Je n'étais pas très doué pour les études, alors j'ai été envoyé au CFA Bâtiment. Je bosse maintenant pour une boîte où les grands déplacements sont fréquents. Le bon côté : ça paye super bien. Autre bon côté : je suis souvent en équipe avec Kévin.
Kévin, il a 29 ans, il est originaire de Marseille dont il a gardé l'accent. C'est un macho viril, méditerranéen. Peau bronzée, il est plutôt poilu, barbe entretenue, baraqué, avec le petit bide d'un trentenaire. Clairement, je bave sur lui. Dommage pour moi, il est marié avec deux enfants.
Moi, c'est Thomas. J'ai 21 ans, je suis originaire de Bretagne, donc plutôt du genre peau pâle, cheveux bruns, yeux bleus. Je suis du genre rondouillard, peu poilu, avec un gros cul rond. Avec les mecs, soit ça passe, soit ça casse, mais heureusement, de temps en temps, j'en trouve qui adorent me défoncer le fion.
Aujourd'hui, je fais équipe avec Kévin et on part à trois heures de route du dépôt. Comme nos déplacements sont remboursés au forfait, il m'a proposé de prendre une chambre d'hôtel commune, histoire de gagner plus. Bien entendu, j'ai accepté, mais si je ne sais pas comment je vais résister à dormir non loin de lui, sans possibilité de me branler. On part de bonne heure, le chantier se passe bien. Vers 18h, nous arrivons à l'hôtel, un B&B standard. Quand nous découvrons la chambre... un grand lit trône au milieu, y a eu erreur, nous devions avoir deux lits séparés. Kévin file râler à la réception. Moi, je me réjouis et en même temps, j'ai la trouille qu'il me découvre gay.
Quand Kévin remonte, il semble furax. L'hôtel est plein, pas moyen de changer de chambre. J'essaie de tempérer, il file à la salle de bain prendre une douche. J'ai très envie d'aller mater, mais me restreins. Je me contente de regarder la télé, allongé sur le grand lit. Au bout de dix minutes, mon collègue sort de la salle d'eau avec juste une serviette autour de la taille. Ma respiration se bloque. Il est magnifique: épaules larges, torse bien poilu sans faire singe. Une touffe plus épaisse dépasse de la serviette, bien bombée par sa queue. Il remet se cheveux humides en place et je constate que ses dessous de bras sont bien poilus aussi. J'adore.
- Tu veux ma photo ?
Je rougis et détourne le regard. Lui rigole avant de se jeter sur le lit à côté de moi. Il attrape la télécommande et change de chaîne sans me demander mon avis.
- Tu pues, va prendre une douche.
Je ne réponds pas et file dans la salle de bain. Je me désape et me glisse sous la douche. Je pense à l'image de son torse magnifique, forcément, je bande et commence à me branler. J'entends alors la porte coulisser et je lâche un glapissement. Trois secondes après, j'entends sa pisse couler dans la cuvette des WC. Je n'ose pas regarder derrière moi.
- Arrête de te branler, ricane-t-il avant de sortir.
Je finis ma douche sans terminer ma branlette et je sors comme lui, avec juste ma serviette autour de la taille. Kévin est sur le lit, une grosse bosse sous la serviette, son smartphone à la main. Aux gémissements qui en émanent, il mate un porno hétéro. Je ne sais pas quoi faire, je reste là comme un con à le regarder.
- T'attends quoi ? Viens mater avec moi, fais pas ta chochotte.
Dans un état second, je m'allonge près de lui. Il se décale pour se rapprocher de moi, afin de placer le téléphone entre nous deux. La meuf se fait déglinguer sur la plage par quatre mecs. Kévin, lui, se touche à travers la serviette. Je suis à dix centimètres de lui, je sens sa chaleur, forcément, je bande. Il déplie son bras gauche pour le passer derrière mon oreiller. J'ai pleine vue sur son aisselle poilue, encore humide après la douche. Il tend son bras droit pour mettre l’écran au milieu, du coup, il me tire vers lui avec le gauche. Nos hanches sont en contact, ça m’électrise.
- Tiens le tél…
Il me refile son smartphone et en profite pour passer sa main droite sous la serviette, une touffe de poils noirs, bien drus, dépasse. J’ai très chaud, mon cœur bat la chamade. Avec son bras gauche, il me ramène encore vers lui, j’ai le nez à quelques centimètres de ses dessous de bras. Il ressort sa main et reprend le smartphone. Il me tire encore plus contre lui, mon nez effleure ses poils d’aisselle, je suis dans un état second. J’inspire. Odeur de savon et de légère transpiration. Il me presse plus fort contre lui, je suis incapable de résister. Je sors ma langue et fouille dans ses poils. J’aurais pu me prendre une baffe, mais non. Il me laisse faire. Mieux : de sa main gauche, il me pousse à descendre. Je lèche son aréole gauche, glisse dans ses poils. La serviette dégage. Sa bite est majestueuse, de la mouille s’échappe de son prépuce. Il pousse, je ne résiste pas. Je lèche son gland. Il pousse encore. Je prends tout en bouche. Il pousse encore. Je gémis, je le laisse forcer sur ma gorge. D’une main, j’empoigne ma bite et… Bam ! Il me met une claque derrière la tête et gronde :
- Te touche pas.
OK, j’ai compris. Je suce comme une chienne, je me régale. Jamais j’aurais pensé que Kévin me laisse le toucher. Mes gémissements font écho à ceux de la salope de la vidéo. Soudain, il pose son smartphone, attrape sa bite et la sort de ma bouche. Il se branle. Son gland, tout rouge, coulisse bien, c’est humide, et… un jet blanc. Un deuxième. Je ferme les yeux. Mon visage est inondé. Je tends ma main vers ma bite et me reprends une baffe. Quand enfin il a fini de juter, il me fait téter sa bite pour nettoyer, puis il se lève et s’habille. Je me sens excité et pute.
- Allez, on va manger.
Je ne réponds pas, je fais mine d’aller dans la salle d’eau pour me nettoyer, mais il m’en empêche.
- Laisse, j’aime bien que tout le monde sache que t’es un gros bâtard.
Mon cœur s’emballe un peu plus. J’ai bien compris : il veut qu’on descende au resto d’en face avec mon visage barbouillé de sa jute, au point où j’en ai du mal à ouvrir l’œil gauche ? Oui, c’est ce qu’il veut. Ma bite court-circuite ma raison, j’obéis. Je lui tourne le dos pour m’habiller, j’essaie de maîtriser ma bite raide comme un bout de bois. On sort et on file à la pizzeria d’en face. J’ai l’impression que tout le monde me regarde. Que tout le monde sait ce que sont ces traces humides sur ma gueule. Kévin, ça le fait rigoler. À part ça, on mange plutôt en silence, lui, les yeux rivés sur son téléphone.
Quand on rentre à la piaule, il se dépoile et se glisse sous la couette. Quand je fais mine d’en faire autant, il m’ordonne de conserver mon caleçon.
- Je veux pas voir ta bite de bâtard. Et t’as pas intérêt à te toucher !
Autant dire que je dors très mal cette nuit-là, entre la chaleur de son corps, mon excitation, ses ronflements et l’envie irrésistible de lui sauter dessus.
Comme le réveil sonne, la main de Kévin m’attrape les cheveux et il me guide direct à sa bite. Je tète comme un affamé, bien sûr. En cinq minutes, il jute, dans ma bouche, cette fois. Pas de détour par la salle de bain, j’ai l’impression de puer le sperme, mais on s’habille et on va au petit déjeuner, puis on reprend la route, direction le chantier.
La journée se passe sans rien de notable, j’en oublie même les traces sur mon visage. Le travail est physique, je transpire, ça dilue. Kévin porte un débardeur blanc, trempé de sueur, les poils sous ses bras dégoulinent. Nous buvons beaucoup, en fin de journée, j’ai très envie de pisser, mais Kévin m’en empêche. On remonte dans le Traffic. Cinq minutes après, Kévin, au volant, m’ordonne de m’approcher. Le cœur battant, j’obéis.
- Kévin, j’ai super envie de pisser…
- Ferme ta gueule.
Il met sa main droite derrière sa tête.
- Lèche bâtard.
J’ai compris le message. Il sent fort la transpiration et le mâle viril, je m’éclate à bien nettoyer sous son bras. Il sort alors sa queue et pousse ma tête vers elle. Je la gobe, je tète, c’est bon. Soudain, il me tire par les cheveux et me repousse.
- Dessape-toi.
- Hein ? Je croyais que tu voulais pas voir ma queue…
- Ta gueule. Vire tes fringues.
En tremblant, j’obéis. Je suis bien raide, il voit ma queue et se marre, alors je la cache avec mes mains. Tout à coup, il sort de la route, sur une aire de repos ombragée au milieu des arbres. Je balise grave, y a trois camions bahuts et deux voitures. Il va au plus loin des autres véhicules et arrête notre Traffic. Kévin me tend une bouteille d’eau vide.
- T’as le choix, sale pute. Soit tu pisses là-dedans et tu bois tout. Soit tu descends ici et tu vas pisser contre un arbre.
Mes yeux s’écarquillent. J’ai le choix entre uro et exhib. Je choisis la deuxième option, sans même tenter de négocier, tant son regard noir m’en dissuade. J’ouvre la portière, observe les alentours. Forcément, les occupants des autres véhicules vont me voir, mais je me dis qu’on est loin… Je descends et cours vers un arbre, à trois mètres. J’essaie de pisser, mais je bande comme un fou, c’est difficile. Enfin, ça vient… Le soulagement m’envahit au moment où j’entends le moteur du Traffic redémarrer… Kévin se casse sans moi, au ralenti. En panique, je termine de pisser et commence à lui courir après, les mains devant ma bite pour protéger ma pudeur. Il refait tout le tour de l’aire de repos, je suis obligé de passer entre les camions et les voitures. Malgré le sang qui bat à mes oreilles, j’entends des rires dans mon sillage. Kévin repart se garer là où il m’a fait descendre et je le rejoins, essoufflé et rouge de honte. Il baisse la vitre, mais laisse la porte verrouillée.
- Bâtard… Mains derrière la tête.
J’obéis. Je bande toujours comme un âne, je suis humilié comme pas possible.
- Et en plus, tu kiffes, t’es vraiment qu’une grosse merde de pédé…
- Laisse-moi remonter, s’il te plaît, demandé-je d’une voix stridente.
Il m’imite d’une voix haut perchée, avant d’éclater de rire.
- Tu refais le tour en marchant, mains derrière la tête, et c’est OK.
Je suis à deux doigts du malaise.
- Décide-toi, je compte jusqu’à 5. À 5, je me casse, et tu te démerdes pour rentrer à l’hôtel. 1. 2. 3…
Je suis parti. Je fais mine d’ignorer les routiers qui me matent et se foutent de ma gueule. Une vraie marche de la honte. Quand je reviens au camion, la portière est déverrouillée, je monte. Kévin me jette un regard noir, me mettant au défi de me rebeller. Je baisse la tête, vaincu. Le moteur démarre, on repart en direction de la ville et du B&B. Du regard, je cherche mes vêtements. J’avale difficilement ma salive et ose demander :
- T’as fait quoi de mes fringues ?
- Poubelle. C’est pour te punir d’avoir caché ta petite bite au premier tour.
Je ne réponds rien, mais je balise grave. Comment vais-je rejoindre la chambre d’hôtel ? J’angoisse pendant tout le trajet et arrivés sur le parking, la sentence tombe :
- Descends.
J’obéis sans hésiter et attends les ordres. Le sourire de Kévin est rayonnant, son ascendant sur moi est immense, ça lui plaît. Il n’y a personne sur le parking, je m’en sors bien. Je le suis jusqu’à l’escalier qui mène à la coursive du 1er étage, puis jusqu’à notre porte. Nous ne croisons personne. Il fait le code. Échoue. Nouvelle tentative. Je sais qu’il le fait exprès pour me stresser, et ça marche. Enfin, il l’ouvre et je m’engouffre à l’intérieur. Il éclate de rire.
- T’es vraiment qu’une sous-merde. J’ai un dessous de bras qui est jaloux…
Il lève le bras gauche derrière sa tête. Je me jette dessus, toujours aussi affamé et je lèche. Ma bite suinte, mais je me garde bien de me branler. Puis il me repousse et va prendre sa douche. Je ne sais pas quoi faire. J’aimerais l’accompagner pour le mater à poils. J’aimerais m’habiller pour cacher ma honte, ce qui serait inutile. C’est trop tard. J’ai envie de me branler, mais je résiste car je sais qu’il ne le voudrait pas. Quand il sort, avec juste la serviette autour de la taille, je prends sa place. Il m’avertit de sa voix grave :
- Si jamais tu te branles, je le saurai… et je te défoncerai, vie de ma mère. Allez, tu pues, va te laver, après, tu vas me sucer.
Je m’exécute et cinq minutes plus tard, je ressors, plus excité que jamais. Il a allumé la télévision et mate un film. Qu’il est beau ! Qu’il est viril ! J’ai qu’une envie, me jeter sur sa queue. Je n’ai pas long à attendre. En cinq secondes, je me trouve à poils, propre et entre ses jambes. Je tète, tandis qu’il mate un porno hétéro. Toutefois, il ne jute pas. Il m’attrape par les cheveux et me remonte plus haut dans le lit, toujours sur le ventre. L’actrice pousse des hurlements de plaisir. Kévin se met sur moi, il m’écrase, je comprends le message et cambre mon cul. Les poils de son torse frottent contre mon dos, sa bite glisse dans ma raie. Je réalise qu’il ne mettra pas de capote. Je m’en fous, je le veux en moi… ce qui vient très vite, après un petit coup de salive. Il ne fait pas dans la dentelle, je serre les dents, le temps que la douleur passe. Il me lime un long moment. Enfin, il crache dans ma chatte avec un grondement sourd. Puis il se dégage et s’allonge à côté.
- Viens nettoyer.
Dans un état toujours second, la chatte explosée et remplie de son jus brûlant, je ne fais pas la bégueule et avale sa bite pour la lui rendre toute propre. Il se lève alors et s’habille. Quand je fais mine d’aller à la salle de bain pour me vider, il me l’interdit et m’ordonne de m’habiller pour aller manger. J’ai déjà des crampes… mais j’obéis. J’enfile des fringues propres. Mon calbut ne va pas le rester longtemps. On descend à la pizzeria, j’ai grave envie d’aller aux chiottes. Le repas me semble durer une éternité.
Quand on remonte, tout se passe comme la veille. Seule exception : cette fois, j’ai le droit de dormir à poils. D’ailleurs, dans la nuit, il revient profiter de mon cul. C’est plus langoureux, cette fois, comme s’il dormait à moitié et qu’il pensait baiser sa femme.
Au petit matin, j’ai le droit d’aller aux chiottes. Quand je ressors, Kévin tient à la main un tout petit plug gonflable, à la base très étroite.
- Fous-toi à quatre pattes sur le lit, bâtard.
J’obéis. D’une manière ou d’une autre, il a trouvé du gel. Il en badigeonne le sextoy avant de me l’enfoncer. Rien de très notable. Puis il commence à pomper. Cinq fois. Dix fois. Je me tortille, la sensation est… intense.
- Bouge-pas, sale chienne. Il peut monter à 15 ou 18 cm de diamètre. Si t’es pas sage, je le gonfle au max et tu vas en chier…
Je m’immobilise, terrifié. Il gonfle encore deux coups, puis il tire sur quelque chose et m’ordonne de me relever. Sans pouvoir m’en empêcher, je tâte mon cul avec la main. Y a quasi rien qui dépasse, juste une sorte de languette en latex. Dans la main de Kévin, je vois la pompe avec une aiguille au bout du tuyau. Il sourit, un sourire sadique qui me fait frissonner.
- La pompe peut être enlevée. Le plug ne pourra pas sortir de la journée, j’espère que t’es prête…
Il exige que je m’habille, on descend au ptit déj. La sensation est incroyable, j’ai l’impression d’avoir une bite énorme, ça ne peut pas sortir, je flippe. Il a laissé la pompe dans la chambre. Une fois partis, je suis coincé pour la journée. On termine. On monte dans le Traffic. Une crampe me saisit, je me plie en deux.
- Je t’en supplie, ça va pas le faire…
- Ta gueule.
Et il allume le moteur. On est partis.
Détour par la gare pour récupérer un collègue, Karim. Quand il monte dans notre véhicule, je me tortille, mais essaie de rien laisser paraître. Karim est un beau rebeu de 35 ans, très viril lui aussi, plutôt musclé sec, avec une gueule de tueur à la grosse barbe noire. On file au chantier. C’est très dur pour moi. Dès que je bouge, le plug me rappelle à l’ordre, et de temps en temps, j’ai des spasmes au niveau du cul qui me plient en deux. J’ai été obligé d’expliquer à Karim que j’avais très mal au bide. Ce qui n’est pas tout à fait faux. Fin de journée, on remballe les outils et on remonte dans le Traffic. Au bout de cinq minutes, Kévin m’ordonne de « refaire comme hier ». Incrédule, je le regarde, puis je me tourne vers Karim qui hausse un sourcil interrogatif.
- M’oblige pas à me répéter, gronde Kévin.
Désespéré, je m’approche de lui. Il lève son bras droit. Les joues rougies par la honte, je me mets à lécher son aisselle poilue. Karim se met à siffler et éclate de rire.
- C’est quoi ce délire, putain ?
- Thomas, c’est une vraie chiennasse, tu peux lui faire faire tout ce que tu veux.
- Nan !
- Si. Regarde. Désape-toi, bâtard.
Je ne suis plus du tout en capacité de résister. Je vire mes fringues et les abandonne par-terre. Ma bite est dressée vers le ciel, trempée de mouille. Kévin attrape ma tête et frotte ma bouche contre sa queue bien dure sous son short.
- Regarde son cul, ajoute-t-il.
- C’est quoi ?
- Depuis ce matin, y a un sextoy dans sa chatte. Il a pas la chiasse. Je l’ai gonflé au tiers de sa capacité, là, ça doit faire 6 ou 7 cm de diamètre, il peut pas le retirer. S’il veut que je le libère, il doit être bien obéissant…
- Putain, vous êtes graves…
Je sens le Traffic ralentir. Kévin me redresse par les cheveux. On est à la même aire de repos qu’hier, sauf que cette fois, il s’est garé près des chiottes. Y a deux routiers de garés. Mon cœur s’emballe.
- Descends, salope, et va m’attendre près des urinoirs.
Karim secoue la tête, ouvre la porte et descend pour me laisser passer. Vaincu, je marche vers les chiottes.
- Mains derrière la tête !
Je m’exécute. Soudain, j’entends des pas. Ce n’est ni Kévin ni Karim, mais un quadra bedonnant, torse nu, avec juste un short. Il s’approche, il sent fort la sueur. Il me parle dans une langue étrangère, peut-être du polonais. Je comprends rien. Il m’attrape par les cheveux et me mets à genoux. Un instant après, j’ai sa queue en bouche. Trois minutes plus tard, je goûte à son jus. Il se casse en baragouinant quelque chose qui ressemble à des insultes. Kévin entre alors, sourire sadique toujours planté sur les lèvres. Mon cul se contracte, mon ventre est pris d’un spasme, le plug me brûle comme jamais.
- T’es prête à boire ma pisse ?
J’ai envie de chialer et je lui dis que je refuse… Il accepte, j’en suis à la fois soulagé et surpris. Il libère sa bite, force ma bouche. Au moment de juter, il sort et m’en met partout. Quelqu’un rentre dans les chiottes, un mec qui va pisser aux urinoirs en nous regardant, un O de surprise sur les lèvres. Kévin me ramène au Traffic, sur le parking, y a un camion de plus et une voiture commerciale vide. Karim nous attend sur son téléphone.
Kévin m’annonce alors :
- Je te laisse le choix, sale pute. Soit tu vas mettre tes fringues dans une poubelle et tu restes à poils toute la soirée, même quand on ira bouffer. Première option. Ou alors, je te laisse te rhabiller, mais… à l’hôtel, je double le nombre de coups de pompe dans ton plug et après, on va manger. Tu choisis quoi ?
J’ai le choix entre la honte et la torture. Ma bite se contracte, je manque de juter sans me toucher. En réaction, mon cul est pris d’un spasme, mon anneau se serre sur le plug, une exquise douleur. Je réponds :
- Deuxième option…
Karim descend en secouant la tête, avec un regard appuyé sur les traînées de sperme qui maculent ma gueule. Je passe devant lui et monte. Il en fait autant. Ça pue la transpiration et la jute dans l’habitacle. On repart, l’un des camions nous klaxonne. Je me rhabille. Grand silence.
Arrivés à l’hôtel, on monte direct dans la chambre. Karim nous accompagne, alors qu’il a la sienne de réservée. Sitôt la porte fermée, Kévin me fait me dessaper. Il attrape la pompe, me traîne dans la douche, insère l’aiguille dans le plug et… j’entends l’air s’échapper. La tension dans mon cul se libère, mon bide gargouille. Je perds le sextoy, j’essaie de retenir le reste.
Mon collègue se casse. Je me vide les entrailles dans la douche puis je me nettoie. Quand je sors, ils sont sur le lit, en train de mater un film.
- Amène-moi le plug et le gel, ordonne Kévin.
J’obéis. Il sourit et gonfle le jouet à vide, sous le regard médusé de Karim. Il pompe douze fois. Le sextoy s’est déformé à en devenir gros comme un avocat. Je réalise que j’ai eu ça toute la journée dans ma chatte… Il continue de gonfler et s’arrête à vingt-quatre. Le plug ressemble à une mangue, ou une petite noix de coco. Je balise et transpire. C’est ça qui m’attend ? Quand Kévin m’ordonne de me foutre à quatre pattes, j’hésite avant de me résigner. J’entends l’air siffler, le plug se vide. Puis il se présente à l’entrée de ma chatte. Il rentre. 1, 2, 3… 12. J’en peux déjà plus. Ça continue. À 20, je tremble et le supplie d’arrêter. De façon surprenante, il cède, avant de présenter à mes narines une petite fiole. Il m’oblige à inspirer. Une fois dans chaque narine. Deux fois. Trois fois. J’ai la tête qui tourne. Il regonfle en comptant : 21, 22, 23, 24, 25… Je panique et me raidis. Une claque violente tombe sur mon cul.
- Comme t’as hésité, j’en mets cinq de plus. 26, 27, 28, 29.
Je respire vite et fort, j’ai l’impression qu’on m’a coulé du plomb dans mon cul. C’est énorme. En même temps, le poppers aide un peu. Pour l’instant. Kévin me redresse et me dit de me rhabiller. Je le fais en tremblant et en gémissant. Je le supplie d’enlever un peu d’air. Il me répond de juste fermer ma gueule. Il me tire à l’extérieur, j’ai les jambes qui flageolent. La pompe libératrice est restée à l’intérieur. Pour me motiver, Kévin me refait sniffer du poppers. Plus que jamais dans un état second, je les suis au camion. On part au McDo, à trois kilomètres de là. Le trajet est court, mais suffisant pour que le poppers cesse de faire effet. Mes entrailles tentent tour à tour d’aspirer le plug et de le refouler. J’ai des crampes à l’anus. De nouveau, je supplie Kévin de me ramener à la chambre. En retour, je prends une baffe de sa part, puis une de Karim qui en a marre de mes gémissements.
- Assume, pédé. T’aimes te faire défoncer, t’es servi.
On commande à une borne automatique, je ne tiens pas en place. J’ai l’impression qu’ils font exprès de prendre leur temps. La commande passée, on va s’asseoir. C’est un peu mieux, même si je suis incapable de rester immobile. Karim fait remarquer à Kévin que c’est comme si j’étais sous LSD. Le plug devient insupportable. Je me frotte sur la banquette pour qu’il s’enfonce un peu plus. Ma chatte le rejette en même temps, c’est indescriptible. Une torture de chaque instant. Une serveuse nous amène nos plateaux. Je mange très vite. Mes collègues prennent leur temps. Je les implore d’accélérer.
- Donne-moi ton caleçon, ordonne Kévin.
J’écarquille les yeux et regarde tout autour de moi. On est à l’écart, sur les banquettes isolées. Il sourit et repose son burger.
- Tant que j’ai pas ton calbut, je mange pas. Tant que j’ai pas fini de manger, on reste là.
Je craque, je me tortille pour descendre mon short, puis mon caleçon taché de mouille que je lui tends. Aussitôt, je remets mon short. Ma bite suinte, un truc de fou.
- Tiens, inspire quatre fois dans chaque narine.
Et il pose la bouteille de poppers devant moi. Je m’exécute. Ma tête tourne. Le soulagement est instantané, mon cul s’ouvre et accueille plus facilement l’énorme plug. Je gémis.
- Passe ton short aussi.
Je le fais, il se lève et va à la poubelle. Je le vois y mettre mon calbut et mon short. Tout mon corps vibre. Il ne me reste qu’un t-shirt et mes baskets. Heureusement, le t-shirt est plutôt long. Et tout à coup, je balise : ma queue est dressée comme jamais, le fin tissu ne suffira jamais à la cacher. Kévin revient et recommence à manger, et c’est Karim qui s’arrête.
- Passe ton verre de coca.
Je lui pousse. Il le prend et se casse aux chiottes avec. Quand il revient et qu’il le pose devant moi, je dégringole. Il est rempli d’un liquide jaune qui mousse un peu sur le dessus. L’odeur piquante atteint mes narines.
- Tant que t’as pas tout bu, ajoute Karim, je mange pas, et…
Mon anus se serre, ma queue est prise d’un spasme. Je porte le verre à mes lèvres et bois en mode automatique. C’est dégueulasse, mais je ferais n’importe quoi pour rentrer au plus vite à l’hôtel. Kévin a kiffé et quand je termine ma « boisson », il attrape le verre et va lui aussi aux chiottes. Quand il revient, rebelote. Le goût dans ma bouche est horrible. Mon cul frotte sur le faux cuir de la banquette, c’est insupportable. Ils ont tous les deux un regard noir, sadique. Ça fait près de 45 minutes qu’on est là, je ne sais pas si je vais pouvoir tenir plus… En même temps, je n’ai pas le choix : la libération est à l’hôtel. Enfin, ils terminent leur repas. Et là, Kévin me sort :
- T’as trois minutes pour te branler, juter et tout avaler. Sinon, je t’arrache ton t-shirt et on t’abandonne ici.
Au point où j’en suis… Sous la table, j’attrape ma bite et m’active dessus comme un forcené. Plus le sperme monte, plus mon cul se serre sur le jouet et plus je lutte pour ne pas gémir. Je me mets à haleter. Je geins comme une chienne. Je lâche un bruit rauque au moment où j’explose dans ma main gauche. C’est explosif et abondant. J’en vois des étoiles tellement c’est intense. Deuxième effet kiss cool : mon cul se contracte plus fortement que jamais. J’en peux plus, faut que ça s’arrête. Je lâche un cri et m’écroule sur la table. Tant pis si on me regarde.
- Lèche ta putain de jute !
La joue contre le bois, j’obéis et lape mon sperme. Ma main droite est fermée, contractée au point de m’en faire mal. J’ai complètement débandé, c’est déjà ça.
- Si tu vires ton t-shirt et que tu le laisses ici, t’as le droit à du poppers.
En moi, l’hésitation est forte. Je résiste, me redresse et réponds :
- Non. On y va ?
Ils rigolent et se lèvent. Rouge comme une pivoine, haletant, je les imite doucement et vérifie que mon t-shirt cache ma queue. Il descend pile en dessous de mes couilles, ça tient à pas grand-chose. Heureusement que je suis peu poilu. Nous sortons et rejoignons le Traffic. Je monte avant Karim, il me claque violemment le cul au passage. On part. J’essaie de tirer sur le plug, mais plus je tire, plus mon cul se serre et tente de l’aspirer. Le remède est pire que le mal. Kévin me demande d’enlever mon t-shirt. Je refuse. Il s’arrête sur le bas-côté et attend. Ma chatte n’en peut plus. Je vire mon t-shirt et me retrouve à poils. On redémarre. Karim ouvre sa fenêtre, il attrape ma dernière pièce de vêtement. Il me défie du regard et semble déçu de mon absence de réaction. Il balance mon t-shirt par la fenêtre. J’ai envie de vomir. Ma queue se redresse. Nous approchons de l’hôtel, le véhicule ralentit. Kévin sort du boulevard, y a un petit parking. On doit se trouver à 500m du B&B. En plein jour. Je sens venir le truc. Bingo.
- Casse-toi, bâtard.
Karim ouvre la porte et descend. Moi aussi. Il me crache à la gueule et secoue la tête, avant de remonter. Un instant plus tard, ils sont partis.
C’est dans un brouillard très flou que je me fraie un chemin jusqu’à l’hôtel. Presque personne ne m’a vu, et surtout, aucun flic. Aucun esclandre. Pas de hurlements. Juste mes gémissements qui rythment les spasmes de mon cul. Sur le parking, une voiture arrive, je me cache derrière un buisson. Le gars se gare, ma chatte est prise de crampes, il monte à sa chambre, je le suis de très loin. J’arrive enfin à la porte de la mienne. Je frappe. J’entends rire, mais ils n’ouvrent pas. Je vais finir par me faire gauler dehors. Enfin, ils ouvrent.
- À genoux et ouvre la bouche ! ordonne Kévin.
Le dressage est complet, j’obéis. Quoiqu’ils veuillent, je le ferai. Ils sortent tous les deux leur bite. Celle de Karim est plus petite, circoncise, appétissante. Ils commencent à pisser et vise ma bouche ouverte. Ils me crachent aussi à la gueule et visent ma langue. Le flot se tarit.
- Lèche nos pieds.
Je me penche en avant. Ils sont pieds nus, je m’exécute. Je déteste, et en même temps, ma bite dressée me trahit. Quelqu’un passe derrière moi, ça bougonne. Mes collègues rigolent. Je suis humilié au possible. Enfin, ils me font entrer. Ils me traînent à la douche. Ils me crachent dessus. Ils me claquent partout. Enfin, Kévin apporte la pompe et son aiguille. Il la branche dans le plug. L’air s’échappe. Mon cul se vide. Libération. Ma bite n’en peut plus, un dernier spasme l’agite et je jute comme jamais j’ai juté.
C’était intense. J’ai détesté. J’ai adoré.
Pol
pol.sevestre@gmail.com
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