Chapitre-1
C'est la merde. Depuis que mon ex m'a largué je galère.
Ouais c’était mon idée d’acheter cet appart. J’y ai investis tout l’héritage de ma grand-mère mais j'ai quand même dû emprunter à la banque. Le problème c'est que maintenant que je suis seul je n'arrive plus à rembourser le prêt en plus de mes autre dépense habituelles.
Du coup je me retrouve à chercher un coloc. Il me faut plus de thune.
Le gars que j’ai rencontré la semaine dernière est sympa, on devrait bien s’entendre. Il doit arriver aujourd’hui pour emménager.
J'entends qu’on frappe à la porte et vais ouvrir. Il se trouve juste là. Avec à peine 8 ou 9 cartons et une valise.
- Salut, dis-je. C’est tout ce que tu as ?
- Salut. Ouais le père de mon ex-copine est avocat. Autant te dire que je suis content d’avoir déjà récupéré tout ça. J’ai commandé des meubles chez Ikea et ils doivent me les livrer dans l’après-midi.
- Ah merde. S'il te manque des trucs n’hésite pas à demander le temps de t’installer.
- Merci mec c’est cool. Je vais aller déposer tous ces cartons dans ma chambre.
- Attend, je te file un coup de main.
En 4 allers-retours tout est déposé dans la pièce vide qui sera sa chambre.
Alors que je dépose le dernier carton, celui-ci s'entrouvre et me laisse découvrir une collection de godes, plug, fouets, cravache et autres jouets.
- Eh bien, tu ne t’emmerde pas à ce que je vois, dis-je en riant.
- Ouais, répond-il pas le moins du monde gêné. Je pratiquais le bdsm avec ma copine. C’est pour ça que mon ex-beau-père a eu si facile à tout récupéré. Après tout, selon lui, je battais sa fille pour m’amuser. Putain ! S'il savait à quel point elle ne mouillait rien qu’en voyant un peu de cuir, il rirait moins ce connard.
Je suis un peu surpris par son franc parler, mais au final ça me plaît. Au moins je sais à quoi m’attendre.
- T’es pas du genre prude toi, c’est ça ? M’exclamai-je.
- Bof, J’espère pouvoir rester ici un moment alors autant que tu sois prévenu direct. Si ça te pose un problème je peux essayer de me trouver un autre endroit d’ici le mois prochain.
- Non c’est bon. Ça ne me dérange pas. J’aime aussi quelques trucs du genre.
- Ah ouais ? Nickel ça, on pourra se faire tourner les meufs alors.
- Aucune chance, dis-je en explosant de rire. Je suis 100% gay. Je veux bien te rencarder auprès de certains mecs mais je pense qu’ils manqueront un peu trop de poitrine à ton goût.
- Ah ! Pas de bol. Mais au moins je suis sûr que tu ne me feras pas de l’ombre.
Nous sommes interrompus par le livreur qui apporte les meubles. Nous passons le reste de l’après-midi à monter son mobilier tout en faisant connaissance sans pour autant revenir sur des sujets sexuels.
J’apprends pas mal de chose. Il travaille à domicile. Il est auteur et gagne plutôt bien sa vie. Il m’avoue qu’il aurait pu se prendre un appart seul mais qu’il déteste quand c’est trop silencieux autour de lui.
Je lui dis que je bosse dans un bureau à faire de la paperasse chiante et que j’ai besoin d’un coloc pour rembourser le prêt.
Le temps passe. Nous nous entendons plutôt bien.
Des fois ils ramènent une femme à l’appart et je l’entends crier et supplier pour plus pendant qu’il la baise.
Des fois je ramène un mec et je fais mon maximum pour lui faire faire du bruit. Histoire de montrer à mon coloc que moi aussi je suis un bon mâle.
Nous entretenons une petite rivalité sur qui baise le plus, baise le mieux.
Début novembre, autour d’une bière, il me propose un pari. J’ai découvert qu'il adorait parier sur tout et n’importe quoi. Qui remplit le lave-vaisselle le plus vite (lui), qui cuisine les meilleurs pancakes (moi) qui tiendra le plus longtemps en caleçon sur le balcon fin septembre (égalité avec un rhume en bonus pour moi).
- Bon si on mettait fin au débat avant la nouvelle année. Celui qui ramène le plus de conquête à l’appart en 2 semaine gagné.
- Mouais, pas sur de ça. Je fais plus dans la qualité que la quantité. Trouve une autre manière de nous départager.
- Celui qui fait le plus jouir sa partenaire.
- Non, les femmes sa simule trop tu aurais trop facile.
- OK je sais ! Celui qui fait le plus gémir et crier sa partenaire.
- Et comment on juge qui crie le plus ?
- Avec un enregistrement. Chacun le sien et d’ici 15 jours, le 20, on compare les bandes sonores.
- OK, dis-je.
Nous passons alors 20 minutes à enchainer les bières tout en posant les règles de notre défi.
- Et qu’est-ce que je gagnerais fin du moi quand J’aurais fait gémir toutes les meufs du coin ? Me demande-t-il.
- Ça n’arrivera jamais, dis-je de plus en plus ivre. Mais je serais un bon gagnant je te filerai le numéro du meilleur des gars que je me serai fait. Il te donnera des cours.
- Aucune chance mais si tu insistes. Si tu perds tu devras te taper une de mes conquêtes.
- Pas moyen que je bande pour une femme. Ce truc entre ses jambes est si dégueu.
- Bon OK, pas coucher avec, mais au moins une séance de pelotage.
- OK mais quand je gagnerais se sera toi qui te fera trippoter par un mec alors.
Le lendemain alors que je me traînait avec une gueule de bois jusqu’à la machine à café, je le vis déjà tout habillé. Prêts à sortir.
- Ou est-ce que tu vas ?
- J’ai quinze jours pour baiser le plus de meufs possibles, faut que je m’y mette.
- Quoi ? T’étais sérieux à propos du pari. Laisse tomber mec.
- Aucune chance, un vrai homme ne recule devant aucun défi. Tu peux être sûr que je vais m’y donner à fond.
Ne voulant absolument pas être obligé de sortir avec une femme, je me donne également à fond pour ce pari.
Au bout de 14 jour je suis crevé. Je n’ai jamais autant baisé et mon coloc n’est pas en reste. Mais impossible pour le moment de savoir qui gagne.
Le quinzième jour, il débarque dans ma chambre alors que je dors encore. Il me réveille et fous rapidement à la porte le minet avec qui j’ai passé la nuit.
- Allez grouille toi ! Je suis impatient de te battre. J’ai déjà choisi avec qui tu passeras ton rencard. Elle te plaira, un vrai garçon manqué.
Je file juste un caleçon, attrape l’enregistreur sur ma table de nuit et le suis jusqu’au salon. Nous lançons d’abord sa bande son pendant que je chronomètre. Et c’est là que je me rends compte du problème. Passer 1h15 à l’écouter gémir et jouir est une torture pour n’importe quel homo. Même si on écoute en vitesse fois deux, je ne peux m’empêcher de durcir en l'entendant ordonner à une fille quelconque de « prendre sa queue bien profonde, comme la gentille petite pute qu’elle est »
A la fin de son enregistrement nous sommes tous les deux durs mais aucun de nous n’est prêts à l’admettre. Alors comme un con je lance ma propre bande son.
Après 10 minutes de râles masculins je ne tiens plus.
- Putain ! Si on doit écouter ce porno laisse-moi au moins sortir ma queue et me branler
- Ouais ça vaut mieux, je n’ai pas joui dans mon slip depuis mes 14 ans, ce n’est pas à 29 que je vais recommencer.
Et tout en écoutant ma bande son on se fout à poil.
Ma bite est plus grande de quelque cm mais la sienne est tellement plus épaisse.
Alors que nous nous branlons côte à côte, je le vois fermer les yeux. Comme s'il voulait profiter du son de ces râles masculin. Mon colocs hetero à l’air intéressé si j’en juge par sa bite qui laisse fuir du liquide séminal.
Alors doucement je viens entourer sa main de la mienne et accompagner son mouvement.
Il ne réagit pas dans un premier temps mais après 2 minutes ses yeux s’ouvrent et me fixe. Sans me quitter des yeux il écarte sa main avant de remettre la mienne sur sa queue. Son regard me dissuade de faire le moindre commentaire.
Sentir sa queue si chaude dans ma main me fait accélérer mon mouvement sur ma propre queue.
Il attrape alors mes cheveux et plaque ses lèvres sur les miennes. Sa langue force ma bouche et savoure mon goût avant de me relâcher.
- Il paraît que personne ne suce comme un mec, dit-il le souffle cours.
Comprenant le message est pas mal excité je me penche pour le prendre en bouche.
Sa queue m’écarte les lèvres et du liquide salé se répand sur ma langue. Je gémis tout en m’appliquant à le sucer à fond. Je suis incapable de le prendre en fond de gorge mais j’essaie.
Voyant mon dévouement il commence à donner des coups de rein jusqu’à finir par s’enfoncer entièrement.
J’étouffe, j’ai un haut le cœur et je recrache sa bite couverte d’une salive épaisse.
- Putain mec, te voir t’étouffer sur ma queue c’est trop bandant. Je ne pensais pas qu’un mec me ferait cet effet-là.
- Et encore tu n’as pas tout essayé dis-je fier de moi
Je me mets alors à 4 pattes sur le sol du salon dans une invitation explicite.
- Juste vas-y doucement. Je suis rarement passif et tu es vraiment gros.
Il s’installe alors derrière moi et je sens sa langue chaude venir caresser mon trou. Très vite il ajoute un doigt et cette attaque de mon anus. Je sens la chaleur monter en moi et je repousse de plus en plus mes fesses sur son visage.
Il finit par me donner une claque sur la fessé droite.
- Calme-toi ou je me finis en me branlant sur ton cul.
Je gémis sans protester, incapable de formuler le moindre mot alors qu’il ajoute un doigt et vient frotter ma prostate.
- Trouver ! Il parait que ce truc rend fou les pédales dit-il en appuyant plus fort sur cette petite boule en moi.
Il attrape alors une capote, sortit de je ne sais où, et la déploie sur sa queue.
Ses lèvres quittent finalement mon anus et son remplacer par le bout de sa queue. Il crache alors un coup sur mon cul et je sens sa salive descendre jusqu’à mon trou.
- Ce sera suffisant. Je sais que tu peux prendre ma queue rien qu’avec ça. Ça va faire mal mais tu vas aimer cela.
Ce moment où il laisse un peu filtrer son côté dominant m’excite bien et je le laisse faire
Il commence lentement à se pousser en moi. Il écarte mon trou petit à petit, faisant une pause quand je deviens trop crispé à cause de la douleur, mais sans jamais reculer pour autant.
Après ce qui me semble être des heures d’un lent écartèlement, je sens ses couilles contre mes fesses. Nous poussons tous les deux un long soupir de plaisir
- J’adore un bon cul, dit-il, c’est tellement mieux qu’une chatte. Mais la plupart des meufs refusent de se prendre ma queue sous prétexte qu’elle est trop grosse. Mais ton cul à toi la prend si bien.
- En même temps, ta queue me remplit tellement bien. Ça faisait longtemps que je n’avais pas eu envie de me faire baiser ainsi. Maintenant, bouge !
Et il commence alors un lent va et vient en moi. Ressortant presque entièrement sa queue, ne laissant que le bout de son gland en moi avant de revenir jusqu’à plaquer ses couilles aux miennes.
- C’est trop bon, gémis-je, accélère. Prends-moi à fond, ne te retiens pas.
Et d’un coup la cadence augmente. Ses mouvements sont toujours aussi amples mais le rythme a triplé. Toute pensée déserte mon cerveau.
Ses couilles claquent de plus en plus vite contre moi. Mon trou me brûle tant à cause de l’écartèlement que du manque de lubrifiant. Mais cette douleur ne fait qu’ajouter au plaisir.
Après 10 minutes de baise intense il change d’angle et vient désormais frapper violemment ma prostate.
Incapable de réfléchir à autre chose qu’aux plaisir qu’ils me donnent. Je lève une de mes mains et la porte à ma queue. Cependant il l’intercepte et m’oblige à me tenir à nouveau sur mes 4 pattes. Son corps vient recouvrir le mien. Ses mains enserrent le miennes m’empêchait de bouger.
Dans cet position ses coups de rein sont moins amples mais plus violent. Il frappe avec force mes fesses alors que je peine à reprendre mon souffle.
Je le sens gonfler dans mon cul, sa queue palpite avant de jouir dans la capote. Il attrape alors ma queue et sans me branler, serre juste mon gland dans sa paume. Ça suffit à me faire jouir. Nous gémissons tous les deux à travers nos orgasmes. Mon cul pompant encore plus sa queue.
Une fois notre souffle repris, il porte se dégage de moi avant de porter sa main couverte de mon jus à sa bouche. Il lèche mon jus avant de me rouler une pelle au goût de ma semence.
- Putain, c’était chaud, dit-il.
- Ouais je savais que je gagnerais le pari. Mais tu n’étais pas obligé de direct effectuer le gage du perdant. Bien que nous ayons largement dépasser le stade du tripotage.
Nous éclatons d’un rire complice
- Ça te tente de remettre ça ? Pour être franc je ne suis pas sûr d’avoir envie de sortir pour me trouver un coup d’un soir quand il ne fait que pleuvoir à longueur de journée.
- Tu sais, si mon cul te plaît tant que ça il suffit de le dire. Pas besoin d’inventer un prétexte
- Ton cul me plaît et j’ai envie de le baiser souvent. Ça te va comme ça ?
- Ouais. Et puis il se trouve que ta queue me plaît aussi Thomas. Mais j’ai une condition. On va faire un test MST demain. J’ai envie de sentir ton jus en moi.
Et c'est ainsi que commença notre histoire.
Pup Orock
puporock4@gmail.com
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