Sauna, mon premier dominant

J'avais décidé de passer un peu de temps dans un sauna que je fréquente de temps en temps. Le ciel était gris, l'après-midi libre, il faisait froid et surtout j'avais envie de baiser ou de me faire baiser. J'achetais en route du poppers dans un sexshop. J'arrivais donc assez tôt dans l'après-midi. Je me faisais sucer dans les backroom, le gars était chaud. Il alternait entre sucer mon sexe et mon cul, mes seins. Je prenais du poppers de temps en temps. Sa langue allait et venait toujours dans mon cul, parfois sur mon sexe, mes seins. J'étais de plus en plus chaud, car le gars plutôt doué avec sa langue. Sans que je ne lui aie rien fait en retour, il commençait à me limer le cul.

Son sexe était long, mais fin. Il me donnait du plaisir et je commençais à gémir bien fort. Il finissait son affaire en moi, et je remarquais avec gratitude qu'il avait enfilé un préservatif sans que je m'en sois apperçu. Pas le temps de prendre son numéro qu'il devait être déjà parti. J'aurai bien demandé un second round le temps qu'il récupère. Humide de sueur, je prends une douche, puis je me remettais à disposition des mecs puisque il semblait que j'avais de la chance de tomber sur un nid d'actifs. Je retourne dans la backroom. Un peu de gel sur mon cul en prévision d'un deuxième round. Je me mets en position de soumission, les mains collées contre le mur, le cul offert. Des mains se promènent sur mes fesses, tâtent mon trou ouvert, mais pas grand-chose ne se passe.

JE veux une bite dans mon cul ! Je vois qu'il y a beaucoup plus de gars qu'avant. Un type me prend le visage pour la plaquer contre son sexe : je suce un sexe de bon diamètre, plus large que le gars d'avant. Après quelques aller-retour, le gars me dit de le suivre dans une cabine. Il a l (air déjà bien chaud, j'ai pu gouter un peu de liquide séminal alors que je le mettais en bouche pour la première fois. Il me force à m'assoir, me plaque son sexe contre la bouche. J'étouffe un peu, il se retire et beaucoup de bave sort de ma bouche. Je suis un peu étonné de tant de brutalité, mais si on sait tous pourquoi on est là. Il m'oblige à le sucer. Je remarque qu'il y a une fenêtre et qu'un gars nous observe. Ça m'exite.

Mon nouvel amant me retourne et me prend violemment. Des douleurs et du plaisir se mêlent dans mon cul. Il jouit, et je vois que la capote est bien remplie, ce qui me satisfait. Au moment de sortir, alors que mon deuxième amant venait de partir et que j'allais faire de même, le voyeur me repousse sur le lit de la cabine. " Pas si vite toi ". Je vois un sexe énorme en érection. Il avait dû voir toute la scène. " t'es une salope ". Il n'y a pas de question, juste une affirmation. Curieux de gouter au plaisir offert, je rentre dans son jeu. " À quatre pattes le cul offert " : je m'exécute. Il me lime le cul avec sa langue, puis ses doigts. Il met du gel régulièrement ce qui rend l'introduction agréable. Il prend son temps. Combien en a t-il rentré ? 2, 3, 4, je ne sais pas, mais j'espère que mon cul sera prêt à le recevoir. Il me tartine à nouveau de gel. J'ai confiance, car j'ai eu une dilatation progressive. Je sens quand même son gland passer puis son sexe. " ça va salope ? Tu dis rien .... " " oui ça va ".

En fait j'ai un peu mal, car je n'ai jamais eu un calibre pareil dans le cul. Je prends dose sur dose de poppers, je suis étourdi. il me bourine le cul, mais je n'ai plus de douleur. Il parle beaucoup : " chienne ", " salope ", " femelle ", " tu vas prendre mon foutre ". Il a raison, mon cul est une fente de femme offerte à ses assauts. Humide, chaude, et je couine avec une voix aiguë. Il a fait de moi une bonne lope offerte. Je me sens femme à son contact. Il me claque les fesses et m'insulte si je crie. " ta gueule femelle, prends ce que je te donne et ce que tu mérites ". Je me sens de plus en plus " femme " au fur et à mesure de ses assauts. J'aime être pénétré(e). J'aime servir son plaisir. Il est dominant et me fait changer de position, le lécher, le sucer. Puis il s'introduit de nouveau dans ce qui est devenu ma chatte.

Après quelques minutes, qui furent des heures, je l'étends râler. Il me claque de nouveau le cul au moment de sortir de mon trou. " Bonne chienne .... ". Le jus sort de mon trou en même temps que son sexe. Je n'ai pas eu le temps de demander son numéro.... et je n'ai pas joui. Je rentre chez, et quelques mouvements me libèrent.... J'ai de nouveau l'envie d'être dominé.