Épisode précédent
Après mon café matinal et l'évocation à mots couverts des événements de la veille avec le serveur, je me prenais à penser à la soirée à venir. Allais-je vraiment me donner en pâture à trois grecs inconnus et entreprenants ? Eux-mêmes, allaient-ils venir ? Quelles pratiques allions nous mettre en place avec seulement deux trous pour trois queues ? Une double anale ? J'en fantasmais car j'avais beau avoir de l'expérience en matière de sexe hard entre mecs, je n'avais jusqu'ici vécu que deux doubles anales, une à 18 ans de façon sauvage dans un bois, avec un quinqua domi et un quadra actifs très machistes, double anale qui m'avait laissée un souvenir douloureux, et une autre à 23 ans avec un couple d'actifs, mieux amenée celle-ci mais tout de même délicate malgré la grande flexibilité de mon trou.
Cependant, je me laissai gagner par la journée en famille, oubliant presque que, 24h auparavant, je me faisais largement dépraver dans une ruine grecque par un macho quarantenaire. C'est encore le serveur qui me remit dans le bain, d'un clin d'oeil malin, en cours d'après-midi, alors que je passais devant son café. Je m'arrêtai pour discuter et nous nous mimes d'accord sur le fait d'aller ensemble à la fameuse plage vers 17h.
Durant le trajet, il essaya tant bien que mal de me dérider mais j'étais visiblement trop stressé pour être disponible à la conversation. Arrivés à la fameuse plage, garés en contre-haut, je prétextai un besoin urgent pour le laisser descendre seul et ne pas donner l'impression d'être accompagné. Sur le moment, je me sentais plutôt confiant, ses flatteries diverses avaient fait leur effet et je décidai alors d'assumer ce qui s'était passé la veille sans trembler. J'enfilai rapidement un autre string, noir celui-ci, plus sexy et plus échancré, dévoilant encore mieux mes fessés galbées. J'entrepris de descendre avec assurance les marches à mon tour, en essayant de ne pas me préoccuper du regard des mecs sur la plage.
Difficile de dire si c'était une réalité ou une construction de mon esprit, mais il me semblait que la plage était plus pleine que la veille, ou tout du moins, j'eut la sensation que mon arrivée n'était pas sans générer quelques mouvements et commentaires...
Après avoir installé ma serviette, je me fis aborder par un jeune grec dans un français fort convenable et nous fûmes rejoints rapidement par le serveur qui avait salué des connaissances à lui. Il avait vécu deux ans à Paris dans le Marais et nous échangeâmes alors plusieurs histoires de sexe, tandis qu'il s'empressait de traduire les miennes au serveur, tout émoustillé de découvrir ainsi ma sexualité pervertie.
J'avais presque oublié pourquoi j'étais là quand l'ex-parisien évoqua soudainement la veille, car il était lui-même présent sur la plage ! Il avait appris en détails comment cela s'était passé, avait lui même vu quelques bribes sur la fin, près des douches, et était au courant de ce qui s'organisait aujourd'hui. Cela lui permis de me dire que ma venue était au coeur des débats sur la plage dans la journée : viendra, viendra pas, assumera, assumera pas...il me confia que les avis étaient partagés, d'un côté les envieux qui auraient aimé vivre ce moment à ma place ou profiter de moi, de l'autre les critiques, qui estimaient ce genre de comportement déplacé et enfin les autres, les curieux, qui attendaient d'avoir ou de voir la suite des événements.
C'est à ce moment que quelqu'un me tira par les cheveux la tête en arrière tout en ramenant mes fesses vers lui, de sorte que j'étais exagérément cambré et le cul offert. J'ai reconnu à sa voix mon grec macho de la veille, ainsi qu'à sa pogne lorsqu'il claqua mon cul avec force en s'écriant "My french slut !". Tout en me tenant par les cheveux, il me fit me retourner afin de le regarder : il avait le regard lubrique, un grand sourire et était accompagné du troisième de la veille, celui qui m'avait longuement et publiquement doigté. L'ex-parisien traduisit quelques éléments et il me fit rapidement savoir qu'il leur avait expliqué où j'habitais et à quel genre de pratiques je m'y adonnais sexuellement. Il se proposa de participer au plan, non sexuellement mais comme traducteur, ce que j'acceptai car sa présence me rassurait. Le troisième de la veille s'approcha de moi pour m'embrasser goulûment, en même temps que rapidement ses doigts filèrent sous ma ficelle à la recherche de mon trou. Il embrassait comme s'il me bouffait le cul : profondément, par à-coups, et il devenait difficile pour moi de ne me sentir devant lui que comme un anus géant intrusé de partout. Le macho expliqua alors, traduit par l'ex-parisien, que la troisième personne sensée venir serait absente.
A la fois soulagé et déçu, je me disais que deux queues et une multitude de regards étaient bien suffisants lorsqu'il ajouta qu'un autre allait venir en remplacement, sans plus de détails. Nous avons pris un peu de temps pour discuter à cinq en attendant l'inconnu du jour, discussion régulièrement ponctuées de tripotages variés et de claques sur les fesses. J'en appris plus sur l'inconnu : c'était un actif dominant, d'une quarantaine d'année, apparemment très impressionnant...et effectivement lorsqu'il apparut dans les escaliers, je senti instantanément mes jambes se dérober. C'était un vrai colosse, de 2 mètres et une centaine de kilos, musclé, le visage dur. Je n'ai pas décroché un mot durant sa descente tranquille, son sac à dos jeté négligemment sur une épaule. J'étais comme pétrifié tellement il dégageait quelque chose d'hors norme. Lisant ma peur sur mon visage, l'ex-parisien me glissa à l'oreille qu'il avait l'habitude de s'occuper des salopes comme il fallait. Ce qui ne m'a pas plus rassuré !
Il se planta devant moi, et bien que je ne sois ni mince ni très petit, je me sentis immédiatement comme une chose devant lui. Son regard perçant semblait lire en moi, voir à travers moi, comme si, dans son regard, il me voyait la veille à genou le visage couvert de sperme, comme s'il savait instantanément tout ce que j'avais vécu sexuellement. J'étais un livre ouvert pour lui. Il n'avait pas décroché un mot, me dévisageant longuement sous toutes les coutures, présenté que j'étais comme une poupée par le macho qui me tenait fermement par les cheveux, m'obligeant à tourner sur moi-même sur la pointe des pieds, avant finalement de demander mon nom. Avant même que je puisse répondre, le macho s'écria "french slut !", provoquant l'hilarité générale. Le colosse posa alors son sac, me fit mettre à genoux devant lui et sortit de son sac un feutre, avec lequel il entreprit de m'écrire french slut sur le front. Puis il me fit mettre à quatre pattes et écrivit quelque chose sur mes fesses, message que me rapporta oralement et accompagné d'un regard vicieux et entendu le serveur : "ass to destroy", avec une flèche vers mon anus...Toujours dans cette position, il me passa un collier et prit la laisse en main, me tirant vers les escaliers, suivi par le macho et le doigteur, le serveur et l'ex-parisien, la caravane observée de près par la plupart des mecs restés sur leurs serviettes. Au pied de l'escalier, il me fit stopper, sortit de son sac un plug anal avec une queue de cheval derrière, la lubrifia et me l'enfonça tranquillement dans le trou, laissant la ficelle de mon string de côté. Puis il me fit monter à quatre pattes derrière lui ponctué d'un "like a dog !", suscitant l'excitation des autres et la mienne avec, même si commençais à me demander ce que je faisais là...
Arrivés dans la ruine, le colosse commença par s'amuser avec la laisse, me traînant partout, tirant dessus pour m'étrangler...il me fit me rapprocher de sa queue, encore enveloppée dans son pantalon, la lui lécher à travers...les autres se branlaient consciencieusement en attendant que le colosse les invite à venir jouer eux aussi. Il m'accrocha à un tuyau, le temps d'enlever ses affaires, dévoilant son membre, à la hauteur de son physique, un gros morceau...je commençais à comprendre le "ass to destroy" ! Alors qu'il me tirait une nouvelle fois vers lui et je m'apprêtais à ouvrir la bouche pour accueillir à minima son gland, il m'arrêta d'un coup sec, se tourna et me présenta son cul, m'invitant à lécher...en écartant difficilement ses fesses musclées, j'entrepris alors d'obéir malgré l'odeur de transpiration extrêmement forte. Progressivement, je lui décrassai le trou, de plus en plus en profondeur suivant ainsi ses consignes physiques puisqu'il m'enfonçait fortement la tête dans son cul avec ses mains.
Je commençais à y prendre goût lorsqu'il m'interrompit et me fit allonger par terre, sur le dos. Il mis alors son trou au dessus de mon visage et s'accroupit afin de permettre à ma langue d'aller lui fouiller le cul plus en profondeur. Ce devait être le moment où il invita le macho et le doigteur à le rejoindre car, n'y voyant rien, je senti quelqu'un me soulever les jambes, m'ôter précipitamment le plug afin d'enfoncer sa queue dans mon cul d'un coup sec, m'arrachant un cri étouffé par l'anus qui m'emplissait la bouche.
Le colosse entreprit alors de changer de position, afin de positionner sa queue face à ma bouche, me permettant ainsi d'entrevoir pour la première fois mon baiseur. Quelle ne fut pas ma surprise en constatant que ce n'était ni le macho, ni le doigteur mais bien le serveur qui m'enfilait, avec un grand sourire de satisfaction de celui qui a joué un bon tour. Et c'est qu'il limait bien en plus ! Le colosse commença à me baiser la bouche, s'allongeant presque au dessus de moi. Sa queue rentrait à peine jusqu'au tiers dans ma bouche, dont son énorme gland. Pendant qu'il me défonçait méthodiquement, je senti le serveur se retirer de mon cul avant d'être immédiatement remplacé par un autre, il me semblait reconnaître la queue du macho mais mes yeux embués de larmes ne pouvaient confirmer cela. Quelques minutes plus tard, la troisième queue me défonça à son tour, alors que ma gorge était toujours emplie par la queue énorme du colosse...
Puis il me fit mettre à genoux, entouré par les quatre queues, que je suçais et branlais à en perdre haleine et à en avoir mal aux poignets. Il sortit alors de son sac une paire de menottes, avec lesquelles il m'entrava les mains dans le dos. Je n'avais donc plus que ma bouche pour satisfaire les quatre queues et je ne savais plus où donner de la tête. Le traducteur, au chômage technique face à la dominance du langage des corps, restait cependant présent et se rinçait abondamment l'oeil devant ce spectacle. C'est alors qu'un petit groupe de mecs arriva de la plage et je compris immédiatement que tout ce petit monde ne voulait pas non plus perdre une miette de ce moment. Ils s'installèrent alentours, matant et se tâtant les uns les autres.
Alors que le groupe d'observateurs augmentait à une dizaine, le colosse me repris en laisse et me fit déambuler dans la pièce, pour m'exhiber devant tout le monde. Puis il se mît de profil par rapport au groupe, moi assis à genoux devant lui et me montra ses pieds. J'entrepris alors de m'avancer et de lui lécher les pieds, de façon générale, orteil par orteil ensuite ce qui n'était pas évident avec les mains dans le dos...je sentis qu'on m'enfilait en levrette derrière et reconnu à ses râles le doigteur. De temps en temps, le colosse m'interrompait pour me cracher au visage sa salive, voire pour la déposer directement dans ma bouche, avec une précision étonnante étant donné les assauts que je subissais au niveau anal. Car finalement, le macho était presque le plus doux des trois : le doigteur était brut, de la façon de m'embrasser jusqu'à sa façon de me baiser en passant par ses gestes en général, quant au serveur, il me faisait payer avec passion et puissance mes rejets successifs de ses avances. Nul besoin de dire à quel point mon trou restait ouvert entre deux enfilages.
Le colosse me tenant toujours en laisse s'écarta avec un petit air malicieux et laissa place au serveur justement, qui me regarda avec un sourire de défi en me disant "now suck my dick bitch"...et moi de m'affairer comme un affamé sur sa queue. Après tout, tout avait commencé à partir de lui et je comptais bien l'en remercier ! Il me fit également lécher son cul, puis ses pieds, revint à la charge avec sa queue en me biflant généreusement tout en m'insultant pendant que le macho s'occupait de m'élargir l'anus à grands coups de queue. Le colosse me détacha alors les mains du dos pour aussitôt les rattacher avec les menottes mais devant, me donnant un appui facilitant. Je me retrouvai soudain face au macho, au serveur et au troisième, debout, bras croisés et bites fièrement dressés, prenant conscience que la salle était bondée de mateurs. Au moment même où je réalisais cela, je compris ce qu'il se passait ! Bien qu'ayant été abondamment défoncé par trois queues différentes préalablement, je senti mon anus se serrer de peur alors que le colosse s'était positionné derrière et au dessus de moi pour à son tour me voir me dandiner au bout de sa queue.
Le traducteur me demanda si j'étais clean, safe, ce à quoi je répondis que oui, bien entendu. Je compris trop tard le sens de la question car sa répartie précisant "lui aussi" se confondit avec mon cri mêlant douleur et dénégation alors que le colosse venait de forcer sans capote l'entrée de mon trou. Même si j'avais pu vouloir me débattre, la décharge provoquée par cette insertion et l'afflux incroyable de sensations nettes, parmi lesquelles je sentais la moindre des veines gonflées de sa queue, je n'eut instantanément plus la force de me débattre car je me trouvais au bord de l'évanouissement, me contentant de survivre à ces coups de boutoirs incroyablement puissants. Je ne pu cependant crier longtemps ma plainte car rapidement les trois larrons vinrent m'emplir la bouche avec leurs queues. Mains attachées, bouche remplie et baisée alternativement par trois queues, visage couvert de larmes et de bave, jambes tremblantes maintenues uniquement par les mains fermes du colosse posées sur mes cuisses ou mes fesses, cul détruit sans capote par un mandrin énorme, le tout sous le regard pervers d'un groupe d'une quinzaine de mecs, j'étais assurément la "french slut" de la plage !
Entre deux pipes forcées, j'essayai de faire comprendre au traducteur que je ne voulais pas que le colosse me remplisse le cul de sperme, mais je compris rapidement que c'était peine perdue : je n'arrivais pas à garder la bouche ouverte plus de cinq secondes sans y voir s'insérer une queue, quand je ne l'ouvrais pas juste pour crier ma douleur, ce alors que le traducteur semblait avoir totalement oublié son rôle puisqu'il se faisait allègrement pomper en matant le spectacle d'un regard lubrique.
Soudain, je senti des coups de bite plus accélérés et plus féroces encore et je me tendis à l'approche du dénouement, jusqu'à sentir un liquide chaud se déverser dans mon cul en grande quantité. Le colosse tassait littéralement le sperme au fond de mon anus, sans débander. Cette arrivée entraîna trois jets supplémentaires. La macho vient en premier et me gicla sur le front, lieu de l'inscription "french slut". Le doigteur m'en mis partout sur le visage et le cou. Le serveur m'enfonça d'un coup sec, profitant de la confusion de situation générée par les arrivées multiples, sa queue au fond de la gorge et y déversa une grosse rasade de sperme épais puis me maintint la tête, me forçant ainsi à avaler son sperme pour pouvoir respirer. Il en profita pour me glisser à l'oreille qu'à partir d'aujourd'hui, j'allais avaler son sperme tous les jours, appuyant cela d'un crachât au visage et d'un "bitch !" bien senti.
Pour autant personne ne bougeait de la salle et j'étais toujours entravé...j'essayais de recouvrer mes esprits, en m'asseyant sur les genoux puisque mes jambes ne pouvaient me porter, tentant de faire passer le goût du sperme du serveur et d'expulser celui du colosse de mon cul, ce qui n'était pas dur étant donné l'état sensiblement dévasté de mon trou. Mais soudain, je fut de nouveau projeté face au sol, me réceptionnant péniblement avec les mains attachées. C'est ce qui s'appelle mordre la poussière ! C'est alors que je saisi pourquoi tout le monde regardait encore : je senti les doigts du colosse s'immiscer en moi sans efforts, bien lubrifiés. Son énorme main était en train de tenter de me fister ! J'essayais de me plaindre, mais comme depuis le début, ma plainte ne fut pas entendu car pas audible et la sensation était telle que rapidement j'encourageais le colosse à y aller. Lassé de m'entendre probablement, le serveur revint et me fis lui lécher l'anus en m'enfonçant bien la tête entre ses deux fesses. Cela eut le mérite de le faire bander de nouveau, tout comme le macho.
Le colosse qui ne parvenait pas à insérer entièrement sa main invita les deux à passer derrière moi : le macho se mît au sol et je m'empalai sur lui sans difficulté alors que le serveur passa derrière moi en m'appuyant sur le dos pour me coucher sur le macho, puis poussa avec sa queue pour s'insérer aussi. Me voilà subitement pris en double anale par deux grecs au fin fond d'une ruine sur une plage perdue, maté par le reste des mecs présents. J'avais beau fantasmer ce genre de moment après la proposition de la veille, là, je prenais totalement mon pied, pendant que le serveur me glissait des choses vicieuses à l'oreille, en grec, en anglais. Je ne comprenais pas tout mais son ton était sans équivoque, je suis sa "bitch". Après quelques instants de ce régime, le colosse revint se faire lécher les boules et se remît lentement à bander.
Le macho finît dans sa capote, le serveur aussi mais il ne la jeta pas. Le colosse repassa derrière moi et cette fois, cul très ouvert et main bien huilée, je sentis son immense paluche s'enfoncer en moi jusqu'au poignet sous les vivats et les sifflets des spectateur, alors qu'il me défonçait l'anus, du moins ce qu'il en restait , à coup de poings. Il s'arrêta après quelques instants pour venir se placer devant ma bouche et me montrer fièrement deux photos prises avec son téléphone : on m'y voyait, à 4 pattes, la tête tirée en arrière par le serveur avec le poing du colosse enfoncé jusqu'au poignet, puis une autre me montrant l'ampleur de la dilatation, poing ôté. J'en eut instantanément les larmes aux yeux, à la fois d'épuisement, de honte mais aussi de plaisir.
Tout ce petit monde m'accompagna à la douche, sur la plage qui s'était vidée : tous les mecs étaient ou partis ou venus mater. Je ne savais même plus où j'étais, j'avais besoin d'aide pour descendre les marches, je sentais bien que j'étais allé au bout de moi-même, malgré moi d'un côté, mais aussi parce que d'une manière j'ai consenti à donner cela de moi à voir et à utiliser. Les gens partirent progressivement, le colosse me remercia pour ce moment, et je restais seul et hagard, assis sous l'eau de la douche, seulement secondé du serveur et du traducteur.
Celui-ci écouta le monologue du serveur puis me le retranscrit oralement : "Maintenant que je sais qui tu es vraiment, quelle pute tu peux être, je ne veux plus t'entendre refuser mes avances, tu vas m'obéir jusqu'à la fin de tes vacances et me laisser ton cul et ta bouche à totale disposition" et joignant l'acte à la parole, il me montra les menottes que le colosse lui avait prêtées, me tendit la capote encore pleine de plus tôt et me la versa au-dessus de la langue pour que j'avale puis m'indiqua sa queue de nouveau tendue.
Alors que le traducteur remontait les marches pour repartir, j'étais déjà de nouveau mains attachées dans le dos en train de m'étouffer sur une queue, celle même du serveur dont je refusais les avances la veille encore...
À SUIVRE le dernier épisode, relatant ma liaison estivale avec le serveur grec, qui n'est malheureusement pas présent sur mon lieu de vacances cette année.
MAX
Autres histoires de l'auteur : Casting Canapé | Un été dans la fournaise | De Bar à Barre | Vacances grecques