J'ai 33 ans, pas trop sportif, 1m75 pou 75 kg. J'aime bien le vélo et je pratique régulièrement le VTT depuis longtemps. Difficile à faire sur Paris, j'ai déménagé dans une nouvelle région plus au sud, suite à une séparation difficile et un changement de boulot dans le même temps (plus facile, car je ne supportais plus du tout mon patron). Ma copine partie et mon patron envoyé paitre, j'avais décidé trouvé rapidement un nouveau job et j'ai pu m'installer là où je pourrais faire du sport, oublier ma copine et avoir une vie plus sympa.
Mes sorties en forêt se font sur les mêmes parcours. Je découvre la région et je n'ai pas envie de me perdre au bout de 15 jours. Au même endroit, je trouvais régulièrement des voitures avec des hommes qui lisent le journal, se promènent sur un petit périmètre ou bien ne semblent pas faire autre chose qu'attendre. En discutant avec mes nouveaux collègues, j'appris incidemment que la zone était réputée pour être un coin de rencontre gay. J'avais évoqué mon loisir et la zone de pratique, et en rigolant, on m'avait fait un tableau de cette zone réputée me conseillant de ne pas m'arrêter si je tenais à mes fesses.
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Je gardais cette information en tête lors de ma sortie suivante. Je n'avais pas éjaculé depuis des semaines. La masturbation ne me répugne pas, mais je préfère la chaleur d'un corps, chose commune chez les hommes j'en conviens. Mais là, ça commençait sérieusement à me démanger. J'avais lu sur le net que les hommes sucent mieux que les filles. Cette phrase résonnait en moi de plus en plus souvent. Je me douchais soigneusement avant d'enfourcher mon vélo. Je me dirigeais vers ce lieu de débauche présumée.
Arrivé sur place (j'avais été à faible allure pour ne pas trop transpirer), deux voitures étaient stationnées. Un homme attendait à l'entrée d'un petit chemin. Je m'y engageais et continuais jusqu'à une petite clairière. L'homme m'avait suivi et arrivait peu après. Je descendais de vélo et fis mine de boire. Sans parler, il me mit la main à l'entrejambe. L'effet fut spéculaire, je bandais aussitôt à travers mon cycliste.
J'ai toujours eu des désirs homosexuels, mais je les ai refoulés. J'ai toujours eu un bon copain que j'admirais : mes rêves étaient parfois faits de ce jeune homme comme moi, ou de plusieurs parfois, qui m'embrassaient, me suçaient ou me léchaient le cul avant de me prendre. Tout cela avait l'air vrai, mais, au réveil, j'étais encore puceau et hétéro aux yeux du monde. L'homme que j'avais en face de moi était bien vrai. Il me déshabilla, toujours sans un mot. Il devait avoir 40 ou 45 ans, un physique banal. Il branlait sa petite queue de 14 cm, tout en passant sa langue sur mon urètre, léchant le gland, la hampe, les bourses. Il s'était mis à genoux et me pompait goulument, prenant un plaisir que je devinais à ses petits grognements.. " Mon dieu que les hommes sucent bien .... " me dis-je.
J'avais pris l'habitude de prévenir avant d'éjaculer, ce que je fis. Mais il ne se détourna pas en pris tout mon foutre dans sa bouche, prenant le soin de bien nettoyer la dernière goutte.
Il repartit dans le silence : ce fut ça qui m'a marqué, l'absence totale de paroles alors que cet homme avait léché mon intimité, bu mon jus, sans rien demander en retour.
En me retournant, je vis le propriétaire de la deuxième voiture qui avait vu la scène et se branlait. J'avais soif de reproduire ce que j'avais vécu, mais ce serait moi qui aurais du jus dans la bouche : je m'approchais.... Serais-je capable de donner du plaisir comme j'en avais reçu un peu plus tôt ?
Femelle
ze.prince@yahoo.fr
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