Fred mon chéri et moi avons toujours les mêmes trips pour pimenter notre vie sexuelle. On n’est pas du genre classique et banal…
Le premier de nos trips : on chasse les mec d’origine latine ou maghrébine les plus bandants et facile à capter. Quand la routine s’invite, nous avons besoin de pimenter notre intimité en ramenant à la maison une petite proie qui saura répondre à nos exigences. Les critères son précis et ne varient pas. Le mec doit être assez grand et mince, la peau douce, imberbe et hâlée avec si possible un côté soumis ou passif. Le boy doit être à la hauteur de notre perversité en bonne petite salope à satisfaire notre lubricité !
Le second : le fétichisme de la baise en fringues de sport. Shorts de running, survêtements et jogging, speedos et leggings uniquement en lycra, polyester ou nylon… Pour cela, on a ce qu’il faut dans notre magasin de sportswear! Ces fringues ont un côté érotisant par le touché de la matière et par leurs facultés d’être moulantes, ce qui augmente notre excitation par le visuel. Alors si on peut se taper un minou accoutré ainsi, on y va franco… Pas de limite !
Le tunisien.
Comme dans tous les commerces, on est victimes du vol et cela commence à faire lourd dans la compta. Pourtant, on est vigilants, on surveille tout mais y a rien à faire, la fauche est là… On a donc décidé d’investir dans 3 caméras et tout le matériel informatique qui va avec. Le lendemain de l’installation, on avait déjà chopé un jeune en train de planquer un maillot de foot dans son sac à dos. Il a fini par payer mais avec l’interdiction de revenir… Reste les 2 cabines d’essayage où la loi interdit formellement l’installation de caméra. Mais on a graissé la patte du technicien avec un gros billet et une pipe que Fred lui gratifia tellement il le trouvait bandant. Les cams dans les cabines, c’est l’idéal pour choper les voleurs mais aussi et surtout pour capter les proies avant de les embarquer pour un plan cul ! Et croyez-moi, le gibier ne manque pas… Mais ce n’est pas toujours facile de les attirer au pieu. On soupçonne même certains de faire exprès à se faire pincer dans l’espoir de tirer un coup. A force, les remeurs parlent !
Il est presque 19 h ce samedi et on va pas tarder à fermer. Ça déambule encore un peu entre les étals. On va faire un bon chiffre ! Bryan tient la caisse, Fred passe d’un client à l’autre et moi, je fais la navette entre la boutique et la réserve. Bryan, qui a un œil d’aigle, m’appelle discrètement et me dit avoir vu à l’écran de contrôle un mec louche rentrer dans une des cabines depuis un moment et qui n’est pas encore sorti. Je visionne l’enregistrement et je vois un jeune typé Maghreb, look petite frappe avec une casquette, un vieux tee-shirt et un jeans serré sur le cul. Il a deux shorts d’athlé dans la main qu’il a pris en rayon et je le vois s’engouffrer dans une des cabines. Au deuxième écran, je le vois se désaper. Jusque-là, rien d’anormal. Je file dans mon bureau pour continuer à mater le mec sur mon écran. Ce micheton me chauffe un max. Il s’est complétement dépoilé et il est super bien foutu, un physique longiligne, pas un poil de graisse, des muscles finement dessinés et déliés, imberbe à la peau halée comme j’aime. Il est le profil type qui me fait bander ! Le genre de mec que Fred et moi ramassons parfois dans la rue pour un trio à la maison ou après une virée dans un club réservé et bien connu des homos dans la région.
A l’écran, Il est limite exhibe ! assis sur le tabouret, les cuisses largement écartées en train de sniffer son jockstrap. Le plus mordant, c’est sa bite ! Cette racaille affiche un bon 18 cm tendu par une solide érection. Il est pas gêné ! Squatter ma cabine pour se faire une solo… Mais c’est pas pour me gêner, au contraire ! Il se branle en 4ème vitesse. Sa main coulisse le long de sa bite, titille le gland, passe sous ses couilles, lâche sa branlette et relève ses guibolles pour se foutre un doigt dans le cul. Ce mec est souple ! Son corps de liane prend des poses salaces qui me donnent une furieuse envie d’aller le retrouver mais je reste en mode passif et voyeur ! Je veux voir la totalité de son show. D’ailleurs, il y a bien longtemps qu’un boy aussi chaud n’était pas passer par là. Alors, je veux en profiter un max !
De mater cette racaille, j’allais juter lorsque qu’il pris un des deux shorts. Modèle Split en polyester, très échancré sur les côtés que s’arrachent les fans de running. Voir ce mec emballer sa bite bandée et son petit cul dans ce short me met dans en transe. Sa trique est la forme de ses boules sont parfaitement visibles avec un relief des plus appétissant. Je stop ma branlette pour ne pas cracher tout de suite, les yeux rivés sur sa bosse. Il a pris une taille de short trop ajustée, mais il arrive quand même à foutre la main dedans pour reprendre sa bite en main et sa branlette. Ce con va finir par le bousiller à tirer dessus mais c’est trop bon de le mater. J’ai pas envie de laisser filer ce mec sans pouvoir m’amuser avec ! Et il à plutôt intérêt à coopérer…
On n’a plus de clients dans le magasin, à part le jeune branleur à l’écran de contrôle. Bryan est partis et Fred est déjà rentré à la maison pour faire à bouffer. Je cours fermer les portes et vais vers la cabine. Je suis seul et J’ai pas débandé. Avec un jogging que je porte volontairement serré, impossible pour planquer ma trique. C’est voulu !
Arrivé devant la cabine, je vois le minet en sortir. Il était rhabillé, son sac sur le dos. Pas de shorts en vue ! Il les a chourés…
- He toi ! Ils sont où les shorts ! On t’a vu à l’écran…
- Quoi ? Me répond -il avec aplomb …
- Viens avec moi !
Il a dégeulassé la cabine. Il y a des coulées de foutre sur la vitre….
- C’est quoi ça hein ? de la chantilly peut-être ? Ne ment pas ! J’ai la preuve. Allez viens ! Tu peut pas attendre d’être chez toi pour te masturber ?
Je le prend par le bras. J’ai le temps de saliver devant son ptit cul et sa bite moulés par son 501. Et c’est pas fait pour calmer ma trique ! Il a l’air bien monté…
Je le pousse dans mon bureau et le force à s’assoir devant l’écran. Je le sens couillon et trouillard. J’adore soumettre ce genre de gazelle. Un de mes kifs ! J’aime les voir résister, se rebeller, avoir envie de se barrer avant de leurs apprendre qui est le patron. Plus ils sont caïds et crâneurs, plus j’ai envie de les culbuter ! Un môme qui est toute de suite open à plutôt tendance à me faire débander…
- Regarde ! C’est pas toi là en train de te mettre un doigt ?
- Ben… Heu…
- Et mes shorts, ils sont où…
- Dans mon sac…
- Et tu comptais les payer un jour ?
- J’ai pas de tunes monsieur…
Je déballe son sac à dos et trouve les deux shorts, le premier dans son emballage et l’autre chiffonné avec un peu de sperme dessus. L’objet du délit ! Y a aussi un cuissard de cycliste, des grandes chaussettes de foot et une vieille paire de baskets. Le matos n’est pas de la boutique.
- Et tu as quel âge ?
- 21 ans monsieur…
- T’es français ?
- Oui mais d’origine tunisienne.
Le mec est tout tremblant. Son regard est fuyant. Il passe de l’écran à la bosse de mon jogg. Visiblement, ca doit l’exciter car son jeans est tendu. Le pauvre essaye de planquer son émoi avec la main en serrant les cuisses…
- Et on fait quoi maintenant ?
- Je sais pas monsieur… Mais faut pas appeler la police. Mon père va me tuer si non.
- Oh j’ai pas l’intention ! Et c’est quoi ce trip de te branler dans un short…
- C’est mon fantasme monsieur.
De l’entendre avouer ce penchant que je porte moi-même depuis toujours, je suis une fois de plus au bord de lâcher la crème. Et sans me toucher ! Tout chez cette frappe me rend fou ! Son physique, son regard de braise, son trip pour les shorts… Je décide de passer à l’action pour lui faire payer son badinage…
- Si tu ne veux pas avoir les menottes, va falloir être gentil avec moi… Très gentil !
Et pour lui faire comprendre que je ne plaisante pas, je lui fou ma main sur l’avant de son jeans et presse sur sa bite qui est toujours tendue.
Non pas ça monsieur ! Je veux pas. C’est promis, je reviens demain pour vous payer mais ne me faite rien !
- Ben voyons. Je te crois pas… Je les connais les petites frappes dans ton genre ! Tu n’as pas le choix. Où tu te laisses faire ou je fais le 17 et ils t’embarquent.. Alors ?
Pour toute réponse, Il retire timidement sa main et me laisse contempler sa braguette. Son jeans est déformé par sa trique. Un barre est bien visible vers la droite à l’horizontale. Son jeans est usé et serré. Il écarte ses jambes qui sont gainées par l’effet moulant du tissus. Les jeans moulants font aussi partie de mes gros kifs…
Je tâte sa braguette d’un geste autoritaire et de l’autre main, je passe ma main sous son tee-shirt. Son ventre est chaud et d’une douceur incroyable. Il essaye d’enlever ma main qui continue à ploter sa bite..
- Tout doux mon minou. On se calme OK ?
- Vous voulez quoi faire ?
- T’es con ou quoi ! Ce que je veux c’est m’amuser avec toi. T’as l’air baisable et tu me fais bander comme un taureau. Tiens, touche…
Faut vraiment tout lui demander à cette petite pute ! Il approche sa main de mon jogging et effleure à peine mes 22 cm. Puis , il semble se dérider et y va franchement en passant sa main de haut en bas sur ma bosse.
- Tu vois, t’es pas le seul à avoir le gourdin. Putain, t’es vraiment bandant ! Maintenant, enlève ton jeans et enfile un des shorts, celui que tu avait tout à l’heure pour te branler. T’es très mignon avec un short sur le cul…
Le mec s’exécute et je vois qu’il ne porte pas de sous-vêt. Sa queue rebondi, libérée. Elle est longue et fine. Son gland est comme un petit champignon au bout du quel perle un peu de jute. Il est prêt à juter ! J’admire ses cuisses longues et minces. Je passe ma main à l’intérieur en faisant rouler la peau sous ses muscles. Je caresse son ptit cul ferme et rebondi. Enfin, il enfile le short. Là, c’est le top ! Il est là, se laissant faire, les bras ballants. Je lui fou une main au paquet et de l’autre, je caresse son derche à travers le soyeux du short. J’adore cette sensation.
Il est temps de lui montrer ce que j’ai dans le jogging. Je tire sur l’élastique est mon pieu lui saute au nez. Il a un mouvement de recul. Je le prend par le cou et l’oblige à me sucer. Il résiste mais pas longtemps. Mon dieu que ce mec est divin une bite dans sa petite gueule. J’ai l’impression de tourner un porno. Je lui envoie des coup de bite en fond de gorge. Il coulisse ses lèvres le long de ma bite et s’enhardi en me suçant les couilles. Il apprends vite ! A moins que ce ne soit pas son premier coup ! Je suis de nouveau au bord de cracher mais j’ai envie de sa rondelle.
Je le couche sur le bureau… Je déchire l’arrière du short. C’est trop tard pour le vendre mais je m’en fou ! Je veux qu’il le garde sur le cul pour en le sautant.
- Je vais t’enculer mec. Tu vas aimer !
Son cul est chaud comme la braise. J’y met un doigt mais il est très serré. Va falloir y aller mollo.
- T’est puceau non ? Ton trou à l’ai neuf.
Il répond oui de la tête.
- T’inquiète, on va le faire progressivement.
Je mets vite fait un préso. Je suis pervers mais pas inconscient. Un conseil, pensez toujours à mettre une casquette au jockey avant la saillie.
Ma bite à un bon diamètre et c’est pas facile pour le pénétrer, malgré le gel. Mais après plusieurs essais, j’ai enfin réussi à l’embrocher. Pas sur toute la longueur de ma bite mais une bonne partie tout de même. J’y vais tranquillement, puis plus vite et enfin, je lui bourre la chatte sans ménagement. Mes couilles claques contre ses petits globes, il a l’air d’être un pantin secoué dans tous les sens. Je l’entend gémir…
- Hummm… C’est bon…. Vas-y…. Encore…. Plus fort….
Pour un mec timide, cette fois ci, il prend son pied !
- Dis que tu es une pédale, un trou à mec, une petite pute…
- Je suis qu’une bonne pute à foutre…
- Espèce de chienne. T’encaisses bien ma bite hein ? Ça te plait ?
- Ouiiiii…. Putain, Pete moi le cul… à la vache… Encore….
- Ben dis donc, t’es gourmand pour une première….
C’est pas facile de bander quand on se fait ramoner le cul. Mais mon Tunisien est l’exception. Sa bite est au garde à vous, qui tressaute sous mes coups de bite. Il gémit de plaisir comme un chaton, les yeux mi-clos. Je suis complétement déchainer à baiser ce petit mec. Dommage que Fred ne sois pas là. J’ai l’idée de filmer avec mon phone. Mon chéri pourra au moins en profiter un peu ce soir…
Au bout de 10 mn à lui limer le cul, j’ai senti mon foutre monter dans ma bite. Je suis adepte aussi des faciales. J’allais pas manquer l’occasion de lui tartiner sa petite bouille. Je décula juste à temps en obligeant mon tunisien à se retourner. Il se pris 3 bonnes rasades de foutre chaud. Ca coule sur son beau visage basanée. Il ouvrit la bouche, espérant pouvoir en bouffer un peu… Pour finir, il me nettoya la bite et le reste de sperme avec sa langue.
Le pauvre n’avait pas débandé ! Je m’enhardi à le sucer vite fait, manière de ne pas le voir partir frustré.
Il juta vite fait comme un ado en chaleur et se rhabilla.
- Bon. Pour la fauche, je ferme les yeux. Mais fait gaffe !
Il me gratifia d’un grand sourire et me roula une bonne pelle avant de se barrer. Je le suivi vers la sortie, le temps de mater une dernière fois le galbe de son derche et son déhanché de giton, en espérant le retrouver un jour dans ma cabine en train de…
Si vous avez aimé le plan cul avec mon jeune tunisien, que vous kiffez les shorts en nylon et les jeunes beurs, n’hésitez-pas à m’envoyer un petit message, je serai heureux d’y répondre.
Nylonshort
jeff88@orange.fr
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