Ce soir d'avril, je passe sur une aire d'autoroute de l'ouest pour voir s'il y a pas quelque chose de sympa à mater. Un camion garé sur le côté, dans la zone véhicules légers. Quelques voitures. Des familles en transit, ce sont les vacances scolaires.
Je tourne à droite vers la zone arborée qui est derrière l'aire, celle avec des tables de piquenique et des arbres partout. La végétation est repartie, mais reste encore clairsemée. Une voiture est garée sur la gauche, équipée d'un A au cul. Le gars ne me calcule pas, pas grave, c'est un gamin, ils sont trop timides en général.
Je me gare sur le côté et attends, en matant le tel et un peu de porno, dont les histoires de Cyrillo. Un vieux passe près de moi, c'est un chauffeur routier. Beurk. Une camionnette blanche et rouge arrive, s'arrête, pas longtemps, puis repart. Une autre voiture passe aussi. Le A n'a pas bougé. J'attends, je m'en fous.
Le temps passe un peu, la camionnette revient et ça s'agite un peu. Je descends. Un mec court après quelqu'un d'autre pour s'enfoncer dans la zone arborée inaccessible aux voitures. Loin devant, je vois un trav. Il a pas l'air trop dégueu vu de loin. Mais les trav, c'est vraiment pas ma came. En même temps, je vois qu'il a des talons, des bas noirs et roses et une mini robe bleue. Allez, ça sent la bonne grosse chienne, on verra bien.
Je m'avance, le mec qui courrait rejoint un autre gars assez âgé. Le trav continue plus loin, mais est coincé (e ?) par le grillage autoroutier. Demi-tour. Le gars qui courrait s'approche de moi.
- C'est une sacrée salope celle-là !
Je ne réponds même pas, il me saoule déjà lui. Le trav vient passer entre nous deux et s'arrête. Il veut choper ma queue. Vu de près, bah il est pas dégueu du tout. 1m75 ou 1m80, la trentaine (j'apprendrai après qu'il a 29 ans), cheveux châtains, yeux bleus derrière ses lunettes de soleil. Des formes qui se tiennent (pas du gras tout mou, quoi !), du poil doux et soyeux entre les pecs. Miam. Un peu pâle avec les joues qui rougissent à la moindre émotion, j'adore ça. Je lui soulève la robe, y a un string rose. Beurk. Il veut vraiment ma queue, je le calme un peu. On vire la culotte. Quelques claques sur le cul. Le vieux avec nous devient tout fou, il cause tout le temps, il a la trouille des flics. M'en branle.
Je vire la robe du trav. Je vire la culotte, je baisse les bas. Le gars est à oilpé dans les bois de l'aire d'autoroute. Le vieux avec nous panique, il s'éloigne, rejoint un autre vieux. Les fringues par terre, je lui claque le cul, la doigte un peu. La salope veut ma bite, mais je la laisse pas comme ça. Au loin, vers les voitures, le jeune avec le A est sorti et nous mate tout en téléphonant. Je donne comme mission à ma chiennasse d'aller voir les deux vieux derrière nous : elle y va en laissant ses fringues. J'ai gagné le gros lot !
Le vieux bavard raconte de la merde à propos de flics, et tout le monde s'égaye. La pute revient un peu en panique. Perso, je me démonte pas. Je lui ordonne d'aller voir le jeune, toujours à poils, auprès de qui se rend le vieux. Il y va. Mais le vieux fait signe, comme s'il y avait danger. Quel con ! La pute revient. Je la laisse se rhabiller et lui dit de venir avec moi. On retourne près des voitures, derrière une haie d'arbres et arbustes. Je la refous à oilpé.
- T'es prête à quoi pour ma queue ?
- ...
- Tu bois la pisse ?
- Oui, pourquoi pas.
Putain, c'est pas mon kiff non plus, mais j'ai vraiment envie de la loper cette pute. Je sors ma queue. Le vieux revient, il bavarde, parle de flics, de bonne chienne, il ne sait pas ce qu'il veut. Je lui fais signe de se casser, il me gave trop. Je tiens ma queue bien gonflée, pas facile de pisser, mais ça finit par sortir. Et il avale... Pas qu'un peu, et c'est pas comme si j'étais hyper hydraté après une journée de taf. J'ai cette pute à oilpé et à genoux devant moi qui avale ma pisse. Elle se recule, se prend un jet sur la gueule et dit rien. Elle se branle un peu.
Plus loin, sur le chemin qui mène dans les bois derrière, le jeune marche. J'ordonne à ma chienne d'aller à sa rencontre. Elle obéit et laisse ses fringues... et ses clés de bagnole. Elle marche après le mec, fait au moins 100 mètres. Je ramasse les fringues et me cache à quelques mètres. Le jeune au A fait demi-tour, il semble pas intéressé. Ma chienne à poils revient, ne me trouve pas, je la vois stresser, chercher. Je me montre.
- T'as stressé, hein ?
- Ouais... Je suis timide.
Putain, il est à poils en laissant ses fringues et ses clés de bagnole à un parfait inconnu, et il se dit timide. On aura tout vu ! Je le branle, il est sensible du gland, hmmm, j'adore lui torturer ! Il veut me sucer.
- T'es prête à quoi pour ma queue ? T'as des limites ?
- J'aime qu'on repousse mes limites.
Fallait pas me dire ça.
- Prouve le.
Il repart vers les voitures. Que du cruising gay, mais deux voitures garées en plus de la mienne, et la végétation n'est pas encore très épaisse : d'en bas, près des chiottes, quelqu'un qui regarderait vraiment saurait qu'il se trame quelque chose. Ma pute revient. Je lui claque le cul, le bide, lui pince les seins. Elle aurait des capotes, je lui aurai défoncé sa chatte. A genoux, je lui crache à la gueule, la biffle. Je lui reproche de pas avoir de poppers : avec une fiole miraculeuse, je crois que je pourrais lui faire faire n'importe quoi. Je vois une voiture passer, je lui dis de se rhabiller, au cas où ce soient les flics. Je vais voir, mais non, c'est le jeune au A qui a avancé sa caisse.
Je retourne à ma chienne qui attend sagement. Elle veut absolument sucer ma queue.
- Va falloir faire mieux que ça niveau exhib. Si tu veux ma queue...
Elle retourne près des voitures avec sa robe et ses bas, mi trav, mi pute. Elle s'arrête près d'un banc, à côté d'une table de piquenique. Je vais voir. Le mec au A est assis là, jambes écartées. Il a sorti sa bite, poilue entretenue, vraiment pas grosse. Ma chienne le suce. Je remonte sa robe, baisse un peu son string rose. Nous sommes à 4 mètres de la route qui fait le tour de l'aire de repos. Je lui force la tête pour qu'elle fasse des gorges profondes, elle s'étouffe un peu alors que c'est franchement pas une grosse queue... Claques sur le cul qui bleuit. Je remonte sa robe, lui enlève. Je la redresse un peu pour qu'elle vire la culotte. Elle est à poils, en pleine vue, en train de sucer un petit caïd et d'étouffer sur sa queue. Je lui tire bite et couilles en arrière. Gorges profondes, claques. Je me branle bien en surveillant qu'aucune voiture n'approche. Au loin, un tracteur bosse dans les champs qui jouxte l'aire de repos, mais ça va, il est assez loin.
Je retourne mon attention sur les deux autres. Force un peu sa tête, ça s'étouffe. Du coin de l'oeil, je vois un mouvement et j'ai un geste de recul brusque. C'était juste le tracteur, mais ce seul recul a stoppé net la magie : le jeune retourne à sa caisse et se barre, nous laissant, ma chienne à poils et moi. Elle veut ma bite. Je le branle, joue avec son gland, il en gémit.
- Je vais devoir y aller, qu'il me dit.
- T'es en couple ?
- Ouais.
- Fille ou mec ?
- Fille.
Putain, un hétéro... ou bi plutôt...
- J'imagine la tête de ta meuf si tout à l'heure, je m'étais vraiment barré avec tes affaires et tes clés. T'as quel âge ?
- 29 ans.
- T'es d'où .
- Du Mans.
- Tu veux mon jus ?
- Oui.
Il a les joues rouges, je kiffe !
- Donne-moi tes clés. Va à ta caisse (elle est à 20 mètres, le long de la route). Vire toutes tes fringues et reviens.
- Même les chaussures à talons ?
- Nan, garde-les.
Il ouvra sa camionnette, me file les clés et y va. Il vire ses fringues, met tout à l'intérieur, sauf les shoes. Ferme la porte. Je la verrouille à distance et il revient en courant. Sa queue bien bandée tressaute. Il semble bien aimer la perte de contrôle. C'est cool, j'adore le contrôler.
- A genoux, salope.
Il obéit. Je me branle et bien chauffé, je traîne pas : je jute toujours bien fort, et là particulièrement. Il en a dans les cheveux, et deux longues traînées sur chaque joue. Je lui fais goûter mon jus avec les doigts. Il se branle, toujours à poils, toujours à genoux. Je me rhabille. Il gicle par terre, on sent qu'il était bien excité, ça gicle fort. Il se redresse.
- Bon je me casse... et j'emporte tes clés.
- Déconne pas.
Il devient plus rouge que jamais. J'adore. Il est en train de réaliser qu'il est coincé à oilpé sur l'autoroute, en pleine vue, sans accès ni à sa voiture, ni à ses fringues, avec juste des chaussures de pute, la gueule engluée de sperme. Et sans excitation, la fête est moins folle ! Il est à ma merci, il doit se sentir con et ça doit culpabiliser dans sa tête.
Je le laisse mariner, mais pas trop longtemps. Je lui rends ses clés. On se remercie et il retourne à sa camionnette. C'est une histoire vraie. Je ne connais pas son prénom, mais s'il lit ces histoires, il se reconnaitra forcément. Faut pas hésiter, la prochaine fois, il pourrait y avoir poppers, capotes, sextoys et encore plus de domination, d'humiliation et d'exhibition... Pas de souci pour repousser tes limites, la pute ! ^^
Pol
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