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28 | Les yeux bandés
1 - Comme d'habitude, mon pote DJ (chapitre 7) est venu me défoncer le cul.
Après m'avoir rempli, il s'assoit, nu, sur le bord du lit. Nous étions en sueur et éreintés par cette baise toujours aussi magistral. Il me faut préciser que nous étions en plein mois d'août, et que mon malheureux petit ventilateur ne suffisait pas à nous rafraîchir.
"Amène moi une bière, P'tit bâtard." M'a-t-il demandé avec son air satisfait en me claquant les fesses.
De retour avec les bières, je l'ai retrouvé étendu sur le lit, bras et jambes écartées.
Il s'est redressé en me voyant arriver. En sirotant sa bière, il m'a dit avoir souvent repensé à l'histoire que je lui avais raconté quelques jours auparavant après qu'il m'ait baisé.
Je lui avais, ce jour-là, parlé de la fois où mon ex, avec qui j'étais alors, avait "autorisé", sans m'en avoir parlé, un de nos amis à me défoncer le cul alors que je pensais me faire sauter par mon mec (chapitre 13).
Il m'a avoué s'être, à plusieurs reprises, branlé en se repassant la scène dans la tête. Scène qu'il aurai adorer vivre lui-même.
Je lui ai donc rappelé nos plans avec l'hétéro-voyeur (chapitre 6). Mais il m'a dit qu'ils n'étaient pas comparables car je savais, à chaque fois, qui m'enculait, l'hétéro-voyeur ou lui. Il a ajouté que m'imaginer me prendre une queue inconnue dans le cul sans même que je ne le sache et me voir kiffer, l'exciterait beaucoup.
Nous en sommes restés là car sa queue, à l'évocation de ce plan à "l'aveugle", s'était raidie et, pour me "punir" de l'avoir fait bander, il m'a démonté le cul violemment avant de partir comme un voleur, les couilles visées et le sourire aux lèvres.
2 - Lors d'un de nos nombreux rendez-vous baise, il m'a parlé d'un de ses collègues et amis. Un superbe mec d'1m90, châtain, yeux noisettes, sportif et à la bite démesurée. En me montrant ses photos, il me dit que jamais il n'avait baisé ensemble bien qu'il soit bi.
"Putain, lui, il peut me casser le cul quand il veut." Ai-je réagi spontanément.
"Ouais, ouais. Je reconnais bien le bâtard. Peut-être un jour, si je me lasse de ton cul." A-t-il dit sur un ton sérieux et plutôt songeur.
"Tu sais que mon cul est à toi. Tu peux en disposer quand tu veux. Tu en fais ce que tu veux." Lui ai-je annoncé.
"Je retiens. Dis moi, tu me fais entièrement confiance ?" M'a-t-il demandé.
"Entièrement." Ai-je conclu cet échange.
Ces petits moments après nos baises torrides me plaisaient. Il était loin le temps de notre première rencontre où il m'avait dit "pas un mot, pas d'attache, pas de deuxième fois."
3 - Un matin, alors que j'étais au boulot, il m'a envoyé un SMS.
"Salut p'tit bâtard. Je viens te remplir le cul après le taf vers 18h. Porte ton jockstrap rouge et bande-toi les yeux." M'a-t-il ordonné.
"Ok." Ai-je répondu.
Il savait pertinemment que mon cul lui était toujours réservé. Par contre, les yeux bandés, c'était nouveau.
A cause de lui, je n'ai pas pu me concentrer de toute la journée. Je ne pensais qu'à sa queue qui, bientôt, glisserait dans mon cul.
La fin de journée approchée. Je trépignais d'impatience de rentrer chez moi pour me préparer à encaisser les assauts de mon pote DJ.
A peine rentré, j'ai pris une douche puis, comme il me l'avait demandé, j'ai enfilé mon jockstrap rouge. J'ai attendu, excité, qu'il arrive.
Peu avant 18h, il m'a envoyé un SMS.
"Entrouvre la porte et prépare-toi à encaisser, j'arrive. N'oublie de te bander les yeux. Je ne veux pas un seul regard. Juste ton cul à dispo."
"Putain, il a l'air hyper chaud." Me suis-je dit en entrouvrant la porte de mon appartement. Je me suis, très vite, installé à quatre pattes sur mon lit, poppers à la main, et me suis bandé les yeux avec une écharpe en tissu.
Il n'a pas fallu longtemps pour que j'entende la porte de mon logement claquer.
"J'espère que tu as bien les yeux bandés mon p'tit bâtard. J'vais m'occuper de ton cul comme jamais je ne l'avais fait."' m'a annoncé mon pote DJ en s'approchant. "Et oui, il est déjà prêt à encaisser mon beau bâtard. Et comme toujours, le nez déjà dans le poppers." A-t-il ri.
Ses mains se sont posées sur mes fesses pour délicatement les caresser. Il s'est ensuite accroupi et les a écartées.
"Regardez-moi ce trou. Tout rose et déjà dilaté à l'idée de se faire mettre. Mais quel petit bâtards."
A peine ces mots prononcés, qu'il a commencé à me bouffer le cul.
En effet, il était super chaud pour me bouffer le trou ainsi. C'est une chose qu'il n'avait jamais faite. Il me le bouffait avec appétit en plus. J'adorais ça.
Il a cessé sa lèche pour me demander si j'aimais ça. A mon "Oui" enthousiaste, il m'a précisé que ce n'était que pour aujourd'hui car il était excité. Puis il s'est remis à me fouiller le trou en profondeur.
J'inhalais mon poppers avec force tellement son anulingus me rendait fou.
Il s'est alors amusé à me doigter avec un doigt, puis deux... Et, il s'est redresser laissant sa grosse queue me frôler la rondelle.
"T'es prêt pour le grand huit, p'tit bâtard ?" M'a-t-il demandé.
En guise de réponse, j'ai remué mon cul.
"Comme toujours, t'es affamé. T'inquiète tu vas déguster p'tit bâtard. Inhale ton poppers sans t'arrêter que je te la mettre bien profond." A-t-il répondu aux appels de mon cul.
Je porte à nouveau mon poppers à mes narines et en est inhalé non stop jusqu'à ce qu'il m'ait perforé le cul. Comme promis, il était en moi, bien au fond, dès son premier coup de reins.
J'ai poussé un cri, non de douleur, mais de pleine jouissance anale. Sa bite me semblait bien plus grosse qu'habituellement. Il devait vraiment être très excité.
Il a commencé par de petits va-et-vient dont il augmenté l'amplitude et la cadence régulièrement. J'étais en pleine extase. Il avait laissé ses mains sur mes fesses pour les écarter et observer sa queue glisser en moi.
"Un vrai régal ce p'tit trou. Il épouse les conteurs des bites comme un vrai pro. Ça te plaît p'tit bâtard ?" M'a-t-il demandé en accélérant le rythme de ses va-et-vient.
J'ai répondu un grand "Oui" en pleine jouissance anale.
"Oh qu'il aime se faire exploser le cul mon p'tit bâtard." A-t-il ajouté avant de m'attraper fermement par les hanches pour me défoncer le boule avec rage.
J'encaissais ses coups de bites violents en poussant un p'tit cri à chaque fois que son gland rencontrait ma prostate. J'entendais ses couilles claquer contre mes fesses à rythme régulier et soutenu. Je kiffais ce moment et m'abandonnais complètement à sa bite.
Puis, silencieusement, il m'inonde le cul de plusieurs jets puissants, après s'être effondré sur moi. Il m'a mordu dans le cou, comme pour ne pas hurler.
Il s'est redressé tout en restant en moi, m'obligeant à me remettre à quatre pattes. Lentement, il a déculé.
"Te voilà le cul bien rempli mon petit bâtard."
A peine ces mots prononcés, j'ai senti sa langue me fouiller à nouveau le cul.
Après de longues minutes, il se lève.
"Ne bouge pas. J'en ai pas fini avec toi." M'a-t-il ordonné en me fourant sa queue dans mon cul violemment.
Il me l'as mise si profondément sans même me prévenir que j'en ai gémi de plaisir. Il m'a baisé comme s'il n'avait pas encore joui tout en m'écartant les fesses.
Il sortait et entré sa bite avec une telle aisance que je lui ai tendu mon cul avec envie et appétit.
Il m'a détruit le cul sans discontinuer durant un bon quart d'heure alors qu'il venait juste de me défoncer pendant plus de 20 minutes. Puis, dans un grognement bestiale, il me remplit, à nouveau, le cul.
Il m'a libéré les yeux et m'a dit qu'il avait pris un pied monumental.
Il qualifiera cette baise, plus tard, d'inoubliable.
Il a ajouté avoir une petite surprise pour moi. Mais que pour me la montrer, il avait besoin d'utiliser mon ordinateur et m'a proposé, en attendant, d'aller nous chercher une bière et un truc à manger.
Quelques minutes plus tards, je reviens dans la chambre avec les bières et des croque-monsieurs que j'avais fait réchauffés.
Il s'était installé, nu, dans mon fauteuil de bureau. Il avait branché son téléphone sur mon ordinateur et m'attendais pour lancer un film dont la première image était son visage réjouit.
"Merci. Je crève de faim. Viens t'asseoir sur mes genoux mon tout beau. Tu vas pouvoir apprécier le p'tit, ou plutôt, gros cadeau que je t'ai fait."
Installé sur ses cuisses musclées, j'attendais avec perplexité qu'il mette la vidéo en route. L'idée d'avoir été filmé pendant qu'il me bouffait le cul et me le défonçait, m'excitait étrangement.
Puis il a cliqué sur lecture.
"Eh mon p'tit bâtard, j'me rends chez toi pour te défoncer le cul. Mais aujourd'hui, je ne suis pas seul. Dis bonjour à mon p'tit bâtard..."
La caméra s'est tournée vers le mec dont il m'avait parlé quelques jours auparavant.
"Bonjour. Alors j'viens moi aussi te casser le cul. Il a accepté de me le donner pour me vider les couilles. Seul condition, je ne devrais en aucun cas parler ou te faire savoir que ce n'est pas lui qui te baise."
Là, je me suis refait le "film" dans la tête alors qu'il défilait littéralement devant moi.
Je vois alors ce mec, qui, je l'avoue, me plaisait beaucoup, se déshabiller, tout en me caressant les fesses. Puis, me bouffer le cul en veillant de stopper son exploration anale quand mon pote DJ me parlait. Ils étaient en phase et avaient leur propre rythme, une symbiose parfaite.
J'avais la chance de me voir en train de me faire bouffer et defoncer le cul en gros plan. Mon pote DJ m'avait fait un film souvenir d'enfer. Il balayait sa caméra de sa bite dans mon cul à mon visage affublé de mon écharpe en passant par sa queue qu'il astiquait en filmant son pote me détruire le cul.
L'excitation montait à la vue de ce beau mâle me bourriner le cul. Je sentais la queue de mon pote DJ gonfler à côté de ma cuisse. Sûrement que m'entendre jouir pendant que son pote me baisait, avait réveillé la bête qu'il avait mis en repos après m'avoir rempli. Je ne disais pas un seul mot, hypnotisé par ce film me mettant en scène. Mais, je ne cessait pas de déglutir d'excitation.
"Lève-toi et penche toi sur le bureau que je te détruise à nouveau le cul. T'inquiète, tu pourras continuer à t'admirer te faire décalquer par mon pote, mon beau bâtard." M'a dit mon pote DJ.
Les yeux fixés vers l'écran, je lui ai tendu mon cul qu'il n'a pas attendu à pénétrer et à casser.
"Putain, t'es vraiment un beau mâle, au cul magnifique et affamé. C'est pour ça que je n'ai pas hésité de l'offrir à mon pote. Il s'est régalé." M'a-t-il dit en me baisant avec fougue.
Sur la vidéo, son pote était en train de me remplir le cul. Il s'est ensuite retiré pour me le rebouffer et laisser la place à mon pote DJ. Il est resté nous mater le temps de se rhabiller avant de partir discrètement en saluant son "prêteur de cul".
"Alors, t'as aimé sentir sa grosse queue te déchirer le trou ?" M'a demandé mon pote DJ tout en continuant à me lacérer les entrailles avec sa bite.
"J'ai... J'ai adoré ça ouais. Et il m'a... bouffé le cul merveilleusement." Ai-je répondu rythmé par ses coups de reins.
"J'ai vu qu'il avait kiffé. Il n'arrêtait pas de me faire des signes pour me dire que ton cul était bon." Ce que j'avais pu constater sur la sextape.
Me faire ravager le cul par mon pote DJ en regardant une vidéo sur laquelle il me faisait la même chose rendait la situation encore plus excitante. Ce qu'il devait penser puisqu'il m'a dit : "Putain, me voir t'éclater la rondelle me donne encore plus envie de te péter le cul, p'tit bâtard."
Je lui ai donc tendu mon cul encore plus fort, si tant est que s'était possible. Il me labourait le cul avec force puis, en s'écroulant sur moi, m'a rempli, à nouveau, le cul.
"Merci mon p'tit bâtard." M'a-t-il dit en m'embrassant dans le cou tout en bougeant avec tendresse sa queue dans mon cul.
"Hum... Merci à toi." Ai-je répondu en remuant mon cul comme pour en demander encore.
"Je vois que t'en veux encore. Laisse-moi te contenter encore un peu. Je ne sais pas si je vais pouvoir jouir une troisième fois par contre." M'a-t-il dit en se redressant pour me foutre plus profond sa bite en me saisissant par les hanches.
Il m'a défoncé encore un bon dix minutes, sous poppers. Et, bien qu'il en ait douté, a joui une troisième fois en moi.
"Non. Sérieux. Merci pour ton cul. Merci de m'autoriser à l'utiliser quand je veux et de m'en servir, comme aujourd'hui, pour pourvoir réaliser certains de mes fantasmes. Tu es l'un de mes culs réguliers préférés." M'a-t-il déclaré après avoir déculé.
"L'un de tes culs réguliers ?" Ai-je-demandé avec étonnement. "Je pensais être le seul cul que tu acceptais de revoir."
"T'es jaloux, sérieux ? Je trouve ça mignon. C'est juste un p'tit mec, un peu ton genre d'ailleurs, que j'ai rencontré pour un plan, il y a quelques temps. Mais c'est différent avec lui, il m'encule parfois. Il a une putain de grosse queue, 21 cm je crois bien. Mais quand j'ai vu son p'tit cul poilu bien rebondi, je n'ai pas voulu partir sans le lui démonter." M'a-t-il confessé avec, dans le regard, une touche de tendresse que je ne lui connaissais pas.
Un peu jaloux, ou tout simplement blessé dans mon orgueil, je n'avais pas voulu continuer ce moment de complicité qui me mettait plutôt mal à l'aise.
Malgré cela, je n'ai pu m'empêcher de me demander qui pouvait être ce mec qui défonçait mon pote DJ, en plus d'être, comme moi, un cul qu'il troué régulièrement, sans savoir que j'allais le rencontrer 16 ans plus tard.
En effet, en juin de cette année, j'ai accepté de le rencontrer, ce bel inconnu qui parfois baisait mon pote DJ. Il m'avait contacté après avoir lu mes épopées anales ici.
Nous nous sommes tout de suite bien entendu. D'une amitié fusionnelle est né, très rapidement, un amour inconditionnel. Aujourd'hui, j'ai quitté mon mari pour lui et vit avec ce nouvel amant qui, chaque jour, comble le vide que, jusqu'à présent je ressentais, en me défonçant le cul.
Je savais que notre rencontre ne pouvait évoluer que dans ce sens. Deux semaines après l'avoir vu, cet homme magnifique et intriguant, je lui ai demandé de me rejoindre à mon boulot.
A peine qu'il avait franchi la porte de mon bureau, je l'ai violemment claqué contre le mur pour l'embrasser alors que je lui deboutonnais la braguette de son pantalon d'où j'ai sorti son impressionnante bite qui fait un très bon 21 cm.
Sans même y réfléchir, je me suis accroupi pour lui lécher le gland avant de lui engloutir la queue que j'ai sucée jusqu'à éjaculation.
La bouche pleine de son jus, délicieux et nourrissant, j'ai fait une chose qui m'a surpris après coup, mais que jamais je n'ai regretté par la suite. Je l'ai retourné pour bouffer goulûment son petit cul poilu et rebondi. Il semblait être en trans. Ce qui m'a rendu fou. Et dans un élan irraisonné, je me suis redresser pour lui mettre ma queue bandée dans le cul pour le baiser comme un forcené affamé. Je l'ai rempli de foutre tout en continuant mes va-et-vient puissants pour finir par le remplir à nouveau.
À ce moment-là, j'ai su qu'il avait happé mon cœur et qu'à jamais, je serais à lui.
Depuis, il m'encule au réveil, au couché et à chaque fois qu'il en a envie. Ce qui rend nos baises incroyablement excitantes puisqu'il peut me demander mon cul alors que nous sommes en pleine balade. Nous cherchons donc souvent des coins isolés pour qu'il me défonce à son gré. Et même si nous avons été surpris une fois, il continue à vouloir me baiser quand bon lui semble.
J'aime le prendre également et le sucer régulièrement, ce qui ne cesse pas de me surprendre.
Je tiens à lui dire un grand merci pour m'avoir sauvé de cette vie terne, triste et pleine de frustration.
C'est lui, mon grand amour, celui que je n'osais plus attendre.
Ce chapitre du Journal d'un cul jouissif est le dernier. Quelle belle façon de clore ce "Journal intime" avec le souvenir de mon pote DJ.
Cette histoire m'a été rappelé par son pote qui, cette fois-là, m'a défoncé le cul à mon insu. Il m'a reconnu en me lisant ici et m'a contacté pour me demander de raconter "notre" histoire.
Peut-être à bientôt, chers lecteurs, pour de nouvelles aventures qui, elles, seront bien plus récentes grâce à mon nouvel ami, amant, amour.
Si tant est que vous soyez intéressé.
Le Cul jouissif
dialogaylille@outlook.fr
