèche, le coeur battant la chamade, à genoux, il se dirigea vers Denis qui le regardait venir avec un regard triomphant. Il prit Camille par les cheveux et frotta vigoureusement son visage contre son entrejambe. Camille s’imprégnait de l’odeur de la masculinité. Les doigts tremblant, il baissa le short de Denis et sa queue, demi-molle, vint frapper son visage. Elle était belle, elle était lourde et juteuse. Camille la contemplait comme s’il s’agissait d’une véritable œuvre d’art. Il avait même les larmes prêtes à couler.
Frédérique resta immobile ne sachant pas trop quoi faire. Il ne savait pas s’il était énervé par ce que son frère l’empêchait de réviser avec son ami, ou s’il gêné par la scène qui allait se jouer devant lui, ou s’il était excité et impatient de voir ce qui allait se passer. Dans son pantalon, une barre s’était formée.
Camille ouvrit grand la bouche et prit la queue de Denis. Il lui prodigua une fellation d’enfer avec beaucoup de salive et beaucoup de jeu de pression. Ses lèvres n’étaient pas épaisses pour rien. Il suçotait le gland, jouait avec la langue, il tenta même une gorge profonde qui l’étouffa. La verge de Denis n’avait rien avoir avec celles qu’il avait l’habitude de sucer.
Denis continuait à boire sa bière tout en se faisant sucer par Camille. Ce dernier lui caressait tendrement la hampe et de l’autre main, il jouait avec ses boules bien lourdes. “Cette petite pute se connait en bite” pensa Denis. Ça se voyait qu’il avait de l’expérience. Denis jeta un regard à Frédérique. Ce dernier faisait semblant de ne rien voir et continuait sa révision tant bien que mal. Denis connaissait bien son frère, il matait à coup sûr.
- Fred, dit Denis. Soit gentil et apporte moi une autre bière.
Frédérique se leva et Denis pouvait voir l’érection qui lui déformait le pantalon. Mais quand Fred rapporta la bière, il reprit sa place initiale. “Il veut sûrement jouer aux voyeurs, il ne sera pas déçu du spectacle”.
Denis releva Camille et le mit à quatre pattes sur le canapé. Il lui descendit le pantalon et siffla en voyant le cul de Camille. Un cul bien propre, rasée de près et qui sentait même bon. L’anus tout rose de Camille ne cessait de palpiter. Denis y plongea son visage. L’anus de Camille céda à la pression de la langue de Denis. Camille avait l’habitude de se filer des dildos de belle dimension et ce matin avant de venir il avait répété l’exercice. Tandis que Denis lui broutait le cul, le sang avait descendu sur son visage et il enfouit sa face dans les coussins du canapé.
Sans plus de préparation, Denis plongea sa queue dans les fondements de Camille. Le retenant par la hanche, il le défonça sans retenue. Camille étouffait ses gémissements dans les coussins. Il mordait, griffait, criait. La queue dans son cul lui donnait tellement de plaisir qu’il avait peur de jouir trop rapidement.
- Tu vois frangin? s’adressa Denis à Frédérique. C’est ça l’effet que fait une grosse bite dans le cul d’une petite salope. Avec ta petite queue, tu ne pourras jamais donné autant de plaisir à un mec. Mais t’inquiète, au moins tu pourras te tenir à l’autre bout de la queue.
Ses paroles avait heurté Fred, mais l’excitait en même temps. Il voulait même se jeter sur Camille et prendre sa place pour se faire défoncer le fion par la bite de son frère. Mais il se retint.
Denis avait retourné Camille. Couché sur le dos, son sexe pointait fièrement vers le plafond. Denis lui faisait répéter combien sa queue était grosse, combien il aimait sa queue et combien il pouvait passer la journée à se faire défoncer le trou par sa grosse queue. Camille avait eu un orgasme anale à deux reprises et il se sentait en route pour un troisième. Ses sphincters se refermèrent sur la queue de Denis, ce dernier profita de la sensation serré du cul de Camille pour aller beaucoup plus fort et beaucoup plus profond.
Ils haletaient tous les deux bien fort dans le salon. Camille fut le premier à crier son plaisir. Une bonne quantité de sperme coulait de son gland et glissait sur son ventre. Denis n’attendit pas long temps lui aussi avant d’inonder les fondements de Camille.
Quand ils reprirent leur souffle, Denis décula et une bonne quantité de sperme coula sur les coussins. Il s’essuya la bite et finit sa bière d’une traite.
- Bon, les amis, moi je dois partir. Camille se fut un plaisir de te rencontrer et ... n’oublie de nettoyer le canapé.
Et Denis s’éclipsa. Camille remonta son froc et lécha la tâche de sperme sur le canapé. Et comme si rien ne s’était passé, il alla s’asseoir près de Fred, reprenant l’exercice là où ils l’avaient laissé.
A suivre ...
NDLA: Ceci est une histoire fictive. Les choses ne se déroulent pas ainsi dans la vraie vie. Protégez-vous!
PS: Merci pour les commentaires.
Dej407
dej407@yahoo.com
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