Premier épisode
Épisode précédent
En me levant le lendemain matin, j'avais un message de mon maître sur le téléphone : une femelle soumise doit toujours être en tenue pour honorer son maître. Rends-toi à cette adresse, tu verras mon ami Roger qui sait ce que je veux, tu me téléphones quand tu es devant lui. Tu te présenteras à moi ce soir.
Normalement, j'aurais du travailler ce jour - là, mais, voulant lui prouver ma soumission, je pris l'après-midi en RTT et entrais à l'adresse indiquée, qui n'était en fait un sex-shop.
Un seul homme était présent derrière le comptoir
- Bonjour, vous êtes monsieur Roger ? Je viens de la part de monsieur Robert.
Il leva les yeux sur moi, des yeux de pervers
- Monsieur Robert ? Ce ne serait pas plutôt Maître Robert ?
Mon maitre l'avait visiblement mis au courant.
- oui monsieur, maitre Robert, dis-je dans un souffle. Et j" e dois l'appeler.
- eh bien appelle, salope.
J'ignorais l'insulte et composais le numéro.
- allo !
- bonjour maître, c'est Aline.
- Aline qui ?
- Aline, votre salope, votre femelle soumise, maître.
J'avais prononcé cette phrase le plus doucement pour essayer d'être discrète devant monsieur Roger, mais ce fut peine perdue, car il était venu derrière moi et me pelotait le cul sans vergogne pendant que mon maître me donnait ses instructions.
- Tu suis Roger, tu fais ce qu'il te demande et tu le paies avec ta bouche et ton cul, salope ! Qu'il ne me dise pas qu'il a fait une mauvaise affaire ou tu seras punie !
- bien maitre, dis-je clairement sous le regard lubrique de monsieur Roger.
- Allez viens, cochonne, on va t'habiller en pute !
Il m'amena au fond du magasin ou il avait préparé un échantillonnage de sous-vêtements. Je dus admettre intérieurement que cela m'excitait de devoir me travestir pour être encore plus salope.
- Commence par enfiler ces bas et ce porte-jarretelle.
- il n'y a pas de cabine ? ça le fit ricaner
- Pourquoi faire, salope, de toute façon, à partir de maintenant et comme je connais Robert, tu vas être plus souvent à poil qu'habillée : et devant tout le monde !
Encore une perspective que je n'avais pas prévue ; je craignais un peu, bien sûr, mais en même temps cela m'excitait et je ne pouvais m'empêcher de bander. De son côté, monsieur Roger avait sorti sa bite et se branlait doucement en me matant faire mon strep-tease à l'envers. Par-dessus le PJ ? J'enfilais un string, une nuisette transparente et une paire d'escarpins.
- Pas mal, dit monsieur Roger, une vraie pute. Il me fit aller et venir devant lui et m'exhiber sous tous les angles sans bien sûr cesser de me tripoter.
- Salope, regarde comme tu me fais bander, cochonne ! Va falloir payer toutes ces frusques comme une bonne pute que tu es ! Et il me roula une pelle profonde tout en me malaxant les couilles.
- Donne-moi ta langue, salope, ou je t'arrache les couilles.
Il n'était franchement pas mon genre, mais je me souvins des ordres de mon maitre. Je devais obéir. Nos langues se mêlèrent pendant que ses grosses mains empoignaient mes fesses et ses doigts s'égaraient sur mon trou.
- Monte sur cette table salope ! à genoux cuisses écartées !
Ainsi exhibé, je lui offrais une vue panoramique sur mon cul. IL me prit les fesses à pleine main, les écarta et commença à me lécher la raie et à s'attarder son mon anus. J'étais trop excité pour résister longtemps et me mit à l'encourager.
- Oh oui, c'est bon, j'aime, ah, ah, c'est bon, encore !
- Il est bon, ton cul, cochonne, je vais me régaler de te niquer, salope !
- Oh oui, monsieur Roger, niquez-moi ! pitié, j'ai trop envie ! Oui, oui !
- Doucement salope ! pour l'instant, tu as droit que le bout, comme ça !
Mais ce n'était pas assez pour moi, et je quémandais davantage.
- S'il vous plait, pitié, défoncez-moi ! Mettez-moi tout ! Pitié ! je suis une salope ! pitié ! j'en veux plein mon cul ! pitié !
Dans mon délire, je n'avais pas entendu entrer un client qui, attiré par mes cris, profitait maintenant du spectacle en se branlant ostensiblement.
Loin de se démonter, monsieur Roger l'invita.
- Approchez monsieur, cette pute est assez salope pour nous satisfaire tous les deux.
IL ne se fit pas prier davantage et présenta sa bite devant mon visage en disant :
- Tu l'encules trop bien, cette salope, je vais prendre l'autre trou ; allez suce putasse !
Monsieur Roger me bourrina le cul pendant que le client s'amusait à enfoncer sa bite au plus profond de la bouche, sans se soucier de mes étouffements : "Elle m'avale toute la bite, la salope, oh putain, elle va me faire jouis, cette pute !" Il se branla rapidement devant ma figure et gicla une bonne dose de foutre sur mon visage. En même temps, je sentis monsieur Roger se tendre et déverser dans mon cul sa jouissance.
- c'est un bon sac à foutre çà ! dit monsieur Roger au client qui approuva. Pour ma part, je n'avais pas joui et j'étais trop excité pour en rester là.
- Monsieur Roger, je vous en prie, j'ai le cul en feu ! J'ai trop envie encore ! Faites-moi jouir ! pitié !
- Tu es une salope, hein ?
- Oui, oui, monsieur Roger, je suis une salope ! faites-moi jouir ! j'ai le feu au cul !
- Je te permets de te branler devant nous, salope ! Vas-y, montre comme tu es chienne !
Et pendant que je me branlais, le client m'introduisit deux doigts dans le cul et me travailla la prostate jusqu'à ce que je jute en gueulant.
Épuisée, mais finalement satisfaite de mon après-midi, je me rhabillais sous les caresses lubriques du client. En le regardant mieux, je m'aperçus qu'il n'était vraiment pas beau, la soixantaine bien tassée, du ventre bedonnant et un visage disgracieux. Pourtant je l'avais sucé, pris son sperme sur le visage, et jouis avec ses doigts dans mon cul. J'étais une salope et je l'assumais.
Avant de partir, monsieur Roger me remit un sac contenant mes nouveaux habits en me disant
- Tiens, ma cochonne, j'ai rajouté un petit cadeau pour mon copain Robert, tu le lui donneras de ma part. Quant à toi, tu viens quand tu veux, il y aura toujours ici une bonne bite pour te ramoner, et une paire de couilles bien pleines pour te remplir, salope !
Je rentrais vite pour me nettoyer le cul, car la soirée risquait encore d'être agitée..
À suivre ??
Aline
alainsoum34@gmail.com
Autres histoires de l'auteur :