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Surprise au bord de la route

‌Bonjour à tous, bien longtemps que je ne vous ai pas donné de nouvelles, j'en suis désolé mais le temps passe si vite.

Arnaud et moi poursuivons notre histoire particulière.

Lui, toujours en couple avec sa si gentille et compréhensive épouse, toujours papa poule de ses deux enfants.

Moi, toujours célibataire, le voyant souvent pour ces moments si privilégiés, même si je ne suis pas un ange et que la tentation est là pour que l'on y cède...

En effet j'ai des aventures, souvent, mais c'est avec lui que je préfère faire l'amour, voire baiser, ce n'est pas la même chose, mais les deux sont exaltantes.

Normalement vous devriez trouver le début de notre histoire sur ce formidable site.

Mais cessons les préambules, et venons-en à cette nouvelle aventure, vraie, qui nous est arrivée il y a une semaine.

Nous partagions un week-end en amoureux dans un gîte du Pays Basque.

Longues marches, balades à vélo, en voiture, bons restaurants et... bien entendu des moments torrides.

Un jour que nous étions en voiture sur une route de montagne surplombant l'océan, au détour d'un virage un homme nous fit signe, bicyclette à la main, à côté d'une voiture.

Sans trop regarder à qui nous avions à faire nous nous nous sommes arrêtés. Sans regret je dois dire, le type en question était tout simplement superbe.

Grand, 1,90 m au jugé, très brun, des jambes musclées velues, bras idem, barbe de trois ou quatre jours, la belle quarantaine.

Le corps moulé dans un short et veste de survêtement.

Un véritable fantasme sur pattes.

Je sentais le genou de Arnaud me lancer des signaux, mon entrejambe de même, mais bon, sans trop d'illusions, je sais bien que tous les gâteaux de la pâtisseries ne sont pas accessibles... je fis un clin d’œil à mon partenaire pour lui dire que j'étais bien du même avis que lui, mais que bon...

J'ai ouvert ma vitre, il s'est approché, nous nous sommes noyés dans ses yeux verts... des yeux un peu tristes.

- Bonjour, vous avez un problème ?

- Bonjour, oui, gros problème, j'ai fait du vélo, et j'ai perdu les clefs de ma voiture, j'ai cherché sur mon trajet, deux allez-retours, je ne les ai pas retrouvées...

Délicieux accent espagnol, mais bien compréhensible.

- Je ne sais vraiment pas quoi faire, j'habite Madrid, mon double de clefs y est, et mon épouse est à Paris pour une semaine.

Je discute avec Arnaud qui est bien du même avis que moi, on ne peut laisser ce canon sur le bord de la route, il risquerait de faire une mauvaise rencontre...

- Écoutez, il est tard, la nuit va tomber, demain nous pourrons vous accompagner chez vous, mais ce soir nous vous proposons de dormir chez nous, nous sommes en vacances en gîte, il n'est pas immense, mais nous nous pourrons nous débrouiller.

- Oh mais vraiment, je ne sais pas comment vous remercier !

Si tu savais mon joli ce que tu pourrais faire...

- Mettez votre vélo sur la galerie et montez.

Il a attrapé l'engin comme si c'était une plume, muscles bandés, nous aussi mais pas les mêmes... il a enlevé sa veste, son tee-shirt en matière technique le moulait de façon divine, ventre plat, pectoraux saillants... il est entré dans la voiture, odeur de transpiration même pas désagréable.

Il s'est assis, son short est remonté par le mouvement, nous étions tournés pour l'accueillir d'un sourire et nos yeux se sont posés sur son entrejambe, mon diable, quelle vue... il a rougi, a mis ses mains dessus et nous a adressé un sourire gêné.

Nous nous sommes retournés vers le pare-brise en croisant nos regards, bien évidement Arnaud avait la même idée que moi, déballer ce paquet cadeau et profiter de ce qu'il contient.

La route s'est passée sans encombres, discussion sympa, coup d’œil dans le rétro intérieur, quel belle invention. il s'est approché s'accrochant à nos sièges.

- Je ne me suis pas présenté, je m'appelle Elio.

- Ah mais nous non plus, mon ami, Arnaud et moi je suis Jules, enchanté Elio.

- Vos épouses sont à la maison ?

- Euh, non, nous serons tous les trois.

- On rentre, je prends une douche, si c'est possible et je vous invite à dîner quelque part, je n'ai pas perdu ma carte bancaire, elle est toujours dans ma poche fermée, j'aurais dû y mettre la clef de voiture.

- Non, enfin, oui pour la douche, mais pour l'invitation, ce ne sera pas la peine, nous avons fait des courses, il y a tout ce qu'il faut et même davantage, par contre si tu veux, on s'arrête et tu nous offre une bouteille de vin, c'est tout ce qu'il nous manque.

- Avec plaisir, et si ce n'est pas trop demander, je rêve d'un café, je vous offre un verre ?

- Ok, ça marche, nous avons aussi besoin de café.

Nous nous sommes arrêtés au village, avons trouvé du vin, il a pris deux bouteilles, ah les sportifs ne boivent pas que des boissons énergisantes... et nous sommes allés au bar. Il était bondé mais nous avons trouvé une petite table au fond, trois chaises un peu collées. La serveuse est arrivée.

- Alors les garçons, tout va bien, vous avez trouvé un nouveau copain ? (sourire entendu)...

Arnaud, toujours un peu timide, balbutiant.

- Heu... non, il a perdu ses clefs de voiture, nous le raccompagnerons demain à Madrid, il va dormir au gîte, trois doubles express s'il vous plaît.

Clin d’œil de la serveuse à qui décidément il ne fallait pas en conter...

- Trois doubles serrés, je vous amène ça.

Arnaud tout rouge, moi sourire crispé, Elio ne semblant pas avoir compris l'allusion.

Nos genoux se touchaient sous la table, il était impossible de faire autrement mais que c'était bon.

Cafés bus nous avons repris la route, arrivés au gîte nous avons montré la douche à notre apollon, qui s'y est précipité.

Arnaud et moi avons commencé à préparer le repas et l'apéro.

- S'il vous plaît, je ne trouve pas les serviettes !

J'ai demandé à Arnaud de lui en donner une, de même qu'un de mes tee-shirt un de ses shorts, pas envie de l'enfermer dans un pantalon, il est revenu avec des yeux illuminés.

- Punaise, il était à poil, les mains tentant de cacher son matériel, je te jure Jules, tout ne rentrait pas, il est magnifique et je pense très bien équipé. Je le veux.

- Ne rêve pas Loulou, pas de caprices, sinon je vais être très jaloux. il s'est approché, m'a embrassé, retourné vers le plan de travail et m'a peloté comme il sait si bien le faire.

Nous sommes retourné à nos préparatifs, Elio et sorti, s'est installé sur le canapé, nous avons servi et nous sommes installés de chaque côté, j'adore le fauteuil club mais là... il ne me disait rien.

Nous avons bu sa première bouteille de vin, mangé nos toasts en devisant. gentiment, puis la question qui tue.

- Jules, Arnaud, vous êtes amis mais... vous êtes aussi amants, non ? Quand je suis sorti de la salle d'eau je vous ai vus et...

Nous étions un peu gênés, mais au moins les choses étaient claires...

- Oui, nous sommes amants, Arnaud est marié, mais son épouse le laisse vivre sa vie, moi je suis célibataire et très très gay.

- Ah ok, mais c'est bien ça, vous allez bien ensembles.

Il a écarté les jambes, s'est complètement adossé au canapé son verre à la main, ses genoux nous touchaient, il a fermé les yeux, qu'attendait-il ? Avec Arnaud nous nous sommes regardés et avons conclu que qui ne tente rien n'a rien et que de toute façon il était coincé ici jusqu'à demain Madrid, aussi de concert nous avons posé une main chacun sur ses jambes qui étaient à elles seules un appel au sexe.

Il a ouvert les yeux, eu un mouvement de surprise, feint ou non, puis a refermé les yeux, accord tacite on ne peut plus évident.

Nous l'avons caressé de haut en bas, à quatre mains en prenant soin d'éviter le fruit de notre tentation, ce sera le dessert, mais on pouvait voir de façon tout à fait évidente que nos "efforts" n'étaient pas vains, son short allait bientôt soit craquer soit déborder.

Il est ferme de partout ce beau mâle, le poil doux, le muscle dur, l'odeur de la sueur remplacée par celle de la fleur d'oranger du savon, un véritable gâteau. Un gâteau qui s'est mis à gémir, à se détendre, à virer son tee-shirt, il a voulu faire de même avec le short, mais d'un commun accord Arnaud et moi l'en avons empêché.

- Pas encore.

- J'ai mal...

- Ne t'inquiète pas, c'est un mauvais moment à passer, nous nous occupons de tout, replace ta verge plus confortablement, je pense que tu ne le regretteras pas... par contre si tu veux que nous arrêtions, tu le dis, il n'y a aucun problème. Il a replacé sa queue avec difficulté, quel engin, en rougissant un peu, dieu qu'il est craquant.

- Non, continuez, je n'ai jamais fait ça avec un garçon, encore moins avec deux, mais que c'est bon à quatre mains, ce ne sont pas les mêmes caresses qu'avec une femme.

- Merci, tu verras avec la suite que rien n'est pareil qu'avec une femme.

Nous nous sommes penchés vers lui pour l'embrasser tendrement sur les joues, pour le lécher du cou à la naissance de son pubis, les jambes, les pieds.

Il n'en pouvait plus de gémissements, de tensions, il nous caressait la tête, le dos, s'aventurait jusqu'à nos culs. Nous bandions comme des ânes encore emprisonnés de nos vêtements, il nous a arrachés nos tee-shirts, pelotés à son tour.

- Vous êtes sportifs aussi les garçons, c'est beau, c'est doux les poils.

Il va y prendre goût le coquin... Nous nous sommes finalement attaqués à son entrejambe, j'ai cru qu'il allait jouir à ce moment mais non, il sait se servir de son corps, en bon sportif il le maitrise. Nous avons palpé son barreau, ses couilles. C'était à priori prometteur, mais en fait c'était incroyable, un engin énorme, des couilles à l'avenant, nous avons même eu du mal faire sortir tout cela sans lui faire mal, le short d'Arnaud était un peu trop petit, et le pauvre Elio devait en effet souffrir...

Sa queue est enfin sortie, majestueuse, ses couilles étaient d'un ovale parfait, le poil présent partout mais parfaitement entretenu. Ensemble nous avons sorti nos langues et avons dégusté ces fruits des dieux ou des diables. Léché la hampe, mordillé le gland, gobé les boules, une chacun la nature est bien faite. Il n'en pouvait plus, bandait chacun de ses muscles, ses mains nous pressaient les crânes. Puis tour à tour nous l'avons sucé, un le prenant en bouche puis l'autre. Nous n'avions pas mesuré à ce moment là, mais nous avions bien vingt-deux centimètres de chair tendue à déguster.

Au bout d'un moment bien trop court, il s'est arqué et a joui, de longs jets de sperme blanc crémeux ont jailli sur nos visages, sur nos torses, sur son ventre, il était saisi de frissons incontrôlables, un véritable séisme, il grognait comme un ours, il s'est penché vers nous et nous a embrassés fougueusement, une pelle au sperme magnifique. Puis, animal vaincu il s'est détendu, nous l'avons regardé, un sourire que nous ne lui avions jamais vu a illuminé son visage, il avait de sa semence dans les poils de sa barbe, nous avons léché notre mâle, une joue chacun, puis Arnaud et moi nous sommes roulés une pelle d'enfer. Il nous caressait le dos, le cul à nouveau.

- Mais vous ne vous êtes pas mis nus ?

Tout à notre affaire, nous n'y avions même plus pensé.

- Non, mais après le dîner, il est possible que nous passions aux choses sérieuses, qu'en dis-tu ?

- Choses sérieuses ? Parce que là ça ne l'était pas ? Et bien je demande à voir... Par contre, ça vous dérange si je reste nu ? Chez moi je le suis toujours.

- Aucun problème Elio, c'est un plaisir que de te regarder.

En effet, son sexe redevenu souple, ses testicules parfaites, le tout accroché à ce corps sublime était un spectacle splendide. Il avait la démarche souple du type qui assure en n'importe quelle circonstance, nous ne l'avions pas encore vu, mais son cul était parfait, ferme et velu, plus ovale que rond, le dos en V, bref aussi parfait de dos que de face, nous nous sommes regardés avec Arnaud et avons levé les yeux au ciel. quel bonheur que ces vacances, quel bonheur que de prendre cette route, quel bonheur qu'il ait perdu ses clefs. Parfois la vie réserve de sacrées surprises.

Nous sommes passés à table, nous étions tous les trois affamés, nous avons partagé le repas dans la bonne humeur, les rires ont fusé, les anecdotes se sont succédé, il était subjugué par notre rencontre, notre histoire, la tolérance de l'épouse d'Arnaud.

Arnaud proposa un dessert que nous avons accepté, nous n'avions que des yaourts natures, aussi Arnaud n'en prit pas, allergique aux laitages, mais je le vis à ma grande surprise passer sous la table, il me défit la braguette, sortit ma queue et commença les mouvements dont il avait le secret, je me doutais qu'il faisait la même chose à notre invité lorsque je le vis avoir un sursaut, puis un grand sourire, je lui ai adressé un clin d’œil afin qu'il comprenne que tout était ok.

Arnaud faisait le job, me suçait, puis me prenait en main tandis que Elio se tendait, je savais ainsi que la bouche de mon Loulou le surprenait, il méritait bien les caresses que nous lui prodiguions sur le crâne.

- Tu aimes Elio ?

- Beaucoup, il suce bien, toi aussi d'ailleurs, vous avez de la chance. J'aimerais bien vous voir nus, on peu allez dehors pour le dernier verre de vin, nus tous les trois ?

- Mais bien sûr, Arnaud, lève-toi, tu finiras tout à l'heure. Vient me déshabiller, il réapparut, nu comme un ver, toujours aussi adroit à l'effeuillage dans des conditions pas toujours évidentes, le sexe fier sur ce corps que je passerais ma vie à contempler, il vira en cinq sec mes fringues et ma queue pût elle aussi prendre ses aises.

- Comme vous le savez, je n'ai pas l'habitude de voir des garçons nus, sauf sur la plage mais ce n'est pas pareil, vous êtes beaux, vous faites du sport ?

- Comme toi, vélo, mais aussi tennis, équitation et natation.

- Demain à Madrid, j'ai une piscine, on pourra nager.

Nous sommes sortis, la météo comme pour nous saluer avait convoqué une délicieuse douceur, nous avons bu notre vin en nous nous approchant d'un banc sur lequel mes deux partenaires se sont assis, je me suis agenouillé et j'ai pris leurs sexes en main, je les ai branlés en discutant, puis ne pouvant résister je les ai sucés, langoureusement, Arnaud est comme moi bien monté, vingt cm, j'ai l'habitude comme lui des gorges profondes, mais là, je me suis rendu compte que deux cm, et bien ça fait la différence... tout en suçant je levais les yeux vers mes deux lascars qui se mangeaient la bouche à qui mieux mieux tout en me prodiguant un divin massage crânien.

Après cet "effort" nos corps étaient bouillants, mais le fond de l'air frais, aussi d'un commun accord nous sommes rentrés, j'ai dégoté dans le bar de la maison une bouteille d'eau de vie, un non verre de ce breuvage fut le bienvenu, nous l'avons bu tranquillement avant de se dire qu'aller au lit serait une bonne chose.

Nous avons proposé le canapé à Elio en espérant fort ce qui arriva.

- En fait, si cela ne vous dérange pas, j'aimerais bien dormir avec vous... je suis fatigué de ma journée, et de ma soirée... et ce canapé ne m'inspire pas... et j'ai vu le king-size tout à l'heure...

D'une seule voix nous avons répondu :

- Mais bien entendu, nous n'osions pas te le proposer, le lit et immense en effet, nous ne nous gênerons pas.

Nous sommes allés nous doucher ensembles, sages, nous frottant le dos comme trois amis à la douche de la salle de sport, puis nous sommes allés nous coucher, Arnaud au centre, il a beaucoup insisté auprès de moi pour avoir cette place dans le lit quand nous sommes allés chercher une bouteille d'eau.

Elio s'est endormi comme une masse, nous nous sommes accoudés et l'avons regardé dormir, magnifique et détendu, puis nous avons éteint, un peu déçus par cette grande mais légitime fatigue.

Je suis moi aussi tombé dans les bras de Morphée assez rapidement après une pipe de Arnaud, ce garçon absolument insatiable passerait sa vie avec ma queue en bouche et possède un talent incroyable pour sa passion.

Je ne sais à quelle heure, j'ai sentis quelque chose me fourrager le fondement, une fois totalement réveillé je me rendis compte que que j'avais bien une queue en moi, des bras autour de mon corps, je fit un effort et me retournais pour voir mon Arnaud tout à son affaire, il murmura :

- Désolé, mais je n'en pouvais plus, c'était toi ou Elio, et je n'ai pas osé m'attaquer à lui sans son consentement.

- Tu as bien fait, baise-moi, j'adore quand tu me réveilles avec une de tes envies.

Malgré nos efforts pour rester silencieux, notre ami s'est réveillé, je le voyais qui regardait, je lui ai souri et lancé un regard qui disait "désolé".

il a mis sa main sur mon visage, elle est descendue, vers mon ventre vers ma queue, me caressant il m'a demandé :

- Tout va bien ? C'est bon ? Tu n'as pas mal ?

- Oh non je n'ai pas mal, et c'est très très bon.

- Je vais essayer quelque chose de nouveau pour moi, si cela ne va pas tu me diras.

Et là je le vois plonger vers ma queue, il l'a léchée puis prise en bouche, d'abord maladroitement, puis avec de plus en plus d'assurance, tenant mes couilles en main, comme un vrai pro.

J'étais aux anges ainsi utilisé, Arnaud me besognant, Elio expérimentant sur moi la fellation, j'ai littéralement explosé, un véritable séisme m'a submergé, j'ai juste eu le temps de pousser la tête de mon beau suceur afin de ne pas lui envoyer mon sperme en bouche, j'ai senti en moi les jets de Arnaud, j'ai senti jouir Elio rien qu'en me prodiguant cette pipe, les deux m'ont serré fort, quel délice.

Puis nous nous sommes allongés correctement, côte à côte. Nous nous sommes embrassés, complices, comme si l'on se connaissait depuis des lustres.

- Elio, tu es certain, coquin, que tu n'avais jamais sucé ? parce que franchement tu fais ça très bien.

- Non jamais, en fait c'est très agréable, et sentir le bien que l'on fait est très excitant, j'ai joui en te faisant du bien, mais j'aimerais bien vous prendre, on peu essayer ?

Mais ma parole, on ne le retient plus le bel hidalgo...

Tu pourras, mais là il faudrait que nous nous préparerions pour prendre la route vers chez toi, on voit plus tard ?

Ok, allons-y, je vous sauterai sur la route ou chez moi.

Suite à venir...

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Talma

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