Premier épisode | Épisode précedent
Cela fait maintenant un mois et demi que je n'ai pas revu mon beau Jean-Michel sur ce lieu de drague. Un petit bois du coté de Chartres ou je passe souvent le lundi après-midi car c'est mon jour de repos.
Pour résumer et resituer les épisodes précédents je tiens à rappeler que je m'appelle David, j'ai cinquante ans, je suis marié et je pratique les rencontres éphémères dans des lieux privés (saunas ou sex club sur Paris ou Orléans), et sur des lieux publics repérés (toilettes publiques, parkings, bois...), que cela fait partie de ma sexualité. J'ai besoin de contacts rapides, je suis actif et j'aime me faire sucer et sodomiser des mecs avec une préférence pour les mecs cleans d'aspect extérieur. Je ne supporte pas les mecs crades et déglingués. J'ai toujours su que j'aimais les mecs au fond de moi et j'ai refoulé ce sentiment pendant longtemps, ce n'était pas conventionnel. J'ai grandi dans une cité et on m'a toujours surnommé "la tapette",je n'ai jamais rien laisser paraitre, ni eut une quelconque relation avec quelqu'un.
J'ai connu ma femme dans mon milieu professionnel et j'ai eut un véritable coup de foudre. Je l'aime plus que tout mais j'ai besoin de ce type de relations pour pouvoir me sentir bien dans ma peau.
J'ai toujours eu des relations sans lendemain avec des mecs de passage, jamais revus. Et cela me convenait très bien jusqu'au mois de Février ou j'ai rencontré JM. Il a la petite quarantaine, le crane rasé, une petite gueule d'amour carrée, il mesure environ 1.65 mètre et est très mince. Moi je mesure 1.75 je pèse pas loin de cent kilos et suis plutôt banal avec le crane dégarni et des lunettes. Nous nous sommes tournés autour dans le bois et il m'a proposé de me sucer et là je pense que c'est ma bite qui l'a hypnotisé, sans vouloir me vanter.
Elle fait 20 cm environ et a une bonne circonférence et surtout je bande ferme. Il m'a fait une sacrée sucette ce jour là. Sa bouche est divine. J'étais resté sur ma faim, car il ne s'était pas dessapé et m'avait juste fait une fellation bien profonde qui avait duré un certain temps.
Quinze jours plus tard nous nous étions recroisés et j'avais vu qu'il était immatriculé en corse, ce qui lui vaut ce surnom titre de mon histoire.
On c'était fait un plan cul bien gratiné (lire le chapitre1 et le chapitre 2).
Cela faisait donc plusieurs semaines que je ne l'avais pas revu. J'ai parfois pas pu venir et lui certainement non plus. Je ne connais que son prénom et il habite la région parisienne. En ce superbe lundi d'avril je parcours le bois, dans l'espoir de le revoir. Et voila tout à coup qu'au détour d'une allée je le vois avec sa casquette noire vissée sur son crane et ses lunettes de soleil sur le nez qui lui cache ses yeux profonds. Nous nous roulons un patin pour donner le ton et décidons de contourner le bois pour trouver un petit coin tranquille. La nature commence à reprendre ses droits, les arbres reverdissent et sont en pleine ascension de sève. Apparemment il n'y a pas que les arbres on dirait. Ma pine commence à s'affoler dans mon short rien qu'a l'idée de la partie de plaisir que nous allons vivre.
On commence par se coller l'un à l'autre ma langue prend possession de sa bouche la sienne aussi. J'ai mangé un bonbon à la menthe quelques minutes avant, lui aussi d'ailleurs car il est fumeur, et le mélange de nos deux bouches est particulièrement rafraichissant. Nos mains parcourent réciproquement nos corps. Je veux prendre tout mon temps pour le dévêtir et j'espère qu'il va faire de même, car il n'y a rien de mieux que de faire durer ces moments partagés avec lui. Ma bouche descend dans son cou auquel je fais mine de faire des petites morsures. J'aime le gout de sa peau et sa douceur je caresse ses bras et ses avants bras, ses poils et sa peau fine que j'ai envie de croquer. Jean-Michel fait de même, nous sommes en osmose et nous frottons nos bas ventres l'un contre l'autre. Je sens sa queue qu'il porte à gauche, tout comme la mienne, elle se toisent à l'intérieur de nos pantalons. J'ose d'ailleurs la paume de ma main pour l'électriser. Je ne fais qu'effleurer, pour mieux l'exciter.
Ma main gauche est pour sa part tout aussi active car elle caresse le dos de mon amant, elle s'est aventurée sous son tee shirt. JM n'est pas inactif lui non plus, il a commencé à relever mon tee shirt au niveau de mon cou pour me l'ôter. Ce qu'il réussi brillamment. Nos langues parcourent tout le haut du corps de chacun car il a lui même retiré son haut. Je découvre un tatouage sur son épaule gauche que je n'avais pas encore remarqué et je lui titille la pointe des seins. Nous sommes vraiment sur la même longueur d'ondes, c'est impressionnant. Je descends mes mains et attaque la boucle de la ceinture de son jean tout en saisissant sa bite dans ma main au travers du tissus. Cela lui fait un effet du tonnerre, je laisse glisser le jean le long de ses cuisses pour lui caresser les poils soyeux de ses jambes, pas très longs, mais abondants et très fins. Et je lui titille le gland entre le pouce et l'index par dessus le tissus de son boxer. Il pousse des soupirs et attrape le bouton de mon short pour me l'ôter. Je sens qu'il s'impatiente, il veut tout de suite saisir ma queue car il l'a fait sortir sur le coté de mon string qui débordait d'impatience également avec tous ces traitements successifs. Nos bouches sont toujours aimantées et nous nous roulons des pelles goulues.
Nous nous débarrassons de nos fringues qui gisent au pied d'un arbre, tandis que nos bites se frottent l'une à l'autre, nous bandons un max et nos mains y contribuent aussi avec des caresses sur tous nos corps, et dans le dos. Je saisis ses burnes, il porte toujours son cockring noir qui lui enserre la base de son sexe. Sa bite est nervurée de veines pleines d'ardeur, je descend pour la prendre en bouche. Quel gout délicat comme tout le reste de son corps que j'aime sentir, lécher et caresser. Ma langue titille son gland turgescent et je lui caresse les bourses délicatement d'une main tandis que la seconde pétrie ses petites fesses bien ferme.
Après ces minutes de plaisir, il s'agenouille a son tour pour me faire subir le même sort. C'est divin les minutes s'écoulent doucement comme si le temps était en arrêt.
Je caresse son crane, mon pieu enfoncé dans sa bouche, j'active mes mouvements de hanches pour pénétrer au plus profond de sa gorge. Je me baisse légèrement pour atteindre sa bite car je veux la toucher aussi et je lui propose un 69 au sol. Je m'allonge sur les feuilles mortes séchées au sol. JM vient me donner sa queue pour que je puisse la lui bouffer comme un acharné en manque. J'ose un doigt fureteur dans son petit trou doucement bientôt remplacé par ma langue. Tous mes sens sont en éveil, ma bite tendue dans la bouche de mon partenaire qui n'est pas en reste.
Je lui demande de venir me pénétrer, malgré sa patience et sa douceur, ainsi que le gel, il ne peut rentrer entièrement, mon fourreau est trop étroit, je suis puceau de ce coté là. C'est dommage j'en avais trop envie. Il s'excuse et je l'embrasse davantage. C'est irréel, nous sommes complétement à poil, au sol dans ce bois entre les arbres et les jeunes ronces. Le temps semble arrêté, il n'y a plus que du désir, du plaisir et deux hommes prêts à tout pour prolonger ces doux moments. Mon beau corse vient enfin s'empaler sur ma queue et il s'active. Je sens le fond de son antre, c'est profond et plaisant. Que de soupirs que d'embrassades goulues. Je jouis enfin un flot libérateur de sperme plusieurs dizaines de minutes après. J'ai ôté la capote et j'ai fini de me branler contre son visage. Nous repartons repus, prés de deux heures après notre arrivée.
Je l'ai dans la peau et je pense que c'est réciproque. Je lui file mon tel on va se revoir, c'est un super plan que nous vivons là.
Dav28
Autres histoires de l'auteur : Mon amant m'a quitté, je survie au sauna | Plan Q du Lundi | Un bon plan cul aux Halles | Mon beau corse | Abusé à la piscine | Tentation entre cousins