Premier épisode
Le matin de mon anniversaire, je me réveille blotti contre mon chéri.
Il a déjà les yeux ouverts.
Direct il me couvre de bisous.
Thomas : "joyeux anniversaire mon bébé !"
Je me tourne pour lui faire face et je l'embrasse.
Je l'aime tellement.
Il me caresse, me chouchoute, et me fait l'amour avec une tendresse rare.
Après bientôt 2 heures au lit, il m'invite à aller me doucher.
Moi : "tu viens pas avec moi ?"
Thomas, après m'avoir embrasser : "je te rejoins..."
Je finis à peine de me savonner qu'il me rejoint.
J'ai droit à un long câlin sous les multiples jets de sa douche high tech.
Quand on sort, il me sèche avec amour puis m'amène au salon ou un petit déjeuner copieux m'attend déjà.
On mange sans se quitter du regard.
Je me dis que j'ai vraiment de la chance d'être tombé sur lui.
Quand j'ai fini, je reviens sur ses genoux pour me blottir contre lui.
Je profite que sa verge se durcisse à nouveau pour le chevaucher.
Il me laisse gérer un long moment.
Alors que sa respiration se fait plus forte, ses mains se crispent sur mes fesses.
Il me maintient contre lui et sa queue convulse.
Il m'embrasse tendrement.
Je reste sur lui.
Moi : "t'es très doux aujourd'hui..."
Thomas : "tu n'aimes pas ?
Moi : "si si... Mais j'espère avoir une baise un peu plus hard pour mon anniversaire !"
Je lui sourie et l'embrasse.
Moi : "et dis moi : où as-tu appris à être si doux au lit ? Faudra que je remercie ton prof."
Thomas : "il serait ravi : c'est Math."
Moi : "je croyais que tu étais trop endurant pour lui..."
Thomas : "c'est pour ça : je l'entraîne à être plus endurant, et lui m'entraîne à être plus doux... Tu m'en veux ?"
Moi : "quoi ? Non ! Bien sûr que non ! Déjà tu me permet de coucher avec d'autres mecs, en plus tu le fais pour être plus doux... Jamais je t'en voudrais de coucher avec Math..."
Je l'embrasse.
Thomas : "tu sais... Il se sent seul. Il m'a dit qu'il était un peu jaloux de nous. Il aimerait bien trouver un mec gentil pour le chouchouter comme je fais avec toi."
Moi : "faut qu'on lui présente Abel."
Il rigole.
Thomas : "tu crois ?"
Moi : "il est doux, très bien monté, protecteur... C'est de loin mon plan cul préféré."
On reste là à se câliner jusqu'à ce que sa queue sorte, complètement molle.
Petit repas frugal à midi, petit câlin pendant la sieste, puis on monte dans sa voiture et on part.
Moi : "tu ne prends pas l'autoroute ?"
Thomas : "je fais un détour, on ne va pas y allé avec la BM."
Je ne comprends pas vraiment.
Après quelques minutes, on arrive devant un grand bâtiment.
Il ouvre la double porte et on rentre... Dans un parking de belles voitures.
Thomas : "on prend laquelle ?"
Je n'y connais rien en voiture, je n'ai même pas mon permis.
Moi : "je sais pas... Elles sont toutes à toi ?"
Thomas : "toutes... Je t'en aurais bien offert une pour ton anniversaire mais tu ne sais pas..."
Je l'embrasse avant qu'il ne termine sa phrase.
Moi : "ne m'offre jamais un truc d'une telle valeur... Je ne veux que toi."
Il m'embrasse à son tour.
Thomas : "on va prendre la Porsche Spyder."
Il se dirige vers une voiture de sport grise, tout juste magnifique et m'ouvre la porte pour m'inviter à monter.
Thomas : "moins de 1000 exemplaires dans le monde, une petite merveille."
Je sais qu'il est issu d'une famille d'industriels importants, j'ai même vu l'un de ses frères à la télé une fois, mais même si sa maison est grande, je n'avais pas imaginé que mon mec était si riche.
Je sens comme un fossé entre nous, d'autant plus qu'on s'apprête à rencontrer ma famille... Je n'aime pas cette sensation. Je saisis sa main, pour être sûr que le fossé ne nous sépare pas.
Il doit sentir mon malaise. Il me caresse la joue et m'embrasse.
Thomas : "t'inquiète, je veux juste jouer cette carte devant tes parents, tu sais bien que c'est pas mon genre d'étaler ma richesse."
Il fait rugir le moteur et on s'en va.
Une petite heure plus tard, on passe le portail du pavillon de mes parents.
Il y a quelques voitures, j'en déduis que tout le monde est là. Le stress monte.
Il reste une place le long du gazon. Alors qu'on sort de la voiture, 2 de mes frères sortent de la maison.
"whouah ! C'est quoi cet engin ?"
C'est le plus grand, Fred. Il a 2 ans de plus que moi. Il est accompagné de George, 1 an de plus.
Il me font l'accolade.
Je leur présente Thomas.
Ils sont tout de suite impressionnés par la carrure de mon mec. Une tête de plus qu'eux, et des bras de la taille de leurs cuisses.
Ma mère arrive derrière.
Elle s'arrête quand elle voit Thomas. Elle semble rougir.
Elle s'avance d'abord vers moi et m'enlace.
Elle : "bon anniversaire mon chéri !"
Moi : "merci maman. Je te présente Thomas."
Il s'est approché. Il saisit la main de ma mère et lui fait un baise main.
Thomas : "il me tardait de rencontrer la femme qui a élevé un être tel que Cali. Vous devez être fier d'avoir un fils comme lui. Je suis enchanté de faire votre connaissance."
Je rigole intérieurement. Il en fait trop mais je trouve ça drôle.
Ma mère est rouge comme une tomate. Mais étrangement, j'ai l'impression qu'elle sourit.
On rentre.
Ma sœur nous accueille avec un sourire. Elle a un an de moins que moi. Ça a toujours été ma préférée et ma confidente.
Elle fait la bise à Thomas en rougissant elle aussi.
On arrive au salon.
D'un coups un froid tombe en moi.
Mes 2 plus grands frères, de 5 et 6 ans mes aînés, ainsi que mes 3 plus petits, de 4, 8 et 10 ans, sont assis dessus le salon avec mon père.
Leurs regards ne laissent aucun doute quand à leurs sentiments.
Au-dessus de la cheminée prône fièrement la croix chrétienne.
Fred rentre après moi : "vous devriez voir la voiture ! Elle doit valoir des centaines de milliers d'euro !"
Déjà le regard de certains de mes frères changent.
Notre famille n'a jamais manqué de rien. Mon père veillait à ramener l'argent, et ma mère s'occupait de nous remplir l'estomac et de nous instruire. Seulement voilà, quand on est 8 enfants, on est plus souvent habitués aux occasions qu'au luxe tout neuf.
Thomas entre ensuite, accompagné de ma mère qui lui présente la moindre pièce.
Mon père et mes frères ouvrent de grands yeux.
Ils voulaient l'intimider... C'est eux qui le sont.
La réflexion que mon père avait en tête se coince dans sa gorge, il n'arrive qu'à bafouiller un bonjour pendant que Thomas lui écrase à moitié les phalanges en lui serrant la main.
Thomas : "monsieur, c'est un honneur d'être accueilli chez vous. Permettez moi de vous remercier en vous offrant ceci."
Il lui tend un grand cru.
Lui : "euh merci... Il ne fallait pas... Prenez place... Benoît ! Philippe ! Laissez donc la place à notre invité."
Les 2 plus jeunes se lèvent.
J'en profite pour me glisser à côté de lui en lui prenant la main.
Mes 2 aînés se lèvent et vont s'asseoir sur une chaise avec une mine de dégoût.
Ma sœur vient se poser à côté et me chuchote : "vous êtes trop mignon tous les 2 !"
On discute en prenant l'apero.
La surprise passée, mon père tente de trouver une faille à exploiter.
Lui : "et comment un agent de sécurité peut se payer une telle voiture ?
Thomas : "en fait je suis chef d'entreprise, j'ai monté ma boîte de sécurité, et sinon je suis actionnaire dans l'entreprise familiale."
Mon père : "j'imagine qu'il doit y avoir un paquet de femmes qui voudraient vous mettre le grappin dessus... Pourquoi se contenter de Cali ?"
Thomas : "parce qu'il aurait voulu de moi même si j'avais été pauvre."
Il me sourit en me caressant la main.
C'est vrai que je lui ai même demandé de ne pas me faire de cadeau. Ou au pire un truc dont on profiterait tous les deux, comme un restaurant.
Cependant, la réflexion de mon père semble l'avoir énervé.
Thomas : "et puis... Me contenter ?... Vous avez un fils extraordinaire !"
Mon père : "c'est vous qui le dites..."
Ma mère : "chéri !!! Je t'interdis d'insulter mon fils le jour de son anniversaire !"
Mon père : "désolé, je voulais juste dire que c'est dommage d'avoir un tel patrimoine et de n'avoir aucune chance de pouvoir le léguer à un enfant parce qu'on a choisi de vivre dans le péché."
Là c'est moi qui suis piqué au vif.
Moi : "qui a dit qu'on n'aura pas d'enfant ?"
Je me suis levé sous la colère. J'en tremble. Même Thomas me regarde étrangement.
Moi : "tu peux me traiter de pêcheur, de pédale, tout ce que tu veux, mais je t'interdis de prétendre qu'il ne pourra pas avoir des enfants par ma faute !"
L'un de mes aînés, en rigolant : "et tu vas faire comment, te faire implanter une chatte ?"
Moi : "on adoptera les enfants abandonnés par des couples hétéro, crétin !"
Il s'est levé, mais immédiatement Thomas se dresse derrière moi.
Thomas : "désolé mais, malgré tout le respect que je dois à mes hôtes, j'éviterais si j'étais toi..."
Ma mère : "mais calmez vous bon sang ! On ne pourra donc jamais faire un repas de famille sans que ça crie ?"
J'ai bien envie de lui sortir un sarcasme, mais c'est ma mère quand même.
Mon aîné ne se gêne pas lui : "si, un repas sans cette fiote..."
Ma mère lui décroche une gifle monstrueuse.
"hey, j'ai bientôt 40 ans !"
Ma mère : "tu en aurais 100 que ça ne changerait rien. Comment oses tu insulter ton frère sous mon toit !!! J'aurais du te laver la bouche avec du savon plus souvent..."
L'aînée : "de toute façon, il a toujours été le chouchou à sa maman... C'est peut-être de là que ça vient..."
Il se prend un coups de torchon trop léger à mon goût. J'aurais aimé lui rentrer dedans mais, d'une légère pression de la main, Thomas m'attire vers le canapé.
Le repas se passe un peu mieux, mon père et mes aînés ayant la bouche pleine.
Ma mère est aux petits soins avec mon chéri.
Au moment de partir (parce que hors de question de dormir là vu l'ambiance), ma sœur vient nous voir à la voiture.
"ça m'a fait plaisir de te voir. N'écoute pas nos cons de frères : vous allez très bien ensemble. Thomas ! Prend soin de mon frère. C'est une madeleine avec un cœur en sucre !"
Il rigole.
On se dit au revoir.
Pendant quelques minutes on ne se parle pas. On croise un supermarché. Il se gare à l'arrière.
Thomas : "tu étais sincère quand tu parlais des enfants ? Tu voudrais vraiment en avoir ? "
Moi : "c'est un peu tôt là, mais oui, je serais heureux d'en élever avec toi."
Il m'embrasse.
Thomas : "vient là que je te fasse l'amour, ma petite madeleine en sucre !"
Je comprends maintenant son regard quand je me suis énervé. En fait nous n'avions jamais abordé le sujet.
Je baisse mon pantalon et mon boxer et vient me poser sur lui.
Il me malaxe mes fesses et me cale des doigts pendant que je le caresse. Il avait même pris du lubrifiant.
On se câline un moment puis je sens son gland percer ma fleur.
Au début c'est un peu comme le câlin du matin. Au bout de quelques minutes, je fais des mouvements plus amples et gémis sans retenue.
Il comprends que je veux plus.
On sort de la voiture.
Il y a un mini carré d'herbe derrière les poubelles.
Il me met à 4 pattes et entre en moi de nouveau.
Ses va-et-vient sont plus brutaux. Je sens sa queue faire chauffer ma fleur.
Sa main vient redresser ma tête. Je suis cambré, dos à lui. Il ne ralenti pas, mais m'embrasse dans le cou.
Thomas : "c'est ça que tu veux ?
Je sens son bassin écraser mes fesses avant de repartir.
Moi : "je... Je t'aime... Han !"
Il me relâche et dépose ma tête au sol puis bourrine mon cul, je crie au rythme de son mouvement.
Après 20 minutes, il sort enfin.
Il relève ma tête et se branle au-dessus de ma bouche.
Une bonne quantité se déverse, je l'avale avec amour puis met quelques coups de langue sur son gland pour le nettoyer.
II me relève et m'embrasse.
On se rhabille, direction la maison.
Sur la route, je pose ma tête sur ses jambes et je m'endors. Pas une seconde je ne regrette d'être avec ce mec, on est fait l'un pour l'autre.
Cali
li.cali@yahoo.com
Autres histoires de l'auteur :