Et bien bonjour, je m'appelle Jules, j'ai trente-cinq ans, pas trop mal de ma personne, pas grand mais bien proportionné, j'avoue avoir un certain succès en général. Plutôt passif j'aime par dessus-tout les hommes grands, un peu machos, le top ? Les hommes mariés ! Ils savent ce qu'ils veulent, sont toujours discrets et un brin gênés, parfois...
Cette histoire, vraie, est arrivée il y a trois jours, sur mon lieu de travail, ce n'est pas la première fois mais la plus marquante à plus d'un titre.
Je suis ce jour là seul à l'accueil de l'établissement dont je m'occupe, un musée. Une réservation pour la première visite, à 9h30 les matins d'été c'est la visite la plus calme, un couple avec un enfant, c'est noté.
Coup de fil, une voix lointaine.
"Excusez-moi, je vous entends mal".
"Oui, je suis au volant, je vous passe mon mari".
Une voix, plus audible, belle.
"Nous avons réservé une visite, mais nous aurons un peu de retard, c'est toujours possible ?".
Tu penses, avec une voix pareille...
"Bien entendu monsieur".
"Alors à dans dix minutes, merci".
Je raccroche, dix minutes plus tard, un joli brin de femme, une fillette jolie comme tout.
"Mon mari arrive, il a oublié son appareil photo, au cas où il serait possible d'en prendre".
"Pas de problème pour le retard, ni pour les photos".
Et là, entre un type sensiblement de mon âge, peut-être un peu plus jeune, grands, châtain, yeux verts, assez baraqué, chemise ouverte sans trop sur un torse que je devine velu, (je craque), un bermuda laissant apparaître de belles jambes bronzées et aux poils dorés par le soleil (oh mon dieu) bref, un véritable canon, pile poil à mon goût. Mais bon, jolie épouse, jolie fillette, tu as peu de chance Jules.
La visite débute, mon rêve sur pattes ne semble pas passionné, ils regarde partout sauf ce que je lui montre et explique, heureusement madame est toute à mon écoute, comme je veux capter son attention je dis :
"Les photos sont autorisées si vus le désirez".
Ce n'est pas vrai, mais ils sont seuls, personne ne le saura.
Un grand sourire, enfin, et diable qu'il est beau ce sourire, belles dents blanches qui plus est.
Je parle, madame et fillette écoutent et lui mitraille. Tous se passe bien, nous finissons même pas échanger au-delà des explications habituelles.
Ils sont de la région, habitent à 10 kilomètres, elle est prof, lui travaille dans le sport, (sans blague...) il entraîne une équipe de volley...
La visite est réellement devenue très très sympa, j'ai le sentiment de parler avec des amis.
Mais les bonnes choses ont une fin, je ne peux pas les retenir plus longtemps.
"Merci pour votre venue, je dois vous dire que j'ai rarement l'occasion de passer un aussi bon moment au travail".
"C'est réciproque, c'était vraiment une visite agréable, un très bon moment, vous avez même su convaincre mon mari, je crois qu'il n'est pas insensible à vous".
"??????".
Au moment de nous serrer la main, je vois mon sportif se passer la mains sous la chemise, relevant celle-ci et laissant apparaître un ventre plat et joliment velu, vous voyez cette ligne qui descend jusqu'à...
Puis la main se dirige vers le bermuda, touche le joli paquet que je devine, mais légèrement.
Ne rêve pas, tous les hommes font ça, sûrement pour s'assurer qu'il ne manque rien ?
Mais ce sourire en ce-faisant...
Ils s'en vont, main dans la main, la vache qu'ils sont beaux tous les trois.
Une demie-heure passe, des pas sur les graviers.
"Rebonjour, je suis venu tout à l'heure et...".
"Oui je me souviens, (tu penses), vous avez oublié quelque chose ?".
"Non je voulais vous demander si vous n'aviez pas des toilettes, et puis aussi vous dire que je voulais vous revoir".
Je n'y crois pas, bredouille qu'il y a des toilettes, là à gauche.
Son grand sourire à nouveau.
"Tu viens ?".
"Oui, mais votre, ton épouse ?".
"Elle sait, elle rentre à la maison, tu veux bien de moi ?".
Je n'ose y croire, bredouille, rougi, bande tout de même.
"Comment ne pas vouloir de toi ? Par contre, hors de question que nous allions dans les toilettes, ce serait moche, viens".
Je lui prends la main, sa peau est douce, et l'entraîne dans le bureau, quelle chance d'être seul aujourd'hui.
La porte à peine fermée il m'embrasse, à pleine bouche, c'est divin, nous nous découvrons de nos mains, tout le corps y passe, les vêtements volent.
Il est en effet superbe, velu comme j'aime, musclé naturellement, une peau de bébé et un parfum que j'adore et que je porte aussi, Bel Ami, nos langues se régalent de nos corps.
Il ne nous reste que nos slips que nous faisons tomber en coeur, son sexe est superbe, une vingtaine de centimètres, épaisse comme j'aime, raide comme la justice, mais en plus agréable.
Sa tête descend et sa bouche engouffre mon sexe, il suce comme un dieu, je suis tellement excité que j'ai peur de jouir trop vite, je lui dis, il me répond :
"Viens, tu es bon".
Vite je descends à mon tour vers son sexe, il sent bon, il est dur, je le prends, il est délicieux, c'est le plus beau 69 de ma vie, là, sur le sol de mon bureau.
Nous jouissons en coeur, tellement fort.
Puis, fourbus, nous nous prenons dans les bras l'un de l'autre, les yeux dans les yeux, souriants.
"Tu voudras encore de moi, tu sais, j'aime tellement sucer, ma femme est d'accord, elle comprend".
"Comment ne pas vouloir de toi, si tu me promets que cela ne pose pas de problème, je te veux encore et encore, mais une chose, j'aimerais aussi que tu me prennes, j'ai tellement envie de toi".
"Oh je n'osais pas te le demander, mais oui, bien sûr, avec une chose pour moi aussi, protégés, je suis marié, j'ai deux enfants, je ne veux pas tout casser".
"Bien entendu, je n'ai pas envie de casser ce joli jouet", lui dis-je.
En plus il a un très joli rire.
"Moi c'est Jules, et toi ?"
"Arnaud".
Alors Arnaud, tu m'appelles quand tu veux, tu sais où je suis, et en plus voici mon mobile, mais cette fois-ci nous irons chez moi.
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Talma
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