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Les potes de mon grand-frère
Ce qu'ils sont devenus
Si Kamel était aussi musclé, c'est qu'il faisait de la boxe, il était même une sorte de petit champion régional. Pendant ces vacances, il avait accepté d'entraîner un groupe de jeunes du coin. Ils avaient entre 17 et 20 ans - pas beaucoup plus jeunes que lui mais tous les regardaient avec admiration et considéraient comme un immense honneur de pouvoir s'entraîner avec lui.
Après le week-end de fou passé chez mon frère, Kamel avait commencé à regarder ses élèves d'un autre oeil. Parmi eux, il y en remarqué un plus particulièrement : Noah. C'était un garçon de 18 ans, le genre beau gosse avec une grosse tignasse de cheveux noirs, mince, bien foutu, sans être particulièrement musclé. Il avait une petite amie qui l'attendait souvent après les entraînements. Kamel les avait vus s'embrasser fougueusement mais ce n'était pas ce genre de chose qui le retenait d'agir. Ce qui avait motivé Kamel à s'intéresser à Noah, c'est que Noah était très différent du reste du groupe : il venait d'emménager, il ne connaissait personne, il était plutôt timide et réservé et surtout, il n'était vraiment pas très doué en boxe. Jusque là, Kamel n'avait fait que le strict minimum avec lui, il le laissait s'entraîner de son côté, il lui donnait quelques conseils de temps en temps mais il préférait se concentrer sur ceux qui avaient un vrai potentiel.
Mais pour ce qui était du sexe, c'était différent et là, Kamel y voyait un vrai potentiel - justement parce qu'il était toujours tout seul dans son coin.
Un soir, à la surprise générale, il demanda à Noah de rester un peu plus longtemps. Noah a d'abord été surpris : sa copine l'attendait, il avait des trucs de prévus. Mais Kamel lui dit :
Ecoute Noah, si tu veux faire des progrès,faut que tu te donnes à fond. Moi, je suis prêt à prendre un peu de temps pour toi, gratuitement, sur mon temps libre. Mais si toi tu n'es pas prêt à faire pareil, on peut continuer comme ça mais je ne sais pas si ça vaut le coup de continuer à venir.
C'était un mélange de menace et de promesses. Tout le monde les regardait, mort de jalousie devant la faveur que Kamel faisait à Noah. Noah n'hésita pas longtemps avant d'accepter et de chercher son téléphone pour la prévenir de ne pas l'attendre. Les autres partirent et il ne resta plus qu'eux deux dans la salle d'entraînement.
Pour ce premier soir, Kamel ne voulut pas aller trop loin. Il voulait d'avoir voir jusqu'où il pourrait aller. Il commença avec un entraînement personnalisé d'une demi-heure où Noah ne se débrouilla pas trop mal. Kamel en faisait des tonnes sur le côté " Regarde tout ce que je fais pour toi, je te raconte des anecdotes de combats, des trucs que je n'ai pas dit aux autres... ". Il voulait que Noah se sente spécial et ça marchait. Juste au moment où il commençait de lui-même à se dire qu'il n'aurait pas dû s'inscrire à cette activité d'été, Noah retrouva la motivation et le goût de la boxe. Il trouvait que finalement, Kamel était un super type et qu'il méritait qu'on se donne à fond pour lui.
Ensuite, ils rangèrent la salle. En se baissant pour ramasser un objet, Kamel fit une grimace : " Ah, je crois que je me suis fait u peu mal au dos, avant. ". Noah se précipita : " Attends, je vais le faire, ne bouge pas, je peux ranger tout seul. " Noah était trop content de pouvoir aider Kamel.
Ensuite, Kamel :
- On prend la douche ?
- Ah, euh oui...
- Mais tu le dis pas aux autres ! Après, ils vont vouloir que je la prenne tout le temps avec eux.
- Non non, bien sûr.
Jusque là, Kamel prenait toujours sa douche tout seul, après le départ des autres, pour bien montrer qu'il n'était pas " leur pote " mais bien leur prof.
Ils se retrouvèrent donc tous les deux à poils sous la douche : le corps brun et musclé de Kamel, le corps imberbe, plus fin et plus blanc, de Noah. Kamel continua à parler de tout et de rien tout en se lavant, et en se mettant ostensiblement face à Noah : Noah ne pouvait pas ne pas voir la queue de Kamel qui se balançait devant lui et lui, par politesse, s'était aussi mis face à Kamel, avec sa queue blanche surmontée d'une épaisse touffe de poils noirs.
Puis Kamel fit une nouvelle grimace :
Kamel : Je ne sais pas ce que je me suis fait mais j'ai l'impression que je suis un peu bloqué. Tu peux me laver le dos ?
Noah : Oui bien sûr, tout de suite !
Kamel se retourna et Noah, un peu gêné, lui frotta rapidement le dos.
Kamel : Tu peux frotter plus fort ?
Noah repassa ses mains sur le dos de Kamel, à peine moins rapidement.
Kamel : Ca fait du bien ! Est-ce que tu peux carrément appuyer à fond, sur le bas du dos ? N'hésite pas à y aller fort .
Noah recommença mais cette fois, appuya bien fort au niveau du creux du dos.
Kamel : Attends, c'est pas exactement ça, tu me fais mal là.
Noah : Ah pardon.
Kamel : Attends, je vais te montrer, tourne-toi.
Ils changèrent de position. La queue de Noah n'avait pas bougé mais celle de Kamel commençait à grossir. Kamel massa le bas du dos du garçon vigoureusement, au point que Noah dut s'appuyer contre le mur des douches.
Kamel : Tu vois . Ca fait du bien là non ? C'est souvent là où les muscles sont bloqués.
Noah : Oui, je vois. Oui c'est vrai que ça fait du bien.
Kamel tenait le dos de Noah entre ses mains, il le massait vigoureusement et il voyait aussi ses jolies fesses ronds et blanches juste devant sa queue. Il n'en fallait pas plus pour le faire bander au point qu'il dut se reculer pour que sa queue ne touche pas les fesses de Noah.
Kamel : Bon, à toi maintenant.
Noah se retourna. Il se retrouva un moment face à Kamel et il découvrit son érection. La queue ne Noah, elle, était peut-être un peu épaisse mais rien de très " bandant ".
Kamel : Fais pas attention pour l'érection. Ca fait plusieurs jours que je me suis pas vidé alors forcément, ça réagit au quart de tour. Ca arrive à tout le monde hein ?
Noah : Oui oui t'inquiète, c'est normal.
Kamel se tourna et Noah put lui maser le dos comme Kamel le lui avait fait.
Kamel : Ah oui là c'est bien. Tu te débrouilles sur per bien, Noah ! J'aurais pas dit comme ça.
Noah : Merci merci.
Kamel : Je suis sincère. Et avec ce que tu as fait avant en boxe, tu es moins mauvais que ce que tu croyais en fait. On pourra refaire ça si tu veux.
Noah : C'est vrai ?
Kamel : Faut que j'y réflechisse mais pourquoi pas.
Noah : C'est super cool, merci beaucoup !
Kamel : Tant que t'y es, tu peux aussi me laver les jambes ? Avec mon dos, je ne suis pas sur de bien pouvoir me baisser.
Noah : Euh oui d'accord.
Noah se baissa pour passer ses mains savonneuses sur les deux jambes bien musclées de Kamel. Une fois qu'il était en bas, presque à genoux, Kamel se retourna sans prévenir, pour lui faire laver le devant. Mais ce qui se remarqua surtout, c'est évidemment l'érection de Kamel qui se trouvait presque au niveau du visage de Noah, qui se recula de surprise.
Kamel : Ah désolé, j'avais pas fait gaffe ! Tu peux me laver les pieds ? C'est important après une séance comme ça !
C'est comme ça que Noah, à poil, accroupi dans les douches devant Kamel, commença à lui laver un pied puis un autre. La situation excitait Kamel au plus au point : Noah était très mignon, il était à poil presque à genoux devant lui, et on lui lavait soigneusement les pieds. Son érection n'était pas prête de faiblir ! Noah, lui, était tout rouge et n'osait pas lever les yeux.
Kamel tenta le tout pour le tout :
- Tu peux me laver la queue ?
Noah : Quoi ? t'es fou ?
Kamel : Attends, regarde ma queue, faut que je me vide là !
Noah : Bah je sais pas, tu peux te branler tout seul non ?
Kamel : Ah nan, moi je me branle pas. Et puis c'est toi qui m'as mis dans cet état là, c'est à toi de t'en occuper.
Noah : Nan mais j'ai jamais fait ça, moi, je suis pas...
Kamel ne le laissa pas finir :
Kamel : Tu crois que j'ai pas fait ça moi ? C'est la tradition dans la boxe. Comme chez les Spartiates.
Noah : Les quoi ?
Kamel : Les Spartiates ! Les anciens enseignent au plus jeune leur sagesse et leur savoir, et en échange les plus jeunes leur rendent des services. Quand j'avais ton âge, je suis aussi passé par là. J'étais même plus jeune ! Il s'appelait Mourad. Mais en échange, je peux te dire que j'ai tout appris de la boxe, c'est grâce à lui que je suis là où j'en suis maintenant.
Kamel mentait sans aucune honte mais Noah le croyait.
Kamel : Tu sais, j'aurais pu choisir n'importe qui d'autre. Momo ou Jean-Phi, ils sont bien meilleurs que toi en boxe. Mais c'est toi que j'ai choisi. Eux ils croient qu'ils savent déjà tout, ils ont pas la bonne mentalité. Toi tu peux vraiment progresser et dans la bonne direction.
Noah : Tu crois ?
Kamel : J'en suis sûr ! Mais pour ça, faut qu'il y ait un vrai lien entre nous, qu'on sache qu'on peut compter l'un sur l'autre.
Noah : Ah, euh, d'accord. Et on fait comment ?
Kamel eut un petit sourire en coin : il l'avait mené où il avait voulu sans aucun problème. En moins d'une heure, il avait mené un jeune hétéro à le branler sous la douche.
Kamel : Lève-toi, mets-toi là et savonne-là bien.
Noah : Comme ça ?
Kamel : Oui, branle-la lentement. Tu peux aussi passer ta main, la malaxer, pas juste la branler.
Noah s'était mis sur le côté droit de Kamel, en formant un angle, pour pouvoir bien le branler avec sa main droite. Noah s'y prenait plutôt bien : il lui caressait le gland, puis toute la queue, faisait des mouvements de va-et-vient puis s'arrêtait pour la caresser à nouveau. Avec le savon comme lubrifiant, les sensations étaient intenses et, pour le coup, valaient largement une pipe. Kamel avait pris Noah par l'épaule, à la fois en signe de camaraderie, pour entrer en contact avec lui et pour pouvoir poser sa main quelque part. Il devait se retenir de ne pas trop serrer sa main sur l'épaule et de ne pas faire mal à Noah, tellement les sensations étaient intenses. Le savon faisait de la mousse.
Kamel : Continue ! Tu t'y prends comme un chef !
La queue de Noah finit par grossir elle-aussi. Autant celle de Kamel était épaisse et plutôt trapue, autant celle de Noah était longue et fine.
Kamel : Ah bien tu te réveilles toi-aussi.
Noah : Euh oui, enfin...
Kamel : T'inquiète ! C'est normal !
Ca venait ! Kamel baissa son bras gauche et serra Noah contre lui par la hanche - c'était plus un réflexe devant l'intensité du plaisir qu'un signe d'affection. Noah continuait, imperturbable.
Kamel : T'arrête pas ! T'arrête pas !
Le sperme finit par gicler. Noah continua encore un peu, jusqu'à ce que le sperme s'arrête de couler et de se mélanger à la mousse de savon. Kamel put souffler : il avait rarement eu un orgasme aussi intense, presque douloureux. Mais ça, il ne voulait pas en parler à Noah. Il devait conserver son attitude de " grand frère ".
Kamel : Super ! Bravo Noah.
Noah : Euh merci.
Noah, avec sa queue presque raide qui pendant devant lui, ne savait pas trop où se mettre. Mais Kamel se comporta comme s'il ne s'était rien passé et dissipa vite la gêne. Ils finirent de prendre leur douche, se rhabillèrent (Kamel put mettre un pantalon et nouer ses chaussures sans aucun problème de dos !) et ils partirent. Noah, bien qu'un peu perturbé par ce qui s'était passé, était content de l'amitié que lui montrait Kamel. Kamel, lui, rentra chez lui content d'avoir deux défis devant lui pour les prochaines semaines :
- faire de Noah le meilleur boxeur de son groupe
- faire de Noah son vide-couille en allant bien plus loin qu'une simple branlette sous la douche.
Mais une ombre passa sur son visage : il avait été attiré par la queue de Noah. Il ne voulait pas l'admettre mais en la voyant bander peu à peu, il s'était souvenu du matin où Guy l'avait enculé, et il aurait bien voulu recommencer...
Marc-67
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