Premier épisode | Épisode précédent
La soirée prenait un tour vraiment étrange. Nous étions tous les quatre avachis sur le grand canapé en L du salon. Guy, le grand black, avait gardé son tee-shirt mais enlevé son jeans et son boxer : son énorme queue noire était bien bandée et il me caressait la tête pendant que moi, tout habillé, je le suçais, assis à côté de lui, penché d'une manière pas très confortable. A côté de Guy, Fred était lui aussi tout habillé, et il buvait son verre de vodka en faisant comme s'il ne s'occupait pas de ce qui se passait à côté de lui - mais de temps en temps, il me jetait des regards noirs. Et derrière moi, Kamel était comme Guy en tee-shirt mais encore sans pantalon, la queue à l'air, pendante d'avoir éjaculé dans la bouche de Fred. Il avait déjà joui trois fois aujourd'hui mais visiblement, cela ne lui suffisait pas : tout en fumant un énième joint, il avait presque machinalement commencé par me palper les fesses à travers mon jeans.
Moi, je suçotais avec plaisir la queue de Guy, je jouais avec elle, j'aimais sentir la grande main de Guy sur mon crâne : il me caressait surtout, et de temps en temps, il me guidait un peu plus, mais sans jamais forcer. Heureusement car ma mâchoire n'aurait pas supporté ! Ma queue me serrait dans mon jeans mais là, je m'en foutais. En revanche, quand Kamel commença à me toucher les fesses et à appuyer sur ma raie, malgré le jeans, cela déclencha en moi des sensations que j'ignorais complètement. Je n'avais pas trop de sympathie pour Kamel, je le trouvais brutal et macho, mais je ne pus m'empêcher d'émettre des petits gémissements et de me bouger pour lui présenter encore un peu plus mes fesses.
Kamel : Il est cho le petit ! Tu veux pas enlever ton fut ? Ca serait plus pratique.
Sans répondre - sans m'arrêter de sucer Guy -, je défis ma ceinture et j'enlevais à la fois mon pantalon et mon boxer (heureusement que j'avais pris une douche juste avant !). Cela fit marrer à la fois Kamel et Guy. Dans la foulée, j'ai enlevé aussi le haut et je me suis retrouvé entièrement à poil entre Guy, que je suçais, et Kamel, qui me caressait les fesses. Kamel mouilla un doigt et me l'enfonça dans le cul. - il savait y faire ! Je n'eus même pas mal. Au contraire, je me suis retrouvé à tendre encore un peu plus les fesses.
Kamel : Regarde-moi ça, comme il tend son cul. Ca me fait rebander tout ça ! Mets-toi à genoux !
Sans lâcher la queue de Guy, je me suis mis à quatre pattes sur le canapé, en tendant mon cul le plus possible. Je ne crus jamais ça possible de ma part !
Fred : Vous faites vraiment n'importe quoi les gars !
Kamel : Et alors ? Tant qu'on prend son pied ! Tu vois bien qu'il kiffe ça !
Kamel était assis sur le bord du canapé. Je sentis qu'il commença à me lécher le cul - cela me fit sucer Guy avec encore plus d'avidité. Quand ensuite il mit deux doigts, je tentais même des gorges profondes. Guy me caressait toujours la tête, et parfois la nuque ou même le dos. Il gémissait de plus en plus fortement.
Guy : Putain t'es bon mec ! Tu fais ça mieux qu'une meuf ! Ne t'arrête surtout pas.
Mais je n'avais aucune envie de m'arrêter. Les doigts de Kamel redoublaient mon envie de le sucer à fonds. Guy commençait à se tendre. Pour soulager ma mâchoire, je me mis à le branler vigoureusement tout en gardant son gland bien au chaud entre mes lèvres.
Tout à coup, sans prévenir, le sperme se mit à gicler. Je n'avais absolument pas anticipé ce moment mais là, avec Kamel qui s'occupait toujours de mon trou, j'étais complètement ailleurs. J'ouvris grand la bouche pour recueillir le sperme qui jaillissait à n'en plus finir. Guy avait même des soubresaut. Je dus avaler plusieurs gorgées. Puis je fis comme Fred : j'engloutis bien la queue et je nettoyais le tout, pour ne pas en laisser une seule goutte.
Guy : je suis désolé, mec, j'aurais dû prévenir mais c'est venu trop vite.
Moi : T'inquiète, y'a pas de souci, j'ai aimé aussi.
Guy : C'était trop bon. Putain, je me suis fait sucer par un mec. J'en reviens pas.
Kamel : Tu vois, qu'est-ce que je t'avais dit.
En me redressant, j'avais mon visage face au sien. Je continuais à caresser encore un peu sa queue. Et là, Guy, pas encore remis de ses émotions, me prit par la nuque et me roula une énorme pelle, avec ses grosses lèvres charnues et sa langue qui entra dans la mienne. Je fus le premier surpris mais j'essayais de répondre au mieux à son baiser.
Kamel : Oh les amoureux, vous faites quoi là ! Vous me tuez là !!
Il était mort de rire.
Guy : Ta gueule toi ! C'est sous le coup de l'émotion. Moi après une bonne pipe, faut que j'embrasse, tant pis si c'est un mec. Il a bien droit à ça je trouve.
Puis Guy se pencha pour se prendre son verre de vodka-orange, en but une gorgée et me fit boire une gorgée.
Pendant ce temps, Kamel s'occupait toujours de mon cul. Il s'était mis debout derrière le canapé et, en me faisant reculer un peu, il commença à caresser ma raie avec sa queue qui était à nouveau bien dressée.
Guy : T'es ouf toi ! Tu vas l'enculer ?
Kamel : Je suis trop chaud moi ! J'ai trop envie de goûter une queue de mec.
Guy : Marc, t'es d'accord avec ça ?
Moi : S'il y va cool, oui.
Kamel : T'inquiète, je t'ai bien préparé.
Sans se soucier le moins du monde de mettre une capote (moi non plus je n'avais absolument pas la tête à ça), il approcha sa queue de mon trou qui, effectivement, était déjà bien préparé. Sa queue entra doucement. Ca faisait quand même un peu mal. Guy semblait compatir à mon sort et il me caressait un peu la tête. Mais moi, ce sont ses lèvres que je cherchais. Il accepta et il recommença à m'embrasser. Surtout, avec sa main, il chercha ma queue sous mon ventre et commença à la caresser de ses grands doigts. Cela m'électrisa, me fit me détendre et, de moi-même, je reculais pour prendre la queue de Kamel tout entière en moi. C'était la première fois que je me faisais enculer et je n'avais même pas eu mal - enfin, c'est ce que je crus.
Kamel : He ben Guy, je sais pas ce que tu lui fais avec ta main mais n'arrête pas car il en veut le petit !
Kamel commença à faire des va-et-vient plus rapides et plus puissants. Il savait y faire, là aussi, en changeant de rythme, en changeant d'intensité et de profondeur. Pour le coup, Fred nous regardait avidement et ne se cachait plus pour se caresser la queue à travers son pantalon. Il était encore le seul habillé ! Kamel m'enculait de plus belle. Guy avait arrêté de m'embrassait mais sa main continuait à caresser ma queue. je sentais que j'allais venir mais j'étais incapable de dire un mot. Soudain ça gicla et Guy en reçut plein la main et l'avant-bras - qu'il retira aussitôt.
Guy : Oh merde, c'est quoi ça !
Je dus me tenir sur un seul bras pour pouvoir me finir avec l'autre.
Kamel : Qu'est-ce qui se passe ?
Guy : Je crois que le petit vient d'éjaculer.
Kamel : Petit cachottier ! C'est l'effet de ma queue ça !
Le problème, c'est que comme j'avais joui, j'étais redescendu sur terre, si on peut dire, et et je sentais que mon cul commençait à chauffer - surtout avec la salive de Kamel comme seul lubrifiant. Je voulus m'avancer pour qu'il se retire, mais il me retint fermement par les hanches.
Kamel : Ah nan, te casse pas maintenant ! Je sens que ça vient.
Moi : Ca commence à faire mal là.
Kamel : Mais non, mais non.
Et il accéléra le mouvement, en enfonçant sa queue de plus en plus fort en moi, et la gêne commença à devenir de la douleur.
Guy : Kamel, arrête-toi, là. Tu vois pas qu'il a mal ?
Mais Kamel ne répondit pas. Il soufflait de plus en plus fort, il accélérait de plus en plus, en me tenant les hanches, je ne pouvais pas bouger.
Guy : Kamel ! Arrête, putain !
J'en avais presque les larmes aux yeux tellement ça me brûlait. Mais heureusement, Kamel ne mit pas trop longtemps à venir et je sentis son jus qui jaillissait en moi. Ses derniers coups me firent tomber à plat sur le canapé, la tête sur la cuisse de Guy, avec Kamel à moitié allongé sur moi, qui donnait encore quelques petits coups, puis il s'arrêta et je sentis son corps en sueur sur le mien. Après quelques instants, il se releva,sortit sa queue un peu ramollie de mon cul et s'assit sur le sol en s'essuyant avec la couverture qui traînait.
Kamel : Putain c'était bon. Bravo petit, tu encaisses bien !
Guy : T'es vraiment un connard toi !
Kamel : Les putes, c'est fait pour ça, il a kiffé je suis sûr. T'as qu'à lui rouler une pelle pour le consoler, à ton amoureux !
Guy était dans un état u peu bizarre : il se souciait pour moi mais il était presque aussi défoncé par les joints que Kamel et en fait, il disait ces phrases mais s'en vraiment se soucier de moi. Plus par l'habitude de s'insulter entre potes.
Moi je me retournais sur le dos, épuisé, et je mis ma tête sur la cuisse de Guy comme oreiller. J'avais encore mal au cul et je devais reprendre mon souffle. J'avais mal, mais en même temps, l'expérience avait été vraiment intense et je n'avais jamais connu un tel orgasme, donc les deux se mélangeaient en moi, et je n'en voulais même pas tellement à Kamel.
Il se passa un moment de calme et de silence. On récupérait tous de nos orgasmes - sauf Fred qui bandait toujours sous son jeans mais qui n'osait pas bouger - de peur, sûrement, de se faire humilier par Kamel. Kamel et Guy s'échangeaient un joint - je ne sais pas comment ils faisaient pour fumer autant. Mais leurs yeux étaient rouges et ils commençaient à être vraiment ailleurs. Et pourtant, cela n'empêcha pas Kamel d'avoir une idée tordue. Soudain , il dit :
Kamel : En fait, Fred, toi tu n'as pas encore joui !
Fred : Moi ? Euh non,non mais...
Kamel : Ouais ça fait une heure que tu nous mattes en te caressant... Tu dois être chaud comme la braise. T'as pas envie de te vider ?
Fred : Nan mais ça ira.J'irai me branler après.
Kamel : Tu nous snobes ou quoi ? Genre nous on éjacule devant toi, mais toi t'es trop bien pour nous et tu fais ça dans ton coin ? Tu m'as bien sucé. Tu pourrais participer un peu plus.
Guy : Putain Kamel, tu nous racontes quoi là ? Tu peux pas le laisser en paix ?
Kamel : Nan mais c'est vrai quoi ! Toi t'as éjaculé dans la bouche de Marc, moi dans son cul, Marc dans ta main. je sais pas, je trouve qu'il a aussi droit à prend son pied, non ? Marc t'es pas d'accord ?
Moi : Euh ouais si tu le dis.
Kamel : Ben tu vois ! Donc maintenant, Fred, tu vas arrêter de faire ta chochotte et tu vas venir enculer Marc.
Fred : Quoi ?
Kamel : Tu crois que je t'ai pas vu, nous reluquer comme pas possible quand je l'enculais avant ? Franchement, vos histoires entre vous deux, j'en ai rien à foutre, mais si t'es tellement attiré par Marc, assume un peu et vient l'enculer. Toi avec ta gueule d'ange, t'es un tout doux. T'es pas un " macho " comme moi, tu lui feras pas mal.
Guy : T'es complètement malade comme mec.
Fred était devenu tout rouge - visiblement, malgré l'alcool et l'herbe, Kamel avait visé juste. Moi je ne disais rien : je pensais à mon cul endolori, mais je pensais aussi au pauvre Fred qui donnait envie de le consoler, et j'avais envie de le prendre dans mes bras. Cependant, Fred ne se laissait pas faire et, à nouveau, Kamel dut élever la voix, genre " je suis le chef de la meute, on m'obéit ". Seul Guy aurait pu s'opposer à lui mais il suivait tout ça de très loin, il rigolait un peu bêtement. Kamel se leva brusquement et prit Fred vigoureusement par la nuque pour le faire descendre de son coin de canapé.
Fred : Hé, qu'est-ce que tu fous !
Kamel : Fous-toi à poil !
Fred : nan mais arrête, c'est bon je te dis.
Kamel : Fous-toi à poil, putain !
Fred finit par obéir : il enleva son tee-shirt, son jeans puis son boxer. Moi, toujours allongé à poil, je regardais la scène. Malgré ses refus, sa queue était bien bandée et semblait parler pour lui.
Fred : Et maintenant ?
Kamel : Quoi, et maintenant ? Ben tu te fous entre ses jambes et tu l'encules ! Putain ce mec, je te jure !
Guy : Kamel, t'es vraiment trop barré toi !
Kamel finit même par foutre une baffe à Fred : pas une baffe violente, mais juste ce qu'il faut pour lui rappeler qui était le chef. L'espèce de torpeur sexuelle qui régnait avant avait entièrement disparu. Tout le monde était tendu - même Guy, je crois, qui assistait à la scène en se demandant ce qui allait se passer. Moi, je ne voulais pas faire de vague, Kamel me faisait trop peur quand il était dans cet état. Je ne sais pas pourquoi il était si obstiné à nous faire ça - ce devait être l'effet de l'herbe.
Fred s'approcha timidement du canapé. Je me suis installé sur le dos, la tête à nouveau sur la cuisse de Guy, en écartant les cuisses - histoire d'avoir Fred face à moi, à l'inverse de Kamel avant. Fred se mit à genoux sur le canapé entre mes cuisses. Il avait un peu débandé. Kamel s'était un peu radouci mais il avait décidé de jouer au metteur en scène : toujours entièrement à poil, tout en fumant son joint d'une main, de l'autre, il guidait Fred : il me mit les cuisses sur ses épaules, il lui dit comment s'installer, il prit la main de Fred pour lui montrer où était mon cul et pour lui faire glisser un doigt à l'intérieur (toujours bien lubrifié avec le sperme de Kamel, et moins endolori qu'avant). Je voyais la queue de Kamel qui se balançait : il ne bandait pas vraiment mais ce jeu l'excitait un peu quand même. Quand il vit que Fred ne bandait pas trop, complètement intimidé par tout ça, Kamel alla jusqu'à le branler lui-même !
Kamel : Ah là là, qu'est-ce qu'il faut pas faire !
Kamel qui branle Fred : Fred lui-même n'en revenait pas ! Mais ça devait marcher parce qu'il finit par dire :
Kamel : Ben voilà, ça devrait suffire. Tu verras, une fois dedans, tu banderas à fonds.
Fred était toujours à genoux entre mes jambes, il chercha mon trou, eut du mal - je dus l'aider - et finit par entrer, mais en limitant toujours le plus les contacts avec moi. Il entra tout doucement.
Fred : Ca va ? Je te fais pas mal ? Tu me dis !
Moi : C'est bon, après ce que m'a fait Kamel, je suis bien préparé, tu peux y aller.
Fred continua d'avancer en moi tout doucement. C'était agréable : moins large que celle de Kamel,elle faisait moins mal. Mais quand il arriva au fond, je compris qu'elle était plus longue et touchait plus loin. Il faisait des allers-retours un peu maladroits, à genoux et penché en arrière. Moi, qui me contentais de lever les jambes, je trouvais ça un peu frustrant. Je fis des mouvements pour accélérer un peu le mouvement.
Kamel : Ouais c'est ça, faut y aller les mecs. Fred, bouge-toi un peu ! Tu fais ça comme si c'était une corvée.
Je décidais de prendre les devants : je me redressais le plus possible pour prendre Fred par la nuque et le tirer vers moi. Il fut surpris mais du suivre le mouvement. Il se retrouva au-dessus de moi, avec mes cuisses sur ses épaules, en se tenant au sol avec ses bras bien tendus. Son visage était toujours loin de moi mais au moins il s'était rapproché. Avec cette position, il pouvait entrer vraiment profond et j'eus un peu mal, je fis une grimace. Il eut peur.
Fred : Je t'ai fait mal ? Tu veux que j'arrête ?
Moi : Tais-toi. Continue.
Il continuait ses mouvements un peu mous. Je lui fis faire une petite pause pour changer de position : lui toujours sur moi mais moi les jambes simplement bien écartées, pas sur ses épaules, presque plus sur le côté que l'un sur l'autre en fait. Nos corps étaient beaucoup plus près l'un de l'autre. Ses mouvements se firent un peu plus profonds. Je sentis sa queue se tendre en moi : ça y est, il bandait enfin à fond. Moi, je sentais que je commençais à bander aussi. Quand je levais les yeux, je voyais Guy qui nous regardait en se marrant. En allongeant le bras rapidement, je sentis qu'il bandait à nouveau, lui-aussi. Mais je me concentrais surtout à caresser le dos de Fred. Kamel s'était tu : il nous regardait en silence. Fred ne me baisais pas comme lui me l'avait fait avant. Non, il était en train de se prendre au jeu, il était en train de me faire l'amour. Ses mouvements commencèrent à se faire plus rapides, plus intenses : il était en train de venir. Sa respiration était plus forte aussi. Son visage s'approcha du mien jusqu'au moment où nous nous sommes embrassés. Cela fit accélérer encore plus Fred, jusqu'au moment il se tendit et enfonça sa queue au plus profond de moi - il éjacula en moi, tout en m'embrassant. Cela sembla durer des minutes entières, j'avais l'impression qu'il ne finirait jamais. Puis il s'effondra sur moi. Sa tête collée à moitié contre ma joue et contre la cuisse de Guy.
Il y eut un grand silence. Kamel n'avait plus du tout envie de se moquer de Fred : il ne s'était pas du tout attendu à une scène aussi intense. Même Guy avait arrêté de rigoler.
Guy : he ben mon vieux...
Fred se retira. En se retournant, il faillit tomber du canapé. Sans rien dire il rejoignit son coin de canapé de l'autre côté de Guy, s'essuya avec un mouchoir et s'allongea. Personne ne savait quoi dire après ça. Fred me regarda en s'excusant d'avoir joui si vite - mais même si je bandais, je n'étais pas prêt de jouir. Puis il s'allongea sur les coussins et s'endormit presque aussitôt. Kamel s'était allongé par terre sur la couverture et, emporté par tous les joints qu'il avait fumés, finit par plonger dans un demi-sommeil. Il ne restait plus que Guy et moi. je me rassis normalement.
Nous étions tous les deux bien réveillés, et tous les deux à avoir la trique.
Guy : Ca va ton cul ?
Moi : Ouais, je crois.
Guy : T'en as pris cher ce soir. Il était pas cool Kamel.
Moi : Il est toujours comme ça ?
Guy : Ouais toujours. Il y en a que pour lui.
Il y eu un blanc. Je me demandais si je devais branler Guy ou le sucer mais il eut un autre idée.
Guy : Tu sais quoi ?
Moi : Quoi ?
Guy : Kamel, on va lui faire un tour. Tu vas pouvoir te venger de ce qu'il t'a fait, d'accord ?
Jamais je n'aurais osé faire quelque chose à Kamel mais avec Guy avec moi, pourquoi pas. Mais je n'avais aucune idée de ce que Guy avait en tête...
Voilà, c'était le 5ème épisode de votre série tant attendue ! Il y en aura 7 en tout - mais ils ne sont pas encore écrits...
A bientôt pour la suite ! Merci pour vos mots d'encouragement !
Marc-67
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