Sur les trois stagiaires qui ont intégré mon équipe ces dernières semaines, seul le jeune Mathieu semble concerné par l’activité. On sent bien que les deux autres sont là, contraints et forcés par leur école de commerce, de passer trois mois en entreprise… Ça promet pour la suite.
Pour revenir à Mathieu, en plus de son assiduité au travail, il a un je ne sais quoi de séduisant et parfois, ses regards à mon encontre paraissent en dire long. Je me fais peut-être un film, car rien ne permet d’affirmer qu’il soit gay, mais en tous cas, cela ne m’étonnerait pas…
Le temps a passé, et aujourd’hui sonne la fin du stage de mes trois jeunes gens. Si je n’ai pas de regret à en voir partir deux, le troisième, le bien nommé Mathieu va me manquer un peu. Ils ont décidé de marquer leur départ par un pot réunissant l’ensemble de l’équipe. Pot sans alcool comme le veut l’entreprise.
Au bout d’une heure, Mathieu qui ne m’a pratiquement pas quitté d’une semelle me fait une proposition à laquelle je ne m’attendais pas…
- « Si vous le souhaitez, nous pourrions aller manger un bout ensemble ce soir… Qu’en dites-vous ? »
Je trouve l’idée très sympa et accepte immédiatement, en précisant que c’est moi qui l’invite pour ‘services rendus’ à l’entreprise !
Le bar à Tapas où Mathieu a souhaité que nous allions est très animé, essentiellement fréquenté par des jeunes de son âge. Je ne sais plus où donner de la tête tant ces corps d’une fraicheur insolente me font fantasmer. La soirée se prolonge par plusieurs tournées de Téquila au comptoir, avec quelques amis de Mathieu. Nous sommes passés tout naturellement au tutoiement et à : « appelle-moi Mat, tous mes amis me nomment ainsi »… Nos discutions sont désormais très éloignées des techniques de vente et plus orientées, loisirs, fêtes, alcool et… Sexe ! Il ne se dit pas homosexuel, et m’explique que c’est assez compliqué dans sa tête. Qu’il a eu une expérience ou deux avec des mecs, qu’il a aimé, mais se cherche encore. Côté filles, le peu de fois furent ni bien ni mal… De mon côté je suis direct en lui avouant être gay. À ma grande surprise, il me répond qu’il le savait, comme l’ensemble des équipes… Après tout, ça m’indiffère tant que mes collaborateurs me respectent. Il enchaine…
- « Franchement, c’est un mec, qui pour l’instant m’a le mieux sucé la bite. En plus, il a bu mon jus en m’enfonçant deux doigt dans le cul et c’était incroyable… Les gonzesses, même pas en rêve d’avaler ma crème. Du moins, pas celles que j’ai pratiquées… »
Ses courtes explications me font bander et je m’imagine déjà en train de lui lécher sa tige bien raide et de le sentir me gicler dans la bouche… Sans lui donner plus de précision, et afin de voir s’il a vraiment encore besoin de se ‘chercher’, pour reprendre son expression, je lui propose d’aller terminer la soirée dans une boite que je connais particulièrement bien, ‘La Galerie’…
- « C’est quoi cette ‘Galerie’ ? »
- « Tu verras, c’est sympa et assez atypique… »
Je n’ai pas trouvé d’autre mot que ‘atypique’ pour lui décrire l’endroit, et surtout, pour ne pas l’effrayer par avance… Si je lui avais dit « c’est une boite où les mecs s’enculent dans tous les coins » je ne sais pas s’il aurait été partant… Quoique, vu sa réflexion sur le mec qui l’a sucé et doigté, on peut douter !
À peine entrer qu’Alexia, la maîtresse des lieux, me saute au coup et me roule une grosse pelle baveuse… Tout ce que je déteste ! Du moins à froid, sans une véritable excitation préalable…
- « Merde mon chéri, c’est ton nouveau mec ? »
Côté discrétion on fait mieux… Je lui explique sous le regard inquiet de Mat, qu’il s’agit d’un ami avec qui nous fêtons sa fin de stage dans mon entreprise. Je n’ai même pas le temps de terminer mes explications qu’elle saute littéralement sur mon jeunot et lui colle un smack de sa spécialité. Rouge comme une pivoine il bafouille un « bonsoir madame » qui fait aussitôt réagir la patronne…
- « Madame, Madame ? Si tu voyais le morceau que j’ai entre les jambes tu ne dirais pas Madame mon p’tit chéri ! »
Mathieu se confond en excuses et est encore plus rouge que le rideau de velours qui sépare le hall de la salle principale. La réaction ne se fait pas attendre et Alexia éclate de rire…
- « Mais non mon puceau d’amour, je déconne… Y’a longtemps qu’j’ai fait sauter le ‘service trois pièces’ ! Je suis une vraie femme maintenant… Tu veux voir ? »
Je réalise que Mat est un peu paumé, mais, on le serait à moins avec une telle entrée en matière. Souhaitant couper cours à l’exubérance d’Alexia, j’entraine Mat à l’intérieur de la grande salle. Il y a déjà pas mal de monde malgré l’heure peu tardive de la soirée. Quelques femmes se mêlent à la majorité d’hommes. Nous nous installons au comptoir afin d’avoir une meilleure vue d’ensemble.
- « Téquila Mat ? »
- « Ouais ! Au point où on en est… »
En effet, ce doit être la sixième tournées, sans compter le vin à table. Mais il a l’air d’encaisser. Je ne veux surtout pas le rendre malade et je crois que l’on s’arrêtera là côté boisson. Surtout si je veux le voir à l’œuvre, sexuellement parlant…
- « Viens avec moi Mat… Je vais te montrer pourquoi ce lieu s’appelle la ‘Galerie’… »
J’entraine mon jeune ami en fond de salle, en direction d’une porte dérobée devant laquelle se trouve José, le videur de la boîte, qui, lorsqu’il n’est pas à l’entrée principale, sélectionne qui peut et qui ne peut pas accéder à cet endroit assez privilégié. Il me salue par deux bises et fait de même pour Mat. José n’a rien de la ‘folle’ délurée, bien au contraire… Plus de 100 kg pour 1M90 et des mains larges comme des plats à tartes. Pourtant, gay comme pas deux et archi passif qui plus est ! Dommage, car je l’ai vu en action, il est équipé à la hauteur de sa musculature mais ne se serre absolument pas de son engin XXL… Sauf pour gicler en fin de jeu sur son ou ses partenaires qui lui ont volontiers labourés le fion pour son plus grand plaisir… Et le leur ! La porte s’ouvre sur un large couloir à la lumière très tamisée, donnant de ce fait une ambiance assez particulière. Avant de s’habituer à cette semi pénombre, il faut bien une bonne minute. Petit à petit nous découvrons Mat et moi, quelques couples enlacés tendrement. Habillés, à moitié dévêtus ou complètement nus. Je surveille mon jeune ami, observant sa réaction et restant prêt à intervenir en cas de problème. Apparemment tout se passe bien. Il s’attarde même près d’un duo, dont l’un, agenouillé devant son ami, suce généreusement la queue tendue et de belle taille qui lui est offerte. Mat ne perd pas une miette de cette savoureuse fellation, qui doit lui rappeler celle dont il m’a parlé lors du repas. C’est bon signe ! Avançant un peu plus loin, frôlant quelques corps dénudés, caressant furtivement au passage, nous arrivons cette fois face à la ‘cage aux fauves’… Ainsi nommée car ressemblant à celle des parcs zoologiques, avec de gros barreaux en fer. Pour l’heure, elle n’est pas occupée par des lions ou autres tigres, mais par trois hommes apparemment en parfaite harmonie. Le plus jeune, entièrement nu, est à quatre pattes sur une table matelassée. À bonne hauteur, cul bien relevé, cuisses écartées et chevilles sanglées pour ne pas déraper, il se fait copieusement limer par un type à la bite hors norme. Le jeune pousse de longs gémissements, ce qui est très compréhensible au regard du pieux qui lui défonce le cul. Quant au troisième larron, il se fait sucer par le sodomisé qu’il branle à grand va-et-vient. Ce nouveau spectacle émoustille clairement mon jeune Mat. Habitué désormais à la pénombre du lieu, je distingue très nettement une bosse sévère à son entre-jambes. Il en va de même pour moi, je bande au maximum. Le trio est sur la fin, la grosse bite se retire du fion dilaté, la capote est prestement enlevée et de longues giclées de sperme inondent les fesses du minet. Une franche dégoulinade de foutre, glisse lentement de son sillon fessier à sa cuisse gauche. Sa queue est secouée soudain de soubresauts révélateurs et expulse à son tour une semence crémeuse et blanchâtre. Quant au dernier, c’est bien en fond de gorge de son suceur, qu’il se vide les couilles dans un puissant râle qui ne laisse aucun doute sur le degré de sa jouissance…Je surprends Mat en train de se caresser discrètement la queue à travers son pantalon. Putain ! Pourvu qu’il ne jouisse pas tout de suite… Je lui fait signe de me suivre pour faire retomber la pression et nous pénétrons dans une salle où le mur du fond est en arc de cercle. Sur toute sa longueur, on peut voir accrochés 8 tableaux grand format. Tous représentent un homme mais à différentes époques de notre histoire. Le premier fait penser à la préhistoire, le second à un gentilhomme du Moyen-âge, ensuite l’époque Renaissance, etc. jusqu’à un athlète du XXIème siècle, torse nu, en short et exhibant sa musculature. L’originalité, que l’on ne distingue pas forcément au premier coup d’œil, est que chaque tableau est percé d’un trou au niveau du sexe… Ces œuvres d’art sont en fait des Glory Hole très originaux ! Un passage, à l’arrière de ces peintures en pied, permet à qui le souhaite, de se positionner derrière un tableau et de glisser sa bite dans le trou, en attente d’une pipe ou d’une branlette par un parfait inconnu… Ceci étant tout l’intérêt et l’excitant de la chose !
Mat n’en revient pas de ce qu’il découvre…
- « Je comprends mieux pourquoi ça s’appelle la ‘Galerie’… Ça c’est vraiment génial ! »
Mon jeune ami est aux anges et je suis heureux de lui faire ce plaisir. Neuf ou dix mecs sont déjà présents dans la ‘Galerie’ et six des tableaux ont leur trou orné d’une ‘vraie’ bite. À ma grande surprise, je vois Mat se diriger comme un grand, vers un tableau représentant un Chevalier de l’Ordre des Templiers. La queue qui se dresse devant lui est assez conséquente et Mat la prend rapidement en main. Sentant ma présence dans son dos, il se retourne sans lâcher sa prise et m’adresse un doux sourire complice. Je me colle alors à lui, l’embrasse dans le cou et prenant soin de bien plaquer ma virilité contre ses fesses. Immédiatement il se tend en arrière afin de mieux sentir mon barreau prêt à exploser. Il s’incline alors et se jette littéralement, bouche grande ouverte sur la tige du ‘Chevalier’. Avec un savoir-faire qui me stupéfait, il prodigue une fellation d’enfer qui décuple mon excitation. Ma main droite se plaque sur son entre-jambes et le caresse sur toute la longueur de son sexe durcit. Je m’attaque ensuite à sa ceinture que je détache rapidement, déboutonne son pantalon qui glisse à ses pieds, et, stupéfait, je découvre que le petit coquin porte un Jockstrap noir. Ce sous-vêtement symbole de l’homosexualité, me fait penser qu’il n’est peut-être pas si novice que cela en la matière. Je plonge alors la main dans la poche du slip tendue à l’extrême, et m’empare de sa bite tant désirée. Comme de rien, il continue sa pipe généreuse qui a l’air de contenter son preux ‘Chevalier’, dont la queue luit tant elle est salivée par Mat. J’en distingue les veines gonflées et le gland violacé par le désir.
Deux hommes se rapprochent de nous, excités par cette scène torride à trois. Le premier, sur ma droite, m’interroge du regard pour savoir s’il peut participer. Je hoche la tête en signe d’approbation. Immédiatement il s’agenouille devant Mat et je lui engouffre son sexe dans la bouche. Quant au second, c’est Mat qui prend l’initiative de prendre sa virilité de sa main gauche et de le masturber savamment. Mon jeune stagiaire parait comblé et geint de plus en plus…
- « Encule-moi… Je veux te sentir dans mon cul… »
Je n’en reviens pas ! Ai-je bien entendu ? C’est bien mon petit Mathieu ex stagiaire de ma boite qui me demande cette faveur ? Il répète et en rajoute…
- « Encule-moi… Je veux te sentir dans mon cul… Et sans capote, je veux sentir ton jus au plus profond de mon cul… Allez vas-y bordel, met-moi ta queue à fond… »
Putain le con, il me rend fou.
Je m’accroupis et commence à lui écarter les fesses et à lui bouffer la rondelle… Il se cambre pour mieux laisser entrer ma langue pointue. Je lui salive son petit trou au maximum, me disant que, si aucune bite n’est jamais entrée pas là, il va falloir y aller mollo, même si le garçon est au maximum de l’excitation…D’un doigt délicat j’entrouvre un peu plus sa corolle d’amour. Il pousse, et mon doigt glisse sur toute sa longueur dans son cul. Mon amant gémit de plaisir. Je m’approche et crache pour mieux le graisser. Deux doigts le fouillent désormais pour son plus grand plaisir. Je ne tiens plus, la scène est tellement surréaliste… Mat suce et se fait sucer tout en branlant un type, et moi, bientôt je vais l’introduire et lui arracher son pucelage. Je sors ma queue et la présente à son œilleton huilé à fond. Je n’ai pas la peine de pousser, car c’est lui qui, d’un coup de rein inattendu, s’empale littéralement sur mon sexe raidit au maximum. Je suis entré en lui sans m’en rendre compte. Il râle tout en bougeant d’avant en arrière sur ma queue enserrée dans son couloir étroit et chaud. Merde, je ne vais pas tenir longtemps, il est trop bon ce petit cul vierge. Enfin, anciennement vierge… Son ‘Chevalier’ vient de lui jouir dans la bouche. Tout en le tenant par les anches, en essayant de suivre son rythme, je vois qu’il ne perd pas une goutte de la semence qui doit lui inonder la gorge. Je constate que sa glotte monte et descend, signe qu’il est en train de bien avaler la liqueur ‘chevaleresque’… Le type qu’il masturbe se lâche à son tour m’envoyant une giclée sur la jambe de pantalon et les autres au sol. Puis Mat se contracte et arrête de s’exciter sur mon manche. Dans un cri de bête en rut, il gicle sa semence sur le visage de son suceur, qui lui, n’a pas souhaité apparemment se délecter du sperme chaud de mon jeune Mat…. Dommage que je n’étais pas à sa place ! Je n’aurais certainement pas gaspiller cette bonne semence d’amour…
Je ne me retiens plus et dans un dernier va-et-vient, j’envoie une première salve chaude dans la grotte de Mat. Une seconde puis une troisième s’ensuivent. Je l’entends geindre de bonheur…- « Oui putain… Remplis-moi… Ohhh ! Oui… C’est chaud… Je sens ton jus dans mon cul… »
À peine me suis-je retiré qu’il s’agenouille pour me lécher la queue et les couilles. Les deux autres s’approchent à nouveau et Mat leur prodigue les mêmes soins. Sa langue courre des bourses au gland puis inversement. J’ai rarement vu un jeune mec aussi avide de sexe et de sperme.
D’autres hommes, qui ont suivis la scène torride de loin, viennent à leur tour se faire sucer par Mat. Ce n’est pas moins de huit types qui se branlent face à lui ou introduisent leur chibre tendu tour à tour dans la bouche du garçon. À un moment, deux queues en même temps coulissent entre les lèvres de Mat. Au bout de quelques minutes, un festival de décharges de sperme commence. Mat en avale certaines mais bon nombre des giclées lui inondent le visage, le bas du dos, les fesses, et coulent le long de ses jambes. C’est véritablement orgiaque, délirant et inouï.
- « On reviendra Boss ! » Me dit-il en se relevant tant bien que mal…
- « Que oui mon gars, que oui et le plus souvent possible... »
Panpanpetitlapin
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