Ceci est le premier chapitre d'un récit un peu plus long que d'habitude, il y aura trois ou quatre chapitres je pense. Je précise que tous les personnages ont minimum 18 ans, et qu'il s'agit comme toujours d'une fiction. Cependant, les lieux existent, les personnages aussi, mais ils ne sont pas gay en vrai, sauf moi bien sur. Enfin bref, bonne lecture, j'espère que ça vous plaira.
Aujourd'hui est un jour spécial: Antoine rentre de camp, il vient de passer deux semaines en camping dans les alpes à faire de la randonnée. L'année dernière et encore l'année d'avant, j'étais parti avec lui, c'est là que je le connu d'ailleurs. Mais cette année je n'ai pas pus: je suis trop âgé pour y aller en tant que jeune, et je n'ai pas le diplôme nécessaire pour faire animateur. Le bus arriva à 18h à épinal, j'étais déjà là depuis 10 minutes à l'attendre devant les anciens locaux de l'aumonerie pour qu'ils puissent y décharger toute les affaires nécessaires au camp. Je leur donna un coup de main et j'en profita pour faire la connaissance de Pierre-Yves, ou P-Y pour aller plus vite, c'est le petit frère d'Antoine. Ils avaient en effet les mêmes yeux et la même couleur de cheveux, mais P-Y ressemble plus à sa mère, il a les cheveux raides, alors qu'Antoine et Thibault, son grand frère, ont les cheveux bouclés. Sachant qu'Antoine était aussi gay que moi, je ne savais pas si P-Y l'était aussi. Préférant jouer la sécurité, je ne dis rien à ce sujet et finis de les aider pour le déchargement. Une fois le déchargement fini, le directeur du camp nous offrit un petit goûter dans les vieux locaux, moi y compris pour me remercier d'avoir aidé. Les jeunes remontèrent dans le bus jusqu'aux champ de mars, où leurs parents les attendaient. Je salua donc quelques connaissances, pris des nouvelles des autres aumoneries des Vosges, puis je me décida à repartir. Je cherchai Antoine et son frère pour leur dire au revoir, je les trouva avec un air déçu sur le visage: leurs parents avaient beaucoup de retard, ils ne pouvaient pas venir avant 1h voir plus si il y a des complications. Je sauta alors sur l'occasion et leur proposa de venir chez moi pour attendre leurs parents, ce serait toujours mieux que d'attendre ici. Antoine appela ses parents pour les prévenir, leur donna mon adresse, et ils lui dirent qu'ils n'arriveront que dans 2h puisqu'ils avaient un endroit où attendre au sec et pas seuls. Je prévins le directeur que je m'occupais d'eux, on salua nos potes, et on parti chez moi.
Étant venu en vélo, on prit le bus de ville ensemble, mon vélo ne gênait pas, on était seuls dans le bus à cette heure. Je profita du trajet pour faire plus amples connaissance avec P-Y, et je demandai comment le camp s'était passé, et apparemment très bien. Tant mieux, Antoine aura bien profité de son dernier camp, et P-Y de son premier. Une fois à la maison, après qu'ils eurent mangé un peu et déchargé leurs affaires, je les conviais dans ma chambre. Les années passés, j'étais assez connu au camp pour faire des massages dont les mecs raffolaient, et puisqu'aucun d'eux ne savaient à l'époque que j'étais gay, ils se laissaient faire sans la moindre crainte. En bon chevalier servant que je suis, je proposa à Antoine un de mes petits massages, c'était l'un de mes meilleurs clients au camp. Il accepta volontiers, il se mit torse nu, se coucha sur mon lit, et je pus commencer mon "pianotage", car c'est ainsi que je massais les gens: en pianotant sur leur dos mes musiques favorites.
Je passa au moins 20 grosses minutes à jouer sur son dos du métal, du vocaloid, du Nolwenn Leroy, du Mylène Farmer... Je conclu le massage par 'Mistral gagnant' de Renaud, un morceau qu'il avait prévu de jouer l'année dernière au piano pour la veillée graine de star, mais sans ses partitions, il abandonna. Mais il voulait que je joue un dernier morceau: 'Aimer' de la comédie musicale 'Roméo et Juliette', car je l'avais chantée avec une animatrice à cette même veillée. Je m'exécuta et constata que, bien qu'il était sur le ventre, son engin, que je savais gros pour y avoir déjà goûté, commençait à se redresser, car il fit un mouvement pour la libérer et la laisser se dresser avant de se rallonger. Un peu excité, j'aurai bien voulu descendre mes mains jusqu'à ses fesses, mais la présence de P-Y m'en empêcha. Je fini donc mon morceau et me reposa un peu les mains, c'est assez douloureux à la longue.
Je demanda alors à P-Y si il voulait essayer mes massages. Antoine lui en avait vanté les mérites, il se mit donc lui aussi torse nu que je puisse commencer. Au bout du premier morceau (une chanson calme pour commencer), il s'endormi. Inutile de poursuivre, j'en profitai alors pour poser des questions à Antoine sur la sexualité de son frère. Selon lui, il était encore puceau mais il ne savait pas trop s'il préférait les filles, les garçons, ou les deux. J'eu alors l'idée de le tester avec mes massages. Je lui joua d'abord une chanson qui parlait de relations sexuelles entre un homme et une femme, il resta endormi mais ne bougea pas. Puis je lui joua 'Finally' de Matt Fishel, un chanteur gay, et cette fois, il ne se réveilla toujours pas mais sa queue semblait vouloir se libérer pour se durcir. Le doute n'était plus permis: P-Y était aussi gay que son frère. Sans gêne, je pris alors Antoine dans mes bras et l'embrassa comme jamais avant. Le but était de faire du bruit pour réveiller P-Y. Ne voulant pas se réveiller, je lui joua un morceau de death metal pour le réveiller, il déteste le métal. Il se réveilla enfin et je repris mes câlins avec Antoine. Il paru choqué sur le coup mais on voyait clairement sa queue grandir dans son short. "On sait que t'es gay frangin, mets toi à poil te gêne pas" lui dit Antoine.
Le pauvre gosse hésitait, mais après qu'on se mit à poil nous aussi, il fini par faire de même et nous dévoila sa bite, qui devait faire 15cm environ, ce qui était pas mal pour son âge. Antoine et moi reprirent nos caresses, pendant que P-Y se branlait dans son coin. "Au lieu de te branler comme un con, viens plutôt nous sucer" lui dit Antoine. "D'accord, mais je veux rien dans mon cul, ok?" On accepta, c'est normal de ne pas forcément vouloir commencer direct par se faire pénétrer la première fois, surtout à son âge. Il approcha alors sa tête de la bite de son frère, longue de 19cm, la mienne en faisait 18. Il donna quelques coups de langue hésitant, puis se jeta à l'eau et saisi le gros calibre de son frère à pleine bouche. La bouche de suceuse de P-Y prit toute la largeur de son énorme bite, on voyait qu'il restai de la place.
Ne voulant pas rester inactif trop longtemps, je saisi P-Y par les cheveux en douceur et vint poser sa tête sur ma bite à moi, qu'il prit tout de suite à pleine bouche. Il joua avec sa langue en même temps, il était plutôt doué pour une première fois. Voulant tester les limites de sa bouche de suceuse, Antoine vint de placer très près de moi, de sorte que nos bites se touchèrent, et il prit nos deux engin dans son énorme bouche. Il avait vraiment une très grande mâchoire, il réussi à engloutir totalement nos deux bites avec autant de facilité que quand c'est moi qui le fait.
"Je vais me vider"
"Pareil"
"Pas sur mon visage ni dans ma bouche s'il vous plait les gars"
"Ok, sur ton ventre alors". P-Y nous lâcha la bite, et se coucha sur le dos pour qu'il puisse se vider aussi. On se vida les trois en même temps. Aucun de nous trois ne s'était branlé depuis deux semaines, le sperme coula à flots, P-Y reçu plus d'une vingtaine de jets de foutre chaud, le sien y compris, son ventre était inondé. Avec Antoine, on se pencha sur lui et on lécha toute cette semence, qu'on partagea par un baiser bien juteux. On fila tous les trois à la douche, et leurs parents arrivèrent 10 minutes après en être sorti. Avant de partir, P-Y nous promis que la prochaine fois, on pourra faire plus de choses. J'ai hâte.
Maxou 88
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