Chapitre 1
Bonjour, j'ai aujourd'hui 50 ans, cette histoire s'est déroulée quand j'avais 44 ans.
A l'époque, père de famille honorable composée d'une Jolie brune de 41 ans, Julia et de 3 magnifiques garçons, Matteo et Brieuc les jumeaux, 24 ans à l'époque, en dernière année de médecine (Matteo se destinant à la proctologie et Brieuc à la chirurgie plastique), et Diego le petit dernier (18 ans), un retreiver complète le tableau de la famille idéale, celle devant laquelle l'on bave quand on la voit dans les séries américaines.
Je suis pour ma part pas trop mal conservé grâce au tennis, au jogging et à la natation. 1 mètre 82 pour 72 kg, châtain clair et imberbe. Mon épouse est brésilienne. Les jumeaux ont hérité de la blondeur de leur père et d'une peau mate comme leur mère. Ils sont imberbes. Diego est noir de cheveux et mate de peau. Une légère pilosité commençait à se dessiner sur ses jambes et son torse, et ce à son grand malheur. Il faut dire que ses frères n'arrêtent pas de se moquer de lui. Mes fils s'entendent bien. Ils ont tous un caractère bien différent mais semblent se compléter à merveille. Je vous l'ai dit, j'ai beaucoup de chance. Il y a bien des heurts et des coups de poings qui se perdent de temps à autres mais, c'est rare et mes fils finissent toujours par s'excuser dans les bras l'un de l'autre.
Je suis fier d'eux. Sans m'impliquer trop dans leur éducation que j'ai laissé à mon épouse, je les vois évoluer favorablement. Ils ne sont pas confidents avec leur père mais je sais que mon épouse est à leur écoute et qu'ils se confient plus facilement à elle. Surtout Diego, le petit dernier qui est le chouchou de sa maman. Ce fût d'ailleurs un problème à sa naissance car mon épouse n'a plus voulu de sexe après la naissance de Diego. Je dois avouer que cela a failli briser notre couple. Car quand Diego est né, je n'avais que 34 ans ! Et faire un noeud dans ma quequette n'a pas été facile. Enfin, pour préserver les miens, j'ai utilisé au quotidien ma main droite et la vie a continuer.
Mes gamins sont très sportifs. Depuis tout jeune, je les initie au sport de compétition. Naturellement, la natation. Les jumeaux font du rugby et Diego du hockey. Ils ont ma taille peut être un peu plus grand que moi pour ce qui est des jumeaux. Mais plus musclé que moi, jeunesse oblige.
Diego est plus petit. Mais je lui dit de ne pas s'en faire, J'ai grandi à partir de 20 ans. 4 longues années à attendre pour lui ... LOL
A 44 ans, j'ai revendu mon entreprise à un très bon prix. 500 millions ! Ce pactole m'a permis de lever le pied et de quitter Paris pour la province. J'ai dégoté dans un petit endroit du sud dont je tiens encore le secret ... bande de petit curieux ... un mât somptueux dans un endroit paradisiaque, totalement isolé, ou presque. J'ai un voisin, un vieux monsieur et son petit-fils. La maison est organisée de sorte que depuis le séjour, j'ai vue sur la piscine et la nature uniquement. Depuis la chambre de Diego, je peux apercevoir la piscine de mon vieux voisin. Il doit avoir dans les 70 ans mais vachement bien conservé et d'une excellente éducation. Un homme très comme il faut !. Son petit fils aussi d'ailleurs. Ce dernier a 20 ans, je pensais qu'il en avait 16 ou 17 comme Diego. Charles, le petit fils de Jacques est en effet un petit gabarit. Il doit avoir manqué de sport mais excelle en parole. C'est un garçon très agréable avec qui on ne s'ennuie pas ! il a une grande culture générale. Je les avais rencontré avant tout e monde, juste avant l'achat de la maison. Nous avions passé, une excellente soirée. Et cela m'avait définitivement rassuré pour conclure l'achat de ma nouvelle propriété. Jacques et Charles, s'était présentés par leur prénom mais pas par leur lien de famille. Cela ne faisait aucun doute pour moi. Même si la ressemblance n'y était pas. Jacques était le grand père et Charles, le petit fils. IL y avait une belle complicité entre eux. Jacques était comme moi, un mètre 80 pour 77 kg, mais très poilu. On voyait qu'il avait fait beaucoup de sport. Il nageait encore tous les jours. Charles, était plus gringalet et totalement imberbe. Il avait un visage d'ange.
De retour dans ma petite famille pour annoncer la bonne nouvelle d'un déménagement futur, je me heurtai à la tristesse de Diego qui ne voulait pas se séparer de son ami Kevin ! Je ris de bon coeur et lui dit qu'il pourrait inviter Kevin quand il le souhaiterait. Je charriais mon fils de bonne humeur car je réalisais un rêve. Je leur racontai la rencontre avec le propriétaire voisin un charmant vieux monsieur et son petit fils très agréable. Je dis à Diego que ça lui ferait du bien de discuter avec ce jeune Charles plein d'érudition.
Et nous voilà donc à ..... (non je tairai le nom du site magique jusqu'au bout, bande de grands curieux !). Premier été divin. Mes ainés avaient brillamment réussi leur année. Diego devait passer trois examens de passage, en mathématique, physique et biologie ! Diego était intelligent mais très peu travailleur. Mon épouse avait du malheureusement repartir au brésil pour un décès dans sa famille lointaine. Ne connaissant pas le défunt, j'ai trouvé inutile de me joindre. De son côté, elle allait en profiter pour rendre visite à tous les membres de sa famille et faire un pèlerinage. Elle était donc partie pour 2 mois.
Et c'est donc cet été, été de mes 50 ans que tout a commencé à basculer dans ma vie.
Les jumeaux s'amusaient comme des fous dans la piscine et profitaient de leur deux mois de vacances, Diego, restait à mon gout trop dans sa chambre. Je m'en inquiétais et allais régulièrement l'en sortir. Il semblait toujours perturbé quand je le surprenais dans sa chambre. Sa poubelle était toujours remplie de mouchoirs humides. Ce qui n'est que chose normale à son âge. Une fois alors que je le surprenais une x ieme fois, il sortit rouge pour aller rejoindre ses frères, la tête baissée. Curieux, je commençais à rechercher un livre porno pour voir les gouts de mon fils. Rien .... Son ordinateur était éteint. Alors que je m'apprêtais à quitter la chambre de mon fils, je jetai un coup d'oeil par la fenêtre et restai scotché ! Jacques le papy, était nu et se faisait sucer la queue par son petit-fils Charles en bas jarretelles rouge flashi et tallons rouge laqué ! Charles était cambré comme la pire des salopes que l'on peut mater dans les films porno et faisait une gorge profonde à son papy dont la vigueur me surpris. J'ai une bite normale, 19 par 5. Mais là, la bite de Jacques, le papy semblait démesurée ! Quasi instantanément, je me mis à bander ! Ce petit se cambrait comme une vraie pute et ne semblait même pas forcer à faire ce qu'il faisait ! Pire, il semblait y prendre du plaisir. Son string rouge mettait en valeur un cul magnifique totalement imberbe, un cul de femme en mieux encore ! Jacques eut un tressaillement et j'en conclu qu'il jouissait dans la bouche de Charles qui semblait s'en régaler ! Alors que j'eu dû fuir cette vision diabolique, je mouillais et éjaculais dans mon short sans m'être touché ! Charles, avait terminé sa mission et se leva pour se diriger à l'intérieur de leur maison. Il se déplaçait avec une langueur féline et un dandinement terriblement féminin.
Je quittai la chambre de Diego, hautement perturbé pour aller prendre une douche afin de me refroidir car je rebandais à cette vision qui ne me quittais pas. Je ne pouvais même pas penser ... J'étais sous le choc. Diego avait-il vu ce spectacle ? Était-ce pour cela qu'il restait dans sa chambre ?
Chapitre 2
J'avais présenté mes fils à Jacques et Charles, lors de notre arrivée sur place, 3 semaines auparavant. Diego et Charles avaient bien sympathisé mais Diego ne cherchait pas particulièrement contact avec lui. Jacques avait également beaucoup discuté avec Diego qui s'était un peu ouvert à cet inconnu alors que Diego est plutôt un timide (éducation dans les joues de sa mère aidant !) Cette soirée était une première soirée en entre hommes pour Diego. Jacques avait été professeur à l'université. Il était ingénieur. Il avait proposé de donner des cours particulier à Diego. Une heure et demi tous les jours, Diego se rendait chez nos voisins.
Tout cela se bousculait dans ma tête. Diego ne m'avait fait part d'aucun comportement anormal de la part de Jacques. Il se rendait même avec plaisir tous les jours depuis 3 semaines à sa leçon quotidienne ! Deux fois par semaine, Matteo donnait de son côté un cours particulier en biologie à Diego. Cela se passait un peu moins bien. Matteo était d'un naturel autoritaire, voire dominant. Il avait toujours eu facile pour apprendre et ne comprenait pas que l'on ait un peu plus de difficultés que lui pour retenir des pages et des pages de théorie ! Même avec son frère jumeau, il se montrait autoritaire. Cela avait souvent éclaté entre eux mais, Matteo et Brieuc étaient devenus réellement complice. Matteo avait beaucoup aidé son frère. Ils étaient très souvent ensemble. Brieuc suivait et semblait très heureux de son statut de second, protégé par son grand frère d'une heure plus agé que lui ! LOL
Le reste de l'après midi de cette découverte de mon vieux voisin se faisant sucer par sa jeune salope de petit fils, je fut perturbé et silencieux. Ma douche glaciale n'avait pas réduit mon érection ! Je en pouvais me balader dans la maison dans cet état. Même sous mon short mon sexe bandé se voyait !
Je décidais alors de rester dans ma chambre et me branlai vigoureusement 5 fois de suite, chaque fois produisant une quantité de sperme qui me surprenait ! Bon sang, je ne savais pas que mes couilles pouvaient en fabriquer tant ! Avec horreur, les images qui me passaient par la tête, outre celle bien réelles que j'avais surprise quelques heures auparavant, étaient celle de Charles penché sur ma queue, la léchant, l'engouffrant profondément dans sa bouche de jeune pervers si beau au visage d'ange ! J'étais très perturbé. Il fallait que je me reprenne. Je n'avais jamais eu de pensée homosexuelle. J'étais marié bon sang et père de famille !
Lors du diner du soir, je fut absent. Mes fils parlaient, Matteo fanfaronnait, Brieuc l'admirait. Diego semblait aussi silencieux que moi. Avait-il été témoin du même spectacle que moi ? Combien de fois ? Que pensait-il de cela ? Il était timide et sans petite amie mais, j'avais été comme lui et pour autant, j'étais tombé amoureux à 20 ans et m'était marié immédiatement ! J'avais eu 3 beaux enfants !
J'allai dormir tôt prétextant un mal de tête. Ma nuit fut agitée ! Je me réveillai souvent en sueur la queue douleureuse, dure comme une matraque. Les images dans ma tête étaient terribles puisque Charles, n'était plus seul à me sucer ... Diego et lui se disputaient ma queue comme deux salopes avides de jus ! Je m'ébrouai et tentai de chasser ces images ... Mais elles revenaient ...
Ce matin là, j'étais crevé ! Les yeux rougis, la queue douloureuse de l'avoir astiqué toute la nuit ! Mes draps étaient souillés, je devrais faire une machine avant l'arrivée de la dame de ménage ! Alors que je buvais mon thé de matin, Diego entra en singlet et short moulant de sport vert canaris. Diego avait toujours été coquet et je m'en étais toujours félicité. Mes fils prenaient soins d'eux comme leur père le faisait et leur avait appris à le faire. Mais ce matin-là fut différent, cette coquetterie, ce coloris vert canaris me semblait suspect. Diego aimait les couleurs vives qui lui allaient à merveille avec ses cheveux noirs, sa peau mate. Et puis ce short était vraiment très moulant mettant en évidence, son sexe, et ses fesses magnifiquement rebondies. Il souriait. Il ignorait mon tourment. Tourment qui grandissait alors que je me surpris à bander en regardant mon fils de dos se pencher dans le frigo pour prendre un yaourt. Il se retourna soudain et me dit avec son beau sourire et ses grands yeux, je file chez Jacques, je suis en retard ...
Ignorait-il les penchants de Jacques, le cas échéant, il fallait que je le mette en garde. Sa tenue pouvait éveiller des pulsions chez ce papy bien vicieux ! A moins qu'il ne fut au courant et que cette tenue était un choix délibéré ... Je ne savais plus quoi penser. Ni quoi faire. Moi qui avait dirigé des équipes de centaines d'hommes sur des chantiers, je me trouvais mal, dépourvu devant mon propre fils. Diego sortit de la cuisine, croisa son frère Matteo qui le siffla et lui donna une claque sur les fesses. Tous ces faits et gestes me paraissaient plus suspects les uns que les autres. Qu'est ce qui avait changé en moi ? Pourquoi me torturer l'esprit. J'avais toujours trouver ces gamineries, ces jeux entre frères, anodins et sympathiques. Mes fils s'entendaient bien et c'était là le principal. Non, je ne devais pas penser mal. Je pensai alors à ma femme et ma trique se calma ... étrange de penser à sa femme pour ne plus bander ! Peu importe. Il fallait que je me lève pour prendre ma douche.
Au sortir de ma douche , je ne pu m'empêcher d'aller dans la chambre de Diego pour regarder par la fenêtre. Si Jacques enseignait à Diego sur sa terrasse couverte, j'aurai une vue sur eux. Il fallait que je me rassure. Jacques était assis à côté de Diego, appliqué qui écoutait tout sourire. La situation était quoi de plus normale. Je voyais mon fils hocher de la tête. Il semblait comprendre ce que Jacques lui expliquait avec application. Je m'étais fait des idées. Et puis Jacques faisait ce qu'il voulait ! Merde alors, Charles n'avait pas l'air de se plaindre et il était majeur !
Rassuré, j'allais faire quelques longueurs dans la piscine. Matteo et Brieuc, partaient pour leur jogging matinal. Cela faisait une heure et demie que Diego était parti. Il ne tarderait pas à rentrer. Je décidais de remonter me changer. Par curiosité, je repassai par la chambre de Diego et m'approchai de la fenêtre pour voir, un spectacle tout à fait normal. S'en était terminé du cours. Diego repliait ses affaires. Et Jacques semblait le féliciter de ses progrès. J'allais me retourné, quand Charles apparu nu comme un vers avec un plateau sur lequel était disposé 3 verres d'un jus de fruit. Je vis mon fils rougir. Jacques se leva, pris Diego par la main et se dirigeait vers les chaises longues le long de la piscine où Charles les attendait. Il avait posé les verres sur la table basse entre les chaises longues. Jacques s'assit sur la chaise de droite et fit assoir Diego sur celle de gauche. Charles, nu comme un ver, totalement imberbe même sur le pubis s'assit alors sur les genoux de Jacques. Jacques trônait entre ces deux éphèbes. Une main posée sur les fesses de son petit fils et l'autre caressant l'entre cuisse de ce dernier, jusqu'à lui malaxer les couilles et faire bander Charles. Tout le monde souriait. Charles se dandinait. Jacques parlait. Mon fils regardait la scène. Son short semblait déformé à l'entre jambe. Mon fils était-il pédé ? Comment avais-je pu ne pas voir cela ? Qu'il soit gay, n'était pas un problème. Mon éducation permettait une grande liberté dans la tolérance. Je ne pouvais détourner mon regard de cette scène et ma queue avait repris une forme dominante. Mon gland sortait de mon maillot et des gouttes de précum sortaient de ma tige en érection. Que pouvaient-ils se dire ? Diego se leva se rapprocha des deux voisins de sorte que son sexe était à la hauteur des visages de Jacques et Charles qui maintenant se roulaient une pelle baveuse ! Je m'approchai de la fenêtre, j'avais pris ma queue en main et je me masturbais doucement car je sentais bien que j'allais exploser. Diego baissa sont short et Charles engloutit son sexe avec gourmandise. Je vis mon fils gémir de plaisir. Jacques pris à son tour le sexe de mon fils en bouche tout en lui caressant les fesses. Ce spectacle était surréaliste. La situation était à couper le souffle. Moi, père de famille honorable, j'avais ma bite en main et j'étais en train de me branler en matant mon fils se faire sucer par un vieux de 70 ans et son petit-fils. Jacques tentait d'introduire un doigt entre les fesses de mon fils et ce dernier se retourna pour offrir à ses deux complices ses belles fesses rebondies. Il se cambrait comme j'avais vu le faire la veille, Charles. Il écarta ses fesses pour les offrir à la langue de Charles qui après avoir bien lécher ce petit orifice sombre, lécha le doigt de son grand père qui l'introduisit dans l'anus de Diego ! Charles se leva pour reprendre le sexe de mon fils en bouche qui manifestement jouissait fortement à le voir haleté ... et je constatais que je jouissais en même temps. Le trio se sépara, se complimenta. De mon côté, je fonçais dans la douche pour me calmer encore une fois puis je me retirais dans mon bureau où je m'enfermais. J'entendis la porte de la maison claquer. Diego lança un 'suis de retour' triomphant. J'eu la force de lui demander si tout allait bien et s'il avait bien appris. Diego me répondit que Jacques était un professeur extra qui apprenait les choses de manière douce, très didactique. Il ajouta qu'il aurait souhaité avoir plus de professeur comme ça.J'avais présenté mes fils à Jacques et Charles, lors de notre arrivée sur place, 3 semaines auparavant. Diego et Charles avaient bien sympathisé mais Diego ne cherchait pas particulièrement contact avec lui. Jacques avait également beaucoup discuté avec Diego qui s'était un peu ouvert à cet inconnu alors que Diego est plutôt un timide (éducation dans les joues de sa mère aidant !) Cette soirée était une première soirée en entre hommes pour Diego. Jacques avait été professeur à l'université. Il était ingénieur. Il avait proposé de donner des cours particulier à Diego. Une heure et demi tous les jours, Diego se rendait chez nos voisins.
Tout cela se bousculait dans ma tête. Diego ne m'avait fait part d'aucun comportement anormal de la part de Jacques. Il se rendait même avec plaisir tous les jours depuis 3 semaines à sa leçon quotidienne ! Deux fois par semaine, Matteo donnait de son côté un cours particulier en biologie à Diego. Cela se passait un peu moins bien. Matteo était d'un naturel autoritaire, voire dominant. Il avait toujours eu facile pour apprendre et ne comprenait pas que l'on ait un peu plus de difficultés que lui pour retenir des pages et des pages de théorie ! Même avec son frère jumeau, il se montrait autoritaire. Cela avait souvent éclaté entre eux mais, Matteo et Brieuc étaient devenus réellement complice. Matteo avait beaucoup aidé son frère. Ils étaient très souvent ensemble. Brieuc suivait et semblait très heureux de son statut de second, protégé par son grand frère d'une heure plus agé que lui ! LOL
Le reste de l'après midi de cette découverte de mon vieux voisin se faisant sucer par sa jeune salope de petit fils, je fut perturbé et silencieux. Ma douche glaciale n'avait pas réduit mon érection ! Je en pouvais me balader dans la maison dans cet état. Même sous mon short mon sexe bandé se voyait !
Je décidais alors de rester dans ma chambre et me branlai vigoureusement 5 fois de suite, chaque fois produisant une quantité de sperme qui me surprenait ! Bon sang, je ne savais pas que mes couilles pouvaient en fabriquer tant ! Avec horreur, les images qui me passaient par la tête, outre celle bien réelles que j'avais surprise quelques heures auparavant, étaient celle de Charles penché sur ma queue, la léchant, l'engouffrant profondément dans sa bouche de jeune pervers si beau au visage d'ange ! J'étais très perturbé. Il fallait que je me reprenne. Je n'avais jamais eu de pensée homosexuelle. J'étais marié bon sang et père de famille !
Lors du diner du soir, je fut absent. Mes fils parlaient, Matteo fanfaronnait, Brieuc l'admirait. Diego semblait aussi silencieux que moi. Avait-il été témoin du même spectacle que moi ? Combien de fois ? Que pensait-il de cela ? Il était timide et sans petite amie mais, j'avais été comme lui et pour autant, j'étais tombé amoureux à 20 ans et m'était marié immédiatement ! J'avais eu 3 beaux enfants !
J'allai dormir tôt prétextant un mal de tête. Ma nuit fut agitée ! Je me réveillai souvent en sueur la queue douleureuse, dure comme une matraque. Les images dans ma tête étaient terribles puisque Charles, n'était plus seul à me sucer ... Diego et lui se disputaient ma queue comme deux salopes avides de jus ! Je m'ébrouai et tentai de chasser ces images ... Mais elles revenaient ...
Ce matin là, j'étais crevé ! Les yeux rougis, la queue douloureuse de l'avoir astiqué toute la nuit ! Mes draps étaient souillés, je devrais faire une machine avant l'arrivée de la dame de ménage ! Alors que je buvais mon thé de matin, Diego entra en singlet et short moulant de sport vert canaris. Diego avait toujours été coquet et je m'en étais toujours félicité. Mes fils prenaient soins d'eux comme leur père le faisait et leur avait appris à le faire. Mais ce matin-là fut différent, cette coquetterie, ce coloris vert canaris me semblait suspect. Diego aimait les couleurs vives qui lui allaient à merveille avec ses cheveux noirs, sa peau mate. Et puis ce short était vraiment très moulant mettant en évidence, son sexe, et ses fesses magnifiquement rebondies. Il souriait. Il ignorait mon tourment. Tourment qui grandissait alors que je me surpris à bander en regardant mon fils de dos se pencher dans le frigo pour prendre un yaourt. Il se retourna soudain et me dit avec son beau sourire et ses grands yeux, je file chez Jacques, je suis en retard ...
Ignorait-il les penchants de Jacques, le cas échéant, il fallait que je le mette en garde. Sa tenue pouvait éveiller des pulsions chez ce papy bien vicieux ! A moins qu'il ne fut au courant et que cette tenue était un choix délibéré ... Je ne savais plus quoi penser. Ni quoi faire. Moi qui avait dirigé des équipes de centaines d'hommes sur des chantiers, je me trouvais mal, dépourvu devant mon propre fils. Diego sortit de la cuisine, croisa son frère Matteo qui le siffla et lui donna une claque sur les fesses. Tous ces faits et gestes me paraissaient plus suspects les uns que les autres. Qu'est ce qui avait changé en moi ? Pourquoi me torturer l'esprit. J'avais toujours trouver ces gamineries, ces jeux entre frères, anodins et sympathiques. Mes fils s'entendaient bien et c'était là le principal. Non, je ne devais pas penser mal. Je pensai alors à ma femme et ma trique se calma ... étrange de penser à sa femme pour ne plus bander ! Peu importe. Il fallait que je me lève pour prendre ma douche.
Au sortir de ma douche , je ne pu m'empêcher d'aller dans la chambre de Diego pour regarder par la fenêtre. Si Jacques enseignait à Diego sur sa terrasse couverte, j'aurai une vue sur eux. Il fallait que je me rassure. Jacques était assis à côté de Diego, appliqué qui écoutait tout sourire. La situation était quoi de plus normale. Je voyais mon fils hocher de la tête. Il semblait comprendre ce que Jacques lui expliquait avec application. Je m'étais fait des idées. Et puis Jacques faisait ce qu'il voulait ! Merde alors, Charles n'avait pas l'air de se plaindre et il était majeur !
Rassuré, j'allais faire quelques longueurs dans la piscine. Matteo et Brieuc, partaient pour leur jogging matinal. Cela faisait une heure et demie que Diego était parti. Il ne tarderait pas à rentrer. Je décidais de remonter me changer. Par curiosité, je repassai par la chambre de Diego et m'approchai de la fenêtre pour voir, un spectacle tout à fait normal. S'en était terminé du cours. Diego repliait ses affaires. Et Jacques semblait le féliciter de ses progrès. J'allais me retourné, quand Charles apparu nu comme un vers avec un plateau sur lequel était disposé 3 verres d'un jus de fruit. Je vis mon fils rougir. Jacques se leva, pris Diego par la main et se dirigeait vers les chaises longues le long de la piscine où Charles les attendait. Il avait posé les verres sur la table basse entre les chaises longues. Jacques s'assit sur la chaise de droite et fit assoir Diego sur celle de gauche. Charles, nu comme un ver, totalement imberbe même sur le pubis s'assit alors sur les genoux de Jacques. Jacques trônait entre ces deux éphèbes. Une main posée sur les fesses de son petit fils et l'autre caressant l'entre cuisse de ce dernier, jusqu'à lui malaxer les couilles et faire bander Charles. Tout le monde souriait. Charles se dandinait. Jacques parlait. Mon fils regardait la scène. Son short semblait déformé à l'entre jambe. Mon fils était-il pédé ? Comment avais-je pu ne pas voir cela ? Qu'il soit gay, n'était pas un problème. Mon éducation permettait une grande liberté dans la tolérance. Je ne pouvais détourner mon regard de cette scène et ma queue avait repris une forme dominante. Mon gland sortait de mon maillot et des gouttes de précum sortaient de ma tige en érection. Que pouvaient-ils se dire ? Diego se leva se rapprocha des deux voisins de sorte que son sexe était à la hauteur des visages de Jacques et Charles qui maintenant se roulaient une pelle baveuse ! Je m'approchai de la fenêtre, j'avais pris ma queue en main et je me masturbais doucement car je sentais bien que j'allais exploser. Diego baissa sont short et Charles engloutit son sexe avec gourmandise. Je vis mon fils gémir de plaisir. Jacques pris à son tour le sexe de mon fils en bouche tout en lui caressant les fesses. Ce spectacle était surréaliste. La situation était à couper le souffle. Moi, père de famille honorable, j'avais ma bite en main et j'étais en train de me branler en matant mon fils se faire sucer par un vieux de 70 ans et son petit-fils. Jacques tentait d'introduire un doigt entre les fesses de mon fils et ce dernier se retourna pour offrir à ses deux complices ses belles fesses rebondies. Il se cambrait comme j'avais vu le faire la veille, Charles. Il écarta ses fesses pour les offrir à la langue de Charles qui après avoir bien lécher ce petit orifice sombre, lécha le doigt de son grand père qui l'introduisit dans l'anus de Diego ! Charles se leva pour reprendre le sexe de mon fils en bouche qui manifestement jouissait fortement à le voir haleté ... et je constatais que je jouissais en même temps. Le trio se sépara, se complimenta. De mon côté, je fonçais dans la douche pour me calmer encore une fois puis je me retirais dans mon bureau où je m'enfermais. J'entendis la porte de la maison claquer. Diego lança un 'suis de retour' triomphant. J'eu la force de lui demander si tout allait bien et s'il avait bien appris. Diego me répondit que Jacques était un professeur extra qui apprenait les choses de manière douce, très didactique. Il ajouta qu'il aurait souhaité avoir plus de professeur comme ça.
Chapitre 3
Manifestement, Diego était consentant ! Il avait 18 ans majeur sexuellement ... que pouvais-je faire, que devais je faire ? Perdu, je dis à Diego que je partais pour toute la journée à pied me promener et je m'enfermais dans mon bureau. Matteo et Brieuc étaient de retour. Mon ouïe était hyper développée. Je scrutais tout indice que j'avais raté.
- Hello frérot, papa est parti ?
- Non, il est parti se promener à pied, ila dit de ne pas l'attendre qu'il ne rentrera que vers 17H
- Très bien, tu as bien appris tes mathématiques ?
- Aujourd'hui, c'était physique
- Ahaha dans les deux sens du terme alors
- Oh oui, c'était très excitant
Pas possible, Matteo était au courant ? Décidemment j'allais de surprise en surprise. Je collais mon oreille à la porte pour entre le plus possible. Les mots devenaient comme des chuchotements car mes fils étaient à l'étage maintenant.
- Bon les gars, je vais prendre ma douche mais avant vous savez ce que vous avez à faire, j'ai bien transpiré, vous allez vous régaler
De quoi parlait Matteo ?
- Allez les frérots à poils et au pieds de votre maitre !
Je n'en croyais pas mes oreilles.
- Elle est bonne ma queue, hein ? Chacun son tour, ne vous battez pas ! Vous êtes vraiment deux salopes ! Allez montrez moi votre petit trou que je vérifie l'élasticité. Il faut vous entretenir ! Votre petit trou devra toujours rester serré comme si vous étiez puceau ! Mais vous êtes chanceux, j'ai le matériel pour vous exercer. Humm oui, c'est bien Brieuc, tu restes bien serré malgré que tu prends ma queue tous les jours ! Tu vois Diego, prends exemple sur ton frère et tiens bien serré ce petit plug que je t'enfonce. Tu devras le garder toute la journée. Allez, terminez moi avec votre bouche. Prenez votre vitamine quotidienne ! Le sperme c'est bon. Hummm ouiiiiiii
- A notre tour de te donner nos vitamines
- Tu as de la chance, on est deux, tu as double portions
- Petit gourmant, tu as déjà eu une dose chez nos voisins
- C'est vrai, je suis gourmant. Mais j'aime tant ça. Dis moi Brieuc, tu penses que je pourrai commencer le traitement quand ? Mes poils poussent et c'est pas très féminin. Ne crois tu pas que je devrais commencer à prendre des hormones féminines pour éviter cette pilosité ?
- Tu peux mais en quantité moindre car, les effets secondaires sont également une poussée de la poitrine.
- Mais j'ai aussi envie de seins mon chéri et tu le sais
- Oui Diego on le sait mais pour faire de toi une bonne petite pute de luxe, Brieuc a raison, il faut attendre tes 18 ans. Mais t'inquiète avec un frère proctologue qui va te faire un anus de rêve et un frère chiro plasticien, tu deviendras la plus belle pute du monde et tu gagneras beaucoup d'argents.
- Merci les frérots ! Moi j'ai vraiment pas envie de perdre mon temps dans des études comme vous ! Si je pouvais trouver petit vieux comme Charles.
- Au fait faudrait dire au paternel que Charles n'est pas le petit fils de Jacques mais son mec !
- Non il risquerait de suspecter des choses ... et de m'interdire à aller chez eux ... j'aime bien Jacques. C'est un homme viril et j'ai un faible pour les hommes virils et mature
- Ahaha, une vraie catin. Tu iras loin ma poule. Tu te feras des dirigeants, des politiciens, ... que des hommes en vue et très riche ! On investit en toi ! Il nous faut un retour sur investissement !
Je crois alors que j'allais mourir. Je pleurais de honte pour ma famille et de honte sur moi, qui sans toucher mon sexe, n'arrêtait plus de jouir. Mon short était trempé comme si j'avais pissé dedans ! C était juste ma jouissance intense ! Qu'était devenu ma belle famille ? Ma femme était-elle au courant ? Comment devais je réagir ? Que devais je faire ?
Je décidais de prendre contact avec Jacques.
Fin de la semaine, j'étais chez Jacques, toujours flanqué de sa salope de petit fils. Pardon ... accompagné de son petit fils. Je ne tournai pas autour du pot.
A peine assis sur le canapé dans leur séjour cosy et chargé, .... J'aurais du me douter de leurs gouts. Cet intérieur était plus que raffiné. Pas un objet n'était sans valeur. Tous ces bibelots étaient placés à leur juste place. Cet intérieur était hypnotisant d'harmonie, comme le sourire mes interlocuteurs. Une coupe de champagne exquis entre les mains je me lançai.
- Je sais tout, pour vous, pour mon fils, ce que vous faites .... Je ... Je ne comprends pas ... je n'ai rien constaté ... je voudrais comprendre, bordel c'est mon fils !
Les larmes me submergèrent. Pour la première fois, Jacques et Charles ne se cachèrent pas devant moi. Leurs mains se rejoignirent.
- Et puis, vous, vous n'avez pas honte, c'est votre petit fils !!!!
- Pardon, mais vous ne savez pas tout cher Monsieur. Charles n'est pas mon petit fils. Vous a-t-il été présenté comme tel à aucun moment ? Jamais. Charles est mon compagnon de vie. Mon amant. Mon chaton. Mon sucre d'orge. Mon bébé. Ma salope. Ma putain. Mon mari. Jamais je ne vous l'ai présenté comme étant mon petit fils !
C'était à mon tour d'être confus. Il n'y avait aucun lien familial entre eux. C'était un choix de vie. Qui étais-je pour les juger ? Moi qui avait découvert que mes fils partouzaient ensemble ! moi qui avait bander à l'idée qu'un grand père se fasse sucer par son petit fils, mois qui avait jouis en entendant mes fils se sucer, se lécher, se pénétrer ! Moi enfin qui bandait encore et encore face à ce couple improbable dans mon milieu ! je bredouillais des excuses maladroites, accentuant cette différences d'ages.
- Ne vous excusez pas cher Monsieur, la société est ainsi faite que les gens se font vite des idées et que finalement, notre société est loin de la tolérance qui proclame aux 4 coins du monde au prix parfois de guerres stupides. J'étais comme vous, marié et père, quand j'ai rencontré Charles. Ce fut un coup de foudre. J'ai tenté de fuir mais Charles ne l'entendais pas ainsi.
- Je suis tombé amoureux de Jacques au premier coup d'oeil. J'ai voulu lui appartenir à la seconde même. Cela ne s'explique pas. Il n'y a rien à justifier. Aujourd'hui, je suis pleinement épanoui
- Et moi de même. Charles m'apporte un bonheur que je n'ai jamais connu en famille, avec ma femme, et mes filles.
- Nous avons été rejeté par nos familles. Nous ne les voyons plus.
- C'est aussi pour cela que nous nous sommes retirés ici, à l'écart. Mais parlons de vous cher Monsieur. Je pense que ce qui vous préoccupe, c'est Diego.
- Entre autres, Jacques, en autres ... mais en effet que s'est-il passé ? Comment se fait-il que je n'ai rien vu ?
- Diego est un garçon merveilleux. Et je suis content que Charles ait un garçon de son âge pour converser et peut être dans un futur proche pour sortir. A mon âge, je ne sors plus beaucoup
- Vous riez, vous ne paraissez pas votre âge !
- C'est gentil, c'est vrai - clin d'oeil
J'ai tout de suite senti les envies de Diego. Avec beaucoup de psychologie, nous l'avons amené à s'accepter, à ne pas avoir honte. Ce ne fut pas très difficile. Votre fils à sa composante féminine très développée ... je pense qu'il souhaite appartenir à un homme mur et viril et .... À devenir très féminin. Il ne faut pas combattre cette personnalité.
Pendant que Jacques me parlait, sa main s'était déplacée sur la cuisse de Charles qui se collait de plus en plus à son grand ... pardon, à son amoureux , son mari.
- Vous même cher Monsieur, si je puis me permettre, êtes perturbé par vos sentiments. Et vous ignorez bien des choses ... si je peux ...
- Comment cela ? Je n'ignore rien de moi, je suis hétéro, marié à une charmante femme et n'ai aucune attirance pour un homme.
- Comme, je le disais vous ignorez beaucoup de choses ...
- Non ! Je sais que mes deux ainés sont pédés également ! Que Matteo se considère comme le maitre des ses frères. QU'il a un ascendant incontestable sur eux ! que mes fils, Brieuc et Diego sucent leur frère ! Je SAIS TOUT CELA !!!
- Pardon, Cher Monsieur, j'ignorais cela .... Je ne parlais pas de cela d'ailleurs ...
- Comment ? De quoi parliez vous alors ?
- De vous, cher Monsieur, de la bosse qui se dessine dans votre pantalon depuis que vous êtes entré dans cette maison.
A ces mots il fit un signe à Charles de venir vers moi. Charles ne se le fit pas dire à deux fois, il se leva et vin s'assoir près de moi ! Il commença à me caresser ! Je le repoussais immédiatement avec ne certaine violence.
- J'aime les femmes pas les hommes !
Jacques fit un nouveau signe à Charles qui se leva et disparu.
- Cher Monsieur, je le pensais aussi ! Je rejetai cette part de moi au nom de ma famille de mes filles ... Elles m'ont rejeté sans émotions sans sentiments.
Pendant qu'il me parlait, il me réservait une 4 ième coupe de champagne. Je commençais à tourner un peu. Il m'interrogeait très intéressé sur les autre fils. Je répondais comme hypnotisé. Soudain, une superbe femme apparu et vient s'assoir à mes côtés. Elle me caressa l'entre jambe qui n'avait pas dégonflé depuis le début de mon arrivée chez mes voisins. Sa bouche vint se coller à la mienne et je ne tardais pas à saisir ce corps, à l'embrasser sans pudeur, à le palper, à peloter les fesses de cette créature divinement chaude. J'avais déjà le sexe sorti et dans la bouche de cette catin de luxe. La meilleure pipe jamais connue ! Toujours silencieuse, cette créature s'empala sur ma bite et je jouis comme un dingue dans son cul délicieux ... Charles, me dit alors merci ... j'ai adoré votre bite en moi. Je suis heureux de vous avoir donné ce plaisir. Sonné de surprise, je n'eus aucune réaction. Je remballai mon sexe et parti sans autre force de politesse.
Le lendemain matin, je sortis des brumes grogui... Je cherchai à joindre mon épouse ... sans succès ... j'ouvris ma boite e mail pour lui envoyer un message. Elle m'avait précédé ... Elle me quittait ... un monde s'effondrait ! Mon monde s'effondrait !
Chapitre 4
Ce soir là, je bus plus que de raison. Mes enfants ne m'avaient jamais vu saoul. Ce fut d'abord les jumeaux qui rentrèrent de leur expédition. Je m'étais assoupi en slip, affalé sur le canapé avec les bouteilles vides témoins et accusatrices de mon état. Brieuc, vint me secouer un peu par les épaules. Il était doux. Il souleva mon corps lourd de désespoir et ma tête vint cogner ses pectos musclés et sa peau douche. Je me mis à pleurer.
- Ne t'en fait pas papa. On reste avec toi. C'est honteux ce que maman te fait là. On t'aime et on ne t'abandonnera jamais.
Je pleurai de plus belle. Ils étaient donc au courant que leur mère était partie. Qu'elle nous avait tous quitté ! Comme ça par mail... Brieuc était assis, ma tête contre son torse et le reste de mon corps allongé sur le canapé dans une position inconfortable. Je voulu me relever mais ma main qui au départ devait s'agripper à son épaule, glissa le long de son torse pour retomber sur son sexe où ma tête trop lourde la rejoignit. Brieuc me caressait les cheveux.
- Petit papa, on est là. Ne pleure pas ou je vais pleurer avec toi ...
Matteo, nous avait rejoints. Il était assis par terre au pied de son frère. Il me caressait le bras, le flan de mon torse nu. Tout se bousculait dans ma tête. Les yeux clos, je parvins à murmurer
- Oui votre mère nous a quitté, je sais tout pour votre frère, je sais tout pour vous, une si belle famille, une ruine ...
Pourquoi donc les seules images qui me revenaient étaient celles de mon fils, Diego nu avec nos voisins. Comment dans ce moment dramatique ou plutôt pathétique, je parvins encore à bander, ce qui ne passa pas inaperçu car la main de Matteo, descendait de plus en plus le long de mon flanc pour caresser mon bassin, mes cuisses. Leurs mots me berçaient.
- Ne t'en fait pas, ... on est là, ... on va s'occuper de toi, ... tu n'es pas seul,... à nous quatre on est les plus fort, ... etc ... etc ...
Je me laissais couler. Je n'avais plus de force.
- Pour Diego, on voulait t'en parler. On attendait qu'il ait 18 ans. Nous ignorions ta réaction. Tu sais, sa part féminine est plus forte et il ne peut s'épanouir que si nous l'accompagnons, si nous l'aidons, si nous l'aimons, ...
Je n'avais pas la force de répondre mais pensais que pour s'en occuper, ils s'en chargeaient avec beaucoup de zèle ! Peut être trop ... Mais étais en état pour maintenir une discussion ? Certes pas ! Matteo prit le dessus. Son côté dominant était bien présent. Sa main droite, me caressait maintenant l'intérieur des cuisses et remontait jusquu'à cogner mes couilles. Mon érection n'avait pas cessé, mon sexe devait maintenant sortir de mon caleçon et rejoindre mon nombril ... De sa main gauche, Matteo ouvrit la braguette de son frère et en sortit une bite encore molle semi gonflée. Il pris ensuite ma main et me fit caresser ce sexe qui se mit à gonfler.
- C'est doux, n'est-ce pas ? C'est chaud. C'est rassurant. C'est la seule vérité en ce monde. C'est toi qui a fait ce beau jeune homme et c'est pour toi que son sexe gonfle, tu le sens dans ta main mon petit papa chéri ?Vas-y caresse le, Brieuc commence à mouiller. Tète donc ce biberon qui va te rassurer, te réconforter, ...
Toujours, les yeux fermés, les mains douces de Brieuc me saisirent la tête pour la diriger. Je sentis sur mes lèvres l'humidité du gland de mon fils et ouvris la bouche. Son sexe était doux, chaud. Brieuc soupirait. De son côté, Matteo avait pris ma queue dans sa bouche. Nous ne furent pas long à venir dans la bouche l'un de l'autre ... Quand je rouvris les yeux je vis mes jumeaux, tout sourire.
- Nous serons heureux. On va s'occuper de toi. Nous serons toujours ensemble. Allez va prendre une douche et te reposer un peu. On t'a préparé une surprise. Au fait Jacques et Charles viennent manger ce soir.
Deux heures plus tard, j'étais sous ma douche. Le sexe toujours en érection. Moi qui n'avait plus de sexe depuis des années, voilà que ma libido revenait plus forte que jamais. Mes pensées étaient orientée sexe, sexe et encore sexe !
Chapitre 5
Deux heures plus tard, j'étais sous ma douche. Le sexe toujours en érection. Moi qui n'avait plus de sexe depuis des années, voilà que ma libido revenait plus forte que jamais. Mes pensées étaient orientée sexe, sexe et encore sexe !
Matteo me cria à travers la porte de la salle de bain de prendre mon temps. La soirée commencerait ver 21H. Il faisait magnifique, une belle journée de mois d'août. Brieuc allait mettre la table et Matteo s'occupait du barbecue.
Ma douche dura, dura, j'étais dans mes pensées. Le sexe bandé qui ne daignait plus revenir à son état de repos. Je m'allongeais sur mon grand lit et m'endormis une bonne heure. C'est Brieuc qui me réveilla doucement par un baiser sur la bouche. Il souriait.
- Apprête toi petit papa, nos invités vont arriver d'ici une demi-heure. Matteo s'est permis de choisir ta tenue.
Effectivement, un pantalon et chemise en toile de lin blanc gisaient sur mon lit. Avant de sortir, Brieuc ajouta qu'à partir de ce jour, aucun de nous porterait de sous vêtement. Un peu surpris, mais plus du tout la force de décider de quoi que ce soit, j'obéissais. Je m'habillai donc tout de blanc. Et descendis rejoindre mes fils. Ils avaient dressé une table magnifique dans le jardin, sous les oliviers, des chandeliers en cristal brillaient sous les rayons tendres du soleil. Brieuc avait sorti l'argenterie. C'était magique. L'odeur du bois brulé était discrète mais promettait une bonne grillade. Je rejoins mes fils dans la cuisine. Brieuc, était en short bermuda rose et chemise blanche, Matteo, en short bermuda bleu ciel et chemise en lin blanche. Je pensai immédiatement qu'ils étaient nus sous leur bermuda. Ils étaient beaux mes fils ! Je ne les avais jamais regardé avec ces yeux d'amour. Je les ai toujours aimé mais mon regard était différent. Je n'avais jamais observé les détails de leur nuque, de leurs épaules larges, de leur cul magnifiquement rebondi.
- Où est votre frère ?
- Il arrivera avec Jacques et Charles. Il a passé son après-midi là-bas.
- Ok, OK
La cloche retentit alors que je me dirigeais vers la terrasse en bordure de la piscine avec Matteo, qui prenait la bouteille de champagne. Brieuc alla ouvrir la porte et je vis arriver Jacques flanqué de deux superbes créatures moulée dans des robes hyper sexy, courte, au ras des fesses, laissant apparaitre leur bas jarretelles et perchées sur des talons d'au moins 10 cm ! Diego avait mis une perruque noire et ressemblait étrangement à sa mère. Il vint se blottir comme une chatte contre moi en me faisant un bisou dans le cou. Il chuchota
- Je t'aime papa. Tu n'es pas seul.
Mon bras l'enlaça et ma main se posa sur ses fesses mises en évidence par ses talons. Il était magnifique. Jacques me fit un clin d'oeil. Son chaton, se lovait dans ses bras. Déjà Matteo nous tendait les coupes de champagne. La fête commençait. Dans mon pantalon également, la fête commençait ! Mon sexe se dressait à nouveau. Diego l'avait senti et frottait ses fesses contre ma tige dressée. A la seconde bouteille entamée, l'atmosphère se chauffât encore. Jacques et Charles s'embrassaient goulument. La main de Jacques avait soulevé la micro robe de Charles et laissait apparaitre ce cul superbe de jeune homme très salope qui veut de la bite. Matteo fit un signe à Brieuc et ce dernier vint embrasser Diego, toujours dans mes bras. Il attira mon visage et nos trois langues se mélangèrent. C'était mon premier baiser à trois et c'était délicieux. Matteo vint derrière son frère et l'embrassat à son tour. Diego me faisait maintenant face. Après un baiser long et humide, il s'accroupit pour ouvrir mon pantalon. Ma queue dressée, chaude entra dans sa bouche. Que c'était bon. Dix minutes de fellation divine. Matteo releva Diego, lui ota délicatement sa robe me révélant un coorps totalement imberbe, un sexe glabre. Où était passé ses premiers petits poils ? Je n'eut pas le temps de m'interroger longtemps car Brieuc et Matteo soulevait déjà Diego en jarretelles et talons, pour le poser sur la table. Lui soulevèrent les jambes qu'ils tenèrent écartées offrant à ma vue ce sexe lisse, ses petites couilles serrrée et un magnifique petit anus lisse et rose.
- Diego souhaite que ce soit toi qui le dépucèle. Il te demande de lui offrir ce plaisir en ce jour de ses 18 ans
Avec tous ces tourments, j'avais complètement oublié que c'était l'anniversaire de mon cadet. Charles s'approcha, pris ma queue et la dirigea vers le petit trou tremblant de mon fils que je pénétrai tout en douceur en le regardant droit dans les yeux. Il se mordait les lèvres et ses yeux me suppliait de continuer. Une fois ma queue au fonds du cul de mon fils, celui-ci me sourit. Son cul était excellent. Je n'avais jamais pris un pied comme ça. Jacques me présenta une coupe de champagne,
- Vas y papa, baise moi, s'il te plait.
Je commençais donc mes va et vient de plus en plus puissant. J'avais l'impression que ma queue gonflait encore. Matteo et Brieuc se faisait sucer par leur petit frère à tour de rôle. Charles s'était empalé sur la queue de Jacques. Ce spectacle me fit jouir des litres de foutre dans le cul de mon fils. Diego souriait toujours et me dit merci. Ses frères le positionnèrent à quatre pattes et l'un après l'autre vinrent récolter mon sperme qui coulait du cul de mon fils, leur frère. Pendant ce temps, Diego me nettoyait la queue.
La soirée promettait d'être excellente.
Depuis, nous partouzons régulièrement. Diego dort avec moi toutes les nuit. Ses seins poussent grâce aux hormones féminines que son frère lui donne. Il est l'amant d'un riche saoudien qui le couvre de cadeaux deux fois par an lors de ses passage s à Paris. Dernièrement, il a eu comme client le numéro 1 du pétrole russe. Mon fils est devenu une catin de luxe mais il revient toujours vers son papa quand il est seul.
LEXA
nakibe@yahoo.fr
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