Épisode précédent
Comment allais-je annoncer à ma soeur que son mari m'avait fait l'amour toute une nuit, et surtout qu'il avait tellement aimé ça qu'il envisageait de faire de moi sa seconde épouse.
J'avais 18 ans. Bien qu'homosexuel depuis toujours, je n'avais pas pensé à ce destin. Devenir la seconde épouse de son beau-frère qui n'a rien pour plaire .... Oui, je haïssais cet homme, grand lourd, son mètre quatre-vingt-dix, ses 100 kg de masses, certes musclées mais quand même. Je rappelle que je suis plutôt frêle avec mon mètre soixante-quinze et mes 60 kg tout mouillé ! Et pourtant, cette nuit un homme au sexe énorme m'avait prise comme une femme. J'avais toujours eu ce sentiment de vouloir me sentir femme, d'appartenir à un homme. Je suis plutôt soumis au lit. J'étais tombé sous le charme d'un sexe dominant et non de l'enveloppe charnelle et encore moins de l'âme qui l'entourait ...
Je m'habille fissa. Hassan est sous la douche. JE cours à 'ma' chambre où je retrouve ma soeur. Elle est ravissante. Je pense que cette première nuit complète de sommeil sans être violée par son mari bestiale à la testostérone débordante, lui a fait le plus grand bien. Elle m'écoute calmement lui raconter cette nuit pour le moins surprenante. Elle acquiesce. Ne semble aucunement heurtée ni même effrayée.
- Tu as aimé Félix ?
Gêné, je hoche affirmativement de la tête, les yeux baissé. Elle me prends la main et me demande si lui a aimé ... Doublement gêné, je réponds
- Oui Brigitte, il a aimé. Il a même adoré.... Il veut faire de moi une épouse. Pardonne moi
- Il n'y a rien a pardonner, je savais qu'il voulait divorcer
- Tu ne comprends pas, il veut faire de moi sa seconde épouse. Il te garde comme la mère de ses enfants. Tu auras tous les droits. Je serai une sorte de catin pour assouvir ses désirs
- Et ?
- Je ne suis pas comme toi, Brigitte, ... j'aime qu'on me fasse l'amour. Et dois avouer que s'il ne me plait pas trop, sentir ses grosses mains me caresser, gouter son sperme, lécher son énorme gland et sentir sa queue en moi, tout cela m'a fait jouir sans besoin de me toucher ... Pardonne moi.
- Félix, si tu peux y trouver un quelconque plaisir, je serais ravie que tu sois la seconde épouse. Mes enfants resteront prioritaires dans l'ordre de succession puisque jusqu'à preuve tu ne pourras jamais en avoir. Et si mes nuits prochaines ressemblent à ma dernière nuit, je serai très heureuse.
Nous tombons dans les bras l'une de l'autre.
Je reviens dans la chambre où Hassan termine sa toilette. Lorsqu'il sors nu de la salle de bain, il me voit assis sur le lit en vêtement d'homme.
- Catin, tu dois toujours être femelle devant ton maître et ton futur mari. Je ne veux plus jamais te voir en homme. Tu n'es plus un homme. Tu es mon trou à plaisir, mon trou à jouissance, à poils salope.
Il se remet à bander aussitôt que je me retrouve nu devant lui.
- Viens sucer ton maitre
A genoux, je m'approche de cette queue, que je suce, que je lèche comme s'il en dépendait de ma vie. Je bave, mon sexe est super dur et je sens le précum couler le long de ma tige. C'est vrai que je suis salope. J'ai toujours aimé la bite mais cette méga bite dépasse tout mes fantasmes les plus fou.
- Oui, ma catin, lèche les couilles à présent, hummmm, gobe les une par une, hummmm, oui, reviens avec le bout de la langue sur mon gland, hummm, tu vas encore me faire jouir chienne, prends la en bouche
J'étouffe, des larmes coulent de mes yeux, Hassan se déchaîne sur ma bouche jusqu'à m'envoyer 7 jets de foutre qui manque de m'étouffer complètement. A
- Avale, montre moi que tu aimes
Les yeux plein de larme, le le regarde avec passion. Avec l'index, je ramène le jus qui perle au bord de mes lèvres. Il ne faut pas en perdre une goutte. Hassan semble satisfait.
- Tu m'attendras ici jusqu'à ce que je te donne le droit de sortir. J'ai à discuter avec ma femme
- Pardon Hassan, je l'a déjà fait
- Et ?
- Elle accepte la nouvelle situation
- Et toi catin ?
- Moi aussi Hassan
- Appelles moi Maître.
- Moi aussi Maître
- Très bien. Je vais te commander ta nouvelle garde robe. A partir de maintenant tu es ma femme. Plus question de te voir en mec. Tu ne sortiras de cette chambre que vêtu de ce que je t'aurai acheté. Felix est mort. Pas besoin de saluer tes amis ... Nous allons partir ta soeur, les enfants et toi pour un long voyage. IL faut officialiser notre mariage le plus rapidement. Je connais à Tunis un Imam qui célèbrera notre mariage moyennant une petite compensation pour lui et sa mosquée.
C'est ainsi que débuta ma nouvelle existence de catin de Maître Hassan. Ma nouvelle garde robe était paradoxale ! Contrairement à ma soeur habillée à l'européenne, je n'avais que des vêtements amples et longs. Je devais porter le voile. Mais sous ces vêtements austères, bien qu'Hassan ait eu la délicatesse de choisir des coloris lumineux et des tissus de grande qualité, je portais les dessous les plus sexy que l'on puisse imaginer. Des dentelles magnifiques, string rose, blanc, rouge, pourpre, toujours avec le soutien gorge assorti, ainsi que les jarretelles et toujours haut perché sur des talons des de plus de 10 cm au moins.
La villa à Tunis était superbe. L'un de ces somptueux ryad avec coin et recoins, des espaces d'ombres, des fontaines, des coures, des alcôves. Il y a avait l'espace pour les enfants, non loin de l'espace de nounous et des domestiques, l'espace des femmes où ma soeur et moi pouvions papoter toute la journée, l'espace bien être pour les femmes avec jardin à l'abri des regards, piscine, hammam, l'espace bien être pour les hommes avec bain turc et hammam, un salon d'honneur, un salon privé, le', les chambres et les terrasses. Il y avait également un superbe jardin entièrement clôturé, dans le style de la Mamounia. Tout n'était que rêve.
Hassan me faisait venir dans sa chambre tous les soirs et tous les matins et abusait de moi. De mon côté, je consentais à ce 'viol' avec grand plaisir.
Un soir après m'avoir chevauché plus sauvagement encore s'il fut possible, et alors que je nettoyais sa queue encore recouverte de sperme et fraichement sortie de mon cul et m'annonça que l'Imam serait présent demain pour une prise de vue. Il me voulait parfaite et m'intima de mettre en dentelles noires avec les bas résilles et la burqua noir en satin et soie. Je devais porter me sandales dorées et porter mes bracelets en or. Je ne devrais rien dire et surtout ne jamais ouvrir la bouche pendant l'entretien. Je devrais me tenir à l'écart dans la pièce voisine sans me montrer et obéir à tous les ordres sans broncher quelques fussent ces ordres. J'acquiesçai à tout. Hassan n'était-il pas devenu mon maître ?
Lexa
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