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Chapitre-6
Mon installation chez Ludo s’est bien passée. Je craignais mais finalement il a cette manière d’être doux et attentionné et d’un coup de faire surgir le mâle dominant. Le problème est que ça peut être à n’importe quel moment où plus ou moins n’importe où, ce qui peut me faire rougir instantanément.
C’est arrivé quand on est parti en vacances avec mon père. La proximité dans un bungalow me fait baisser la libido, pas envie de m’afficher. Mais Ludo a des besoins et des envies. Au bout de deux jours, ne pas à voir la possibilité de se retrouver seul avec moi dans le bungalow pour me prendre et surtout me démonter le rend tendu.
« Il faut que tu arrives à faire partir ton père pour que je te baise. Sinon, il va apprendre et pas de la meilleure des manières la salope soumis que tu es devenu »
Sauf que… je n’y arrive pas. Pas moyen que mon père nous laisse. Évidemment, ce qui devait arriver, arriva à la fin d’un repas:
« ça fait trop longtemps, viens dans la chambre que tu t’occupes de moi avant que je te démonte ».
Un froid est passé sur la table. Surtout que Ludo avait dit ça de manière totalement naturelle mais en même temps sur un ton qui n’admettait pas la répartie.
Blanc, je me lève et le suis. Je ne sais plus où me mettre.
« Je t’avais prévenu qu’il fallait que tu trouves une solution. Tu n’as pas réussi, j’ai pris les choses en main.
• mais c’est horrible
• C’est la vérité. Mets toi à genoux dos au mur que je te démonte. »
Dans cette position, je ne peux rien gérer. La tête bloquée contre le mur, je suis à sa merci. Dans ces cas la, il se plaque la poitrine et le ventre au mur et c’est par un mouvement de bassin qu’il me prend la bouche. A moi d’encaisser le rythme, la respiration. Et j’ai l’impression que c’est une manière de me faire disparaître et ainsi me rappeler ma place.
Et il y va franchement. Je bave, j’ai du mal à respirer. J’ai les larmes plein les yeux. J’ai du mal à encaisser mais lui n’en a que faire. Et surtout, je sens ma tête qui cogne à chaque coup en fond de gorge sur le mur. Aucun doute n’est laissé à mon père sur ce qu’il se passe.
Je ne sais pas combien de temps ce traitement dure mais pour moi c’est une éternité. Le fait de ne voir que le pubis aller et venir, aucune possibilité de m’échapper, le bruit que ça fait,… tout concourt à me retourner la bouche et le cerveau. Quand il ressort de moi, un long filet de bave me relie à sa queue toute gluante. J’ai les yeux d’un panda tellement ils ont pleuré. Mais il n’a pas ejaculé.
« Bon on va passer aux choses sérieuses. Je vais te faire crier.
• non pitié mon père est à côté
• A toi de voir comment tu t’en sors. Mais à mon avis il n’aura aucun doute sur qui se fait démonter et comment tu es un soumis à ton mâle.
• Oh non
• Dis moi qui est ton maître!
• C’est toi Ludo »
Pendant qu’il me parlait, il me fait mettre a genoux sur le petit lit contre la paroi intérieure de la chambre et à peine ai-je fini de dire que c’était lui d’un coup sec Ludo m’emmanche jusque la garde. L’air me manque et quand je parviens à respirer je ne manque pas de crier ce qui le fait bien rire. Il n’attends pas que mon anneau soit à sa taille et enchaîne direct avec un limage énergique sur toute la longueur. Ça me chauffe le cul mais surtout ça fait bouger le lit qui à intervalles réguliers vient cogner la paroi de la chambre. La encore, ça ne manque pas de résonner dans tout le bungalow.
Il est en train de me défoncer le cul après s’être bien tapé ma bouche. Ça chauffe, c’est douloureux mais j’y trouve mon plaisir. Il n’a toujours pas ejaculer que je lui demande grâce!
« Depuis quand j’aurai pitié pour toi? Tu as voulu ma queue, tu l’as. Maintenant faut assumer
• techniquement c’est toi qui es venu me chercher, c’est toi qui a fait en sorte que je t’appartienne.
• Mis à part la première fois où je t’ai forcé la main, c’est toi qui es revenu
• Tu m’as fait capituler!
• C’est pas ma faute si ton ancien domi n’était pas si domi que ça. Avec moi tu vois ce que c’est qu’un alpha
• Je sais j’ai peu de chances de te tenir tête ou te résister
• Non effectivement. Tu ne peux pas.
• Mais la tu n’étais pas obligé de m’infliger cette honte
• Pourquoi? Au moins ton père sait qui est le bonhomme ici. Et je ne t’avais pas pris en traitre, je t’avais prévenu. Tu aurais fait le nécessaire, tu n’en serais pas la. Maintenant, ferme la et encaisse. »
La séance dure encore de longue minutes. J’ai les jambes qui flageolent, du mal à rester en place mais lui semble infatigable. Finalement, il s’enfonce en moi, écarte mes fesses pour gagner quelques millimètres et éjacule de longs jets que je sens atterrir en moi.
« Et surtout, tu gardes bien tout. Tu ne vas pas évacuer aux toilettes
• oui dis je limite la larme à l’œil.
• On dit oui maître face à une telle demande.
• Oui maître! »
Quand nous sortons, mon père nous regarde bizarrement. En même temps je sens le sperme qui coule le long de ma jambe. Je me retrouve encore dans une situation improbable.
Plus tard dans la journée, j’en fais part à Ludo qui rigole. « Il ne tient qu’à toi que ça s’arrête la. Tu sais que j’ai des besoins, que j’aime te dominer et que tu m’appartiens sexuellement. Donc si tu veux pas que tous tes amis le sachent, à toi d’agir en conséquence. »
La menace est à peine voilée. Surtout qu’à priori rien ne l’a dérangé et qu’il a agi ensuite comme si de rien n’était. Je suis juste rouge avec des yeux de panda tellement j’ai été bourriné!
Shernabog
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