Histoire vrai ou imaginaire… A vous de voir !
Voilà 12 ans que Fred et moi vivons en couple. Moi c’est Willy. On s’est connus lors d’une soirée plan cul. J’ai tout suite flashé sur lui à en tomber raide dingue. Il avait 21 ans et moi 24. Depuis, on vit un histoire solide au quotidien. On est à l’aise financièrement avec notre magasin de sportwears et fringues de sports. Je m’occupe de la gestion et de la compta et lui de la partie vente. Nous avons 3 salariés. Nous nous entendons très bien au pieu, lui étant plutôt passif et moi versatile. Nous sommes assez libres, ce qui nous autorise à baiser avec d’autres mecs, sans tabous ni retenues. Tout cela est plutôt banal. Ce qui l’est moins, ce sont nos trips. D’abord pour les jeunes minets d’origine latine ou maghrébine. Quand la routine s’invite, nous avons besoin de pimenter notre intimité en ramenant à la maison une petite proie qui saura répondre à nos exigences. Les critères son précis et ne varient pas. Le mec doit être grand et mince, la peau douce et hâlée avec si possible un côté soumis ou passif. L’autre trip est le fétichisme des shorts de running, des survêtements et jogging, des speedos et leggings. Uniquement en lycra, polyester ou nylon. Jamais en coton. Pour cela, on a ce qu’il faut à la boutique ! Ces fringues ont un côté érotisant par le touché de la matière et par leurs facultés d’être moulantes. Certains sont branchés cuir, latex ou couches culottes… A chacun ses fantasmes. Nous, on adore baiser en sapes de sport !
C’est ainsi qu’un mardi matin, on vit débarquer le jeune Lacen à la boutique. Il voulait savoir si on pouvait le prendre ( !) en stage. J’étais au bureau pour préparer le prochain inventaire. Il me fallait le fichier des ventes de janvier. Je descendis à la boutique. C’est là que je l’ai vu de dos, en train de discuter avec Fred. J’ai capté direct son petit cul bien pommé dans un vieux jeans moulant. Je farfouillai dans un des rayons pour continuer à le mater. Ce mec est hyper bandant et je me chope une bonne gaule ! Fred m’a vu et il sourit en voyant mon manège… Lui aussi à l’air d’avoir chaud devant le mec que je prenais pour un client…
- Willy tu peux venir ?
- Ouais j’arrive…
- Voici Lacen qui voudrait faire un stage en vente.
- Bonjour monsieur. Il me tends une main douce et caressante…
Lacen s’était retourné pour me saluer. Mon dieu, ce type est aussi bandant devant que derrière. Un sourire ravageur, un regard de chat avec des yeux brun vert, des cheveux coupés courts, grand de taille et plutôt asperge tellement il est mince. Ses jambes sont finement musclées comme ses bras mis en évidence par un débardeur sans manches. Sa peau est couleur miel que j’ai envie de lécher. Visiblement, la nature lui a donner une beauté a coupé le souffle mais ne l’a pas oublié côté queue. La sienne est mise en valeur par son jeans serré. On peut même voir qu’il porte à gauche ! J’essaye de garder mon calme et le contrôle de ma gaule mais c’est pas facile… Il a le profil idéal du jeune beur qui nous fait délirer Fred et moi.
- Bonjour. Vous avez quel âge ?
- 21 ans. Je suis d’origine Tunisienne.
- Vous avez déjà travaillé dans un magasin d’articles de sports ?
- Non mais je fais beaucoup d’athlétisme et de la course à pied.
- Oui, ça se voit. Vous avez le physique pour !
- Tu en penses quoi Fred ?
J’en pense quoi ? Ben, qu’il ne faut surtout pas laisser filer ce minet ! L’occasion est trop rare pour ne pas en profiter. Mais je ne veux lui sauter dessus tout de suite. Je fais celui qui hésite avec un air sérieux…
- C’est quand ce moment, on est au complet mais si tu veux, comme l’inventaire arrive à la fin du mois, tu peux nous donner un coup de main dans la réserve. Ensuite, on verra pour ton stage. Reviens lundi prochain. OK ?
Lacen affiche un sourire radieux en forme de remerciement. Maintenant, la question est de savoir si on pourra l’attirer dans notre repère ! Le destin nous a envoyé ce jolis petit lot, c’est qu’il doit être possible d’aller plus loin. J’espère… Je le regarde s’éloigner et ne peut m’empêcher de reluquer son petit cul qui danse au rythme de sa démarche de gazelle. Putain ! Je rêve de le culbuter là tout de suite sur le comptoir et de le faire crier sous mes coup de bite… Fred a rigolé en me voyant barré aux chiottes pour me branler vite fait. Il fallait faire redescendre la pression…
Le reste de la semaine, on n’a baisé comme des malades. On s’est monté des délires de dingues en imaginant le jeune rebeu complètement soumis à notre dépravation. On s’est juré qu’ont arriveraient à le choper coute que coute.
Le lundi suivant, je suis arrivé au magasin vers 8 h. Lacen était déjà là devant la porte à attendre. Fred comme d’habitude arrive seulement vers 10 h…
- Salut ! Prêt pour ta première journée ?
- Bonjour… Oui. Je suis impatient de commencer !
- On ouvre seulement à 9 h. Je vais te montrer la réserve et tu pourras ranger la dernière livraison.
On est seul dans le magasin et je suis là tout prêt de ce mec. Tout m’est propice à tenter une approche mais il me faut être patient. Facile à dire ! Je le trouve aussi bandant que la dernière fois. En plus, il a des attitudes délicates, presque féminines mais sans être maniéré. Tout en lui me chavire et me comble. Et toujours son putain de jeans qui lui colle au cul ! Sans faire gaffe, ce matin, j’ai enfilé un jogging plutôt serré. Difficile de planquer ma trique. Je me suis branlé tout à l’heure sous la douche pour calmer ma libido mais y a rien à faire, ce mec ferait bander le plus hétéro des hétéros !
- Voilà les cartons. Ce sont des speedos. Tu les ouvre et tu les suspends ici. On les marquera plus tard. Ça va ? Tu vas y arriver ?
- Surs ! houaaa ! Ils sont supers ! J’en ai un comme ça. Il est très confortable.
Lacen caresse presque les speedos en les déballant, ses yeux brillent comme un gosse devant une pochette surprise. Je fais exprès de rester avec lui et en profite pour le reluquer. J’ai une envie dingue de lui sauter dessus. J’ai son ptit cul qui bouge sous les yeux et j’ai pas le droit d’y toucher. J’en ai fait la promesse à Fred. Mais je ne sais pas si je vais pouvoir tenir ! Quel supplice… Est-ce le fait de manipuler les speedos ou simplement une réaction matinal chez un mec ? Sa braguette a soudain pris un certain relief ! Pas de doute, le minet en tient une bonne et visiblement, il est bien monté ! On devine le renflement de son gland qui part en oblique. Son jeans est tellement serré au niveau de sa braguette… A vue de nez, je lui donne un bon 18 cm. Il ne parait pas du tout gêné en me foutant sa gaule à portée de main. Il me montre un modèle taille basse, d’un rouge vif.
- Le rêve ! je pensais justement m’acheter ce modèle. Il doit est super confortable à porter.
- C’est pas un peu juste pour toi ? Normalement, je le vend pour les juniors. Pour les adultes, c’est deux tailles en plus au minimum.
- Oui mais je préfère pour le maintien de… enfin vous me comprenez !
- Si tu es à l’aise avec cette taille pourquoi pas !
Soudain, cette petite conversation me donne une idée… Banale pour beaucoup et très salace pour moi !
- Tu peux l’essayer si tu veux. Tu seras fixé.
- Vrai ? Je peux ?
- Mais oui. Tiens, vas dans la cabine à gauche.
Je réalise qu’avec ce speedo et sa taille mini, sa trique va déborder. Je salive de l’imaginer mais je ne me fais pas de film. Et pourtant… 2 mn après, voilà mon minet si bandant qui revient et qui me fait le show sans aucune discrétion. C’est pas une bite qu’il a, c’est un pieu ! Il a même le bout de son gland qui dépasse un peu et ses couilles qui sont à la limite de péter les coutures… Je fais celui qui ne vois rien. Si peu !
- Il est génial ! Comment vous me trouver dedans ?
Voilà bien une question con ! Quoi répondre ?
- Tu ne te trouves pas à l’étroit ? je veux dire, il ne te gènes pas un peu ? Je veux pas être indélicat mais, tu vois quand tu… enfin bref !
Je peux voir ses belles cuisses délicieusement galbées et ses mollets ou se battent quelques poils.
- Ah pour ça ? Et le voilà qui se la touche avec un grand sourire de seigneur, limite exhibe.
- Oui. C’est un peu provoquant non ?
- J’y peut rien. J’arrête pas de bander le matin. Difficile de me contrôler. Et c’est de porter ce speedo qui m’excite. Depuis tout petit, j’ai toujours eu des sensations bizarres. J’adore cette matière.
Au secours ! Aidez-moi ! Je sue, je meurs sur place, j’ai une trique de malade et je peux rien faire. Et ce minou au regard de braise a bien capté mon émoi.
- Vous aussi, vous êtes en forme on dirait !
Je bredouille une connerie quand je vois arriver Bryan, notre vendeur. Dans tout ça, j’en oublie le jour et l’heure. Bryan connait mes penchants pour les boys. J’ai eu l’occasion de le baiser alors évidement, il ne peut s’empêcher de la ramener…
- Ben dis donc, t’es nouveau ici ? Fait gaffe ! Si tu continues comme ça, le boss te signe ton contrat tout de suite !
- Tu veux pas la boucler Bryan ? C’est pas ce que tu crois…
- Ben voyons ! Pas à moi… Je connais vos gouts.
- Retourne au magasin OK ?
Bryan risque de saper la situation. J’essaye de rebondir…
- Ne l’écoute pas ! Il déconne toujours.
- Oh c’est pas grave. C’est pas la première fois qu’on se trompe sur moi. Je sais que je plais autant aux nanas qu’aux hommes alors…
- C’est cool que tu le prenne comme ça.
- Et vous alors ? Je veux pas être indiscret mais j’ai eu l’impression que je vous fait de l’effet…
- Oui c’est vrai. Tu est beau et très désirable mais je suis en couple et ici on travaille. Rien d’autre. Si tu es gêné, je comprendrai que tu veuille partir.
- Mais non. Au contraire. Vous êtes sympa et j’ai besoin de ce stage. Et je ne risque rien j’ai une copine.
D’un coup, la terre s’est arrêtée de tourner. J’ai ressenti un vide dans l’estomac et l’envie de chialer. Comment la vie a pu m’envoyer ce mec et puis me le reprendre ? La journée s’est déroulée pour moi dans une ambiance de deuil. J’ai tout fait pour ne pas croiser son regard, ne pas le croiser du tout.
Fred n’a pas vraiment capté ce qui s’était passé, trop occupé à servir les clients. Le soir, il a bien vu que je faisais la gueule. A force de me tirailler, je lui déballai tout.
- Quoi ? Et maintenant tu capitules ? Tu abandonnes ? Il est où le mec qui voulais se le faire hein ? S i tu crois que je vais laisser tomber, tu fais fausse route ! Je vais te le ramener à la maison ton Lacen. Et on va lui faire la fête.
- T’es bouché ou quoi… il a une copine. C’est clair non ?
- Et alors. Ce serais le premier à gouter à une queue ? Crois-moi. Je l’ai bien regardé. Les mecs qui s’en défendent, je les renifle de loin. Et puis j’ai pas envie de le laisser filer. 3 mois qu’on n’a pas fait valser un minet ! La honte. Le prochain, se sera lui. Maintenant, on va pas l’effrayer. Il faut un plan discret où il ne se doutera de rien.
- Et tu proposes quoi ?
- C’est simple. Dans 15 jours, c’est l’inventaire. On va organier un pot ici avec toute l’équipe. On fera en sorte qu’il reste après.
- Ca ne marchera pas.
- Laisse-moi faire ! J’ai mon idée et c’est la bonne. Toi, tu dis rien et tu joue le patron modèle. Pas de fausse note…
Fred, dont la réputation n’est plus à faire pour l’organisation d’un traquenard m’avait rassuré, même si je doutais encore de la réussite de son plan.
Les 15 jours ont passés et Lacen, stagiaire modèle ne rechigne pas à la tâche. Toujours à l’heure, souriant et anticipant mes directives. Il s’est essayé à la vente avec un certain succès, rendant jaloux Bryan qui commençait à tourner autour avec ses allusions graveleuses et aguicheuses. Mais il resta de marbre tout en le remettant à sa place. Fred et moi continuons à rester discrets sans rien laisser percer de notre plan.
L’inventaire fut très pénible à cause d’une panne du logiciel de saisie. Ce qui aurait dû être fait en 3 heures en a demandé 2 de plus, ce qui me parut une éternité. Comme prévu, toute l’équipe passa la soirée à la maison à manger un bout et en refaisant le monde. Lacen était là aussi, toujours désirable et à l’aise. Je n’en pouvais plus de le dévorer des yeux. Il était affalé sur le canapé, les jambes écartées. Etant en face de lui, j’avais une vue plongeante sur sa braguette et le galbe de ses cuisses. Vers une heure du mat, Fred sonna la fin des festivités, prétextant un coup de pompe. Tout le monde se dirigea vers l’entrée… Soudain, il reteint Lacen par le bras… Là j’ai compris que le plan pouvait enfin démarrer.
- Tu peux rester 2 minutes ? Je voudrais ton avis sur la collection des derniers shorts d’athlé. On gagnera du temps demain.
- C’est que ma copine m’attends et je suis HS !
- Y en pas pour longtemps et comme je sais que tu en porte au Club, ça nous rendrait service.
Fred avait tout prévu ! Ce pervers avait ramener un carton de shorts et de maillots en douce, prélude à une probable débauche… On est là tous les trois dans le salon à déballer les échantillons. Voir Lacen les toucher me chatouille la bite qui réagit instantanément. Avec ce jeans que je porte assez moulant, impossible de planquer ma gaule ! De toute façon, j’ai pas envie !
- Celui-là est pas mal. Et il est bien échancré pour être à l’aise en courant. C’est du 4. Moi je mets du 3. J’ai pas un bassin très large.
- Faut voir sur pied. Va dans la salle du bain au bout du couloir à gauche. Tu l’essayes avec ce maillot. Je veux pas me planter pour la commande.
Je regarde Lacen s’éloigner pendant que Fred me fait un clin d’œil avec son petit sourire de chasseur.
- Et ben tu vois ! C’est pas difficile… Ton Lacen, sa copine va l’attendre un peu. Crois-moi, quand je le vois tortiller du cul, on va bien s’amuser…
- T’as raison, j’ai pas débandé de la soirée ! Mais il risque de se barrer en courant et il ne reviendra pas à la boutique.
- On s’en fou de la boutique ! Ce soir, on baise OK ? Chut… Il arrive.
Lacen revient et alors là mes amis, on décolle direct pour un autre monde ! Dieu que ce minet est sexe… Il a remis ses Nike et l’ensemble est du plus bel effet. On lui tourne au tour, on le frôle, on lui fait faire des mouvements, sous prétexte de voir les mouvements du short, si il est agréable à porter etc… Des trucs cons qui nous chauffent ! Fred à son jogging déformé par une bonne trique et c’est limite si il ne la colle pas contre le cul de Lacen. Qu’elle provoc ! Je fait exprès de remonter un peu le short pour qu’il soit bien en place, ce qui met bien en avant la forme de son zob et de ses boules. Lacen se laisse faire, pensant qu’on le prend pour un mannequin. Mais le mannequin n’est pas insensible ! Lui aussi affiche une trique qui tend le short.
- Dis donc Lacen. Tu es en forme ce soir ! Tu as chaud au dirait… Assied-toi va.
Le minet tombe dans le fauteuil. Il affiche un large sourire. Cette foi ci, il bande à fond. Son short fait le chapiteau qu’il essaye de planquer avec ses main. Moi, c’est clair, je passe à l’action si non, je vais péter un plomb. Avoir ce jeune beur chez nous, en tenue et dans un pose qui appelle au viol, nada, j’y vais ! Je me place derrière le fauteuil et lui susurre à l’oreille…
- Ça va Lacen ? Tranquille ?
- Tranquille ! Mais je vais y aller, ma copine va flipper si je rentre pas.
- Allons, tu as bien un moment non ? Je vais être franc avec toi. Te voir dans ta tenue, ca me plais bien. Pas toi ?
- Si elle est agréable à porter.
- Et tu bandes toujours quand tu es en short ? Pas facile quand tu es en compétition. Mais c’est pas la peine de la planquer. On a l’habitude tu sais !
Lacen c’est relevé d’un coup, l’air furax mais toujours avec une belle trique dans son short… Faudrait savoir !
- Quoi ? Vous voulez quoi… Ah ça y est ! Bryan m’a dit de faire gaffe, que vous étiez de vieux pervers ! Mais pas avec moi. Vos trucs dégueulasses, j’en veux pas ! Je suis pas PD !
Fred que rien n’arrête et surtout pas un gonze récalcitrant s’approcha et lui mit carrément la main au paquet en lui tâtant le zob à travers le short. Le minet commença à se débattre en gueulant toutes sortes d’insanités.
- Allons on se calme Ok ? On veut juste s’amuser un peu avec toi ! Pas te violer.
Soudain, dans un mouvement de survie et de panique, il arriva à se défaire de l’emprise de Fred et se précipita vers l’entrée. Il peut toujours être le roi sur la piste, ici, pas question… Je le rattrapai vite fait en lui faisant une clef de bras.
- Aille ! Vous me faites mal !
- Maintenant, tu fermes ta petite gueule de pute. Tu obéis et tout se passera bien si non…
Je le jetai brutalement sur le canap…
- Tu vois Lacen, depuis le premier jour, je me suis juré que j’allais te baiser. T’es trop mignon avec ton petit corps tout mince, ta bouche à tailler des pipes et ton short sur ton ptit cul ! Y a rien à jeter… Et puis charries pas ! Pour un mec qui veut pas y toucher, t’as la trique facile …
Fred s’était assis sur Lacen à califourchon. Il lui pris l’arrière de la tête et lui foutu la bosse de son jogging sous le nez. J’en profitai pour lui mettre une main dans le short. Putain, ce morceaux ! Je le branlai tout en lui caressant l’intérieur des cuisses. Elles sont d’une douceur incroyable et sa peau est chaude comme la braise. Je me délecte à fond.. Fred baissa l’avent de son jogg et sa pine vint frapper le nez de Lacen.
- Ouvre ! Vite !
- Non !
- Bordel… Je vais pas attendre des plombes ! Grouille…
Notre proie n’ayant pas le choix, ni pour se sauver ni pour résister fini par se prendre le manche de Fred. Pour un mec qui se dit hétéro, je trouve qu’il se débrouille bien. Il suçote le gland, passe sa langue sur toute la longueur puis imprime des vas et vient. Fred est au bord de tout lâcher tellement il prend son pied… J’ai toujours la bite de Lacen dans la main. Elle est longue et fine comme un barreau de chaise. Je malaxe ses couilles qui vibrent. Y avait longtemps qu’on avait pas fait un tel trio. Il faut reconnaitre que les jeunes beurs sont souvent machos et jouent les petites frappes mais Lacen pas du tout. Maintenant, on voit qu’il y trouve du plaisir. Je sens de la mouille au bout de sa queue, prémisse d’une jouissance à venir !
- Ah putain, t’as une vrai bouche de pute…. Tu devrais tapiner ! Hummmm, oui, continue….
Soudain, Fred sentant qu’il allait juter se releva er retourna Lacen sur le dos. Il lui déchira l’arrière du short mais lui laissa le maillot et les pompes. C’est à cet instant précis que les kiffeurs de baise en sapes de sport atteignent le summum !
- Regarde un peu Willy. Il est pas bandant comme ça ? Un régal ! Alors mon minou, ça te plais ? T’aimes-ça finalement… Tu as deux mecs rien que pour toi !
- Oui, c’est génial ! Avoir ta bite dans la bouche, j’ai adoré…
- Et t’as pas envie de l’avoir dans le cul ma bite ?
- Je sais pas encore. J’ai peur d’avoir mal !
- T’inquiètes..
Fred est pressé. Il tient toujours un gaule de bourrin. A peine le temps de s’enfiler un préso et le voilà prêt pour la saillie. J’ai préparé le petit trou de Lacen en lui massant la pastille avec une noix de gel. Il est serré ! J’arrive à passer mon index mais deux doigts c’est limite… Va falloir que Fred l’encule en douceur si non, il va lui déchirer le fondement.
- Ah ce petit cul tout frais et bronzé. Hummmm il est soyeux comme une peau de pêche ! Dis-le que tu as un beau petit derche tout tendre.
- Hummmm oui j’ai un petit cul de gazelle. Putain prend-moi, j’ai envie de ta bite.
Cette pute remue du cul en écartant ses petites miches avec ses mains. Il regarde Fred amoureusement en se léchant les lèvres. Il a encore une grosse envie de sucer mais Fred est déjà à l’œuvre. Il le pénètre doucement, très doucement et arrive tout de même à rentrer la moitié de son zob. Lacen gémit les yeux mi-clos…
- Oh putain, c’est bon, encore, continue, vas-y plus vite, hummmm, oui, encore……
- Fait gaffe Fred ! Tu va lui exploser la chatte, doucement !
- Doucement ? Rien à foutre. Le Lacen maintenant il est PD ! Un bon petit beur PD et il aime ça !
Je me branle comme un dingue en matant mon mec péter le cul de cette tapette. Mais j’en veux encore plus. Puisqu’il aime sucer, je m’approche de sa petite bouche et sans broncher, il se prend mon zob.
A cet instant précis, vous avez un trio en parfaite harmonie : deux mecs en rut qui se prennent un jolis minou par les deux trous. Double et délicieux dépucelage !
Le plan cul dura encore bien une demi-heure et se termina par une bonne faciale pour moi. J’adore juter sur le visage lisse et imberbe de mes jeunes amants alors que Fred a envoyé sa sauce sur le maillot et le short du minet. Lacen n’avait pas débandé. On n’est pas des ingrats. On l’a pipé à tour de rôle avant qu’il lâche son foutre. Fred a tout avalé. Perso, c’est pas mon truc.
Je peut maintenant l’avouer, c’est le plan cul le plus mémorable que l’on ait eu à vivre. D’accord, on l’a un peu forcé et on en est pour un short foutu mais ça valait le coup.
- Pas de regrets Lacen ? Demanda Fred en lui roulant une bonne pelle…
- Non ! Je viens de me faire baiser et j’ai trop aimé !
- Tu viens bosser demain alors ?
- Evidement ! Gloussa Lacen en plotant le jogging de Fred qui reprenait de la vigueur.
J’avais eu le réflexe de filmer mon mec pendant qu’il perforait Lacen et ont a remis ça en baisant jusqu’à 2 heures du matin en se passant la vidéo. On allait pas être très frais pour aller bosser le lendemain !
Si vous avez aimé le trip avec Lacen, que vous kiffez les shorts en nylon et les jeunes beurs, n’hésitez-pas à m’envoyer un petit message, je serai heureux d’y répondre.
Willy.
Nylonshort
jeff88@orange.fr
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