Tristan

Je m’appelle Corentin, j’ai 25 ans et je suis gay. Je me suis séparé de mon mec, il y a peu et je profite à nouveau des joies du célibat.

Physiquement, je suis brun, les yeux marrons, j’atteins presque le mètre quatre-vingts, pas sportif pour un sou mais pas maigre non plus. J’ai quelques poils sur le torse, qui se transforme en une véritable toison brune en dessous de mon nombril jusqu’à ma queue. Celle-ci est de taille normale au repos mais prend de belles proportions quand elle se réveille, dans les 19 à 20 cm de longueur et avec une belle largeur. Tous les mecs qui ont pu l’admirer n’ont fait que me complimenter dessus.

Au lit, je suis versatile. Je n’ai aucun problème à prendre une bonne queue dans mon cul ou à fourrer celui d’un autre avec la mienne. Bien sûr, pas de problème non plus quant à sucer et me faire sucer.

C’est les vacances et je décide de rejoindre un ami dans le sud de la France. On ne s’est jamais rencontré mais nous avons beaucoup discuté et envoyé quelques nudes. Il a une quinzaine d’années de plus que moi, il est brun. De corps, il est ni maigre ni gros, avec des pecs bien dessinés et un ventre plat laissant apparaître de léger abdos.

Je me rends chez lui en train. Durant tout le trajet, je me demande comment sera notre première rencontre bien que je ne doute pas de certaines de nos prochaines activités.

Une fois arrivé à la gare le soir, je le vois qui m’attend. On se salue puis on monte dans sa voiture. Sur le chemin nous discutons de tout et de rien, de comment s’était passé le voyage etc… De temps en temps, il pose sa main sur ma cuisse et je sens à chaque fois ma queue réagir un peu plus dans mon caleçon.

Quand nous arrivons chez lui, nous nous débarrassons de nos vestes, ensuite Tristan vient me prendre dans ses bras pour commencer à m’embrasser. Ses lèvres se mettent à recouvrir les miennes, à les mordiller avant que sa langue ne vienne se mêler à la danse. Je répondis à son baiser, ma langue venant danser avec la sienne. Ses mains se baladèrent sur mon t-shirt me caressant avant de descendre et de venir tâter et malaxer mes fesses à travers mon pantalon. Mes mains se baladaient sur lui, son dos, son torse, ses pecs. Ma queue s’était réveillée et formait une barre bien dure qui se frottait contre celle de Tristan.

Puis il commença à me guider vers sa chambre tout en m’embrassant. Une fois arrivés, il glissa ses mains sous mon t-shirt pour me l’enlever. Sa bouche quitta alors la mienne pour descendre le long de mon cou puis de mon torse. Il dévia vers l’un de mes tétons qu’il taquina de la langue avant de s’attaquer à l’autre. Puis il descendit encore jusqu’à ce que son visage soit face à mon sexe gonflé à bloc. Il commença à le lécher malgré mon pantalon.
- Humm, ta queue m’a toujours fait envie ! Je vais enfin pouvoir la gouter !
- Vas-y fait toi plaisir !
Il commence alors à défaire ma ceinture, puis il agrippe mon pantalon avec mon boxer et retire les deux d’un coup ! Ma queue jaillit de sa prison de tissu et vint le frapper au visage. Une étincelle s’allume dans son regard. Une de ses mains vient prendre ma bite à la base, il l’admire quelque seconde avant de la prendre en bouche. Sa cavité chaude est humide est un bonheur. Ses lèvres coulissent le long de ma tige, sa langue vient caresser mon gland me faisant gémir. Pendant plusieurs minutes, il m’offre se délicieux traitement, dévorant ma queue comme jamais, devenant en peu de temps totalement accro à elle. Une de ses mains vient me caresser puis me malaxer les couilles avant de la glisser vers mes fesses, l’un de ses doigts s’insérant dans ma raie pour venir titiller ma rosette.

Je le laisse faire tout du long, me caressant le torse mon regard planté dans le sien. Il fait sa salope en se cambrant. J’aime ça de voir ce grand gaillard musclé jouer la pute devant moi.

Au bout d’un moment, il arrête et me pousse sur son lit. Il se déshabille alors en imitant un striptease. Je peux ainsi enfin voir son beau torse bien dessiné, il défait sa ceinture qu’il enlève me laissant profiter de la vision de son torse sur lequel j’ai toujours bavé. Il baisse son pantalon me laissant admirer ses deux fesses emprisonnées dans son boxer avant de le retirer lui aussi. Je pu voir ainsi les voir, bien rebondies. Il se rapprocha de moi, me poussa de la main pour m’allonger et vient s’assoir sur mon ventre, ma queue calée contre sa raie. Il se frotta contre elle, me caressant le torse en même temps. Un moment, il se releva un peu et vient glisser ma verge entre ses jambes pour que le gland puisse venir titiller son anus. Je ne pouvais m’empêcher de gémir.

Soudain alors que croyait qu’il allait se l’enfoncer, il se leva me retourna, attrapa sa ceinture et m’attacha les poignets avec. En quelques secondes, je me suis retrouvé à sa merci. Il m’écarta les jambes et plongea sa tête entre mes fesses, pour venir titiller de sa langue mon anus. Avec ses mains il attrapa mes fesses qu’il écarta davantage afin de permettre à sa langue de pouvoir s’enfoncer dans mon conduit. Je ne pouvais m’empêcher de gémir tellement s’était bon.

Puis, il se releva et cala son bassin entre mes jambes et s’enfonça d’un trait en moi. Je criai sur le moment, en sentant sa grosse épée écarter mon fourreau de chair. Il me laissa le temps de m’habituer à sa présence en me malaxant les fesses de ses mains et de temps en temps il en frappait une ce qui me faisait davantage gémir.

Il commença ensuite à faire de lents va et vient se retirant presque avant de se réenfoncer, puis il accéléra le rythme de plus en plus jusqu’à me pilonner le cul. A chaque coup de reins, je sentais ses couilles venir claquer contre moi.

Pendant près d’une demi-heure, je fus à la merci de ses coups de bassin. Plusieurs fois, il me fit changer de position pour tester de nouveaux angles d’attaques et voir laquelle pouvait le mener au plus profond de moi. Je ne pouvais retenir mes gémissements sous ses coups.

Après cet intense traitement, ma queue qui n’avait jamais été aussi dure libéra ma semence sans l’avoir touchée. Sous cette délivrance, mon fourreau se contracta sur l’épée de Tristan est après quelques aller-retour, il me repeignant l’intérieur de blanc dans un râle viril. Il retomba alors sur moi, épuisé par l’effort.

Quelques instants plus tard alors que sa queue était sortie de mon antre après cette dépense d’énergie, il s’allongea sur le dos et tira sur sa ceinture toujours attachée à mes poignets pour que je me retrouve face à son sexe dégoulinant de semence.
- Vas-y nettoie la, m’ordonna-t-il
Je m’exécutais, léchant son membre, qui sous ce traitement se réveilla à nouveau. Je pu alors la nettoyer correctement dans tous les recoins avant de sentir une main me bloquer la tête et que le bassin de Tristan se lève et s’abaisse faisant coulisser à son rythme sa queue entre mes lèvres. Cette invasion se fit tout en douceur et sensualité ce qui me permettait de jouer avec ma langue sur son gland. Ses gémissements étaient un pur bonheur et rapidement il m’offrit une seconde rasade que je pu avaler directement.

Nous nous couchâmes ensuite, nu, l’un contre l’autre.

Le lendemain matin, je me réveillais le premier. Alors que nous étions endormis en cuillère, Tristan était à présent allongé sur le dos. Je passais alors ma main sur son corps, découvrant avec elle ses deux pectoraux développés et son ventre plat. Puis je descends encore et je viens effleure son sexe qui repose gentiment sur ces deux couilles. Je les caressent tous les trois glissant de l’un à l’autre. Sa queue commence à se réveiller mais lui reste toujours endormi.

Quelques secondes plus tard, il se retourne sur le ventre, et il éjecte en passant la couverture. Je vois alors ses deux fesses rondes qui n’attendent que mes mains. Je viens alors les caresser elles aussi puis je les malaxe. Je viens aussi titiller sa raie pour venir effleurer son antre. Plus les minutes passèrent et plus j’enfonçais mon doigt lentement tranquillement.

Nous avions convenu avant de nous voir, que chaque jour nous aurions le contrôle sur le corps de l’autre alternativement, sachant qu’il commencerait. C’était donc à moi d’en profiter aujourd’hui.

Alors que je m’occupais de ses fesses, Tristan bougea encore une fois dans son sommeil et écarta une jambe. Il semblait apprécier mon traitement. A présent je pouvais me glisser entre elles sans problème. Ma queue avait bien durci et je vais la faire coulisser le long de sa raie. Je finis cependant par rapidement l’axer sur son entrée, avant de pousser le plus délicatement possible pour la faire rentrer en douceur. Une fois que le gland fut passé, alors que je continuais toujours ma progression, il commença à se réveiller car des gémissements se faisait entendre. Ce n’est que quand ma queue fut rentrée jusqu’à la garde qu’il ouvrit les yeux. Il tourna sa tête vers moi et je lui souris en commençant à me retirer puis je revins un peu plus brutalement. Je continuais ainsi plusieurs fois : je me retirais lentement avant de l’envahir à nouveau plus brutalement à chaque fois. Chaque coup le faisait gémir davantage ce qui me poussait à continuer encore et encore jusqu’à le pilonner.

Au bout d’un moment alors que je l’avais positionné en levrette pour avoir un meilleur angle d’attaque, je me plaquais contre son dos, tout en continuant mon pilonnage, mes mains venant caresser la moindre parcelle de son corps. Je triturais plusieurs fois ses tétons, ce qui accentua ses gémissements. Je lui donnai même deux doigts à sucer, chose qu’il fit avidement.

L’autre main descendit sur son sexe, pour le caresser et malaxer ses bourses. Cela fut fatal pour nous deux. Toutes les sensations que je lui procurais le terminèrent et plusieurs jets blancs furent expulsés. Sous l’orgasme ses muscles se contractèrent autour de ma queue et comme lui la veille je tapissais son intérieur de mon foutre.

Une fois le dernier jet sorti, je vins présenter ma queue devant sa bouche. Il se jeta dessus et me la nettoya consciencieusement. Une fois fait, je lui demandais où il rangeait sa collection de godes, il m’indiqua un tiroir que j’ouvrit. Je choisis un gode assez gros et original car il avait la forme d’une queue de dragon. Je me tournais vers lui avec un petit sourire vicieux et je l’enfonçais lentement utilisant mon sperme comme lubrifiant. Je jouais alors pendant plusieurs minutes avec jusqu’à ce que Tristan lâche une seconde vague de son lait.

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