Épisode précedent
Voilà déjà trois semaines que je ne l'ai pas vu. Je suis retourné deux fois sur le lieu de drague dans ce petit bois près de Chartres, mais en ce mois de février froid et boueux il n'était pas là. Lundi dernier j'ai donc décidé d'y retourner il faisait un temps dégagé malgré les giboulées passagères. Aurais-je plus de chance? Je ne connais même pas son nom, j'ai rêvé de lui une paire de fois par jour depuis notre dernière rencontre particulièrement chaude. Viendra t 'il ? Pense -t 'il à moi? On se pose toujours ce genre de questions lorsqu'on à eu un bon feeling avec un mec.
Mais rarement on remet le couvert comme on dit. Là j'ai vraiment le sentiment que je vais le revoir. Deux fois déjà nous avons partagé un bon moment. La première fois il avait simplement voulu me sucer, mais avait été conquis par ma bite. Moi j'étais resté sur ma fin car il ne s'était pas désapé et je m'étais senti frustrer malgré le plaisir qu'il m'avait donné.
La seconde je vous l'ai racontée en détail la fois dernière. Un moment intense avec léchage en bonne et due forme suivie d'une pénétration de son superbe corps. Un moment que j'avais bien kiffé et qui avait semblé lui plaire particulièrement. J'en suis à ces considérations lorsque j'emprunte la petite route qui mène au bois. J'aperçois de loin deux voitures stationnées en lisière à une centaine de mètres, puis cinq ou six véhicules quelques mètres plus loin. Mon coeur se met à battre la chamade, je vois sa voiture, je suis aux anges. J'espère au fond de moi qu'il n'est pas dans les bras d'un autre mec. Je ne peux pas voir au travers des vitres teintées. Je vais jusqu'aux autres voitures pour faire un demi-tour et aller me garer prés de lui. Comme je ne vois toujours pas avec la luminosité du ciel qui se reflète sur son pare-brise, je quitte mon véhicule et rentre dans le bois.
Je me retourne et j'attends. La vitre coté conducteur se baisse et il me fait un signe de la main pour me faire comprendre qu'il arrive. Il ouvre sa portière et vient à ma rencontre, sa casquette noire vissée sur son crane, dans son jean couvert de fermetures éclair et son blouson noir sans manche avec un gros pull en laine marine en dessous. Conforme à la dernière fois avec son sourire enjoliveur, on se serre la main comme deux potes qui se seraient vu la veille.
- Salut on va vers ou?
- Allons plutôt de ce coté car il y a du monde par la. Lui dis-je.
- Tu as raison, enfonçons nous dans le bois.
Je le suis et ne peux détacher mon regard de ses fesses moulées dans son jean, je sais que l'on va passer un superbe moment ensemble. Après avoir marché cinq bonnes minutes et franchis plusieurs obstacles de ronces et de terrains boueux pour ne pas être suivi par les éternels voyeurs en tous genres en mal de sensations ou frustrés. On se retrouve face à face dans un petit coin abrité par les arbres et nous tombons dans les bras l'un de l'autre. J'ai la gaule et mes mains partent à la découverte de ses formes comme si c'était la première fois que l'on se rencontrait.
Lui aussi est avide de palpations, on s'embrasse goulument partout sur le visage, nos mains se font baladeuses, mais je ne veux pas le mettre à poil tout de suite, il faut que l'on se désirent mutuellement. Ce serait bien trop simple. Ses doigts s'aventurent sous ma chemise. Il a quitté son blouson et sa casquette, nous nos embrassons à bouche que veux tu, goulument comme c'est bon. Ma main droite descend vers son entrejambe, je caresse l'objet du désir en bonne forme bandé le long de sa cuisse gauche. Il doit porter un caleçon aujourd'hui me dis-je, la sentant non prisonnière d'un tissu. Je la caresse avec insistance mais je ne veux pas me hâter.
De son coté il me caresse tout le corps et déboutonne déjà ma chemise. Curieusement il ne s'est pas encore emparée de ma bite. Mais il a bien senti au travers de nos étreintes répétées que mon morceau de chair se dresse fièrement dans mon calbut.
Il ferme les yeux, je suis obligé d'arracher des petits rameaux de branches qui sont à notre hauteur pour ne pas les prendre sur notre visage et nos deux corps se balancent au gré de nos embrassades bestiales
J'ose enfin lui demandé son prénom car il ne peut rester anonyme à mes yeux.
JM me répond-il.
Je pense que c'est un signe, j'ai bien compris que je l'M.
Qu'il est beau, que sa peau est douce nous voila maintenant presqu'à poil. Je voyais juste il porte un caleçon écossais, je tire sur l'élastique. Sa queue est magnifiquement bandée aujourd'hui. Il porte son cockring noir. 19 à 20 cm bien épaisse avec un superbe gland décalotté et superbement veinée. Je le branle on s'embrasse toujours et il pleut nos corps s'enlacent encore davantage. C'est un moment magique. Qu'il est beau mon corse me dis-je. C'est un superbe mec et nous sommes sur la même planète.
Il me branle maintenant de sa main puissante, je caresse ses fesses et décide de partir à la découverte des son pieux avec ma langue.
Je suis accroupi et embouche son braquemart. Il pousse des soupirs lorsque je le prend en gorge profonde. Que son morceau de chair est doux.
J'adore passer ma langue sur ses veines qui parcourent sa pine. Et j'aspire je lèche le méat et ses petites boules qui sont dans le creux de mon autre main. C'est intense j'ai envie de sa bite en moi, je lui murmure, mais il me répond:
-Sous l'effet du popers je suis moins ferme, car de temps on temps il aspire une bouffée.
Je me relève et rejoint ses lèvres qui après quelques minutes descendent jusqu'à ma queue. Il me titille a pointe des mamelons avec ses mains et enfourne ma tige au plus profond de sa bouche. Que cet étau est plaisant, je pousse des petits cris de plaisir qui le font redoubler, il s'active, ma bite est au maximum elle aime ce traitement de faveur. Que sa bouche est chaude, que sa langue est bonne. J'ai envie qu'il me possède moi qui suis marié et qui suis actif, j'en deviendrais passif. Je rêve qu'il me possède mais j'ai bien compris que ce n'est pas son truc,lui ce qu'il veut c'est se faire doser.
Ca y est, il me présente sa rondelle, j'aventure un doigt bientôt rejoint par un second, puis un troisième pour l'élargir à la taille de mon engin. Il se trémousse j'adore voir son petit cul bien serré, je caresse ses poils tout au long de ses jambes, c'est trop bon. Et j'embrasse ses mamelons que je tête en même temps. Il est à point je sens qu'il va réclamer que je le pénètre. En fait il se penche attrape son fut et en sors une capote qu'il s'empresse de m'enfiler. Il reprend mon sexe en bouche pour y mêler sa salive pour la pénétration. Je bande un max et prend l'aérosol de gel pour lui enduire son trou.
Il se tourne en m'embrassant et je m'introduis dans son antre. Comme c'est soyeux, je pousse en douceur pour venir buter mes fesses sur ses couilles. C'est divin il pousse des soupirs, je lui dit qu'il est beau, que c'est trop bon et qu'il est à moi. J'entame alors des va et vient en douceur et en profondeur et là j'adore je l'attrape par les épaules pour le pénétrer toujours plus profond. J'ai la vue sur les quelques poils qu'il sont dans le bas son dos, juste au dessus de son cul. Que c'est bon de le pénétrer et de le posséder. J'accélère la cadence et pousse des soupirs de contentement.
Quelle baise, quel moment unique, il en profite pour attraper mes boules par en dessous, de mon coté je le branle avec vigueur. Tout cela dure trés longtemps je ne veux pas décharger trop vite. Nos langues se mêlent à nouveau, la pluie a cessé mais un torrent se réveille en moi.
Je ne sais pas combien de temps tout cela à duré.
Il me dit que sa jouissance est proche, j'ai trop envie de le prendre en bouche. Je stoppe et tombe à ses genoux en branlant sa queue, je veux sentir le gout de son foutre et le prend en bouche. Il crache son foutre qui arrive dans ma bouche, il est doux et peu épais. Je n'avale pas mais le fait tourner dans ma bouche. Il s'arrête de juter, je recrache pour reprendre son sexe en bouche puis nous nous embrassons à pleine bouche pour mêler cette liqueur.
Il m'attrape la bite et la branle pour la soulager et je me vide enfin d'une crème épaisse qui se répand sur la terre.Quel moment fantastique et intense nous venons de vivre. Je crois que je m'attache de plus en plus à JM. Nous décidons de nous revoir dans 15 jours car je dois partir quelques jours.
Il me dit: Je ne viens ici que pour te voir
Dois-je vraiment le croire? C'est beau le démon de la cinquantaine!
Dav28
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