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Chapitre -03 :
"Petit tour dans le labyrinthe du carrousel du Louvre
Morgan et moi tournons quelques minutes, mais ne croisons personne qui vaille le coup de nous arrêter.
Un homme d'une trentaine d'années, en short-jogging, nous suit. Lentement.
Il nous dépasse. Il s'assoit sur le muret et passe lentement sa main dans une jambe de son short pour se caresser le sexe, en me regardant droit dans les yeux. Ne m'intéressant pas trop, je poursuis mon chemin. Je garde néanmoins un oeil sur lui. La situation m'excite trop.
Je repasse devant lui et vois son sexe, raide, qui sort par une jambe. Il me sourit en se branlant. Je lui renvoie mon sourire. Repasse devant lui et quitte le labyrinthe.
Nous entamons un deuxième tour. Il n'y a pas plus de monde intéressant. Nous allons pour partir quand un jeune homme en costume nous croise. Il a le regard d'un gay du sud. Chaîne en or au cou. Costume flottant. Sac crocodile en bandoulière.
Je lui envoie un sourire et m'arrête derrière un buisson. Un premier homme s'arrête et s'en va lorsque je le repousse. Un second, un black obèse, s'arrête à côté de moi et commence à me caresser. Je le repousse. Il ne s'arrête pas.
Du coin de l'oeil, je vois mon Gay du sud qui m'observe. Je m'écarte de Black obèse et m'approche du jeune homme. Je me fige à deux pas de lui. Son oeil placide semble satisfait. Gay du sud caresse lentement son sexe à travers son pantalon. Je l'observe, poker facely. Il ouvre timidement sa braguette et fait apparaître un slip bleu turquoise. Il caresse son gland à travers le tissu. Son regard reste placide. J'ouvre mon pantalon et caresse mon boxer.
Morgan s'approche et met la main au paquet de Gay du sud. Ce dernier, un chewing-gum à la bouche, sourit enfin.
Un homme d'un certain âge s'approche et nous regarde, la bite à la main. Son sexe est très épais et donne plutôt envie, mais son visage sexagénaire me refroidit.
Je reste dans mon coin.
Morgan sort le sexe du caleçon de Gay du sud. Il est dur. Petit et fin. Morgan se baisse et le gobe.
De mon côté, je baisse mon boxer et sors également mon sexe. Je me branle nonchalamment.
Un instant, j'arrête ma main et la passe sur les couilles de Gay du sud. Il m'attrape la bite et la branle.
Un homme, cheveux blancs/regard jeune, se met à genou et avale mon sexe. Autour de nous, un groupe se forme et nous regarde. Un peu plus loin, j'observe un homme de mon âge se masturber derrière Morgan. Il semble beaucoup aimer. En deux coups de poignet, il jouit et disparaît.
Gay du sud glisse sa main entre ma fesse et mon boxer. Il cherche mon trou. Puis, me voyant occupé par mon suceur, il retourne sur Morgan et lui malaxe à son tour les fesses.
Je baisse les yeux et vois Cheveux blancs aux anges. Mon sexe apparaît et disparaît au fond de sa bouche. Il glisse comme il faut sa langue entre mon gland et mon prépuce, quand celui-ci se referme dans sa bouche. Il retire ma bite de sa bouche, la branle, en caressant mon frein de sa douce langue.
Le monde se resserre autour de nous, mais seule sa bouche importe.
Je ferme les yeux et me laisse entièrement emporter.
Le sperme monte.
Je gémis silencieusement de plaisir.
Quand je m'apprête à jouir, je retire mon sexe de sa bouche pour lui faire comprendre. Il lève les yeux, totalement accro, marmonne pour me faire comprendre qu'il me veut dans sa bouche. Je me laisse alors totalement aller et entièrement avaler. Lorsque je jouis, il prend tout en bouche en geignant de bonheur.
Je rouvre les yeux. Il sort son sexe de son pantalon et se branle. En deux secondes, il jouit sur le sol.
Il lâche mon sexe. Je prends une dernière fois mon pied, alors que je sens ses lèvres sur mon gland.
Derrière lui, Gay du sud est passé dans le dos de Morgan. Il frotte son sexe sur les fesses de Morgan.
Je reste un instant à les observer.
Mon suceur s'est rhabillé. Il disparaît. Satisfait.
Moi je reste face à Morgan. J'attrape son sexe et le branle en même temps que s'excite Gay du sud derrière lui. D'autres mains se joignent à la mienne. Je sens son sperme monter. Ses yeux se fermer. Quand la jouissance approche, il retire nos mains.
Soudain, une sirène retentit. Toutes les braguettes se referment en un seul zip et tout le monde s'éparpille.
Nous sortons du labyrinthe et croisons au loin Cheveux blancs, assis sur le muret du métro. Il crache par terre. Mon sperme probablement. Lorsqu'il lève les yeux, il nous repère et nous envoie un signe de tête."
Stéphane Juin
stephanejuin06@gmail.com
Autres histoires de l'auteur : La racaille des Buttes Chaumont | Vendredi soir aux Tuileries