Depuis plusieurs jours, des bruits de pelleteuses et autres engins de terrassement accompagnent mon quotidien. Mon plus proche voisin est semble-t-il en pleine transformation de son terrain et espaces verts de sa propriété. Moi qui en ces premiers jours de beau temps, souhaite profiter tranquillement des rayons du soleil, me voilà dans l’obligation de me confiner à l’intérieur pour ne pas supporter un tel vacarme. Mais cet après-midi, l’appel du farniente façon lézard est trop fort et je me décide quand même à m’accorder quelques instant de bronzette malgré le tumulte avoisinant. Je vais m’installer à l’écart, à l’extrémité de mon jardin, et délaisser pour une fois, la grande terrasse plein sud, où habituellement je me fais dorer la pilule… Je choisis un endroit où se mêle arbrisseaux, rosiers buissons et herbe tendre. Cela me permettra d’alterner entre plein soleil et fraîcheur ombragée. Même si aucun réel brise-vue n’est installé, comme c’est le cas sur ma terrasse, l’endroit reste discret et à l’abri des regards.Curieusement, c’est la seule partie où nos deux propriétés, celle de mon voisin et la mienne, ne sont pas séparées par un grillage. On ne sait pourquoi, les anciens propriétaires n’ont pas jugés bon de clôturer cet endroit, laissant champ libre à une petite haie sauvage de délimiter les deux parcelles. Personnes ne s’en plaint, et, cela permet même au Labrador de mon voisin, de me rendre à loisir une aimable petite visite de courtoisie…
Ma serviette étalée sur l’herbe, tranquillement je commence à me dévêtir. Dans mon plus simple appareil, je m’allonge alors sur le ventre et commence à feuilleter un magazine de déco contemporaine. Au bout de quelques minutes, un craquement de branchage me sort de ma lecture. Je distingue alors la silhouette d’un inconnu à travers le buisson-frontière encore peu feuillu. En regardant plus attentivement, je m’aperçois alors, qu’il s’agit de l’un des ouvriers du chantier. L’homme en fait, s’est mis à l’écart de tous regards, du moins le pensait-il, afin de satisfaire un besoin naturel. Je suis amusé par la situation. Me voilà en position de voyeur involontaire. Si je suis parfaitement invisible de là où je suis, j’ai par contre une vue plongeante sur l’anatomie de l’ouvrier. Je ne me prive pas pour me rincer l’œil… Après quelques minutes de tranquillité, alors que je m’étais à nouveau plonger dans ma revue, c’est au tour d’un autre ouvrier de venir se soulager au même endroit. Ça devient vraiment cocasse ! Tiens ! celui là est mieux monté que le précédent, me dis-je intérieurement. Si ça continue, je vais pouvoir jauger toutes les bites de ces terrassiers-jardiniers…
Mais non, tout est redevenu calme et le soleil commence à me cuire sérieusement la peau. Par précaution je décide de regagner un coin d’ombre, plus près des arbres. Abandonnant ma lecture, je m’allonge cette fois sur le dos et ferme les yeux. Bercé par le chant des mésanges printanières, je plonge dans un demi sommeil. Une légère brise m’enveloppe le corps, calmant de ce fait les effets de la chaleur qui m’avait envahi il y a peu. Soudain je sursaute. Un bruit me tire du sommeil léger dans lequel j’avais sombré. Là, devant moi, à quelques mètres, un jeune homme me scrute à travers le buisson. Se voyant découvert, dans un mouvement de recul, il se confond immédiatement en excuses…
- « Pardon monsieur, je, je ne voulais pas vous effrayer, mais je, je… enfin je… »
- « Je, je quoi ? Tu te rinçais l’œil en fait. C’est ça dis-le, tu me matais ! »
Je n’ai même pas le réflexe de cacher ma nudité. En fait, c’est lui le plus gêné, car ‘pris la main dans le pot de confiture’ comme on dit, il ne peut nier l’évidence. J’avoue profiter un peu de la situation en jouant les donneurs de leçon.
- « Alors reconnais-le, tu te rinçais l’œil, c’est bien ça ? »
Le jeune homme est rouge comme une pivoine. Il ne doit pas avoir beaucoup plus de 18 ans et se trouve vraiment embarrassé. Mais, curieusement, il reste planté là, à quatre pattes, moitié dans la haie, moitié dans ma propriété, alors que d’autres à sa place auraient déjà détallés sans demander leur reste.
- « Sincèrement monsieur, je ne voulais pas vous déranger, mais… Oui, je le reconnais, j’avais plaisir à vous regarder dormir »
- « Ah oui, tiens donc ! T’es gay ? »
- « Euh… Non. Enfin je ne sais pas »
Sa réponse me fit éclater de rire. Honteux, il baisse la tête.
- « Comment ça tu ne sais pas, t’es gay ou t’es pas gay ? »
- « En fait je n’ai couché qu’une fois avec une fille et je n’ai pas trouvé ça au top. Mais lorsque je mate un film de cul, je suis plus excité par les mecs à poil que par les meufs… Mais je n’ai pas essayé avec un mec, alors, je ne peux pas dire si… »
- « Ok, ok. J’ai compris, t’es un puceau qui se cherche, c’est ça en fait ? »
- « Euh, ben oui, ça doit être un peu ça je crois » Avoua-t-il timidement.
Sincèrement, la naïveté et l’embarras du gamin m’émeuvent. Je me souviens qu’à son âge, j’éprouvais la même gêne. Avoir une attirance sexuelle et savoir qu’elle est réprouvée par une majorité de bien-pensants n’est pas des plus simples à gérer pour un ado ou un jeune adulte. C’est assez compliqué, il faut choisir entre, assumer et s’attirer les foudres des moralistes à la con, ou rentrer dans le rang et vivre dans le refoulement de ses pulsions. D’ailleurs, beaucoup d’homophobes sont issus de cette deuxième catégorie. Une sorte de vengeance pour eux, faire du mal à ceux qu’ils auraient aimer être… La nature humaine est quand même complexe !
Alors pour cette raison et aussi parce qu’il me plait, je décide d’aider mon jeune éphèbe à faire son choix : Coucher avec moi ou retourner dans son ‘monde d’hétéros’.
- « Approche s’il te plaît. Viens, n’ai pas peur, je ne vais pas te manger »
Lentement il sort de sa tanière et se redresse. Pas mal me dis-je. Environ 1M80, mince, un visage angélique avec de long cheveux blonds légèrement bouclés. Une belle gueule d’amour !
D’un pas hésitant, il s’avance jusqu’à ma hauteur. Entre temps, je me suis assis en essayant de cacher un peu mon sexe qui a commencé à grossir malgré moi. Il faut bien avouer que face à un tel évènement inattendu, il y a de quoi ressentir une certaine excitation. Enfin du moins pour quelqu’un qui comme moi, n’est pas indifférent à ses congénères…
Son teeshirt porte quelques auréoles de transpiration et son short moulant montre quant à lui, que cette situation ne le laisse pas non plus désintéressé.
Arrivé à ma portée, sans prévenir, je lui plaque une main sur son ‘paquet’. Il a juste un mouvement de surprise mais ne recule pas franchement. Première étape OK ! Encouragé par sa réaction positive, je lui caresse la queue de haut en bas. L’effet est immédiat, l’engin devient dur comme du bois en quelques secondes. Il a fermé les yeux et se laisse faire bien sagement. Sans plus attendre je glisse ma main dans son short pour me saisir de sa virilité qui me semble au-delà des 20 centimètres de long. Il se met à gémir. Ses jambes tremblent et un « oh oui » ponctue chaque va-et-vient sur sa tige durcie à l’extrême. Dans la foulée je baisse son short puis son slip, pour me régaler de sa friandise. À peine en bouche, il a cette fois une réticence…
- « Attendez, mon patron, il pourrait nous surprendre… C’est un pote à mon oncle, il m’a pris 1 mois pour me permettre de payer mes études. Alors je n’voudrais pas qu’il me surprenne en train de baiser avec un mec, enfin tu compr… Je veux dire vous comprenez… »
- « Mais oui t’inquiète donc pas, je comprends bien sûr. Et puis tu peux me tutoyer, je viens de commencer à te sucer la bite, alors côté intimité, je crois qu’on a franchi une étape… »
Ma dernière phrase le fait sourire et il me suit gentiment, bite à l’air, jusqu’à l’intérieur. Je fais coulisser la baie vitrée du sous-sol et à peine entré, je reprends de plus belle, là où j’en suis resté… Sa queue est délicieuse, une légère odeur de transpiration émane de sa fine toison blonde et m’excite au plus haut point. Ma bite est dressée dans un garde-à-vous impressionnant, voire même douloureux. Je suçote son gland, l’entoure de ma langue puis engouffre sa tige d’un seul coup au risque de m’étouffer. Il est vraiment monté comme un âne. Pas au niveau circonférence, mais plutôt côté longueur… Mes mains ne restent pas inactives pour autant. Je palpe son petit cul, que je rêve de lui bouffer, plote ses couilles bien rondes et durcies de plaisir, et masturbe sa queue au maximum du supportable. Je le sens soudain se contracter et gémir plus fort. Sa jouissance est proche et je veux boire sa liqueur jusqu’à la lie. Surtout ne pas en perdre une seule goutte. Il a beau me dire « attend je vais jouir… » je ne lâche pas pour autant ma prise en bouche. Bien au contraire, j’accélère ma succion ce qui a pour conséquence de le faire cracher sa semence au fond de ma gorge. À entendre ses râles et ses « ah putain qu’c’est bon ! » mon plaisir est décuplé. Ce n’est pas moins de 5 jets de bon jus qui me remplissent la bouche. Je continue à le sucer jusqu’à ce que sa bite débande totalement. Je me redresse alors pour l’embrasser goulument et partager avec lui le fruit de sa jouissance. J’allais lui demander si cela lui avait plu, lorsque je vis son regard effaré, fixer la baie vitrée qui est dans mon dos. En tournant la tête, je comprends immédiatement la raison de son angoisse… Son patron nous regarde fixement !
- « Eh ben tu t’embêtes pas mon Ludo ! »
Ludo ? Tiens c’est vrai, je ne lui ai même pas demandé son prénom…
- « Attendez, je vais vous expliquer… » Lançai-je bêtement pour essayer de sauver la situation.
- « Expliquer quoi ? Que tu viens de sucer un de mes ouvriers alors qu’il est censé bosser ! Et encore, t’as du pot mon gars, il est majeur depuis seulement 1 mois… »
Oh putain, ça ne sent vraiment pas bon cette histoire, me dis-je au fond de moi.
Mais soudain, l’inattendu arriva. Alors que Ludo reste complètement tétanisé, nouille pendante avec encore une goutte de sperme qui perle au bout, la brute de patron s’avance vers moi, sourire narquois au coin des lèvres et main droite sur le paquet.
- « T’as l’air d’aimer la bite toi ? Qu’est-ce que tu dirais de celle-là ? »
Joignant le geste à la parole, il dégaine son engin qui est d’une taille très appréciable. Moins long que celui de mon blondinet mais plus large et avec un gland énorme et luisant.
Si cela peut sauver la situation et procurer un peu de plaisir à tout le monde, pourquoi refuserai-je ? J’ai toujours aimé rendre service, c’est dans ma nature…
Arrivé à ma hauteur, d’une main ferme, le boss me fait agenouiller et m’enfonce d’un coup sa bite dans la bouche. La mâchoire me fait mal tant le diamètre de son manche est imposant. Je dois bien me débrouiller quand même, à l’entendre gémir par moment. Au bout de quelques minutes dans cette position, je jette un coup d’œil sur le côté pour voir ce que fait Ludo. Le petit salaud s’est bien remis de ses émotions. Il reluque la scène avec beaucoup d’intérêt tout en s’astiquant la queue qui a repris une belle raideur. L’autre continue ses va-et-vient dans ma bouche en grognant tel un porc. Soudain il se retire et me lance sans détour :
- « Tourne-toi, j’ai envie de te baiser ! »
Et moi si je n’ai pas envie, ça t’indiffère connard… Ai-je envie de lui répondre. Mais comme la situation n’est pas spécialement à mon avantage et que prendre un bon coup de bite ne me dérange pas plus que ça, je m’exécute en faisant volte-face. Appuyé sur le rebord d’un buffet deux portes qui fait office de bar, je lui offre alors ma croupe tendue. J’écarte bien les jambes, cambre le dos et tourne la tête en lui demandant de disposer de mon petit trou…
- « Vas-y, fais-moi du bien avec ton gros bazouka mon p’tit chéri ! »
Il ne se fit pas prier… Il attrape la capote que je lui tends, l’enfile maladroitement et se baisse jusqu’à mon cul rebondit et largement offert. Sa langue ne tarde pas à me titiller l’œilleton, léchant, tournant sur ma rondelle tout en la salivant en abondance. Je bande comme jamais, tant son cunnilingus anal m’excite. Plus crument, je dois avouer qu’on m’a rarement bouffé le cul de la sorte ! Une fois bien préparé, ‘huilé’ à souhait, il se redresse et m’introduit son majeur d’un seul coup. Il enchaine alors un va-et-vient brutal. Je sursaute mais cela ne l’empêche pas de continuer à me fouiller de son doigt épais et noueux. Il ajoute bientôt un deuxième puis un troisième doigt. Pour le coup, je suis vraiment dilaté et prêt à prendre son mandrin jusqu’à la garde. Ce qu’il fait dans la foulée. Son gros gland force le passage. C’est un peu douloureux, malgré ma poussée d’accompagnement pour l’aider à mieux entrer. Une fois la barrière de mon sphincter passée sa grosse queue s’introduit plus facilement. Sans attendre plus longtemps, il se met à me labourer le fion à grand renfort de grognements de satisfaction et de grossièretés du genre « tu la sens bien ma grosse bite » ou « t’aime ça ma salope, t’aime bien te faire défoncer hein… » Je dois reconnaitre que mon excitation est au paroxysme. L’inattendu, la tournure qu’a pris cet après-midi de baise ne peuvent pas me laisser indifférent…
Quant à Ludo, je vois bien que lui aussi est aux anges. C’est mieux qu’un porno ! Là, il est voyeur et acteur en même temps. D’ailleurs, il prend soudain l’initiative de me frotter sa queue raide comme un bambou, sur le côté du visage, tout en l’astiquant frénétiquement de sa main droite. Sans plus attendre je tourne la tête et engouffre sa tige rougie de désir. Elle a encore le goût de sa liqueur. Mes deux trous sont occupés ! Quel bonheur…
Mon baiseur me lamine toujours la rondelle avec élan. Sa queue entre et sort sans ménagement, me défonçant à tel point que je ne peux m’empêcher de geindre bruyamment de plaisir. Puis, je sens son sexe se contracter en moi, et, dans un feule digne d’un lion en rut, il jouit en s’enfonçant au plus profond de mon antre. Dommage que le préservatif m’empêche de sentir ses giclées de sperme… Il se retire aussi brutalement qu’il est entré. C’est clair qu’il ne fait pas dans la délicatesse. De toutes façons, ça va bien avec le personnage… Grossier et imbu de sa personne. Qu’importe, il m’a fait du bien et ça m’a permis de sauver la mise avec Ludo…
Ludo justement, il profite alors que mon cul vient de se libérer pour m’enfiler à son tour. Il apprend vite le petit… Il m’introduit sans capote qui plus est ! Je le laisse faire me disant qu’il doit être sain au regard de son jeune âge et surtout de son inexpérience. Mais ce n’est quand même pas raisonnable de ma part… Sa queue est entrée avec une grande facilité étant donné la dilatation de mon anus. Elle me procure un autre plaisir que celle de son boss, car, étant plus longue, elle m’offre un massage de prostate des plus agréables. Malheureusement c’est de courte durée, excité comme pas deux, il ne tarde pas à m’inonder la grotte. Deux giclées, moins violentes que précédemment, mais que je sens bien au fond de moi. Sans se retirer, il s’affaisse sur mon dos tout en m’embrassant tendrement. Ce gamin est incroyable, me dis-je en moi-même. Remarquant ma bite tendue, il l’empoigne et commence une masturbation douce mais soutenue. Au bout de quelques va-et-vient je pousse un râle de soulagement et décharge ma semence dans la paume de sa main, qu’il a pris soin de positionner autour de mon gland. Je suis littéralement vidé. Ludo remonte sa précieuse récolte jusqu’à sa bouche et se délecte de mon jus. Puis, se retirant de mon cul, approche ses lèvres des miennes pour m’embrasser goulument et m’offre un restant de mon sperme, en enveloppant sa langue autour de la mienne. Son patron nous regarde faire d’un regard dubitatif… Ce n’est certainement pas ce gros macho qui aurait fait ça !
Durant tous les jours qui ont suivis, jusqu’à la fin des travaux, Ludo est venu me rendre visite. À chaque fois, nous avons fait l’amour passionnément et je l’ai même initié à la sodomie. Par la suite, ses passages à la maison se sont fait plus rares. Un jour, il m’a simplement envoyé un SMS pour me dire qu’il venait de rencontrer un garçon de son âge et qu’il filait avec lui le parfait amour. Sans m’en écrire plus, j’ai compris tout de suite que je ne reverrais plus mon jeune blondinet… Ainsi est la vie et à chacun sa route ! Mais de toutes façons, le plaisir pris avec ce bel éphèbe restera pour moi inoubliable. D’ailleurs, à la simple écriture de ces quelques phrases, je sens ma virilité prendre de la vigueur, alors veuillez m’excuser, mais je dois vous laisser… jusqu'à la prochaine fois, bien sûr !
Panpanpetitlapin
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