Je m’appelle Corentin, j’ai 25 ans et je suis gay. Je me suis séparé de mon mec, il y a peu et je profite à nouveau des joies du célibat.
Physiquement, je suis brun, les yeux marrons, j’atteins presque le mètre quatre-vingts, pas sportif pour un sou mais pas maigre non plus. J’ai quelques poils sur le torse, qui se transforme en une véritable toison brune en dessous de mon nombril jusqu’à ma queue. Celle-ci est de taille normale au repos mais prend de belles proportions quand elle se réveille, dans les 19 à 20 cm de longueur et avec une belle largeur. Tous les mecs qui ont pu l’admirer n’ont fait que me complimenter dessus.
Au lit, je suis versatile. Je n’ai aucun problème à prendre une bonne queue dans mon cul ou à fourrer celui d’un autre avec la mienne. Bien sûr, pas de problème non plus quant à sucer et me faire sucer.
Je suis parti en vacances en février pour aller à la montagne et pour bénéficier des joies du ski. Ma famille a un chalet au pied des pistes ce qui est super pratique. Tous les jours je n’ai que 10 mètres à faire pour arriver à la remontée mécanique.
Seulement après une semaine de ski intensif, une forte chute de neige arriva sur les pistes. Skier était devenu très dangereux, heureusement j’étais rentré chez moi.
C’est une heure après être rentré, que quelqu’un frappa à la porte du chalet. Qui pouvait bien encore être dehors ? La neige bloquait tout !
J’allais ouvrir. Une vague de froid m’assaillit accompagné de grands coups de vents. Un homme en tenue de ski intégrale.
- Excusez-moi, je me suis fait surprendre par la tempête et je n’ai aucun moyen de rentrer chez moi. Puis-je rester chez-vous le temps que la tempête se calme ?
- Oui tout à fait !
Et je le laisse rentrer. Ce dernier enleva son casque, ses lunettes ainsi que le foulard qui protégeait son visage. C’est alors qu’une véritable beauté apparue devant moi. L’homme devait avoir entre 30 et 40 ans, il avait la peau noire, chauve, des lèvres pulpeuses entourée par une légère barbe et des dents blanches qui apparaissaient avec son sourire.
- Merci beaucoup ! Je m’appelle Yanis et toi ?
- Corentin. Mais tu trembles, tu devrais prendre une douche bien chaude pour te réchauffer !
- Oui merci !
- Je ferais sécher tes affaires à côté.
- Oh super merci !
Je lui montrais alors la salle de bain. Quand j’entendis la douche s’activer j’allais chercher ses affaires sans regarder Yanis prendre sa douche. J’entrepris alors de les accrocher face à un radiateur pour que cela sèche plus vite. Quand j’eu finis Yanis était sorti et ne portait en tout et pour tout qu’une serviette autour de la taille.
J’eu un choc. J’avais devant moi un dieu grec noir. Ses pecs étaient gonflés comme il le fallait, et ses abdos étaient superbement sculptés. Le V sur les hanches était bien marqué. Quelques poils recouvraient son torse jusqu’au pubis où la toison s’intensifiait quand on descendait le regard jusqu’au bord de la serviette.
- Désolé mais aurais-tu des rechanges ?
- Ah euh… oui oui c’est par là.
Je l’emmène dans ma chambre et lui temps des affaires de rechange.
- Tu es sûr de vouloir que je les mette ?
- Bien sûr puisque je te les tends pourquoi ?
- Parce que j’ai bien vu ton regard à l’instant, et je suis sûr que tu ne serais pas contre de voir ça.
Et il lâcha la serviette, se dévoilant totalement nu. Ses jambes étaient aussi musclées que son torse. Entre elles reposait une belle grosse queue au repos posée sur deux couilles bien remplies.
Ma queue s’agite dans mon pantalon à cette magnifique vue.
- Si tu m’offres le gite et le repas pour la nuit, tout ça est à toi pour en faire ce que tu veux, me glisse-t-il à l’oreille.
- C’est vrai ?
- Mais oui puisque je te le dis !
Sans attendre, je viens poser mes mains sur son torse, caressant ses muscles. Je me rapproche de lui pour l’embrasser tandis que mes mains descendent vers ses fesses fermes et rebondies. On s’embrasse pendant quelques minutes. Ma queue est gonflée à block à présent et elle me fait mal à être emprisonnée dans mon pantalon. Je souffle alors à Yanis :
- Je veux sentir ta bouche sur ma queue.
Ce dernier s’exécute immédiatement et se met à genou devant moi. Il baisse mon pantalon et mon boxer d’un coup faisant jaillir ma bite qui vient le frapper au visage. Je vois dans son regard une étincelle d’envie en voyant mon morceau dressé devant lui. Sans plus attendre, il commence à le lécher tout le long puis il englouti mon gland dans sa bouche. Sa langue vient jouer avec lui en me titillant le frein. Puis il commence à descendre ses lèvres sur ma verge jusqu’à la moitié de celle-ci. Tout le temps de l’action, son regard est planté dans le mien. Il s’est mis à 4 pattes et cambre son dos musclé pour mon donner une belle vision de son cul rond.
Avant que Yanis ne remonte vers mon gland, je pose ma main sur sa tête et je le force à descendre encore plus, lentement mais surement. Ma queue envahit de plus en plus sa bouche et finit par atteindre sa gorge. Je continue de pousser jusqu’à ce que ces lèvres aient atteint la garde de ma queue et que son menton me touche les couilles. Je garderais à jamais la vision de ma queue enfoncée à fond dans sa gorge, son regard dans le mien, totalement cambrée comme une vraie salope.
Je relâche la pression, il fait ressortir ma queue de ses lèvres pour reprendre sa respiration, mais rapidement je lui réimpose de la prendre toujours jusqu’au bout. Je répète le mouvement plusieurs fois avant de prendre sa tête entre mes mains et de venir lui baiser la bouche. Ma queue coulisse sans problème dans sa bouche chaude et accueillante.
Au bout d’un moment je ressors de sa bouche et me met à le biffler.
- Alors tu aimes ça ?
- Oh oui !
- Oui qui ?
- Oui maître !
- Tu aimes être à ma merci ?
- Oui maître !
- Ah ! Je ne vais tellement pas regretter de t’avoir recueilli, fis-je en le contournant. Je ne vais tellement pas le regretter.
Je calais mon gland contre sa rondelle et sans plus de procès je commençais à forcer le passage. Surprenamment mais pour mon plus grand plaisir, son anneau de chair s’élargit sans problème.
- Mais on dirait que tu es une vraie salope, je ne suis pas le premier à passer par ici n’est-ce pas ?
- Tout à fait maître, c’est pour ça que je me suis fait surprendre par la tempête.
- Ah ah ah et bien heureusement ! répondis en lui claquant une fesse.
Tout en parlant je continuais à m’enfoncer dans son antre chaud, lui arrachant quelques gémissements. Une fois bien au fond, je commençais à faire de long va et vient dans son cul, profitant de sa chaleur. Plus ça allait et plus j’aillais vite et profond, faisant gémir et crier ma belle salope noire. Mon pubis claquait contre ses fesses à chaque coup. De temps en temps, je claquais mes mains sur ces fesses le faisant crier un peu plus de plaisir. Voir ma queue blanche s’enfonçait dans ce cul noir si chaud et si accueillant était un pur bonheur.
Sous le rythme que je m’imposais, je ne pu me retenir très longtemps et c’est en m’enfonçant une fois de plus que je tapissais ses entrailles de ma semence blanche. Sous l’orgasme, je m’effondrais sur son dos ma queue toujours enfoncée en lui.
- Maître, ça va ?
- Oui oui, ton cul est tellement bon ! fis-je tout en le caressant notamment en m’attardant sur ses tétons
- Merci, maître
Je ressortis de son cul.
- Viens me nettoyer la queue et j’honorerais une partie du marché.
- Oui maître
Et il s’avança à quatre pâtes entre mes jambes, et lécha consciencieusement ma queue avant de l’avaler pour bien récupérer la moindre goutte de ma semence.
Je me rhabillais légèrement et quand je le vis faire de même j’éloignais les vêtements.
- Non non non je veux pouvoir t’admirer tout le temps que tu seras là.
- Mais Maître je vais avoir froid
- Ne t’inquiète pas je vais augmenter le chauffage.
- Merci Maître.
Ainsi, je préparais un bon repas pour nous deux mais le mangeait d’abord seul.
- Mais Maître et l’accord ?
- Ne t’inquiète pas je ne l’ai pas oublié, attends juste un peu.
Une fois que j’eu finis mon repas, je pris son assiette et me levais-je.
- Assis toi sur le canapé lui ordonnais-je
- Bien maître.
Une fois qu’il fut assis, je vins moi-même m’assoir sur lui
- Maître que faites-vous ?
- Chut, laisse-toi faire, tu m’as bien demandé de t’offrir le repas si je voulais que tu sois ma salope ? Eh bien le voilà.
- Merci maître
Et je donnais alors son repas à Yanis, assis sur ses cuisses musclées, en lui apportant directement la fourchette à sa bouche. Je lui donnais ainsi tout son repas. Entre plusieurs bouchées, je caressais son torse, ses tétons qui commencèrent à pointer puis je descendis ma main sur sa grosse queue. Quand il eut fini son repas, je continuais mes caresses sur sa queue qui gonfla, gonfla jusqu’à atteindre les 25 cm de longueur. De largeur, elle était tellement grosse que ma seule main ne suffisait pas à en faire le tour.
- Maître que faîtes-vous ?
- Chut laisse toi faire, je veux caresser ta belle grosse queue.
- Oui mais Maître c’est à moi d’être là pour vous.
- Obéis, tu as voulu être mon jouet non ?
- Oui maître.
- Et bien tais-toi et profite !
Je commençais alors à descendre de ses cuisses pour me placer entre ses jambes que je caressais, sentant ses muscles sous mes doigts. J’approchais mes lèvres de son énorme queue et je commençais à la lécher, une main la tenant droite et l’autre malaxant ses énormes couilles. Il commença à gémir sous mon traitement et je commençais alors à avaler son gros gland. C’était difficile mais en élargissant bien ma mâchoire, je pus faire rentrer ce gros gourdin dans ma bouche. Il envahissait toute ma bouche, ma langue avait très peu d’espace pour bouger, mais je pu le titiller un peu lui arrachant quelques gémissements.
- Maître…
Ce qu’il allait dire se noya dans un gémissement quand je serrais légèrement ses bourses dans ma main.
Pendant plusieurs minutes, Yanis subit mon délicieux traitement le faisant de plus en plus gémir.
Puis fatigué d’avoir la mâchoire écartée, je me relevais et lui donna l’ordre de me suivre dans ma chambre.
- Déshabille-moi s’il te plait
Yanis s’exécute docilement et toute en douceur. Il en profite pour me caresser et semer ici et là quelques baisers sur mon corps.
Une fois nu, je m’allonge sur le dos et lui dis.
- Viens t’assoir sur moi, et fais-moi un massage.
- Bien maître.
Je sentis son poids venir se poser sur moi, instinctivement, il s’était mis de sorte que sa grosse queue encore dure vienne se caler entre mes deux fesses.
- Ça va comme ça maître ?
- Oui c’est parfait, tu peux commencer.
Il posa ces mains sur mes épaules et entrepris son massage. Il y allait doucement mais fermement. Il s’occupa de tout mon dos pendant 15 min, le dénouant lentement mais surement. Il avait gardé la même position et je sentais toujours sa queue sur mes fesses.
- Va plus bas.
Yanis se recula un peu et posa ses grandes mains musclées sur mes deux fesses, qu’il entreprit de malaxer.
- Ça va comme ça maître ?
- Oh oui c’est parfait !
Je le laissais continuer un peu avant de lui demander.
- Soulève-toi un peu.
Quand il le fit, j’écartais mes jambes, lui donnant un plus grand accès à mon anneau de chair.
- Je veux ta langue dessus, je veux que tu me prépares
- Bien maître me répondit-il
Il se plaça entre mes jambes écartées et plongea sa tête entre mes fesses. Il embrassa ma raie et ma rosette avec tendresse puis sorti sa langue. Cette dernière lécha mon sillon dans son intégrité avant de faire des ronds sur mon entrée. La sensation me fit gémir, c’était tellement bon. Il savait y faire le bougre.
Puis il força sa langue contre mon entrée et ce fut l’extase. Il s’avait vraiment y faire Yanis ! Pendant plusieurs minutes, il entreprit de me bouffer consciencieusement le cul me faisant gémir.
Puis il commença, à rajouter ses doigts d’abord, un seul dans un premier temps puis un deuxième. Lentement mais surement par différents mouvements, il prépara mon entrée à recevoir son gourdin.
Quand le troisième doigt fut rentré depuis un moment, je décidais qu’il était temps pour moi de recevoir son épée dans mon fourreau.
Toujours de manière lente mais sensuelle, il commença à forcer le passage avec son gros gland. Mes chairs s’écartèrent en opposant une légère résistance. Quand le gland fut passé. Je lui demandais de s’arrêter. Je me sentais totalement écartelé par cette présence en moi. Quand je me suis senti davantage détendu, je lui demandais de continuer tout doucement afin de bien sentir, millimètre par millimètre, sa queue entrer dans mon cul chaud et serré.
Quand il arriva au fond, Yanis s’allongea sur moi. Je sentis ses pecs et son ventre se coller à moi. Il m’embrassa sensuellement la nuque pendant que je m’habituais à sa présence en moi. Ses mains me caressaient et s’attardèrent sur mes tétons avec lesquels il joua. Quand je me sentis près je fis quelques mouvements de bassin pour lui dire que c’était bon. Lentement, toujours couché sur moi, il ressorti un peu sa queue avant de la réenfoncer. Il réitéra le mouvement en se retirant de plus en plus me faisant languir de la disparition progressive de sa queue. Sous ses mouvements je ne pouvais m’empêcher de gémir Quand mon conduit fut suffisamment détendu, il se permis d’y aller plus fort et plus rapidement, me faisant de plus en plus gémir.
A un moment, il se releva me mis à quatre pattes et profita de ce nouvel angle pour faire des mouvements plus amples et plus profonds. Mes gémissements devinrent plus fort. J’adorais la sensation de ce braquemard, disparaissant et revenant dans mon conduit, écartant mes chaires sur son passage. Puis il accéléra le rythme me faisant gémir plus fort jusqu’à carrément crier mon plaisir.
Après plusieurs minutes de ce traitement, je veux qu’on change de position. Il décule et je sens immédiatement un grand vide en moi. Rapidement je lui demande de s’assoir et je viens m’empaler face à lui sur son énorme queue. Je me sens a nouveau comblé tant physiquement qu’émotionnellement.
Dans cette nouvelle position, il se fit plus doux, enfonçant sensuellement sa queue en moi. Nous étions dans les bras l’un de l’autre à nous caresser et nous embrasser. Ma queue, dressée entre mon ventre et ses abdos, glissait entre eux au rythme de ses coups de reins. Je ne pouvais m’empêcher de gémir sous toutes ses sensations.
- Maître, je vais bientôt jouir. Que voulez-vous que je fasse ?
- Défonce-moi et retapisse mon cul de ton jus, arrivais-je à dire.
Aussitôt il me fait basculer sur le dos, me relève les jambes de sorte à avoir les genoux au niveau de ma tête, ce qui me fait relever mes fesses par la même occasion lui offrant un magnifique angle d’attaque. Et il ne se priva pas. A peine installé, il entamé une série de coups rapides et puissant qui allaient au plus profond de mon être. Ses couilles me claquaient les fesses à chaque vas et viens. Je ne pus me retenir d’hurler mon plaisir.
Quand d’un coup il se bloqua au fond de mon cul, et lâcha les vannes. Plusieurs jets puissants se rependirent au fond de moi, me remplissant de son jus.
Lentement, il se retira et s’allongea à coté de moi. Mais je ne le laissai pas tranquille.
- J’ai d’autres choses de prévues mais je ne veux pas salir mes draps. Alors vient me lécher le cul. Et je te nettoierais la bite après.
- Oui maître
Il me releva alors les jambes et plongea sa tête dans mes fesses. Comme tout à l’heure, il plongea sa langue dans mon trou encore bien ouvert après le passage de sa queue et vint recueillir sa semence qu’il avala.
Une fois fait il se plaça à quatre pattes au-dessus de moi et me présenta sa queue dégoulinante encore de semence. Elle était maintenant au repos mais cela n’en était pas moins un beau morceau. Consciencieusement, je la léchai recueillant chaque goutte de son jus et l’avalant.
Quand j’eu fini, je lui dit :
- Maintenant tu vas t’occuper de la mienne
- Oui maître.
- Mais même si ta bouche est divine, c’est avec ton cul que je veux jouir. Et je ne bougerai pa.
Ayant compris, mon sous-entendu, il vint placer ses fesses au-dessus de ma queue qui elle n’avait as ramolli. Et il s’empala sur le gland. Je retrouvais alors la sensation de son cul chaud et accueillant ce qui me fit frémir de plaisir.
Puis d’un seul coup, Yanis fit rentrer toute ma queue dans son cul. Il gueula son plaisir et je fis de même. Un sourire naquit mon visage content de son initiative. Il s’activa ensuite à monter et descendre le long de ma verge lentement.
Avec tout ce que nous avons fait, je ne pus me retenir très longtemps et quand je senti la jouissance arriver, j’agrippait ses hanches et je m’enfonçais d’un coup puissant dans ses entrailles pour qu’il y reçoive une deuxième vague de mon jus.
Quand j’eu finis, je lui ordonnais de se mettre en 69, pour qu’il puisse me nettoyer la queue tandis que je lui léchais son trou récupérant ma semence par la même occasion.
Quand cela fut finis, il s’allongea à coté de moi. J’en profitait pour m’allonger à moitié sur lui, le caressant lentement.
- Cela vous à plus maître ?
- Oh oui tout à fait Yanis. J’ai adoré. Tu as un corps et un savoir-faire divin.
- Merci maître
- Non merci à toi.
Et le sommeil nous gagna après tous ces efforts.
Le lendemain matin, la tempête s’était calmée, mais je profitais encore de sa présence au réveil et en milieu de matinée. Puis il partit, mais j’avais pris son numéro pour pouvoir le revoir.
Bien sûr nous nous étions revus plusieurs fois après ça. Yanis ayant apprécié ma façon de jouer avec lui voulu garder la même dynamique entre nous, chose qui ne me dérangea pas du tout. Et j’en profitait largement.
Merci beaucoup d'avoir lu !!!!
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Corentin
ct8005@gmail.com
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