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Baisé sur les marches...

Il est de ces situations qui vous échappent... L’une d’entre elles, s'est offerte à moi il y a peu. Je rentrais tranquillement chez moi, en soirée, après quelques verres entre potes. L’un d’eux fêtait sa promotion au sein de sa boîte, et débordait de générosité dans ses commandes de tournées de Mojitos. Je dois bien avouer qu’il était temps pour moi de prendre le chemin du retour. Heureusement, j’étais à pied et peu distant de mon deux pièces cuisine. Me voilà rue des Arabesques, à droite, rue Saint-Sulpice, et j’attaquais enfin la longue montée de la Grange-Neuve. Pas moins de trois cent cinquante-deux marches à gravir. Je les avais comptées depuis longtemps... Dans mon état, c’était l’Everest ! Trois paliers me permettraient de faire une pause salutaire. Depuis les restrictions d’énergie, mon ascension allait se faire dans une quasi-obscurité. Légèrement vêtu, malgré la saison automnale débutante, je marchais d’un pas encore alerte malgré mon cerveau quelque peu embrumé par l’alcool. La douceur de cette journée m’avait fait enfiler un simple pantalon de toile de lin, assez moulant au demeurant, sans sous-vêtement, tee-shirt siglé et baskets blanches. Mes amis m’avaient d’ailleurs fait la remarque sur ma tenue plutôt provocante, surtout au regard de mon entre-jambes bien moulé et laissant deviner mon paquet appétissant. Il est vrai qu’assis sur mon tabouret de comptoir, la position rendait ma bite très avenante. Elle se devinait parfaitement, surplombant mes deux généreux testicules. Je surpris plusieurs regards masculins se braquer sur moi, ou plutôt sur la bosse à mon bas-ventre. La situation m’amusait, car en plus, ce bar n’avait pas pour réputation d’accueillir une clientèle particulièrement gay. Mais nous savons bien que nombreux sont les hétéros, désireux d’une aventure homosexuelle, voire même, de virer carrément leur cuti... Deux de mes amis présents ce soir-là étaient dans ce cas. Ils avaient testé à une époque mon intimité, sans avoir eu à le regretter... Moi non plus d’ailleurs ! Le plus âgé, Sylvain 32 ans, était monté comme un âne. Je me souviens parfaitement de son engin que j’eus grand peine à avaler en entier, mais qui entra bien à fond dans ma grotte d’amour. Putain ce coup de bite ! Je ne suis pas prêt de l’oublier. Il s’était fait larguer par sa copine, un bon mois avant et m’avait avoué ne pas avoir eu de relation intime depuis. Sachant qu’il se posait pas mal de questions sur son orientation sexuelle, j’avais si je puis dire, sauté sur l’occasion. « Ça te videra au moins les couilles » lui avais-je dit sans aucun tact. À ma grande surprise il m’avait répondu favorablement et c’est comme ça que l’on s’était retrouvé rapidement à poil, chez lui, la queue raide comme la justice. Il m’avait défoncé pendant plus d’une heure, avant de m’inonder l’intérieur. Je ruisselais comme une fontaine après qu’il ait retiré son gros mandrin. Mon trou restait béant dans l’attente d’un autre chibre bien dur. Il avait pris soin ensuite de bien lécher les coulures, le long de mes cuisses, puis, jusqu’à mes couilles encore pleines. Ce qui m’avait surpris pour un hétéro qui vient d’avoir sa soi-disant première expérience homo. J’ai douté à l’époque et doute encore... Après son nettoyage dans les normes, je m’étais alors retourné et en quelques coups de poignet, lui avais aspergé le visage de ma semence blanchâtre. Ce fut divin. Nous en avons même un peu reparlé tout à l’heure, un petit sourire aux lèvres et avec cet œil malicieux qui en dit long sur l’intention de recommencer un de ces quatre... Pour le second, le jeune Quentin, lui, ce fut un dépucelage dans les règles, le jour de ses dix-huit ans. Il en rêvait, m’avait-il confié quelques semaines en amont. Il avait peur et ne souhaitait pas le faire avec un inconnu pour sa première fois. « Toi je te connais depuis longtemps », m’avait-il dit sur un ton mielleux. Alors moi, pensez donc, pour rendre service à un ami, qu’est-ce que je ne ferais pas... J’avais commencé doucement. Embrassades, caresses sensuelles et effeuillage du jeunot. Une fois à poil et parfaitement détendu, mais bien tendu de la queue, je l’avais léché de la tête aux pieds. Je me souviens de sa tige qui sursautait lorsque ma langue passait sur les zones érogènes. À un moment, j’ai même cru qu’il allait gicler tout son jus tant il était excité. J’avais calmé le jeu en me blottissant contre lui et en l’embrassant tendrement pour l’apaiser un peu. Pour un puceau, il embrassait bien. Sa langue entourait la mienne avec beaucoup de sensualité et notre échange de salive était prodigieusement excitant. En fait, plutôt que de le calmer, nos embrassades n'ont fait que décupler son excitation. Je m’en suis rendu compte par ses gémissements accentués et son souffle qui s’accélérait comme celui d’un coureur de cent mètres approchant de la ligne d’arrivée. D’un regard rapide vers sa bite, je vis qu’elle perlait abondamment d’un pré-sperme annonciateur. Direct je me suis jeté sur la friandise. À peine en bouche que les premiers jets m’inondèrent le fond de gorge. Je n’arrêtais pas de recevoir sa précieuse semence. On l’aurait dit intarissable. Ne pouvant pas avaler assez vite, son jus s’échappait de ma bouche par la commissure de mes lèvres. Je rattrapais le sperme chaud d’une main malhabile et lui barbouillais le visage avec. Pour finir, je lui roulai une méga pelle en laissant couler son foutre de ma bouche à la sienne. Apparemment, il aima et se délecta de sa sauce jusqu’à plus soif. Ma queue demandant sa récompense, je pris l’envie de lui enfoncer dans son petit trou vierge. Enfin pas si vierge que cela, car il m’avait avoué s’être acheté un jouet vibrant pour se déflorer. « Le passage sera fait, tu pourras mieux me baiser... » m’avait-il confié. Comme il était un peu dans les vapes après s’être bien vidé les couilles, je passai un moment à le dorloter, le caresser, tout en dirigeant de plus en plus mes mains vers ses jolies petites fesses. Un doigt s’insinua dans sa raie sans poils. Sa transpiration me facilita le travail et me permit de glisser jusqu’à son anus facilement. J’entrepris de lui ouvrir doucement sa coupole anale. Il émit quelques gémissements, genre de miaulements plaintifs qui m’existèrent au plus haut point. Ma queue était tendue au maximum dans mon pantalon. Je n’avais encore enlevé aucun de mes vêtements, alors j’entrepris de me déshabiller en même temps que je le caressais. La tâche ne fut pas des plus faciles, car je ne voulais pas relâcher mon attention et mes attouchements sur son joli petit cul. Après quelques acrobaties savamment orchestrées, je me retrouvai enfin entièrement nu et prêt à honorer copieusement mais en douceur mon minet du jour. Je plongeai littéralement entre ses cuisses, le relevant pour me faciliter l’accès à sa rondelle. Je fis enfin face à sa petite rosette, toute brillante et appétissante comme une jolie friandise. À peine ma langue posée dessus qu’il repartit dans de longues plaintes sensuelles. Je léchai de plus en plus frénétiquement, bavant, insistant avec ma langue qui entra de plus en plus facilement dans son petit trou. Jugeant le terrain suffisamment préparé, je posai un doigt sur sa rondelle accueillante. Une petite poussée et hop, la pénétration se fit sans problème et sans douleur. Bien au contraire, mon gourmand en redemandait. D’un je passai à deux doigts et commençai un pilonnage dans les règles de l’art. Fouillant et tournant dans sa grotte qui s’élargissait de plus en plus, mon désir était aussi grandissant que le sien. Des gémissements, on était passé aux râles de plaisir intense. Je rapprochai alors son bassin de mon bas-ventre et lui titillai l’anus avec mon gland rouge-violet. Doucement je poussai ma queue dans son couloir à plaisir. Mon bout disparut rapidement, lui arrachant un petit cri qu’il suivit d’un « oh oui vas-y » et qui m’encouragea à le pénétrer plus profondément. Au bout de quelques secondes, mes dix-huit centimètres étaient entièrement en lui. Je me bloquai au fond, le laissant s’habituer à mon sexe, puis, j’entamai un va-et-vient méthodique qui lui arracha rapidement d’autres plaintes jouissives. Tellement excité par ce petit cul tout neuf que je pénétrais maintenant de façon frénétique, je ne pus retenir mon éjaculation plus longtemps. Je me vidai littéralement les couilles dans son antre, en poussant de longues plaintes qui se mêlèrent aux siennes. Je restai dans mon jus, bien au chaud, dans cette petite « chatte » bien dépucelée, jusqu’à ce que ma queue ramollisse complètement. Une fois retiré, je repris son trou en bouche. Ma langue n’eut aucun mal à entrer sur plusieurs centimètres et récupéra ma semence qu’il expulsait par poussées. Délicieuse jute crémeuse que j’avalai goulument...

En repensant à tout ça, tout en arpentant la première volée de marches de la montée de la Grange-Neuve, je m’aperçus que ma bite s’était raidie dans mon pantalon de toile. L’effet était assez sympa. Enserrée, elle frottait sur le lin et particulièrement sur la couture intérieure au niveau de la braguette. C’était jouissif. J’eus soudain l’envie de me branler et d’expulser le foutre que je sentais monter de mes couilles. À cette heure-ci, l’endroit était désert et j’avais peu de chance de me faire repérer. Mes pensées perverses plus l’alcool me mettaient dans une situation d’excitation rarement connue auparavant. Plus je montais, plus ma queue durcissait. Premier palier, je ne tiens plus. Je sais qu’un petit renfoncement permet d’échapper au regard des passants. Encore quatre ou cinq marches et je vais pouvoir me branler rapidement pour me vider et retrouver l’apaisement. À peine mon pied sur le palier, mon regard se dirige sur le recoin et, oh ! stupeur, l’endroit est déjà occupé... Deux mecs sont enlacés, bouche contre bouche et mains très baladeuses. Nous nous découvrons en même temps... Sans être gênés le moins du monde leur regard se braque sur moi. En une fraction de seconde, leurs yeux m’ont mitraillé de haut en bas, et bien sûr, se sont bloqués sur ma queue gonflée qui déforme mon pantalon. « C’est nous la cause de ton excitation ? » Questionne l’un d’eux. « Non, je viens seulement de vous voir », répondis-je du tac au tac. « Approche, à trois c’est bien aussi ». Tellement excité que je ne me pose pas plus de questions. Je fonce dans le tas et attrape la première bouche en me plaquant à leurs deux corps. Je les regarde plus en détail. Ils sont jeunes, la vingtaine, pas plus. Un plus grand que l’autre, mais tous deux craquants à souhait. J’ai du mal à distinguer la couleur des cheveux et des yeux, mais qu’importe. Nos lèvres, nos langues se mêlent et nos salives commencent à s’échanger. Mes mains caresses palpent en tous sens. Visage, dos, torse, fesses et entre-jambes sont explorés sans exception. Je bloque une main sur une queue gonflée qui de toute évidence est de belle taille. Putain je vais jouir dans mon futal tellement je suis survolté par cette situation. Je m’accroupis, trop envie de sucer ces deux bites. Ils me laissent faire et continuent à se caresser et à s’embrasser à pleine bouche. Mains plaquées sur les bosses de leur pantalon, je découvre leur virilité. Une queue semble plus épaisse que l’autre. Ils triquent tous les deux comme des malades. Je dégrafe un premier pantalon et le baisse à la hâte. Un mini-slip moule un mandrin superbe. Une paire de grosses couilles enfle juste au-dessous. Le tissu est taché au niveau du gland. C’est clair, le mec est super excité. Je frotte ma bouche gourmande sur cette belle friandise humide. Ne tenant plus, tout en caressant l’autre chibre toujours enfermé dans un jean moulant, je baisse le mini-slip pour libérer la superbe queue circoncise et baveuse à souhait. Je l’embouche d’un coup. Gorge profonde directe et va-et-vient frénétique. Ça gémit, et en redemande des deux côtés. Je suce et bave copieusement sur le gros membre que j’estime à vingt centimètres de long pour un diamètre plus que conséquent. L’autre sort lui-même sa queue par la braguette à boutons. Me voilà alternant mes pipes endiablées d’un chibre à l’autre. Le second est quasi aussi long mais moins gros et non circoncis. J’adore justement faire aller et venir le prépuce sur son gland, enserré par mes lèvres. Puis, je le serre plus fort encore et le fais glisser le plus loin possible sur sa tige luisante par ma salive. Je sais par expérience, que cette technique, à la limite du supportable, est toutefois extrêmement jouissive. D’ailleurs, preuve en est, c’est cette bite quelque peu malmenée par ma bouche, qui libère en premier son doux sirop crémeux. Pas moins de quatre jets m’inondent la bouche. J’avale le précieux nectar avec gourmandise. La seconde tressaute dans ma main droite. Je la reprends de justesse avant qu’elle ne crache son venin par saccades incontrôlables. C’est divin, inespéré d’avoir dégusté tout ce jus, tout ce foutre généreux. Quelle soirée ! Je continue mes sucettes improvisées, alors que mes deux amants mystérieux se sont adossés au mur, repus après ce vide-couilles inattendu. Doucement, je me relève pour aller retrouver tour à tour leurs lèvres chaudes. En un ballet sensuel, ce sont quatre mains qui viennent virevolter sur mes parties intimes. Ma queue et mes bourses sont délicatement palpées et savamment caressées, à tel point que je ne peux retenir ma jouissance. J’inonde mon pantalon d’un sperme chaud et abondant, que mes deux masseurs s’appliquent à étaler sur mon bas-ventre malgré la barrière du tissu de lin. Mon pantalon est inondé de ma semence qui filtre à travers les mailles de la toile. L’un des deux jeunes, certainement plus gourmand que l’autre, s’agenouille et me défait le bas afin d’accéder à ma queue trempée de mon jus gluant. Sa langue me lèche en tous sens, récoltant au mieux ma crème odorante pour s’en délecter. Durant de longues minutes, je sens sa bouche s’affairer dans chaque recoin de mon intimité. C’est tellement excitant, que je commence déjà à retrouver un début d’érection. Et rapidement ce sont deux paires de mains qui me massent devant et derrière. Un doigt force mon anus qui s’ouvre aisément, m’arrachant un cri de plaisir. Me voilà pénétré par trois désormais qui s’activent dans mon boyau dilaté, tandis qu’une bouche s’occupe de ma queue définitivement redevenue raide. Je veux me faire prendre, je le dis, je l’exprime. Je suis alors retourné, en appui contre le mur, je me cambre au maximum et m’écarte pour faciliter la future pénétration. Mais c’est d’abord une langue qui vient forcer mon trou gourmand. Je le sens soudainement baveux à souhait. Quel pied ! Ces mecs sont vraiment doués pour le cul malgré leur jeune âge. Cette fois, un gros gland bute sur ma rondelle, je pousse pour m’ouvrir et avale la friandise qui me possède doucement, en coulissant jusqu’au fond de ma grotte affamée. La jeunesse de mon baiseur lui a permis de reprendre la vigueur nécessaire à une bonne pénétration. Il me baise à fond, sur toute sa longueur de virilité. Sa grosse queue me défonce merveilleusement bien le cul. C’est divin. J’ai une vraie jouissance anale. Je l’aide à m’enfiler encore et encore en redoublant mes coups de bassin avant-arrière. Mes jambes tremblent tellement je jouis par cette défonce. Mon baiseur se libère pour la seconde fois, mais là, au plus profond de mon trou. C’est tellement bon que moi aussi, je jouis à mon tour dans la bouche de son copain. Certes, moins copieusement, une vingtaine d’année doit nous séparer... Mon suceur est en pleine forme lui aussi. Surtout ne pas le laisser sur sa fin. Je m’empresse de l’avaler, retrouvant le gout de son sperme de tout à l’heure. C’est lui qui donne le ton. Il me baise carrément la bouche en prenant ma tête à deux mains pour faire coulisser sa bite entre mes lèvres serrées au maximum. Je veux qu’il force ma bouche, comme s’il baisait un petit cul au trou bien serré, jamais dépucelé. Apparemment, ma technique fait son effet, car il râle de plaisir et finit par me juter deux bonnes rasades de sperme chaud. Je le garde en bouche pour ne pas perdre la moindre goutte de son nectar sucré salé.

Quelle baise, je m’en souviendrai du pot de la promotion de mon copain...

Panpanpetitlapin

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