L'histoire suivante est véridique et récente.
Lecteur régulier des récits de Cyrillo, je saute le pas et décide de vous raconter ce que je viens de vivre. Et ce qui pourrait être suivi d'autres Épisodes.
Je m appelle Laurent, la quarantaine, brun viril du sud. 1m80 pour 78kg, sportif mais pas gonglette, fan de mon sport que je pratique plusieurs fois par semaine. Poilu et bien mec.
40 ans est souvent vécu comme un cap, pas toujours évident. Tél n'est pas mon cas. À en juger par ma vie sexuelle riche et variée (mais toujours safe), je remercie cette quarantaine qui m'offre de nouveaux plaisirs.
Dégarni, barbe de trois jours, quelques cheveux blancs (je suis professionnellement fortement sous pression) j'ai la chance de plaire.
Au sein de mon équipe, une fidèle collaboratrice est mariée avec un mec assez sympa, se nommant Marc. Un peu flambeur, beau parleur et certainement volage et bien dragueur. Un peu grande gueule, "cagole" diraient certains.
Une trentaine d année, environ 1m77 pour 75kg, châtain aux yeux bleus.
Je n'ai jamais fait attention à lui. Il ne fait pas partie de mon équipe, et vient juste chercher sa femme au boulot car son job est proche.
Mis au chômage partiel, il avait plus de temps et passait en journée pour saluer sa femme. Poli et affable, il engage souvent des discussions et tout en respectant notre activité, il lui arrive de rester sur place, n'hésitant pas à nous rendre quelques services de manière spontanée.
À force de le voir, je faisais un peu plus attention et participais à quelques conversations. Il n'hésitait pas à relancer la discussion et je sentais bien qu'il voulait se rapprocher de moi. Sur les gardes, je me méfiais de cette attitude, craignant une démarche intéressée pour obtenir un job.
Les semaines passant, j'ai préféré prendre les devants en évoquait ce sujet avec lui alors que nous étions tranquilles, son épouse étant partie chercher les enfants à l'école.
Grave erreur : il m'a rassuré en me promettant qu'il ne cherchait pas un job. Ouf ! Ça en moins à gérer pour moi.
Par contre, il m'avoue être bisexuel et fan de queue à sucer.
Homo, je ne cache plus mon statut et ma vie de couple. Certaines ont été déçues, et m'ont proposé de redevenir hetero le temps d'une coucherie (ou juste pour leur faire un enfant). Bien mec, je ne suis pas folasse et n'apprécie guère les midinettes.
Souvent, en soirée, avec les amis d'amis, savoir que l'on est homo déclenche un questionnement à la Myreille Dumad ou une serie de confession dans intérêt.
Là j'étais pris de court et peu à l'aise. Je me suis contenté de lui dire de faire attention, de bien se protèger. Nous en restons là. À l'époque, nous étions au printemps 2012, et sa confidence n'a pas eu de suite, ce que je préférais.
Durant l'été, Marc passait régulièrement, en essayant de me voir quand j'étais seul. Privilège du responsable d'equipe, j'ai un bureau vitré. Il lui est facile de savoir si je suis là et disponible.
Je sentais qu'il tournait au bord du pot mais je restais distant. Pourtant il n'hésitait pas à revenir vers moi tel un collégial tenace.
Sournois, il me demandait des conseils, d'hygiène, de comportement. Puis il me parlait de ses démarches.
J'ai ainsi appris qu'il avait un "régulier". Ce qui me rassurait. La relatio étai claire entre nous et à la rentrée scolaire il était moins présent.
Mais je n'étais pas sorti d'affaires.
En septembre, sa femme était souffrante, et il vient me prévenir lui même. Absence imprévisible et inévitable, il propose de rester pour aider et la remplacer. J'accepte, ce qui m'arrange et il s'en sort correctement.
En fin de journée, je le remercie et il me demande s'il met me poser une question.
Direct, il demande si j'aime le faire sucer. Surpris, je lui réponds automatiquement "oui comme tous les mecs". Sans me rendre compte de mon erreur.
Il ouvre son téléphone et me montre un vidéo : lui en train de sucer son régulier !
Effet garanti, j'ai admiré son talent, ses lèvres pulpeuses, et mon paquet a commencer à réagir.
Je lui rend son téléphone en lui disant qu'il est fou de se faire filmer et de garder ça sur son téléphone avec une femme et des jeunes enfants.
Il me répond l'avoir fait pour moi.
Marc ne s'arrête pas là. Sa démarche est calculée : après la vidéo, il me demande de le laisseer le sucer.
Je refuse et lui rappelle nos situations perso et le contexte pro.
Insistant, il demande plusieurs fois à palper mon paquet qu'il avoir observer depuis longtemps.
Le piège se referme, je suis prêt à céder mais ne voulant pas être seulement un paquet à sucer, je lui rappelle une conversation précédente.
Il m'avait indiqué au printemps adorer sucer mais refuser d'embrasser car il n'était pas gay !
Étonné, nous avions sérieusement traiter ce point et il m'avait dit sur jamais il ne pourrait embrasser.
Je tenais là une possibilité de ne pas capituler à ses avances mais de négocier un deal.
Au culot, après plusieurs refus à ses provocations et questions osées, je lui dis : OK tu veux ma tige, embrasse moi pour l'avoir !
J'avais bloqué son jeu. Victime de son plan, je reprenais les cartes en mains. Le sentant hésitant, je poussait le bouchon plus loin.
Ayant jusqu'ici refusé ses avances et veillé à conserver une bonne distance entre nous, je le fixais en me rapprochant de lui.
"Marc, tu veux me sucer, tu veux la queue du patron de ta femme, je veux ta bouche, tes lèvres. Un vrai baiser entre hommes, à prendre ou à laisser"
Chancelant, déstabilisé, j'au sciemment profité de mon gabarit, de mes épaules et de mon statut pour le plaider contre le mur.
M'approchant de sa bouche, ma main ferme tenant sa mâchoire et l'autre sur sa nuque, j'ai ajouté à voix basse
"Et regarde moi, tu en as envie"
Gagné ! Nous nous sommes roulés un superbe pâlot, puis mes mains sont allé sur ses épaules pour le faire accroupir.
Vrai pro de la pipe, il a frotté sa tête sur mon entrejambe.
N'y tenant plus, il a baissé ma braguette et pris ma tige encore à demi mole pour la gober comme un affamé.
Marc m'a montré tout ses talents de suceur, de bon père de famille soumis à la tige. Dévoreur de gland, je devais le canaliser et le calmer.
Surpris de mon endurance, n'ayant pas joui après un bon 1/4 d'heure de pompe, nous avons dialogué tranquillement.
Ma tige dans sa main ou dans sa bouche, je le guidais plu améliorer ses gestes. Car il n'arrivait pas à engloutir ma tige droite et large et restait surtout autour du gros gland.
Désireux d'apprendre, il était ravi d'avoir réussi son pari et obtenu le droit de me pomper.
Seuls dans l établissement, j'ai varié les plaisirs en me faisant sucer à l'accueil debout au comptoir d'information. Assis à mon bureau. Dans la salle de réunion. Et me dans la salle des serveurs.
Bon chien à éduquer, il le suivant et devenait de plus en plus expert. Et de plus en plus salope. Marc m'a alors avoué adorer se faire sauter.
Pour le calmer, pressé par le temps et attendu pour un dîner, je lui ai dit d'attendre, de devoir encore l'améliorer en suceur car avant de prendre ma tige en entier dans son bon Q, il devait tout faire entrer en bouche.
Comme si de rien était, entre mecs colle sympas sortant du boulot, mon assistant d'un jour et moi sommes partis du boulot âpres une bonne journée.
Surpris de ne pas avot essayé mon bureau, il me demanda en quittant la boîte si un jour...
"Oui ma salope, je vais m occuper de toi"
À suivre donc, hier lundi était d ailleurs une bonne journée
Mâle cho
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