Mon ex m'a largué

Chapitre-2

Cela fait une semaine que j'ai couché avec mon coloc. Ou plutôt, une semaine qu'il m'as tellement bien baisé que je ne pense plus qu’à recommencer.

Les choses n'ont que peux changer entre nous, nous sommes toujours amis mais en plus il passe son temps à me frustrer. Je vois bien qu’il fait exprès de se balader avec un caleçon moulant. Qu'il gémit bien fort en se masturbant. Qu'il laisse la porte ouverte en prenant sa douche.

Mais à chaque fois que je vais pour m’occuper de sa queue, il me retient.

- Non, pas encore, dit-il. Pour avoir ma queue il faudra attendre les résultats du test MST. Car la prochaine fois, c’est ton cul que j’inonde de sperme, pas une capote.

Alors autant vous dire que j’attends avec impatience le courrier.

Mais aujourd’hui en rentrant du boulot, à part les habituelles facture, c’est un carton qui m’attend avec mon courrier récupéré par mon coloc.

On dirait un colis classique mais je vois qu’il a été déjà ouvert et refermer avec un nouveau scotch.

Je rejoins le salon ou Thomas regarde la TV.

- Tu as commandé quelque chose ? demande-je.

- Oh ouais. J’en ai marre de t’entendre râler que tu veux plus quand tu te branle. Alors en attendant les résultats des tests, voilà un petit cadeau pour toi. Va l’essayer.

Je me dirige alors vers ma chambre, le rouge aux joues, et ouvre le colis.

Dedans il y a un d’épais gode noir. Il ressemble à une vraie queue avec de belle veine et un gland épais.

- C’est pour t’habituer, gronde la voix de mon coloc depuis la porte de ma chambre. J’ai commandé début de semaine un kit qui permet de mouler sa queue dans du silicone. Et voilà le résultat. Tu vas pouvoir te préparer pour prendre la vraie.

J’ai alors un coup de chaud. Savoir qu’il a pris le temps de me faire un gode à partir de sa bite. Ça m’excite grave. Je pose alors le gode sur ma table de chevet avant de me retourner vers lui et de commencer à enlever ma chemise.

Je vois bien que mon petit spectacle l'excite. Et alors que je continue de me déshabiller, il caresse paresseusement sa queue par-dessus son pantalon. Une fois complètement nu je peux désormais apercevoir tout le contour de sa queue qui remplit son jeans.

Décidant d’en rajouter une couche, histoire de me venger de toute la frustration qu’il m’a provoqué cette semaine, et me rappelant notre conversation à son arrivée. Je me dirige vers mon armoire tout en remuant bien mon cul pour l’aguicher. J’attrape du lubrifiant et du poppers que je balance sur mon lit. Avant de me pencher, en écartant bien les jambes pour qu’il profite de la vue sur mon trou, afin d’attraper une caisse dans le bas du meuble.

Dans celle-ci je prends un harnais de poitrine en cuir que j’enfile ainsi qu’une paire de pince à tétons relié par une chaînette. Je ne l’ai jamais utilisé sur moi mais ce soir j’ai envie d’un peu de spectacle alors autant essayer. Je prends également un lourd cockring en métal que je viens vite resserrer à la base de mes testicules. Le tout fait bien dresser ma queue et attire le regard de mon coloc quand je me retourne.

Sans le quitter des yeux, j’accroche une pince à chaque téton en gémissant de plaisir à cette morsure inconnu. Le mouvement de la chaînette, alors que je me dirige vers mon lit, fait trembler les pinces et me mets pratiquement à genoux sous cet afflux de plaisir.

Thomas a désormais le regard dur alors qu’il s’approche du lit ou je m’allonge et qu’il plonge sa main dans son pantalon.

Une fois bien allongé, je glisse un coussin sous les reins avant d’ouvrir bien grand mes jambes.

Je le vois qui tend la main vers mes fesses mais je donne une tape joyeuse sur son poignet.

- Non, pas touche, dis-je joyeusement. C’est toi qui as dit qu’il n’y aurait pas de prochaine fois tant qu’on n’aurait pas nos résultats.

Je le vois se renfrogner et je jubile en commençant à caresser ma queue. Une fois celle-ci aussi dur que du béton et avec quelque goute s’échappant du mea, j’attrape le lubrifiant que je fais couler sur mes doigts. Je les approche alors doucement de mon trou.

Tout en m’assurant d’ouvrir bien grand les jambes, je commence à caresser mon anus. Je passe un long moment à tourner autour, appuyer doucement jusqu’à ce que mon trou s’ouvre de lui-même accueillant un, puis deux de mes doigts.

- Putain c’est sexy. Ton trou s’ouvre pour réclamer de la queue. Ma queue.

Ses paroles m’excitent, j’attrape le poppers que je sniff bien avant de recouvrir le gode d’une tonne de lubrifiant.

Mais deux doigts ne semblent pas assez comme ouverture que pour laisser passer le gode. Je m’en vais pour le retirer et essayer encore de m’élargir quand un grondement résonne.

- Non ! Pas besoin de plus. Tu as si bien pris ma queue l’autre jour et avec moins de préparation. J’ai aimé te voir t’assoir prudemment les jours qui ont suivi. Tu devrais toujours avoir le cul douloureux après ma queue. Aller ! Force un peu et rentre ce gode.

- Ça brûle, mon anus va craquer.

- Mais non, il est fait pour ma queue. Tu peux baiser qui tu veux mais ton trou, lui, appartient à ma bite. Cette brûlure est juste là pour te rappeler que c’est moi qui te baise.

Et en disant cela il attrape rapidement le gode avant de le forcer en moi. Je suis incapable de réagir, des larmes coulent sur mes joues mais je ne pense pas une seconde à l’arrêter.

Une fois le gode bien enfoncer je suis en nage. Lui a baisser son caleçon et laisse sa queue bien dure en sortir.

Il attrape mon poppers, le renifle un coup avant de le coller sous mon nez.

- J’ai commis une erreur, je l’avoue. Je n’attendrais pas de recevoir nos tests pour te toucher. Mais je ne vais pas te baiser pour autant. Tu vas juste prendre ma queue bien profonde dans ta bouche pendant que je m’occupe de ce gode. Et une fois qu’on aura fini je vais jeter un œil dans cette caisse que tu m’avais caché. Découvrir tous tes fantasmes et les réaliser. Mais il y a une condition pour que je m’investisse à ce point. Tu seras mien. Je n’ai jamais eu de soumis, juste des soumises. Tu seras le premier mec à recevoir mon attention. Ton trou m’appartient. Si tu acceptes mes conditions je te ferais planer.

Son discours m’a tellement excité que je gobe direct sa queue quand elle arrive près de la bouche. Lui commence à bouger le gode de plus en plus vite, au rythme de ses hanches s’enfonçant dans ma bouche.

La double sensation de sa queue martyrisant ma gorge et chauffant mon canal mes fait rapidement jouir. Une semaine à avoir constamment les boules bleues, malgré mes branles quotidiens, dû à ce mec qui prend plaisir à me frustrer. Il se retire de ma bouche pour me laisser respirer à travers mon orgasme tout en continuant à se branler et à bouger le gode en moi.

Il finit par crier et répandre son jus partout sur ma face et mon corps.

Après un moment il s’allonge à côté de moi, fait glisser le jus sur mon visage jusqu’à ma bouche avant de m’embrasser. Il étale ensuite le mélange de mon jus et du sien sur mon torse et mon ventre.

- Je le pensais ce que j’ai dit. J’aimerais bien t’avoir comme soumis. Tu me rends plus dingue que toutes les meufs que je me suis taper et en plus on s’entend super bien. Je ne veux pas d’une relation amoureuse mais avoir un soumis / sex-friends à domicile voilà qui me tente bien.

- J’avoue que je suis un peu attiré par l’idée. Mais ne compte pas faire de moi un parfait soumis obéissant à tes moindres désirs. Je ressens toujours le besoin de dominer moi aussi.

- Je vais essayer de faire avec. Maintenant va chercher cette caisse que tu planque.

Je me lève toujours nu, maculé de nos spermes mélangés et le gode toujours en moi. Je grimace en marchant et tend une main pour tenir le gode histoire qu’il ne quitte pas encore mon canal. Cette sensation d’être plein de lui me plaît.

- Tu aimes ma queue en toi ? Prend un objet dans cette caisse, n’importe quoi. Le truc qui t’excite le plus. Et je l’utiliserais quand je te baiserai a cru.

Je sors donc une chose, mon plus grand fétiche et je lui apporte avec un grand sourire.