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HISTOIRE

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Premier épisode | Épisode précédent

Grenier -03

Encore une première fois.

- Hé ! Tu t'en vas, Jili ?
- Ouais. J'ai oublié que je devais aider ma mère. Salut ! À demain.
Gros mensonge. Je n'ai rien promis. La vérité est que j'en ai assez de regarder mes potes roucouler avec leurs gonzesses. Nous sommes tous retrouvés à la plage. Nous avons d'abord fait un foot sur le sable mouillé puis nous avons nagé. Super délire. Les filles ont ensuite réclamé un peu d'attention. Ça a cassé l'ambiance. Cette année, je suis le seul célibataire de la bande. Et pour cause. Le pire a été la vision d'Élouan et d'Annabelle s'en allant main dans la main vers la crique secrète. J'ai alors décidé de partir. J'aurai bien viré Annabelle pour la remplacer. Depuis notre fameux dimanche, je n'ai pas revu Élouan. Il bosse comme serveur dans le bar de sa mère. Dimanche est son jour de liberté. Malgré un échange de SMS assez chauds au cours de la semaine, aujourd'hui il a joué les bons copains. En même temps à quoi ai-je pensé ? Je déteste ce sentiment de jalousie qui me ronge. Il faut pourtant que je m'y fasse, Élouan est hétéro. Un hétéro curieux. Très curieux. Je dois me résigner. Il préfère les gros nichons d'Annabelle à mon petit cul.

Sur le chemin côtier, je songe à notre après-midi sexe. Nous sommes redescendus du grenier en sueur. J'ai craint que ma mère ne devine notre activité à la rougeur de mon visage. Elle n'a rien capté trop centrée sur son monde et son bavardage. Nous n'avons rien écouté. Élouan et moi avons filé vers la plage. À notre arrivée, les deux filles s'étaient barrées. Nous avons nagé puis après une bronzette nous avons exploré les rochers et les falaises. Nous avons fini par gagner notre crique secrète. Nous l'appelons ainsi depuis l'enfance. Elle n'est accessible qu'à marée basse ou par la mer bien que son abord soit dangereux. Minuscule faille dans 20 m de granite qui offre un repère discret pour morveux en mal de connerie. Première clope, première bière et première baise. Du moins pour moi.

Nous avons fait une course dans les rochers. J'ai atterri le premier sur le sable grossier de la crique. Alors que je m'avançais vers le fond, Élouan m'a plaqué au sol. Mon cri a résonné entre les parois immenses. Mon meilleur ami a commencé à frotter son bassin contre mes fesses. Je sentais sa bite dure contre elles. Il m'a chuchoté une invite.
- J'ai encore envie. Toi aussi... sinon tu ne serais pas venu directement ici...
- Je ne peux rien te cacher. Allons plus vers le fond.
- À gauche, il y a un rocher plat et lisse.
- Tu la connais par coeur.
Allongés sur le lit de pierre chaud des rayons du soleil, nous avons repris notre baiser. Élouan me pelotait les pecs comme si c'était des seins. Il a compris que mes tétons étaient particulièrement sensibles. Je l'ai regardé les lécher, les aspirer, les mordiller. J'ai placé sa main sur mon sexe pour qu'il sente mon excitation. Il a enlevé mon short de bain puis j'ai retiré le sien après avoir récupéré les capotes. Au passage, j'ai embrassé sa queue en érection. Allongés sur la roche, nous nous sommes masturbés mutuellement pendant un moment. Soudain Élouan s'est agenouillé entre mes jambes. Il a admiré ma verge droite sur mon ventre. Son doigt l'a parcourue du gland à la base. Elle a vibré. Il semblait réfléchir, le visage voilé par sa mèche blonde.
- Tu es puceau de ce côté-là.
- Ben oui...
- Tu n'arriveras jamais avec une fille.
- Je ne pense pas.
- Je veux bien.
- Pardon ?!
Mon palpitant est parti en vrille. Élouan m'a calmement observé. Ses yeux bleus pétillaient derrière ses cheveux blonds.
- Tu as éveillé mon intérêt avec cette histoire de prostate et puis tu as eu l'air de vraiment prendre ton pied tout à l'heure... j'ai envie d'essayer.
- Tu as toujours été curieux... d'accord !
Inespéré. Il y a mis une condition.
- Tu me suces d'abord.
J'ai éclaté de rire et accepté. J'aurais fait tout ce qu'il voulait rien que pour être avec lui. En lui.
Je me suis aussitôt redressé. J'ai effleuré sa bite qui a frémi sous mes doigts. J'ai ouvert grand et englouti son sabre. Cette deuxième fois était plus facile. Le goût salé laissé par la mer s'est noyé avec ma salive. J'ai aspiré sa queue et collé ma langue au cylindre de chair. Élouan a esquissé un mouvement de bassin qui a enfoncé son gland. J'ai résisté au haut-le-coeur et avalé. Il a profité pour pousser et a manqué de m'étouffer. J'ai aimé cette sensation. Il a recommencé. À la deuxième, il s'est retiré craignant d'éjaculer. Cela ne m'aurait pas dérangé de goûter son nectar, mais nous avions encore des choses à faire. Tout plein.

Il s'est placé tête-bêche au-dessus de moi. Sans que je l'exige, il a capturé mon sexe. J'ai récupéré le sien. J'étais bien dans sa bouche chaude et humide. J'ai senti ses dents cogner contre mon gland. Je ne me suis pas gêné pour lui faire la remarque. Il a grogné la bouche pleine. Nous avons calqué nos rythmes. Je m'agrippais à ses fesses. Je voyais son périnée duveteux et ses couilles bouger sous mon nez. J'ai tenté une première percée. J'ai envoyé mon index en éclaireur le long de sa raie. J'ai appuyé légèrement sur sa rosette qui a réagi comme une anémone de mer. Élouan a cessé sa pipe. J'ai arrêté la mienne. Ma langue a attaqué son entrée secrète. J'ai adoré la saveur poivrée d'Élouan. Il a gémi tout doucement. J'ai mouillé ses muqueuses puis mon doigt que j'ai glissé à l'intérieur. Petit à petit, j'ai ouvert son antre. J'ai été moins sadique que lui, car je ne voulais pas qu'il change d'avis. Élouan semblait apprécier cette caresse interne. J'ai cherché sa bosse du plaisir. Bien cachée, au fond elle n'attendait que ça. Il a sursauté quand je l'ai massé. Sa voix est montée d'un ton.
- ah !
J'ai attrapé sa queue en perte de vitesse et l'ai masturbé en même temps. La mienne toujours dure, frétillait sur mon ventre. Je n'en pouvais plus. Ignorant si Élouan était prêt, j'ai bougé de sous lui. Un peu à l'ouest, il n'a pas bronché. J'ai ouvert un des sachets de préservatifs. Le bruit l'a sorti de sa rêverie. Il m'a pris le matériel des mains.
- Laisse. J'ai plus l'habitude que toi.
Mon coeur a raté un battement. Il avait changé d'avis et préférait sodomiser plutôt que de l'être. Mais non. Il m'a enfilé le latex puis m'a fait un bisou. Mon rythme cardiaque s'est calmé. J'avais trop envie de le pénétrer.
Élouan, à genoux sur la pierre plate, s'est appuyé contre la paroi rocheuse. Je me suis calé derrière lui et l'ai aidé à se cambrer. Le préservatif me faisait une sensation étrange sur la queue dont la couleur était moins jolie. Élouan m'a conseillé de cracher un max. J'ai deviné un poil de stress dans sa voix. Je l'ai embrassé dans le cou. Il s'est tordu pour me rouler un patin. J'en ai profité pour commencer. Un petit pas pour moi, un grand, pour Élouan. Il a lâché ma bouche, son visage s'est crispé.
- Rassure-toi ! Je n'ai pas envie de te dégoûter...
Une main tenant ma bite, l'autre écartant une fesse, j'ai appuyé mon gland emballé contre son trou. Par à-coups, j'ai ouvert le passage. Élouan soufflait à chaque tentative. Il a séparé ses lobes. J'ai poussé un peu plus fort. Je suis entré, aussitôt aspiré par son tube moelleux. Nous avons crié ensemble.
- ah !
Je suis resté immobile. Au chaud, complètement enveloppé de douceur. Je n'osais plus rien faire craignant d'éjaculer ou d'infliger de la douleur. Élouan a râlé.
- Mais tu attends quoi, là ? Fais-moi jouir !
J'ai fait machine arrière. Il a gémi tout du long de mon retrait puis de mon retour. La sensation d'être enduit de tissu brûlant m'a rendu fou. J'ai augmenté mon rythme et ma profondeur. Élouan s'est mis à haleter. Sa voix d'habitude grave est devenue plus aiguë. Il baissait la tête, j'ai mordillé son cou et croqué son collier. Je l'ai tiré vers moi faisant entrer les maillons d'or dans sa peau hérissée de chair de poule. Cela m'a excité encore plus. J'ai bien reculé pour mieux avancer au tréfonds de lui. Il était si serré que parfois je bloquais. J'avais si peur de lui faire mal que je lui demandais régulièrement si je devais continuer.
- Ça va, ne t'arrête pas... c'est vraiment bon...
Nous avons changé de position, car nos genoux en appuis sur la roche devenaient douloureux. J'ai aidé Élouan à s'allonger sur le dos. Je me suis réintroduit en lui en observant son visage. La tête relevée, les lèvres en forme d'O. et les yeux brillants il a regardé ma queue entrer en lui.
- Je n'y crois pas... ah ! Jili... déchaine-toi !
J'ai revu Anton et Jérémy. J'ai calé les chevilles d'Élouan sur mes épaules et agrippé ses cuisses. Mes coups de reins sont vite devenus intenses. Le frottement des muqueuses toniques d'Élouan combiné à sa façon de gémir a attisé le brasier. Lui aussi semblait approcher de l'embrasement. De sa verge redressée s'écoulait un fluide formant une flaque brillant sur son ventre. Il a soudain poussé un cri plus long que les autres, tout son corps s'est arqué. J'ai senti un chapelet de pressions rapides sur ma queue alors que de la sienne giclait sa liqueur. J'ai joui. Un éclair. La montée m'a cramé les terminaisons nerveuses. J'ai eu le réflexe de me retirer et d'enlever ma capote. J'ai regardé la poche de latex déformée par le poids de mon sperme. Élouan a sifflé. Le sien s'étalait en perle laiteuse sur sa pilosité dorée. Un bijou. Je n'ai pas résisté. Arcbouté au-dessus de lui, j'ai léché ses larmes de sexe. Douce-amère. Comme l'amour. Élouan m'a enlacé et plaqué contre son torse. Nous nous sommes embrassés. Il m'a dit aimer sa propre saveur dans ma bouche.
Nous sommes restés un peu léthargiques sur notre lit de granite adossé contre à la falaise. Les mouettes piaillaient autour de nous. Élouan a posé sa main sur ma cuisse. Le grondement du ressac en arrière-fond, il m'a avoué d'un ton tranquille que je n'étais pas le premier.

- Quoi !?
- Calme-toi... tu n'as pas senti que je m'y connaissais un peu ?
- Non... enfin, je pensais que c'était dû à ton expérience des filles.
- Pas entièrement... l'intello que tu es m'a éclairé sur le principe physiologique de l'orgasme anal... sinon, le reste...
- Tu avais l'air étonné pourtant.
- Avec toi c'était différent...
La jalousie a pointé le bout de son nez.
- Ah oui. L'autre c'était qui ?
- Tu es jaloux ?
- Non. Admets, tu me surprends. Moi qui te croyais 100 % hétéro ! En plus, tu m'as reproché de ne t'avoir rien dit pour moi.
- Chut ! Nous aurions gagné du temps ! Et le 100 %, ça n'existe pas !
- Merde ! Si moi je le suis ! Les femmes je ne peux pas ! Je ne comprends pas comment, toi, un tombeur de filles, tu as pu te faire prendre.
- Je n'ai pas trop compris non plus.
- C'était quand ?
- Pendant les vacances de Pâques. J'ai fait un stage de foot à Rennes.
- Je me rappelle.
- Voilà. Les footeux sont surprenants. Le mec en question, Alex, m'a eu par surprise. Nous étions logés dans un centre de formation. Cet étudiant en STAPS et membre du club qui nous recevait nous a pris en charge avec notre entraineur et celui de l'autre club. Franchement il t'aurait plu et je pense que c'est toi qui serais passé à la casserole.
- M'étonnerait.
- Si. Tu aurais craqué. Un beau gosse de 23 ans. Un brun aux yeux verts, ma taille, mais plus musclé, et pas que des jambes. Franchement, je n'ai pas regardé tout ça. Je le trouvais sympa. En fait dès le début il m'a accaparé, mais c'est après coup que j'ai percuté. Je lui plaisais.
- Évidemment ! Tu es canon.
- Je n'avais jamais imaginé que je pouvais aussi plaire aux mecs. Un peu naïf sur ce coup-là. Donc cet Alex et moi sommes vite devenus copains. Je l'admirais pour sa technique de jeu et sa condition physique. Je lui ai demandé des conseils.
- Il a été loin dans le conseil.
- Ne te fous pas de ma gueule. Cela m'a perturbé pendant un moment.
- C'était ça ton humeur de chien ! Je croyais que c'était parce que Manon t'avait largué.
- Non, c'est moi. On s'égare ! Un soir, Alex a proposé de me montrer des exercices de muscu pour le haut du corps. Mais qu'à moi, tu vois.
- Je vois.
- En plus il m'a questionné sur mon âge. Je lui ai dit que je venais de fêter mes 18 ans deux semaines avant. Il a dit parfait. J'ai trouvé sa réaction bizarre, mais j'ai laissé couler. Nous avons utilisé une salle de musculation un peu en retrait par rapport à l'endroit où nous logions. Un petit malin. La première séance, il ne s'est rien passé sauf qu'il aimait bien me toucher pour me positionner ou corriger mes mouvements. Ses mains étaient assez baladeuses, elles trainaient sur mes bras, mes épaules et mes fesses !
- Ça te faisait de l'effet.
- Difficile à dire. Je suis aussi assez tactile et puis j'étais concentré sur les exercices. Nous avons pris notre douche, mais pas ensemble. Dans le vestiaire ensuite il a mis longtemps avant de se rhabiller. J'étais admiratif de sa musculature. J'ai noté sa pilosité rasibus. Rien, pas un poil. Ce truc m'a un peu travaillé pendant la nuit qui a suivi. Je n'arrêtais pas d'y penser. Pourquoi un mec voudrait-il enlever tous ses poils et en particulier ceux de son pubis ? Une fille OK, j'aime bien en plus, mais un homme ? Le lendemain soir, rebelote. Ses mains étaient encore plus baladeuses alors que j'étais moins nul dans mes mouvements. Je n'ai pas réagi, mais je sentais comme une excitation dans l'air. Il faut savoir que j'étais en manque. Entre Manon et moi, ça ne gazait plus et dans la chambre du centre je n'avais pas d'intimité pour me branler.
- Il a dû flairer tes phéromones.
- Un vrai prédateur. La deuxième séance s'est terminée par une douche individuelle, mais quand je suis sorti, plus de serviette. J'étais persuadé de l'avoir prise, en même temps je suis distrait. Je suis retourné dans le vestiaire, nu et encore mouillé. Elle était sur le banc. Alex à poil m'a chambré. Il était en train de se sécher en se tordant dans tous les sens. On aurait dit qu'il dansait. J'étais fasciné. J'ai oublié de m'essuyer. Il m'a fait un clin d'oeil. Il a jeté sa serviette et j'ai vu sa queue. Il bandait, ce con. Je suis resté bloqué sur sa bite. Une belle. Il m'a précisé 19 cm après. Comme la mienne, mais plus large à la base avec un gland plus fin que le mien. Il l'a caressée puis il est venu près de moi en ondulant du bassin. Son sexe naviguait de droite à gauche. Fascinant. Il a attrapé ma serviette et a commencé à m'essuyer. Le dos, le torse puis les fesses. Il a bien insisté là. La serviette a disparu remplacée par ses mains...
- Tu n'as rien dit ?
- Non, j'étais complètement subjugué. Je ne sais pas. Il était beau comme mec. Ses mains étaient chaudes et douces. Moi aussi, je l'ai caressé. La peau qu'il avait. Comme une fille, comme la tienne, lisse et agréable. J'ai compris l'utilité de l'absence de poils. Il m'a embrassé. Sa langue m'a semblé grosse par rapport à ce que je connaissais. Et puis il allait profond comme s'il voulait aspirer mon intérieur. Ses mains étaient partout sur mon corps puis il a lâché ma bouche pour sucer mes tétons. Je ne suis pas aussi sensible que toi, mais j'ai bien aimé. Je bandais déjà de toute façon. Note qu'à ce stade je pensais l'enculer. Je l'avais fait à Manon. C'est pour ça qu'elle me faisait la gueule. En vrai, je m'y suis pris comme un manche. Avec Alex, j'ai compris mon erreur.
- Je ne suis pas certain car tout à l'heure tu m'as enfoncé ton doigt trop vite !
- Ouais... j'ai pensé que tu avais l'habitude de mettre des trucs !
- Crétin.
- Désolé. Je m'appliquerai la prochaine fois... bon, revenons à Alex ! Au fait elle t'excite mon histoire ?
J'ai attrapé sa main et l'ai posée sur mon short en expansion. Il a ri et a fait pareil avec la mienne. Il était dans le même état que moi. Nous avons décidé de nous masturber l'un l'autre en écoutant le récit de son dépucelage.
- Alex est descendu petit à petit vers ma queue. Il a pris son temps. Il m'a léché de A à Z. Je frissonnais à chaque coup de langue. Et quand il a englouti mon membre, j'ai crié. Il n'a pas eu peur de l'avaler. J'ai cru que j'allais jouir ! Tu vois avec Manon, ça tenait du miracle lorsqu'elle me suçait et encore juste le gland. Là, Alex l'a pris tout en entier dans sa bouche. Imagine dans quel état j'étais ! Motivé pour plein de trucs même avec un homme. Je me suis assis sur le banc. Il m'a pompé pendant presque dix minutes. Je l'ai stoppé à plusieurs reprises, car j'ai failli lâcher la sauce. Il avait un de ces regards. Genre gourmand. Il avait l'air d'aimer. C'était excitant !
- J'aime aussi...
- Ben moi aussi.
Élouan a interrompu son récit et entrepris de me sucer puis j'ai enchainé. Nous avons utilisé sa dernière capote. Il m'a sodomisé avec ardeur. J'ai joui sur mes abdos. Nous avons quitté la crique où il commençait à faire froid. Élouan a continué son histoire sur le chemin du retour.
- Je me suis inquiété pour la protection. Je n'en avais pas. Alex avait prévu son coup. Après sa belle fellation, il s'est relevé pour en chercher dans son sac de sport. J'ai maté son boule encore persuadé que j'allais en profiter. Mais non. Il est revenu tranquillement, la bite dressée. Je me suis levé, il a pris ma main et m'a guidé vers un local. À l'intérieur il y avait des tapis de gym empilés. Il s'est allongé en m'attirant. Nous avons recommencé les caresses et les baisers. Petit à petit il m'a retourné sur le ventre. J'étais super excité et un peu perdu. Quand il m'a doigté, j'ai pigé que je venais de me faire piéger. J'ai protesté. Il était assis sur mes jambes. Impossible de l'en déloger. Sa réponse a été que j'allais me sentir bien rapidement. Je ne sais pas comment il s'est débrouillé, mais il s'est protégé et en quelques secondes m'a enfilé. Je l'ai senti passé sa bite de 19 cm ! J'ai crié, mais il a plaqué sa main sur la bouche et m'a rassuré en disant que le plus dur était fait. Mouais. J'ai quand même dérouillé. Il m'a remis à quatre pattes. J'étais vraiment passif. Il m'a enculé sur les tapis. C'est une sensation perturbante d'être rempli. Le plus dingue c'était que j'aimais ça. Il m'a seulement pris par-derrière. Je percevais sa force dans ses mains quand il tirait sur mes hanches et mes épaules. Je n'ai pas joui comme toi la première fois. Lui, je l'ai senti cracher dans mon cul malgré la capote.
- Et après ?
- Je l'ai engueulé. Il a répliqué qu'offrir un corps comme le mien aux filles c'était comme donner de la confiture aux cochons. Il n'avait pas tort. En compensation, il m'a sucé et j'ai éjaculé sur son visage. Le lendemain nous avons remis ça. J'étais encore persuadé qu'il me laisserait le sodomiser. Il m'a déclaré que c'était réservé à son amoureux. Tu parles. En douce, quatre soirs de rang, il a étalé ses talents d'enculeur. Sans trop d'explication. Le deuxième coup j'ai eu un début d'orgasme anal. Le troisième et le quatrième j'ai joui avec mon cul. Trop bien. Mais j'avais honte par rapport aux autres de l'équipe. Un après-midi, j'ai vu Alex et Lilian partir tous les deux... Lilian est revenu tout rouge longtemps après. Je n'ai rien dit, mais que ce lourdingue de Lilian se fasse aussi enculer ça m'a rassuré.
- Un gros macho comme lui ! En plus il est à moitié homophobe !
- Un refoulé.
- Comme toi.
- Non. Je suis bi. Les femmes m'attirent plus que les hommes.
J'ai soupiré. Nous avons quitté la plage et longé le chemin côtier sans un mot. Élouan m'a paru tourmenté puis a subitement rompu le silence.
- En revenant de Rennes, je n'étais pas bien dans ma peau. Je cogitais pas mal. J'avais envie de te confier mon expérience, mais tu semblais si coincé avec le sexe que j'ai pensé que tu allais me rejeter. D'ailleurs tu t'étais éloigné de moi depuis quelque temps. Je me suis défoulé avec les filles !
- J'ai constaté. Moi aussi j'avais peur de ta réaction. Je ne voulais pas perdre un ami.
- Les choses sont claires à présent. Je suis heureux de t'avoir offert tes premières fois. Avec ton voisin je ne sais pas ce que cela aurait donné.
- Il a l'air doué...
- Regarde en bas sur la plage !
En contre bas du sentier, deux silhouettes masculines, dont une plus imposante que l'autre, marchaient côte à côte sur le sable. Le soleil couchant illuminait en orange leurs vêtements blancs.
- C'est eux ! Quand on parle du loup, on voit sa queue.
- J'aimerai bien.
- Arrête, Jili ! Qu'est-ce qu'il fabrique ? Pourquoi se met-il à genoux ? Il ne va pas sucer Jérémy au milieu de la plage !
- Élouan, tu n'es pas romantique pour deux balles. Un coucher de soleil sur la mer, une plage solitaire...
- Ce n'est pas vrai ! Une demande en mariage ?
- Peut-être. Tu questionneras Jérémy quand tu le croiseras chez ta grand-mère.
- Tu es dingue !
- Ils s'embrassent. Il a dit oui...
- Arrête de rêver.

Nous avons laissé Anton et Jérémy à leurs amours et nous sommes rentrés chacun chez soi. Moi, dans ma famille catho. Élouan chez sa mère célibataire et tenancière du plus grand bar de la commune. Il m'a embrassé une dernière fois, à la bifurcation qui ramène à la barrière située au fond de mon jardin, devant laquelle je me trouve.

Plongé dans le souvenir du plus bel après-midi de ma vie, je ne me suis pas rendu compte d'être arrivé. Je me sens excité et frustré. Élouan. J'ai envie de lui, mais en ce moment il s'occupe d'Annabelle. J'ouvre le portillon qui mène à ma prison quand une voix grave résonne dans mon dos.
- Hé ! Attends !

Lepoulpe

gaellg88@gmail.com

Suite de l'histoire

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