Chapitre 1
Lorsque je me suis assis sur la banquette, dans cet antique wagon semblant sortir tout droit d’une autre époque, j’étais loin de me douter de ce qui allait se passer durant mon voyage. On m’avait dit : si tu vas là-bas, surtout ne manques pas de prendre le petit train qui serpente lentement à flanc de colline, pour t’amener, au bout d’une bonne heure de cahotements, grincements et sifflements divers, jusqu’à la découverte d’un panorama à couper le souffle. Comme nous étions hors saison, je me souviens parfaitement que le nombre de voyageurs dans mon wagon ne dépassait pas le nombre de cinq, plus moi, ce qui faisait donc six au total, pour la vingtaine de places assises offertes. Je m’octroyais la banquette en skivertex rouge, tout au fond, sur la droite, côté fenêtre et dans le sens de la marche. Deux rangées plus en avant, côté inverse du mien, je remarquai immédiatement un quadra à l’allure distinguée. Une petite barbe de quelques jours lui donnait un côté charmant. Cheveux soignés et vêtements de marque lui conféraient le style du parfait homme d’affaires. Son regard bleu acier me dévisagea rapidement, me rendant mal à l’aise. Pourtant, je ne pouvais baisser les yeux tant il m’hypnotisait. Il émanait de ce bellâtre, un magnétisme indéniable. Comme il semblait me détailler de haut en bas, je pris par jeu, une pose quelque peu provocante, histoire de le tester. Il faut dire que ce ne fut pas compliqué, au regard de ma tenue qui ne laissait aucun doute sur mon orientation sexuelle. Tee-shirt de la dernière marche des fiertés, short en jean extra moulant, bagues et bracelets à foison pour couronner le tout. Le paquet parfaitement moulé par mon jockstrap, j’ouvris largement les cuisses pour mettre en avant la bosse plus que visible à mon entre-jambes. Bingo, le beau mâle planta direct ses beaux yeux bleus sur mon matos. Je fis de même, bloquant mon regard sur son haut de pantalon. Ne dérivant pas d’un iota, ma main droite vint se poser sur ma queue déjà en érection. L’ensemble jock et short me serrait tellement que cela devint vite douloureux. Je n’avais qu’une envie, extirper ma bite de ce piège de tissu. Mais pour l’instant, il n’en était pas question. Ma séduction fonctionnait à merveille, mon quadra n’avait pas lâché des yeux mon service trois-pièces. Au contraire, je sentais qu’il mourrait d’envie de venir s’en occuper. Ma main droite n’avait pas cessé de monter et descendre sur ma tige gonflée. À plusieurs reprises, je fis même glisser mes doigts sous mes testicules et même plus en arrière, en direction de mon petit trou que je sentais mouiller tout naturellement. Je fermai les yeux pour me laisser encore plus aller. Je ne sais pas si la chaleur inhabituelle de cette journée de septembre y était pour quelque chose, mais je me suis retrouvé rapidement couvert de sueur. Mes tétons pointèrent comme jamais. Deux doigts de ma main gauche en pincèrent le bout de l’un puis de l’autre, m’arrachant malgré moi un gémissement qui fit retourner un jeunot assis quelques rangées plus loin. Mon quadra qui n’avait rien perdu de mon manège se leva soudain et vint s’assoir à mes côtés. J’en fus tellement surpris que je restai tétanisé sur mon siège. Il me sourit et attrapa mon blouson en cuir que j’avais déposé en face de moi, pour venir le mettre sur mon bas-ventre...
« Comme ça, personne ne verra ce que je vais te faire... » Me susurra-t-il à l’oreille.
Mon excitation redoubla. À peine m’avait-il fait cette révélation, que sa main s’engouffra sous le vêtement et se posa sur ma queue durcie au maximum. Je poussai un long soupir dès qu’il commença ses caresses, à la fois douces et fermes. Sa main me masturbait par-dessus l’étoffe de mon short, prenant soin de m’enserrer suffisamment le membre pour me décalotter le gland dans ses va-et-vient. La sensation du tissu sur mon bout mis à nu par son mouvement savamment orchestré était à la limite du supportable. Au bout de quelques minutes, je sentis mon jus monter et ma queue tressauta sous ses phalanges expertes. Prêt à me vider tant j’en avais envie, il choisit de stopper net. Comme s’il avait senti que ma jouissance était imminente. Il retira sa main. Tirant une partie de mon blouson sur lui, discrètement, je le vis dégrafer son pantalon et déboutonner sa braguette. Invisible pour le petit jeune qui jetait de temps à autre un regard en notre direction, j’avais par contre une vue imprenable sur son paquet. Moulée par son boxer, une barre impressionnante partait de son entre-jambes, et remontait en travers sur une bonne vingtaine de centimètres. Il me regarda en souriant.
« Penche-toi et suce-moi ! » Me dit-il d’un ton ferme.
Du regard, je lui indiquai le jeune qui allait me voir si je m’exécutais. Il comprit.
« On s’en moque... ça lui fera un souvenir » ajouta-t-il en riant.
Oh ! et puis zut, j’en avais trop envie. Je me jetai sur sa bite. Léchant tout d’abord à travers son boxer, mouillant au mieux à hauteur de son gland qui suinta rapidement. Je suçotai le bout qui s’échappa de sa prison de nylon. J’aspirai bruyamment, ce qui ne manqua pas d’attirer l’attention du jeunot. Mon quadra tenait le blouson en paravent, mais il était difficile de cacher réellement ce que j’étais en train de lui faire. Je m’appliquais en lui prodiguant une gorge profonde qui faillit m’étouffer tant son mandrin était imposant. D’une main je le masturbais énergiquement, tandis que l’autre partit en exploration de ses grosses couilles poilues. Elles étaient bien fermes et certainement pleines d’un merveilleux nectar qu’il me tardait de déguster. Je l’entendais haleter, gémir en laissant échapper par moments des mots annonciateurs de sa proche jouissance. Je sentis soudain sa bite se tendre dans ma bouche et son paquet frémir entre mes doigts. Dans les secondes qui suivirent, ma bouche se remplit d’un liquide épais que j’avalais goulument. Ce ne sont pas moins de cinq jets puissants, d’une semence chaude et sirupeuse qui me coulèrent dans la gorge. Je ne lâchai ma proie qu’après l’avoir méticuleusement nettoyée. Ma langue la parcourut de haut en bas, entourant son gros gland brillant, pour l’en débarrasser au mieux des dernières gouttes qui perlaient. À un moment, je jetai un œil au garçon qui nous faisait face, quelques mètres plus loin. De toute évidence, il n’avait rien perdu de la scène, à moitié dissimulée, qui venait de se dérouler devant lui. Il avait l’air satisfait et m’adressa un sourire qui en disait long. Je remarquai que sa main était entre ses jambes. S’était-il branlé en nous regardant ou juste caressé ? Je n’eus pas longtemps à attendre pour en avoir la réponse. Mon quadra lui fit un signe de la main pour l’encourager à nous rejoindre. Je relevai alors la tête et mon amant se positionna sur le siège d’en face pour laisser sa place au nouvel arrivant.
« Vas-y, suce le à son tour » M’ordonna-t-il.
Le jeune, comme moi, fumes tous deux surpris du ton autoritaire employé par celui qui était quand même un parfait inconnu. Certes, je lui avais fait une pipe magistrale, mais j’ignorais tout de lui, à commencer par son prénom. Mais tellement excité par la situation, que je ne me posai pas plus de question et plongeai entre les cuisses du jeunot, qui ne devait avoir guère plus de 18 ans. Son bas de jogging était tendu comme une toile de tente. Sans ménagement je lui baissai et me jetai sur sa queue qui dépassait de son mini-slip. Elle était de taille plus modeste que celle que je venais d’engloutir, mais n’en était pas moins appétissante. Je suçai avec beaucoup d’attention, m’attardant sur son gland pointu. Poussant des lèvres, parfaitement enserrées sur ma gourmandise de l’instant, je décalottais par des va-et-vient subtiles cette belle queue frémissante. Il ne me fallut pas attendre longtemps pour me voir gratifier d’une belle éjaculation précoce. Mon puceau du jour se vida les couilles en plusieurs saccades dans ma bouche gourmande. Il porta ses mains à la sienne pour étouffer ses cris de jouissance, qui dieu merci auraient été masqués par le bruit ambiant du tacot rugissant qui nous ballotait sur ses rails. La bouche pleine de sa liqueur, je relevai la tête et vins lui rouler une pelle magistrale, sans lui demander son avis, afin qu’il goutte son jus tiède au gout sucré salé. Il ne se fit pas prier, et nos lèvres se collèrent amoureusement, puis, nos langues se mêlèrent dans un ballet gluant et sensuel. Mon quadra semblait ravi de ce qui venait de se jouer à quelques centimètres de lui. Souriant, il tenait en main sa queue qui avait repris une vigueur appréciable.
« Gicle-moi sur la bite » M’ordonna-t-il sur le même ton que tout à l’heure.
Cette fois, j’en avais très envie. Je libérai mon chibre en faisant littéralement glisser mon short au sol. Debout, face à mon quadra je commençai à mastiquer le manche, extirpé à la va-vite de mon jock. Masqué par les hauts dossiers de la banquette, les trois autres touristes du wagon ne pouvaient rien voir de ce qui se passait au fond. Pendant que je me branlais, mon jeunot profita de la situation pour me glisser un doigt entre les fesses. Entre mon excitation naturelle et ma transpiration, son doigt s’enfonça comme dans du beurre dans mon petit trou. Il comprit rapidement qu’il pouvait en introduire un autre, voire un troisième sans problème. Je sentis alors, pour mon plus grand plaisir, mon boyau se dilater sous la pression de la quasi-totalité de sa main. Ses longues phalanges entraient et sortaient de mon trou béant. Il me baisait littéralement le cul avec sa main juvénile. Ce qui fatalement me provoqua une éjaculation d’une rare puissance. Mon foutre crémeux gicla tellement fort que j’inondai non seulement la chemise de mon quadra qui me faisait face, mais aussi son entre-jambes, sa queue en érection et l’assise de la banquette. Repus je m’affalai sur le sol. Il me fallut plusieurs secondes pour me remettre de cette jouissance. Je n’ai rien vu du paysage pourtant réputé si beau et à ne manquer sous aucun prétexte. Aucun prétexte, aucun prétexte... sauf peut-être celui que je venais de vivre !
Chapitre 2
Si je n’ai pas vu grand-chose du paysage, trop occupé par mes deux partenaires impromptus de voyage, je comptais bien en descendant du train, arrivé à destination, découvrir au moins ce fameux panorama époustouflant dont on m’avait tant parlé. Mais c’était sans compter sur les ardeurs de mes deux nouveaux amis. Souvenez-vous : durant la montée à flanc de colline par le petit train touristique, je me trouvai rapidement occupé à sucer le sexe taille XXL d’un quadra BCBG. Ce dernier se vida de sa semence dans ma bouche gourmande, pour mon plus grand plaisir, mais également pour le sien. Ensuite, un jeunot voyeur vint à son tour me remplir en fond de gorge de sa liqueur de jeune puceau et finit par me baiser le cul avec sa main effilée mais très efficace. Pensant que chacun était rassasié pour la journée, puisque je m’étais également vidé les couilles, aspergeant copieusement mon quadra, c’est donc serein que je quittai mon wagon. Mes deux amis marchaient quelques mètres devant moi, lorsque je les vis bifurquer sur la gauche et emprunter une sente qui les éloignait indéniablement de la bonne direction du site à la vue imprenable. Intrigué par leur changement de cap, je leur emboitai discrètement le pas. Gardant une petite distance, je ne tardai pas à les voir, sur le bord du chemin, à peine dissimulés, en pleine embrassade et caresses empressées. Quelle santé ! Dire qu’il venait d’éjaculer il y a peu et d’avoir encore envie de remettre ça me surprenait quelque peu. Mais en fait, tout en regardant la scène érotique qui se déroulait sous mes yeux, je sentis ma queue se tendre sous mon short. J’avais donc le même désir qu’eux... Le jeune se mit entièrement nu en quelques secondes. Son corps était totalement dépourvu de tout poil. Lisse comme celui d’un nouveau-né. Très filiforme, au petit cul bombé mais sans excès et avec une queue fine et assez longue au bout pointu. Si j’avais remarqué la taille et la forme de son sexe, l’ayant pris goulument en bouche tout à l’heure jusqu’à sa jouissance liquoreuse, je n’avais pas prêté attention à sa grosse paire de couilles. Une paire bien ronde, bien lisse et qui ressortait vraiment entre ses jambes. Sa bite était à l’horizontale, bien bandée et brillante ce qui la rendait vraiment très appétissante. Sans plus attendre, j’avançai à leur rencontre. Tous deux m’accueillir par un large sourire. Le trio allait pouvoir se déchainer...
Nous nous retrouvâmes tous trois en tenue d’Adam, isolés à l’abri d’un bosquet de jeunes arbustes, à quelques mètres du sentier pédestre. Le coin était vraiment tranquille, car le peu de touristes qui nous avaient accompagnés, étaient restés sagement au point de panorama. Je me mis à genoux afin de m’occuper des deux tiges gonflées qui n’attendaient que ça. Pendant que mon couple quadra jeunot se galochait à grands coups de langues baveuses, je suçais à m’en décrocher la mâchoire, simultanément une queue après l’autre. Une dans chaque main, j’astiquais méthodiquement. J’engouffrais, suçotais le gland, léchais jusqu’aux couilles, puis, reprenais la branlette consciencieuse. Ils avaient l’air d’apprécier, car de longues plaintes émanaient de mes deux partenaires. Je bandais également comme un fou et sentais déjà mon foutre monter de mes couilles. Je serrai les cuisses au maximum pour ne pas cracher de suite ma liqueur sur l’herbe tendre. Mon trou réclamait aussi sa pitance. Je voyais bien la grosse bite du quadra me pilonner le boyau avant de le remplir de son jus crémeux. Ne tenant plus et ne souhaitant pas les faire jouir ainsi, je réclamai carrément mon coup de bite. Après m’être mis à quatre pattes, j’écartai les jambes au maximum. Une main en appui sur le sol herbeux, de l’autre je m’écartai les fesses et poussai pour ouvrir mon petit trou aux deux gourmands qui me regardaient les yeux pleins d’envie et de malice. Le quadra ouvrit le bal. Sa bouche vint se plaquer sur mon trou brillant. Sa salive m’inonda rapidement et sa langue ne tarda pas à me pénétrer. Je gémissais de bonheur. Le jeunot se baissa devant moi et me planta sa queue entre les lèvres. Il me baisa littéralement la bouche à grands coups de reins. J’étais rempli par-devant et ne tardai pas à l’être par l’arrière. Le quadra qui m’avait copieusement dilaté la rondelle, perforé de trois doigts au va-et-vient jouissif, me pénétra progressivement et jusqu’à la garde avec son pieu raide comme la justice. J’étais aux anges. Le rythme était parfaitement cadencé. Les coups de boutoir de mon quadra me poussaient contre la bite du jeunot, me forçant de ce fait, à des gorges profondes qui semblaient le satisfaire au plus haut point. Dire qu’ils jouirent en même temps serait un tantinet exagéré, mais, leurs giclées respectives, se suivirent de peu. Je fus rempli par les deux bouts, par de longues éjaculations de jus chaud et crémeux. Lorsque le quadra s’échappa de mon cul, son foutre dégoulina de mon anus à mes cuisses. Rapidement, je senti sa langue récupérer sa liqueur et remonter jusqu’à mon trou encore ouvert. Sa langue s’immisça à l’intérieur sans problème, ce qui eut pour effet de me faire gicler à mon tour, sans besoin de me branler, juste par le plaisir de son anulingus expérimenté. Repus, tous trois nous nous affalâmes sur l’herbe malmenée par nos ébats. Nous aurions bien passé un peu plus de temps en cet endroit idyllique, malheureusement, il nous fallait regagner fissa notre wagon pour redescendre dans la vallée. Inutile de préciser, qu’aucun des trois n’a mieux contemplé le paysage en redescendant, tellement cette fois, nous étions tous occupés... à dormir sur nos banquettes !
Panpanpetitlapin
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