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HISTOIRE

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Exhibition et domination

J'attends sur un parking de co-voiturage que Ben vienne me chercher. Je suis appuyé sur le capot de ma voiture, les yeux rivés sur mon tél. Moi, c'est Manu, 32 a, brun à la peau très claire, peu poilu, 1m75 75 kg, pas très athlétique, pas moche non plus, une bonne gueule de pute.

Ben, c'est un peu mon maître. Il n'a que 30a et il est tout testostérone : 1m85, 85 kg, musclé avec juste ce qu'il faut de gras pour faire encore plus viril, bronzé, bien poilu, il a des origines marseillaises que je kiffe. Il est aussi vicieux que moi, c'est dire, et on a des trips très complémentaires.

Je reçois soudain un message de sa part : " j'arrive dans 5 minutes. Fous-toi à oilpé la pute, tes fringues dans ta caisse, tu gardes juste tes chaussures et tes clés. Tu m'attends à genoux près des pancartes. "

Putain. Ça va être chaud, je bande déjà grave. J'observe le parking : 4 voitures garées en plus de la mienne, c'est une aire de covoiturage. Il fait nuit, mais de nombreux phares passent sur la route juste à côté. La pancarte est sous un réverbère, à l'entrée du parking. Pas question de désobéir à Ben, mais je flippe quand même un max. J'obéis : strip rapide, fringues dans ma Clio. Je ferme à clé. Je marche jusqu'à l'entrée et m'agenouille, puis j'attends. Je compte huit voitures et trois camions qui passent sur la route. Deux routiers me klaxonnent d'ailleurs, preuve que je suis complètement visible. J'ai la trouille et je suis chaud comme la braise, ma queue pulse, il ne faudrait pas grand-chose pour que je gicle.

Une voiture ralentit. Ben ? Pas Ben ? La caisse tourne, s'arrête, une vitre descend. C'est bien lui, mon mâle alpha.
- Tes clés, la pute.
Je lui tends mes clés de bagnole, la vitre se referme, la bagnole repart. Il va au fond du parking, je marche derrière la voiture. Au bout, il fait demi-tour et... repart. Je suis seul, à poils, sans aucun accès à mes fringues. Je balise comme jamais, quel stress ! Ma queue mouille, c'est ouf. Je suis des yeux les feux rouges de sa voiture. Il freine à environ 200 mètres et se gare le long de la route, sur le bas-côté. Un coup de warning, je comprends le message : c'est parti, je marche pour le rejoindre, le long de la route. Trois voitures me doublent, un camion arrive en face et me fait des appels de phare. Je bande à mort. Arrivé à la voiture, je l'entends se déverrouiller et je me mets côté passager. Ben, derrière le volant, a ouvert son jean : sa queue raide dépasse et je ne perds pas de temps. Dès que je suis installé, je me mets à le sucer. Il me traite de tous les noms, m'appuie sur la tête. J'adore ça.

Nous roulons une vingtaine de minutes, jusqu'à un hôtel un peu miteux, en bord de route. Trois étages, toutes les chambres donnent sur l'extérieur.
- Descends. Tu va à la chambre 123 et tu m'attends à genoux devant la porte.
Je flippe, mon coeur bat la chamade, mais j'obéis après avoir pris une grande inspiration. Lui repart direct pour se garer. Le parking est à moitié plein, pas mal de camionnettes du Bâtiment, ça m'excite autant que ça m'effraie. Je vais aux escaliers en bois dont la rambarde ajourée n'offre guère de protection. Premier étage, je vois un panneau qui indique la direction de la chambre 123 : j'y vais direct en espérant ne croiser personne. Ce sera le cas : quelques minutes plus tard, Ben arrive, sans se presser. Il a la carte d'entrée de la chambre et porte juste un sac à dos. À peine la porte ouverte :
- À quatre pattes sur le lit, bâtard.
Je m'exécute. Bam ! Claque sur mon cul.
- Ecarte bien, salope.

Deux doigts baveux rentrent direct. Il fouille, titille ma prostate. Ma queue frémit, je suis à deux doigts de la jute. Il ouvre son sac. Un troisième doigt, puis du gel et un gode de bonne taille. Il me lime la chatte avec vigueur.
- Cette nuit, t'auras ma main en entier.
Putain, le fist m'excite et me fait flipper. Je n'ai jamais réussi à prendre sa main, pas faute d'avoir essayé. Il remet du gel, puis un gode plus gros. Ça reste supportable. De nouveau ses doigts, puis il marque une pause. Je regarde ce qu'il fait : il est sur son téléphone. J'attends. Sonnerie de notifications, mail puis sms je dirais. Retour à ses doigts, quatre d'un coup. Je gémis comme un chienne, ma queue mouille, ma prostate kiffe.
Pause, j'entends son jean s'ouvrir et Ben me retourne pour que je lui bouffe la queue. Elle est belle, pas énorme, mais de bonne taille quand même, bien raide et baveuse, non circoncise, poilue. Il n'attend pas beaucoup pour m'appuyer sur la tête et forcer les gorges profondes. Je m'étouffe, il s'en fout. Il force. Son gland tape bien au fond, je me branle. Bam ! Claque sur la gueule et il fouette ma main.
- Interdit de te branler.
Je réessaie plusieurs fois, peine perdue. Ça me chauffe encore plus. Il me retourne de nouveau, me doigte, puis de nouvelles gorges profondes. Soudain, son téléphone sonne.
- Ouais, cool. Chambre 123. Vas-y monte, je te paye en espèces et y a même un supplément si t'es motive.
Je balise. Il s'est fait livrer quelque chose, surement à bouffer. Ben me redresse. Il a refermé son fut et me tends un billet de 20 €. Quelqu'un frappe à la porte.
- Va ouvrir.
J'obéis, le coeur battant. Le livreur est un rebeu - classique - et il bug en me voyant.
- Putain, gros pédé. Vas-y prends ta pizza et je me casse.
Je la prends, la pose sur le bureau près de la porte, puis lui donne les 20 €. Ben éclate de rire et lui sort :
- Bah tu veux pas un pourboire ?
- Nan, c'est bon, j'aime pas les pédés.
Et il se casse. Je me sens humilié comme pas possible ! Retour sur le lit.

J'attends pendant que Ben mange sa pizza. Il est concentré sur son tél. J'attends avec impatience qu'il s'occupe de nouveau de moi. Quand il a fini de manger, il ré-attaque dur. Quatre doigts, puis un plug. Énorme. Au moins 7 cm de diamètre, je gueule. Ben me met alors sous le nom une bouteille magique. Le poppers me rend plus lope que jamais, mon cul s'ouvre. Il pousse, le plug rentre non sans me faire gueuler. Il me laisse alors en plan et retourne sur son tél. J'ai la gueule contre le matelas, le cul en l'air, bien rempli. Je cherche à me branler, mais une beigne m'en dissuade. Ma chatte pulse autour du plug, ça en devient gênant. Mail, sms. Puis bam ! Claque sur le cul et il m'arrache le plug. Je gueule, mais il le remet d'un coup. Poppers. Je plane, bien gazé. Ben fait des allers et retours, il ouvre bien ma chatte. Un peu de suce, puis ses doigts. Puis retour au plug qu'il remplace par un gode énorme : 25cm de long par 7 cm de large. Certains croient que ce n'est pas grand-chose. Soit ils sont experts en fist - il y en a - soit ils sont irréalistes sur ce qu'un cul " normal " peut encaisser. Le gode rentre, pousse. Il arrive en butée à mi-longueur. Barrière du deuxième sphincter. Ben pousse un peu, je gueule. C'est trop gros. Ça ne passera pas. Poppers. Re poppers. Re re poppers. Ben me force à sniffer. Je m'étale la gueule sur le lit tandis qu'il pousse, doucement mais fermement. Je sens mon cul qui lâche, le sextoy se fraye un chemin. C'est intense comme sensation. Ma main file sur ma queue. Premier effet kiss cool : elle est prise d'un spasme qui fait serrer mon cul. Sensation dingue, le gode paraît encore plus énorme, c'est violent. Deuxième effet kiss cool : grosse claque sur le cul. Je gémis en continu.

Soudain, sonnerie de téléphone. Pour ma part, je suis dans les vapes, entre le gode et le poppers. Surtout le poppers, surement. Ben me laisse, gode enfoncé peut-être aux deux tiers. Suffisamment pour qu'il ne ressorte pas tout seul.
- Chambre 123. Attends-toi à une surprise.
La porte s'ouvre et j'entends un grand éclat de rire.
- C'est quoi ça ?
Accent de rebeu, j'adore, ma queue a un spasme, mon cul se serre, je gémis de douleur et de plaisir mêlés.
- Une lope exhib. Une bonne grosse chienne.
- Putain le bâtard ! C'est quoi dans son cul ?
- Un gode. 25 par 7.
- Pédéééééé ? Je peux faire une tof ?
- Vas-y. Tu peux même jouer avec sa chatte.
- Je suis pas un dep moi.
Un flash. Le gars semble hésitant. Une main bouge le gode, le tire.
- Putain, c'est énorme, je pensais pas que ça pouvait rentrer dans un cul.
- Il est pas encore rentré en entier, mais si tu le sens, fais toi plaiz.
Ben, en disant ça, s'agenouille sur le lit devant moi et il m'attrape les mains qu'il bloque dans mon dos. Je balise. Le gode n'a jamais été au fond, et là, je suis incapable de résister.
- Non, non, Ben, c'est trop gros, il va me faire mal.
- Ta gueule, répond-il en me foutant une calotte derrière le crâne.
Le gode sort et re rentre. Plusieurs fois, sans dépasser le second sphincter, interne.
- Ça bloque, je ne peux pas aller plus loin, je suis au fond.
- Non, t'inquiètes, je vais la gazer au poppers et t'as juste à pousser fort.
Et Ben me fout le poppers sous le nez. Une, deux, trois, quatre inspi. Le gode pousse, le gars force. Je veux le calmer d'une main, mais Ben me bloque. Cinq inspi. Six, Sept. J'ai la tête qui tourne. Le livreur a dépassé mon sphincter interne et il s'exclame :
- Wesh, c'est passé, délire.
Ben me colle la bouteille sous le nez et sort :
- Vas-y, pousse un grand coup et va au fond.
Le rebeu ne se fait pas prier. Je gueule, je me débats. Claques sur le cul. La poigne de Ben sur mes poignets est douloureuse. Mais le gode rentre.
- Rho la tepu, elle l'a pris en entier. C'est ouf.
Bruit d'appareil photo. Ben ajoute :
- T'as la gaule, mec. Si tu veux, elle te vide, c'est gratis.
Le gars hésite puis finit par dire Ok. Ben laisse sa place. Je me redresse un peu, découvre un beau rebeu, en jog et t-shirt, bonne gueule de mâle de 20-25 ans.
- J'ai pas rasé, c'est pas grave ?
- T'es con, réplique Ben, on s'en branle de ce qu'elle pense.

Le rebeu sort sa queue du jog. Bien raide, légèrement courbée vers le bas, circoncise bien sûr. Taille normale, poilue et qui mouille déjà bien. Je gobe, le gars va direct en gorge profonde. Ben tapotte le gode, toujours au fond. Ça me déclenche des décharges électriques, ma queue tressaute. Deux mains sur ma tête, le livreur me défonce la tronche. J'ai un haut-le-coeur, du coup, mon cul se contracte et repousse le sex toy. Ben n'attendait que ça : il me l'enfonce de plus belle, je pousse un hurlement assourdi par la queue dans ma bouche.
Ce traitement ne dure pas longtemps : comme trop de mecs en général, les rebeus hétéros en particulier, c'est un précoce.
- Je peux juter où ?
- Où tu veux mec.
Il repousse ma gueule et m'ordonne de lécher ses couilles poilues. Ça sent la sueur du mâle qui a bien bossé. Je lèche, il gémit. Un jet de sperme atterrit sur mon nez. Puis il vise ma langue et le reste va dans ma bouche. Pas beaucoup de goût. Je fais rouler sa jute sur ma langue, bouche ouverte, pour lui montrer ma soumission. Son regard noir croise le mien, puis il le détourne, gêné. Ben le paye en CB et le gars ne traîne pas. Je me sens pute, j'ai grave envie de me toucher la queue.
- Redresse-toi, tourne-toi et gode-toi bien.
J'obtempère.

Ben est sur son tél., il écrit visiblement des messages. Il est toujours habillé, jean et débardeur. Je me branle la chatte avec le gode, il me dit d'y aller plus fort. Je mate ses bras, musclés et poilus. Il le voit, lève le bras gauche, main derrière sa tête, et il me donne son dessous de bras à lécher. J'adore ça. Bonne odeur de mâle avec un relent de gel douche. J'aperçois qu'il est sur une appli de rencontre hétéro.
Il range son tél., attrape la pizza qui est restée sur le bureau et m'ordonne de me branler dessus. Je jouis en un instant et arrose copieusement ma pizza. Bien entendu, il me la donne à manger en continuant à branler ma chatte. Je fatigue, l'excitation retombe. Il le sait, c'est son vice : me pousser à bout même après que j'ai joui.
- Faut que t'ailles à la voiture, chercher mon deuxième sac à dos.
Mes yeux s'exorbitent. Excité, je suis la pire des chiennes exhib, mais là...
- Allez !
Je sors le gode et le pose sur le lit, avant de me redresser.
- Ben, je suis pas sûr ?
- Ta gueule. Grouille-toi. Il est soit sur la banquette arrière, soit dans le coffre.
Je capitule et lui demande les clés.
- Je vais ouvrir d'ici.

Le salaud me pousse alors dehors. Je me retrouve à oilpé, sur la passerelle extérieure qui dessert toutes les chambres, un étage au-dessus du parking. Les lumières sont vives, tout passant ne peut que me voir dans toute ma nudité forcée. Je vais jusqu'à l'escalier, le descends. La voiture de Ben clignote : il est garé au fond du parking. J'avance un peu, regarde l'immeuble de 3 étages derrière moi. Au troisième, je distingue une silhouette adossée à la rambarde, en train de cloper. Dois-je attendre ? Y aller quand même ? Le stress me fait circuler le sang. La voiture clignote de nouveau, je comprends le message. J'y vais. Je regarde sur le siège arrière. Rien. Je regarde dans le coffre. Rien. Je rouvre les portières, cherche à nouveau. Dans l'obscurité du parking, c'est pas facile. Le temps passe, mon stress augmente. Non, je ne trouve rien. Soudain, les phares d'une camionnette s'allument. Je me réfugie en urgence dans la voiture de Ben. Les portières se verrouillent, puis se déverrouillent. Le plafonnier s'allume. Salaud de Ben. Je le vois, à la rambarde devant notre chambre. Je confirme, à l'étage, un gars fume en matant le parking. Les phares de la camionnette s'éteignent, une silhouette sort du véhicule. Je ne distingue pas bien, mais ce n'est pas grave : il vient vers moi. Je balise. Il a 25 ans, peut-être 30. Brun barbu, il semble costaud et pas commode. Pas beau, mais sexy.
Il toque à la fenêtre et je l'entends dire :
- Tu fais quoi là ? Pourquoi t'es à oilpé ?
Je ne sais pas quoi faire. Le gars ouvre la portière et m'ordonne de sortir. J'obéis, les mains devant ma bite qui n'en mène pas large.
- Je me suis retrouvé enfermé dehors et...
La voiture clignote, les portes se verrouillent.
- Mon cul. T'es un gros pédé, toi.
Là, je flippe grave. Il est vraiment costaud, il fait une tête de plus que moi et dans le noir, je ne vois pas vraiment son visage, mais je l'imagine vénère. Il fait mine de me cogner, je me recroqueville contre la voiture, les yeux fermés. Il se contente de me cracher à la gueule et se casse. Je le laisse s'éloigner avant de retourner à la chambre.

De retour devant la porte, Ben m'interdit de rentrer.

- T'es attendu. Chambre 304.

J'en peux plus, j'essaie de négocier, mais Ben me ferme la porte au nez. Pas le choix : je montre au troisième et cherche la 304. Devant la porte, j'entends un bruit de fond, celui d'une meuf qui gueule pendant qu'elle se fait baiser. Ça sent le porno hétéro. Je toque.

Le mec qui m'a craché à la gueule sur le parking vient m'ouvrir : il est en boxer, très bien foutu, il lui manque juste un poil de gras pour être au top. Un triangle de poils entre ses pecs descend en filet noir dans son calbut dont la bosse est prometteuse. Derrière, sur un lit double, un autre mec a la main dans son boxer. Il est plus âgé, franchement pas beau.

Le mec devant moi me scrute de la tête aux pieds, puis avec un rictus de mépris, m'attrape par les cheveux, me tire à l'intérieur et me fout à genoux. Aussitôt, sa queue envahit ma bouche tandis qu'il mate une salope se faire tirer par un groupe de mecs sur la petit télé de l'hôtel.

L'autre ouvrier se lève et, à côté de son collègue, sort sa queue aussi et me bifle, puis il prend la place. Il est moche et sa queue n'est pas super grosse. Ils alternent un moment, en changeant régulièrement de film.

Un téléphone sonne, et le plus jeune se marre. Ils remballent leur queue et le jeune me dit :

- Tu descends sur le parking, y a un livreur, tu vas chercher nos pizzas.

En un instant, je me retrouve de nouveau sur la coursive, toujours à poils. Je descends les escaliers au pas de course, stressé à l'idée de me faire gauler. Les deux ouvriers matent en clopant. Tout au fond du parking, je vois un scooter et son livreur. J'y vais et reconnais le rebeu de tout à l'heure. Il a un grand sourire.

- Ça fera 40 €.

- Je... J'ai pas de sous !

- Alors tant pis, je me casse...

Et il enfile son casque.

- Attends ! Tu veux quoi en échange ?

Il renlève son casque et me montre une camionnette.

- Tu vois la boule de remorque ? Tu te l'enfiles et je te file les pizzas.

L'engin est au milieu du parking. Mon cul est bien ouvert, graissé, au point où j'en suis... J'y vais, m'assoit dessus. C'est gros et très froid. Au troisième étage, j'entends siffler. J'en deviens tout rouge. Le rebeu est devant moi en un instant. Il appuie sur mes épaules, la boule rentre, c'est chaud. Il pousse pour que ça rentre plus loin, puis il ressort sa queue. Il est de nouveau bien raide. Je l'embouche, ça dure plus longtemps que tout à l'heure, mais il finit par venir, un petit filet dans ma bouche.

C'est à ce moment-là qu'une voiture entre sur le parking. Mon rebeu panique un peu et se casse après avoir laissé tomber les cartons de pizzas par terre. Le chauffeur semble halluciné à son volant. Moi, je me grouille : je ramasse les pizzas et cours vers la chambre 304.

Mes deux ouvriers rigolent. J'ai très vite leur queue au fond de ma gorge. Le jeune finit par me juter en fond de gorge, tandis que l'autre me tartine la gueule d'un jus très abondant et très épais qui me recouvre l'oeil droit.

- Casse-toi.

Ce sera tout pour me congédier. Sur la coursive, je croise le nouvel arrivant qui me fait la morale et m'engueule copieusement. J'accélère le pas pour rejoindre la chambre de Ben. Quand j'y arrive, je toque. Pas de réponse. L'enfoiré m'aura fait attendre de longues minutes. Il prenait une douche. Putain, quel plan...

Pol

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