Une nouvelle histoire récente, arrivée hier lundi soir en rentrant du travail.
Je quitte ce gris lundi le boulot avec une forte envie de bon plan. Rien trouvé dans la journée, je monte sur ma bécane direction l'appartement. Sous une pluie démentielle, je ne vais donc pas m'arrêter pour m'entrainer.
Trajet pénible avec ces pauvres automobilistes parisiens et franciliens dans leur cercueil roulant, agacés par les essuie glaces. Mais je rentre sans soucis et mets à sécher les vêtements de pluie.
Il est tôt, seulement 19h, et mon mec ne va pas rentrer de suite. Je décide de préparer tranquillement le dîner, puis je me connecte sur l'appli G qui permet de trouver des plans sympas, en triant les porcs, putes branleurs et fake.
Je reconnais un charmant petit voisin déjà rencontré, mais avec qui j'avais juste dialogué, échangé quelques palots et à peine commencé : mon mec arrivait, et ce n'est pas son type pour un trio.
Il a l'air chaud et veut de l'action. Mais je lui dis non : pas le temps, trop risqué.
Sa réponse : je suis seul au boulot, viens.
Ok banco !
Je vérifie que tout est en ordre côté cuisine, et je rejoins mon jeune architecte bien décidé à en découvrir plus cette fois. Rapide, les locaux sont à quelques mètres.
Toujours aussi mignon, cheveux courts cuivrés, 27 ans pour 1m73 et 69kg, ses petits pecs légèrement velus, et ses jolies fesses bien rondes.
Impossible de jouer dans son bureau vitré donnant sur la rue. Il m'emmène directement derrière le show room. Au bout du couloir : le bureau du boss.
Il est sans gène ce jeune archi, ce qui ne me dérange pas et montre qu'il est bien chaud.
Par discrétion, il éteint la lumière, seul l'ordinateur portable éclaire le vaste bureau : mise à jour Windows en cours.
Nous débutons par des bisous qui vont devenir de bons longs roulages de pelles. J'en profite pour redécouvrir son corps qui me faisait envie, en le massant et palpant comme il se doit. Lui s'accroche à moi, mon gabarit supérieur lui plait : 180, 85, 46 ans, brun poilu méditerranéen, sportif musclé et bon vivant.
Ses lobbes fessiers attirent mes mains. Et les remplissent bien. Il a un joli petit gabarit, fin, élancé mais avec deux bonnes fesses que je veux.
Nos langues continuent de se chevaucher. Je le soulève pour l'avoir bien contre moi, tout à moi. Il est accroché à mon cou et je le tiens par ses fesses.
Je sens qu'il bande à fond, ce qui me plait et m'excite. Mon entrejambe s'alourdit. Il redescend et me malaxe le paquet. Il le libère pour bien prendre ma queue en main, tout en continuant à m'embrasser.
Ma queue l'attire et il décide de s'accroupir pour bien la faire durcir. Il s'y prend vraiment bien et ma tige droite s'élargit et gonfle : je le laisse faire, c'est vraiment bon de ressentir mon gland saillant dans sa bouche et de voir sa main coulisser le long de mon manche.
J'en profite pour rentrer à fond ma queue, il essaye de tout gober et je peux, après plusieurs essais, caler mon gland au fond de sa glotte : trop bon !
L'éclairage est faible mais je distingue la rondeur de ses fesses et lui demande de se relever pour mieux les palper. Je glisse directement mes mains sous son pantalon et mes doigts rencontrent ses lobes désirés et velus. Un vrai plaisir
Je le masse, palpe, ce qui le fait dandiner. Il défait son pantalon. Je le remonte contre moi. Il s'accroche à mon cou en me roulant des pelles, écarte ses jambes autour de mon buste et je peux frotter ma queue contre ses fesses que je vais conquérir. Le tout en s'embrassant.
Je le veux, lui aussi. Je lui demande s'il a des capotes, et il me confirme avoir tout prévu. Je le laisse redescendre pour les chercher, et je peux admirer ses fesses joliment velues, éclairées par l'interface Windows (quelle lenteur cette mise à jour, les amateurs de PC sont vraiment des dinosaures !)
Je me rapproche de lui, place ma tige entre ses fesses et le prends dans les bras. Nous nous caressons pendant qu'il cambre bien sa croupe pour masser ma queue. Je tourne sa tête après avoir embrassé et léché sa nuque et son oreille gauche pour l'embrasser. Il vibre, ses jambes flageolent.
Il me tend la capote que je déroule. M'annonçant ne pas avoir de gel, je dépose sur mes doigts une bonne quantité de salive pour lubrifier et caresser sa raie. Délicate exploration qui le fait frémir.
Toujours debout, devant le bureau du boss, à côté de son siège, je commence à rentrer délicatement. Il est encore serré mais mon gland épais permet d'avancer en douceur. Il s'ouvre bien et je fais encore plus attention sans gel.
Nous voici imbriqués. J'ai encore en tête la sensation de bien être. Son trou, ma queue en lui, ses lobes contre moi. Ses omoplates contre mes pecs poilus et son souffle exprimant son bien être.
Ses bras entourent ma tête, j'ai sa queue toujours raide et dure en ma main droite. La gauche parcours son corps. Je commence mes mouvements, va et vient, latéraux. Nous sommes en phase.
Je décide de changer de position, et de remettre une dose de salive pour assurer une meilleure cadence. Sortant délicatement, je le retourne, l'embrasse et le soulève pour le déposer sur ce grand bureau ostentatoire. Il écarte les jambes ce qui met bien en valeur sa queue, et ses jolies fesses.
Mes doigts bien humidifiés répandent ma salive sur mon gland et sur sa raie. J'attrape ses jambes poilues, embrasses ses mollets et approche ma queue. Je pénètre plus facilement et régulièrement pour commencer un balais qui le fait bien couiner. Son corps exprime son bien être, je relève bien sa chemise et défait la mienne pour venir me plaquer sur lui en continuant de le prendre. Nous nous embrassons.
Je me redresse et attrape ses jambes pour accompagner mes mouvements. Je sens qu'il va venir, et il me prévient. Je lui dit de se laisser aller. Restant en lui et continuant mes va et viens, il jouit quand je suis toujours entrain de le baiser. Il est aux anges.
Je calme mon rythme pour le masser de l'intérieur, en me forçant à débander, pour sortir tout doucement sans heurter son anneau qui après la jouissance est plus serré.
J'ai réussi à sortir en lui procurant un dernier spasme.
Le temps de se "nettoyer" sommairement, nous nous embrassons. Puis nous nous rhabillons en nous câlinant. Je n'ai aucune idée de l'heure, mais l'escargot Windows indique que nous avons eu plus de 30mn de rapports aux plaisirs partagés malgré ce direct express.
Il est temps de partir, à regret car nous aurions bien prolongé ce moment par une douche et des câlins.
Partie remise me dit-il : "tu passes régulièrement devant mon bureau avec ta moto en me matant"
Mâle cho
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