Premier épisode
Chapitre-2
Ce brave Rex avait passé la nuit dans son panier et je m’étais aussi bien reposé. Tout en somnolant, je tapotai le lit en l’appelant. Il bondit sur le lit, un peu gauche car légèrement endormi encore et vint chercher mes caresses. Je dois bien avouer que mes intentions étaient tout autre. Après quelques caresses, je me suis levé avant de lui présenter mon érection, sans attendre je lui ordonnai de se mettre à quatre pattes et au travail. Même au réveil, il s’est montré efficace, sa langue après avoir lécher mes couilles, s’entoura autour de mon pénis avant de me happer dans sa gueule, mais un détail me chiffonna assez vite quand je fus plus réveillé : le Tailplug avait dû glisser pendant la nuit et je le retrouvai dans son panier. J’allais me mettre en colère mais je me ravisai assez vite et pour le remercier de cette fellation matinale, je ne pus m’empêcher de le propre comme le bon chien qu’il était. Je rentre d’un coup bien placé jusqu’à la garde et lui attrape le collier avant d’enchaîner les coups de rein qui lui arrachaient des jappements et grognements de plaisir. Je prenais mon plaisir sans trop me soucier de lui, j’adorais sentir mes couilles choquées les siennes et que mes coups de rein s’écrasaient contre ses fesses bien rondes pendant que je le retenais fermement par le collier. Du pur doggystyle. Mais après dix bonnes minutes à cette cadence, je déversai mon jus du matin en lui et pour faire bonne mesure lui cala un plug qui trainait dans le tiroir de la table de nuit. C’était davantage un doudou qu’un plug : il n’était pas très impressionnant, mais il ferait son office.
Sans plus attendre, je parti prendre une douche, mais étrangement, il fut plus rapide que moi alors qu’il semblait savourer son plaisir tranquillement sur le lit. Je le retrouvai assis dans la baignoire, il avait retiré son hood et je compris assez vite son intention. J’hésitai un instant car je n’étais pas son propriétaire, mais je devais en même temps le maintenir dans sa routine. D’abord, je lui caressai le visage pour lui faire comprendre que j’acceptai sa demande, puis je reculai d’un pas, je pris mon pénis en main et commençai : le jet atterrit sur ses cheveux avant de couler le long de son visage. Il commença alors à redresser la tête pour mieux me regarder et fixer mon pénis qui l’aspergeait. Il en était tellement content qu’il se pissa dessus. Il faudra faire une machine ! Cette première douche finie, il avait besoin d’un bon toilettage et je décidai aussi de différer un peu la balade du matin. Je l’ai donc bien lavé ! Comme nous allions sortir toute la journée, je lui laissai le soin de choisir sa tenue.
Pendant qu’il alla s’habiller, je finis de prendre ma douche et je préparai le petit-déjeuner en peignoir. Je ne prenais qu’un café ce matin-là et parti dans la chambre remettre de l’ordre et nettoyer ce qui en avait besoin. Je sortis en jeans noir, t-shirt blanc, lui dans une tenue classique, semblable à celle dans laquelle il était venu me chercher la veille à la gare. J’avais néanmoins reçu des recommandations à suivre par téléphone le matin-même et j’examinai donc l’animal : sa cage de chasteté était bien en place et je m’appliquais à glisser un plug avait de partir en promenade pour la journée, afin de rester en forme : rien d’extravagant, je lui calai celui que j’avais trouvé le matin dans la chambre d’ami. Il me demanda de ne jamais rester bien loin de lui et de faire attention de ne pas le perdre de vue car il avait parfois du mal avec la foule, il vivait en ville pour le travail, mais préférerait vivre dans la campagne du Schleswig-Holstein, le long de la Baltique. Il m’avouait que l’air de la mer lui manquait. Il faudrait se contenter des bords du Rhin pour la journée, je n’allais tout de même pas le kidnapper si prêt du concours.
En rentrant de notre journée et avant d’en perdre l’envie, j’allai enfiler une tenue de sport pour ma routine. Je travaille au poids du corps et avec un élastique de 35kg pour travailler l’ensemble du corps. Personnellement, je préfère à la fonte et ça permet de ne jamais perdre le rythme, même pendant le dogsitting. En plus, j’aime l’élastique pour une tout autre raison, tirer sur l’élastique me donne l’impression de retenir un pup en laisse. J’aime entretenir cette impression d’autorité, de maintenir une laisse fermement et de garder le contrôle malgré la tension. D’abord, j’envoie Rex se changer, car lui aussi doit effectuer ses exercices, pendant que j’installe les tapis. En musique et c’est parti : d’abord les bras en faisant travailler les biceps, je poursuis toujours par les squats car quand on aime les promenades et courir après les pup, c’est essentiel d’entretenir les cuisses et le fessier, et ainsi de suite pendant 45minutes. Rex aura donné tout ce qu’il pouvait, j’avais le sentiment qu’il voulait m’impressionner et avait fini hors d’haleine. Il était temps de s’étirer et de relâcher les tensions : on commence par la posture de l’enfant, on commence fesses sur les talons et on allonge les bras le plus loin possible. C’est plutôt une posture féline, mais rien de tel pour mettre les fesses en valeur après l’exercice et dans son petit short moulant violet (vous connaissez ma passion violente pour cette couleur), le galbe de ses fesses se dessinait généreusement : j’aurai pu lui bouffer le cul dans l’instant et je voyais bien qu’il ne portait aucun sous-vêtement. Le temps de retrouver son souffle, je lui fais bomber le dos en inspirant et je fais glisser ma main sous son ventre pour appuyer son inspiration avant de lui faire creuser le dos pour expirer. La position idéale pour lui, à quatre pattes, les fesses bien exposées vers l’arrière, la tête en avant, il était fier de lui et s’appliquait dans la posture. On recommence et on finit par la posture du chien tête en bas, et là je n’ai plus eu aucune hésitation : pour l’accompagner dans l’étirement, je me suis collé à lui, il a dû sentir mon érection vibrée contre sa rose tellement il avait les fesses écartées, et je me suis frotté à lui avec une envie non dissimulée. Il a été très réceptif, il tendait encore plus les fesses vers l’arrière pour bien imprimer mon pénis contre lui et se frotter lui aussi contre moi.
Après cette séance de sport, une odeur de sueur et de testostérone avait envahi la pièce et je ne répondis plus de moi, tellement l’envie d’arracher ce short violet m’animait, mais je n’étais pas son propriétaire et je m’étais engagé à prendre soin de ses affaires. Il n’a même pas eu le temps de se redresser que je l’ai placé à genoux devant moi avant de lui présenter mon sexe qu’il s’appliqua à lécher de tout son long de haut en bas. J’avais adoré le voir en action durant cette petite séance d’exercices, mais je n’avais qu’une idée fixe à cet instant, le nourrir de mon jus ! rien de tel qu’un cocktail de protéine après l’effort pour se détendre. Vu mon excitation, cela ne fut pas très long avant qu’il ne se lèche les babines et je l’envoyai se doucher.
Alors il eut un petit geste de révolte en partant à la douche, il m’a jeté son short à la figure, avant de tourner les talons en roulant du cul, pour bien me montrer le plug que j’avais installé le matin même avant de sortir. J’ai dû me contenir un instant, mais Rex semblait oublier que les pups n’étaient pas des chiennes, on les entraine pour leur docilité virile, leur soumission à une hiérarchie bien établie, leur forme masculine, leur servitude volontaire et ce n’est pas avec moi qu’il allait jouer les petites salopes efféminées. Puis après tout, je n’ai pas voulu laisser passer cette rébellion : je suis allé chercher un préservatif et l’huile piquante de son propriétaire : il me fallut un bref instant pour être de nouveau en forme, me glisser dans le préservatif et l’enduire du fameux lubrifiant. J’allai tout de suite dans la salle de bain, lui attrapait le collier avant de tirer sur le plug. Je glissai vite fait un doigt pour lubrifier et avait qu’il ne comprenne me calai bien au fond de lui. Je restai un instant sans bouger pour qu’il ressente l’huile piquante et quand il gémit, comprenant sa punition, j’ai commencé les coups de rein, mais très lent afin qu’il ressente bien les effets de l’huile ; il n’aimait visiblement pas ce traitement, mais que pouvait-il bien faire. Je lisais un mélange de douleur et de plaisir dans le miroir en face de nous et pour la première fois, il chercha à se libérer de mon sexe. Clairement, c’est ce traitement qui lui déplaisait, mais il me fallait poursuivre dans ma punition ! J’ai alors restreint ses mouvements avec des menottes et je lui ai posé un bâillon après l’avoir trempé dans l’huile, avant de reprendre ma sodomie en douceur, centimètre par centimètre, bien lentement. Je sentais l’effet de l’huile sur mes doigts et j’avais donc un aperçu de ses sensations et il devait ressentir une sacrée douleur sur les muqueuses anales. Il commença à me demander d’arrêter, qu’il avait trop mal, cela le brûlait atrocement. Il sanglotait même maintenant. Vous connaissez ma bienveillance, je suis contre les douleurs inutiles, alors je me retirai, mais pour qu’il comprenne bien je lui ai pénétré la bouche le préservatif toujours en place et jouis assez vite. Pour faire bonne mesure, je lui ai vidé la capote dans la gueule avec une goutte d’huile.
Il m’a promis de rester bien sage et docile le reste du séjour ! Pour que cesse la douleur, je lui ai préparé un vrai milkshake et je lui ai appliqué une crème apaisante à l’aide d’un gode réfrigéré dans l’anus. Il semblait beaucoup plus apaisé après une bonne heure, mais la soirée était encore jeune et je voulais profiter de cette semaine du carnaval à Cologne et des festivités.
Bearben
bearben@gmx.fr
Autres histoires de l'auteur :