À 18 ans, j'avais un boulot d'été comme garçon à tout faire dans un hôtel. Je faisais un peu de jardinage, un peu d'entretien basique, j'aidais les clients à porter leurs bagages.
J'étais assez fin, bronzé, mais très timide et encore puceau. En fin de journée, j'aidais à monter ses affaires un homme de ma taille, dans les 35/ans, avec beaucoup de prestance.
J'étais impressionné par son assurance, son charisme. Il devait avoir de l'argent et une bonne situation, mais il avait dû venir dans cet hôtel, car les autres étaient pleins.
J'avais vu son regard sur mes fesses lorsque je montais l'escalier devant lui. J'étais gêné, mais aussi excité par l'idée de plaire à cet homme dont le charme me troublait. Je bandais et je pense après cette histoire qu'il s'en était aperçu.
Lorsqu'il fut installé, il sortit deux boissons du mini bar et il commença à me parler après m'en avoir collé une d'autorité dans les mains. On s'était assis sur son lit. Il voulait savoir ce qu'il y avait à faire dans le coin. Je n'avais pas top de suggestions. On avait parlé de mon job, de la région, et il revenait alors qur les possibilités qu'offrait la ville. " tu sors où dans le coin avec ta copine ? " Je répondais que je n'en avais pas. " ton copain alors ? ". J'étais rouge de honte face à la question trop directe : " je n'en ai pas non plus ".
" Je suis taquin avec toi ". Quel sourire ! Il m'a dit qu'il était bi. Il m'a demandé si j'avais déjà couché avec un homme ou une fille. Je le trouvais sacrément direct, mais je répondais la vérité : non, jamais.
" T'es trop mignon " Sans que j'aie eu le temps de réfléchir, il m'embrassait. On a commencé à se tripoter. J'imagine qu'une partie de moi était apeurée, une autre trop excitée.
Il m'a allongé sur le lit tout en embrassant. Je me déshabillais comme je pouvais et j'étais rapidement nu alors que lui restait habillé. Il rit de mon empressement : " tout doux, je vais m'occuper de toi, mais on a le temps ".
Il se déshabilla et m'amena sous la douche. Là il m'a massé, lavé, caressé tandis que lui aussi faisait sa toilette. J'ai aimé qu'il me prenne en main comme ça. Il avait des poils sur le torse et un tout petit peu de ventre, je trouvais " mon homme " terriblement sexy.
On est retournés sur le lit : après quelques embrassades, il m'a masturbé le sexe puis m'a littéralement gobé mon membre avec sa bouche. Il faisait des aller-retour en aspirant un peu sur le retour : c'était divin. Je tentais peu après de lui rendre la pareille, mais je me doute que je n'avais pas l'expérience suffisante pour lui faire autant de bien.
Il avait sorti du gel d'on ne sait où et commençait à me masser le trou alors que je le pompais maladroitement. Je découvrais le plaisir de se faire doigter.
Son sexe était normal, pas trop fin pas trop long, mais très dur. Il me fit me mettre sur le dos et commença à approcher son gland de mon trou. Tout au long de la pénétration, il fit très attention à mes réactions, reculant parfois, faisant de très petits aller-retour lents. Je n'eus quasiment aucune douleur. Au bout de plusieurs minutes, je lui fis signe d'y aller avec plus de rythme. Il me souriait en me faisant l'amour. Je me donnais à cet homme qui me donnait du plaisir.
J'avais eu le temps d'apprécier les sensations que me donnait ma rondelle, l'excitation de sentir son gland masser ma prostate, et plus tard le sentir entier en moi.
Il remettait régulièrement du gel et me prit en plusieurs positions. Il finit par éjaculer en moi alors que j'étais sur le ventre, écrasé par tout son poids, gémissant dans l'oreiller pour ne pas alerter les voisins. Je me sentais rempli par son sexe, j'avais senti ses jets en moi au travers d'une chaleur diffuse dans mon cul et j'étais humide. Il avait étouffé un râle. Un peu de sperme coulait sur mes bourses quand il s'est retiré. Il me suça pour me faire jouir, une serviette sous les fesses pour éviter de salir les draps avec sa semence qui coulait doucement de moi. Il prit mon sperme en bouche et m'embrassa ensuite. Nous partagions ce liquide salé que j'ai appris à apprécier depuis.
On a passé encore un peu de temps ensemble et puis j'ai dû rentrer chez moi.
Le lendemain, il était reparti quand je reprenais mon service. Je ne connaissais pas son prénom.
Cet été-là, d'autres hommes seuls sont passés dans ma vie, dans mes fesses et dans ma bouche, mais aucun qui ait eu son charisme, sa beauté et sa délicatesse.
Femelle
ze.prince@yahoo.fr
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