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HISTOIRE

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Premier épisode

Les contes fantastiques

Chapitre-2 | Un couple parfait à la salle de muscu

Je m'appelle Paul, je suis ce qu'on appelle un "ours"... Ou un "bear" pour les anglophones...

A bientôt cinquante ans, j'ai toujours su compenser la rondeur de mon ventre.

Je sais que c'est de la frime, mais quand la Nature vous gâte avec un membre long de 24 cm et large de près de 5 cm, vous avez envie de vous vanter.

En dehors de la salle de musculation, je trouvais toujours un adorable jeunot pour me vider les couilles.

Si mon fils savait que j'avais probablement baisé tous ses camarades de classe à la fac...

Je me rendais toujours le plus tôt possible à la salle de sport pendant mes jours de repos, je voulais guetter le terrain, déterminer quelle proie je pouvais me mettre sous la dent.

Vous vous demandez peut-être comment un "gros lard" pouvait se faire autant de mecs entrant à peine à la fac ?

Eh bien, figurez-vous que mon membre d'étalon n'est pas mon seul argument. Mon ventre est le seul endroit de mon corps ou vous trouverez de la graisse, même si elle s'est un peu amalgamée à mes abdominaux.

Si je venais à la salle, c'était pour entretenir mes épaules, mes biceps, mes cuisses et surtout mes pectoraux.

Oui, j'étais un nounours, une montagne de muscles velue avec un peu d'embonpoint.

J'aimais voir comment de jeunes musclors devenaient des salopes face à mon priape. C'était pour ça que je venais le plus tôt possible, je voulais tout préparer pour remplir un maximum de culs en une journée !

Aujourd'hui, la standardiste me prévint que je n'étais pas le premier, un jeune couple venait juste d'entrer avant moi.

- Un blond très mignon et une brune aux cheveux très longs.

En entrant dans les vestiaires pour hommes, je me changeai. Je portai un débardeur qui laissait voir ma poitrine velu et un short qui mettait en valeur ma plus grande fierté.

J'entendis un bruit.

S'il y avait bien un son que je connaissais, c'était celui d'un mâle prenant son pied.

Je rencontrais donc le couple.

Je me cachai pour ne pas perdre une miette du spectacle.

Sur les dalles des douches, le blond et sa femme s'envoyaient en l'air.

Je sus immédiatement qui allait goûter à mon dard.

Ce garçon devait avoir la vingtaine. Comme il était allongé, le dos contre le sol, je pus admirer son torse.

Et quel homme !

Il était juste parfait !

Le blond devait avoir la vingtaine, je préférais les minets, mais Dieu que ce jeune marié m'enivrait par sa seule présence.

Il devait s'agir d'une statue de Dieu Grecque à laquelle on avait donné la vie.

Le soumis mesurait près d'un mètre quatre-vingt-huit pour quatre-vingt-dix kilos de muscles.

Il n'était pas très large, mais affichait un corps taillé à la serpe. Comment un gamin pouvait être aussi baraqué ?

Je salivais à la vue des larges pectoraux imberbes, des huit abdominaux en tablettes de chocolat, des larges biceps et des fesses si musclées. Même ses cuisses étaient appétissantes.

Je commençai à me toucher. La jeune femme montait et descendait le long de ce sexe. Je remarquais qu'elle semblait caresser le ventre bosselé de son mari. Etait-ce une zone érogène. Elle ne gémissait pas seulement, elle chantait !

Finalement, ma proie se cambra, tout en cramponnant ses pectoraux d'acier, son épouse se tordit. Ils n'utilisaient même pas de capote.

La jeune femme se releva. Profitant de ses si parfaits abdominaux, le blond en fit de même.

Je pus admirer plus en détail ce corps d'athlète. Même le dos et les intercostaux de ma proie avaient été taillés dans la roche.

Mon apollon ne proposait pas que sa carrure de gladiateur pour satisfaire madame.

22 cm de long pour 4,5 cm de large. La veinarde.

Enfin... Je ne pouvais pas savoir, puisque rien n'avait jamais pénétré mon cul.

Contrairement à moi, le jeune blond ne semblait pas très poilu. Ses cuisses semblaient bien entretenues. Un discret buisson d'or couronnait la base de son membre qui se ramollissait.

J'eus juste le temps de voir le blond embrasser sa belle, et cette dernière claquer violemment cet arrière-train si charnu que je dus me réfugier dans une cabine des vestiaires. J'avais besoin d'évacuer la pression.

C'était du gâchis... Mon foutre aurait pu remplir la gorge d'un éphèbe, mais voir cet étalon combler sa vénus me forçait à me masturber.

En me paluchant, je pus profiter d'un interstice proposé par la porte.

Devant moi, l'étalon blond s'habillait. Il me faisait face.

C'était encore plus un gâchis que de devoir cacher un tel corps sous des vêtements. Je faillis pleurer en voyant son gland circoncis disparaître derrière du tissu.

Le jeune homme n'enfila qu'un short, même pas de slip ou de caleçon, un débardeur noir moulant.

Je sentis ma sève monter au moment où je vis ce jeune soumis se tourner. Ayant posé son sac sur le banc, le beau gosse aux cheveux d'or me montra son cul.

Il venait de se baisser pour chercher ses chaussettes et ses chaussures. Si seulement, mon lait avait giclé entre ses deux miches si fermes...

Je m'essuyai, puis partis jusqu'à mon terrain de chasse comme si de rien n'était.

Le couple réfléchissait aux exercices qu'ils devaient faire, ils lisaient une brochure. Je ne retins pas le prénom de la femme aux cheveux noirs, mais sa salope blonde se prénommait Billy.

Son accent allemand était plutôt charmant.


En voyant ce jeune athlète proposer de plus gros haltères que les miens, je ne pus m'empêcher à la manière dont son visage avait été déformé par l'extase au moment où il s'était déchargé dans madame.

Comme j'avais un haltère par main, Billy prit le plus gros et plaça sa barre entre ses deux épaules. Il ne semblait même pas transpirer.

La journée commença donc. Une musique soi-disant inspirante se fit entendre. D'autres clients de la salle venaient. Billy proposa son aide à un autre gamin, un grassouillet qui courait.

J'appris au passage que madame était nageuse et que ma cible voulait l'aider à trouver des exercices pour ses jambes. Malgré les chansons merdiques, j'entendis que l'athlète aux cheveux d'or pratiquait l'escrime. Il ne s'intéressait pas qu'aux fleurets Occidentaux, il pratiquait toutes sortes de sports de combat basés sur des lames.

La jeune femme tentait de faire des tractions sur une barre. Son mari vint à son secours.

A l'aide de ses puissants pectoraux et de ses biceps, le blond lui montra comment elle devait faire.

Billy descendit et monta. Au bout d'un moment, sa femme plaça sa main dans sa poche.

A ce moment Billy tomba sur son derrière prometteur. Tout en se frottant la fesse, le jeune athlète fusilla son épouse de ses yeux bleu turquoise.

La seule réaction de la jeune femme fut de ricaner et de remettre sa main dans sa poche.

Les joues de Billy s'empourprèrent.

Ce rougissement... La manière dont le blond se tenait... Cette goutte de sueur sur la nuque.

J'avais déjà connu ça avec le colocataire de mon fils. J'eus un doute.

- Non, pensai-je. Ce n'est pas possible... Ils ont pas osé...

La musique était trop forte, je n'entendais pas ce qu'ils se disaient.

L'hypothèse qui m'était apparue repartit aussitôt.

Billy semblait se soucier des autres clients. Il leur donnait des conseils.

Au bout d'un moment, il me prévint :

- M'sieur, vous saignez.

- Ah...! Et c'est "Paul", pas "M'sieur" ! réagis-je.

- O.K ! Excuse-moi...

Je remarquais m'être blessé au niveau du mollet, j'avais dû me couper sur le chemin. Dans le miroir, je vis que trois marques, comme des griffures, avaient abimé ma jambe velue.

J'étais trop occupé par Billy.

Sa femme ayant disparu, le jeune blond donnait des conseils à une femme d'âge mûr.

Au bout d'un moment, le garçon se raidit. La cliente s'inquiéta en voyant son nouvel ami manquer de se plier en deux.

Billy était plus rouge qu'une tomate, il regardait son épouse sortir de derrière une porte.

Je la reconnus. C'était une remise que les employés n'ouvraient presque jamais.

La jeune femme passa la clé à son mari et le laissa foncer dans cette pièce restreinte. Elle lui adressa le sourire d'une sorcière. On aurait dit qu'il avait envie d'aller aux toilettes, mais ce n'était clairement pas la raison de sa précipitation.

Fort heureusement, je fus le seul à suivre Billy. Comment auraient-ils pu y penser ? La jeune nageuse venait d'ôter son haut et de révéler un crop-top moulant ses seins ronds.

Ma cible et elle étaient faits l'un pour l'autre.

Tout en commençant à s'étirer avec vulgarité, la brune me fit un clin d'œil, elle était la seule à avoir remarqué que j'avais suivi son époux.

- Je rêve ou elle vient de faire diversion ? me demandai-je.

J'entrai dans la pièce, l'apollon me tournait le dos. Il semblait chercher quelque chose dans un carton rempli de télécommandes.

Je l'interpelai :

- Eh, gamin ! Tu vas bien ?

En pivotant dans ma direction, le blond me révéla son short déformé par son braquemart gorgé de sang Allemand.

Mes soupçons se confirmèrent quand je découvris à côté de moi une petite télécommande.

Maintenant que la musique ne me dérangeait plus, cette pièce était bien isolée, je pus entendre le bruit de vibration.

Le spadassin avait rangé une lame très spéciale dans son fourreau.

- Retourne-toi ! ordonnai-je.

Sans discuter, le jeune homme posa ses mains sur le mur et me montra son boule d'enfer.

Je fermai à clé.

Mes mains se jetèrent sur le short de Billy et l'abaissèrent : il avait un vibromasseur enfoncé dans l'anus. J'éteignis finalement l'appareil. Billy sembla soulagé.

- Ah... La salope ! réagis-je.

Le blond se retourna, malgré sa gaule de cheval, il m'envoya un regard noir depuis ses yeux bleus :

- Y a intérêt à ce que tu parles de moi !

- Ah... Tu tiens à ta femme ? demandai-je.

- Oui, ça s'appelle "l'amour" !

Putain ce que ce gamin était naïf !

- Et... Elle te met souvent des vibros dans le cul !

- Oui, surtout quand un papa sexy nous mate et compte me baiser ! répondit le jeune escrimeur.

Sous mes yeux, Billy retira chacun de ses vêtements,

Je ne pus m'empêcher d'admirer Billy et ses muscles parfaits.

Tout comme lui était incapable de ne pas se lécher les lèvres en voyant mon phallus.

La douce main du garçon caressa ma joue poilue, il se confessa :

- C'est toujours comme ça... Ma princesse adore voir combien de temps les papas dans ton genre mettent avant de m'ordonner de me laisser faire. Donc si tu veux me féconder... Dis-le moi !

Le blond me tourna à nouveau le dos. Il cambrait ce dernier.

Il posa deux doigts sur ses fesses musculeuses.

Je retirai donc l'engin.

Il m'était facile de deviner la taille des membres des autres mâles, mais ce vibromasseur n'était pas dans mon domaine d'expertise.

Billy répondit :

- Si tu veux savoir, Paul, c'est du 18 cm. Mon Orriah préfère que je me prenne du naturel, alors on allait pas gaspiller du temps à trouver plus gros.

Sa femme s'appelait donc "Orriah"...

- C'est quoi, ce prénom ? me demandai-je.

Le jeune blond me tendit ses lèvres, je ne tins pas longtemps et me jetai dessus. Je laissai le sex-toy rouler sur le sol.

Mon libertin passa ses bras autour de mon torse, sa langue pénétra ma bouche.

L'appel de ce corps si viril, si puissant, était irrésistible, tout en lui rendant son baiser, je caressais le corps de la pute qui me déshabillait.

Au moment où il m'ôta mon haut, nous interrompîmes un moment le patin que nous nous roulions. Sa chaude haleine frappa mon visage, ça sentait les fruits.

Mon nouveau vide-couille caressa un de mes mamelons entourés de poils :

- Tu sais, me dit-il, hier, Orriah s'est fait deux jumeaux dans cette même pièce... Tu peux me faire tout ce que tu veux. Personne n'entendra !

Je décidai donc de goûter à chaque parcelle de ce corps de super-héros Hollywoodien.

Billy me lécha sucer son cou, puis sa nuque, puis un mamelon.

Je léchai ses aisselles rasées, mais ne perçus aucune odeur désagréable.

Je mâchai un pectoral, mais je trouvai son point faible.

La chienne en chaleur qui était en lui lâcha un petit gémissement à peine mes lèvres furent-elles posées sur un de ses abdos.

Je mordis ce muscle avant de le suçoter.

Le gland du blond laissait perler quelques gouttes.

Je décidai donc d'imposer un suçon et quelques morsures à chacun des carrés de ce ventre ciselé.

Le jeune sportif enfonça ses mains dans ma chevelure.

Je me relevai et collai son beau visage imberbe sous mon aisselle.

- Finalement, tu sais quoi ? Tu vas me vouvoyer, sale pute ! exigeai-je.

- Oui, maître ! déclara mon parfait amant.

Je pliai mes bras, la langue et les mains de ce jeune hercule les flattait. Je n'en revenais pas :

- Comment sa peau pouvait être aussi douce ?

Cet Allemand sculptural m'était soumis.

Je ne pensai pas avoir un jour autant bandé de ma vie...

Ce type qui aurait pu être mon fils mettait chacun de ses magnifiques muscles au service des miens.

Il prit ma poitrine entre ses deux mains et enfonça son visage d'ange dans mes poils.

- Suce-moi ! ordonnai-je.

Mon short tomba.

Billy s'allongea sur le sol et ouvrit la bouche.

Il avait raison : je risquais déjà de l'étouffer, alors autant être certain que je comble bel et bien toute sa gorge.

Je me mis donc à genoux.

Je plaçai donc la belle tête dorée entre mes cuisses.

Sans se plaindre, mon esclave laissa mon épée découvrir ce nouveau fourreau.

Les coups de langues de Billy révélaient son expertise.

La fellation fut intense !

Ce garçon aurait pu me faire juter ! C'était moi qui lui baisais la bouche, mais chaque action de sa gorge, de ses lèvres ou de sa langue visait juste.

Je saisis la poitrine si ferme de ma pute et burinais sa belle gueule.

J'entrai, puis faisais semblant de sortir pour pouvoir pénétrer derechef ce confortable trou.

Je finis par sentir que mes couilles remontaient.

Mes testicules poilus fouettèrent une dernière fois le nez de mon jouet.

Je hurlai.

Mon rugissement accompagnait les jets gras que je libérais dans la bouche de cette salope Allemande.

Mes successions de coups de reins ne cessèrent qu'au moment où j'étais certain de ne plus éjaculer.

Toussotant, le jeune blond se releva, il essuya la mixture de salive et de jus masculin qui couvrait sa gueule.

- Putain ! T'as tout avalé !

Soudainement, Billy se mit à quatre pattes et m'offrit son cul

La soumission soudaine de ce "mâle alpha" ne cessait de m'étonner.

- Maître, si vous voulez, il y a des capotes et du lubrifiant dans ma poche arrière gauche.

Je frappai violemment le derrière musclé de mon esclave et écoutai son conseil. Je me positionnais derrière lui, ma queue encore gluante caressait son sillon fessier.

Avant toute chose, je saisis sa chevelure dans ma grosse main, puis tournait son visage vers le mien :

- Avant tout, supplie ton maître !

Le jeune blond lâcha un couinement de pute :

- Maître, par pitié, défoncez-moi la prostate ! Je vous en supplie !

Personne n'aurait pu résister à ce regard bleu turquoise.

Je déroulai le préservatif sur ma bite, ne me demandant même pas comment le gamin pouvait avoir pile ma taille.

J'étalai un peu du liquide rose sur mon sceptre de chair et fessai Billy :

- Je vais tellement te baiser que même la chatte de ta femme ne te suffira plus !

- Oui, par pitié ! lâcha l'apollon.

Il était temps que ce tas de muscles découvre pourquoi j'arrivais tous les jours à me trouver un nouveau vide-couilles.

Je ne me dis pas prier pour profiter pleinement de la situation.

Petit à petit, mon énorme gland capoté s'introduisit dans cet anus, j'écartai les deux globes de chair avec mes mains.

Finalement, il me fut facile de claquer mes couilles velues, contre celles, lisses et imberbes de ma pute !

Nous n'étions plus que deux bêtes juste bonnes à assouvir un besoin de lascivité et de plaisir charnel.

Agrippant les hanches musclées du blond que je prenais en levrette, je fis en sorte qu'il se souvienne de chaque mouvement d'allée et venue.

Le pauvre, avec ma brutalité et mes proportions, il devait avoir l'impression que ses organes internes menaçaient de se faire siphonner chaque fois que je reculais. Chaque fois que mon scrotum s'abattait sur le sien, Billy pouvait être rassuré.

Rapidement, les bras, symboles de force pure, de Billy, lâchèrent.

Mes va-et-vient devinrent de plus en plus intenses. Mes coups de reins bestiaux me permettaient de me laisser aller.

- Sale pute ! lui criai-je.

Les énormes couilles heurtaient celles de Billy de plus en plus férocement. J'aurais pu le rendre eunuque à force de les pilonner.

Chaque ramonage de ce derrière augmentait le nombre de gouttes de sueur qui tombaient sur ce dos si parfait, la sensation de puissance était incroyable.

Toute la force de mes muscles se concentrait dans mes jambes. Mon glaive pouvait à tout moment pulvériser la prostate de ce pauvre garçon.

J'admirais ainsi le corps si musclé de Billy.

Cette salope blonde réclamait toujours plus de puissance :

- Plus fort ! Maître ! PAR PITIE ! PLUS FORT!

Les coups de butoir me faisaient mal aux couilles, les frapper contre celles de cet apollon devenait de plus en plus difficile.

Paul n'existait plus, ce corps rondouillard n'était plus qu'un animal en rut.

Billy criait de plaisir, mais je ne comprenais pas l'allemand. Bien que possédé par mes propres hormones, je trouvai la force de venir caresser ce corps de Dieu Grec.

Tout en enchaînant les accélérations et ralentissements de mes coups de reins bestiaux, je cajolai les épaules, puis les pectoraux de mon prince charmant.


Ma bouche embrassa son, mes mains redécouvrirent chaque abdominal de ce ventre bosselé.

Je pinçai même un mamelon. Après avoir flatté les muscles si joliment dessinés de ma salope, j'atteins le paroxyse de ma vitesse.

Billy aurait pu en tirer la langue d'extase.

Le jeune hercule blond n'attendait que le moment durant lequel son amant allait se vider les bourses dans son cul.

Je sentis donc ma sève remplir le préservatif.

Le jeune athlète supplia, il exigeait de se faire toujours défoncer. L'animal que j'étais devenu se décida à enfiler son tas de muscles en missionnaire

C'était la meilleure position pour admirer son torse et ses bras si puissants.


Me laissant emporter par les derniers moments de la luxure, je continuai de bourriner ce pauvre garçon jusqu'à ce que je sois certain que mes testicules étaient entièrement vides.

Je me retirai. J'admirai le bodybuilder que je venais de transformer en salope.

********

Une fois notre moment de répit pris, le blond et moi vérifiâmes que nous respirions normalement, puis sortîmes du placard.

Je fermai à clé, me demandant si Billy avait remarqué qu'il avait laissé trainer le vibromasseur et la télécommande de sa femme. Je ne pris pas la peine de rendre sa clé à la jeune femme qui embrassa son époux sur la bouche.

Pendant notre douche, je dus affronter la terrible réalité. Billy avait réussi à me traire jusqu'à la dernière goutte. Mon pénis restait flasque.

J'avais toujours des exercices à faire, et de nouvelles salopes à trouver. Orriah et son mari allaient partir.

Avant, la jeune nageuse voulut me chuchoter à l'oreille :

- Deux choses : Un) Evidemment que les abdos de mon Billy sont l'une des zones les plus érogènes de son corps... Deux) Ne t'attends pas à rencontrer quelqu'un d'autre portant mon prénom.

La brune se saisit de la main du mâle qui portait leurs deux sacs de sport. Ils s'échangèrent un dernier baiser, langoureux à souhait, puis s'éclipsèrent jusqu'à la réception.

Avant de partir, Orriah me montra l'objet qu'elle avait en main. Billy s'immobilisa, il tremblait. Son joli popotin aussi. Je ne l'avais pas quitté des yeux, à quel moment sa femme avait pu à nouveau le remplir. Et surtout :

- Comment a-t-elle récupéré le sex-toy et la télécommande ?

Je remarquais deux choses avant de retourner à es exercices : Ma blessure au mollet avait disparu et je savais que je n'avais pas rêvé...

Les yeux de la jeune femme étaient violets !

Archangeru77

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