Série précedente
Ça fait quelques mois que je suis officiellement avec Thomas.
C'est le parfait amour entre nous. Et niveau sexe, maintenant que je peux supporter son endurance, j'ai le droit à un câlin matin et soir, et parfois même à la pause, dans les toilettes de l'entreprise.
Enfin presque tous les matins.
Alors que je me réveille, je ne sens pas son corps chaud contre le mien.
On est pourtant en weekend tous les 2, pour une fois.
Je me lève et j'attrape le sweet à capuche posé sur la commode.
C'est celui qu'il m'avait offert au début de notre relation. Aujourd'hui je m'en sers comme robe de chambre pour me couvrir le matin tout en étant disponible à ses avances.
J'arrive dans le salon. Il est assis devant le bar avec un café, travaillant sur son pc.
Je me colle à son dos et passe mes mains sur ses pec tout en lui faisait un bisou dans le cou.
Thomas : "bonjour mon cœur... Désolé, je voulais finir ça pour profiter du weekend avec toi."
Tout en parlant, il se tourne et me prend dans ses bras.
Je prends ses lèvres pendant qu'il me serre contre lui.
Moi : "vas-y, termine..."
Je me décroche de lui à contrecœur. Je vais chercher un verre de jus d'orange au frigo.
Il recommence à pianoter sur son clavier.
Je reviens et me cale entre lui et son pc.
L'une de ses mains vient caresser mon ventre et me colle à lui.
Je sens sa queue prendre du volume à travers son caleçon.
Moi : "tu devrais appliquer une formule au lieu de remplir case par case, ça te prendrait moins de temps."
Thomas : "quoi ?"
Il était occupé à m'embrasser dans le cou et avait déjà oublié son fichier Excel.
Thomas : "ah oui... J'ai jamais compris comment ça marchait."
Je repose mon verre après avoir bu une gorgée.
Je tape une formule dans la première case et je valide la colonne.
Le résultat s'affiche en bas.
Thomas : "faudra que tu m'apprennes ça !"
Je me tourne vers lui tout sourire.
Il m'embrasse longuement.
Ma main glisse dans son caleçon et ressort sa queue.
Thomas, me caressant la joue : "tu sais que je t'aime toi ?"
Je le serre fort dans mes bras, il fait de même.
Alors que sa queue commence à se tendre, mon téléphone sonne dans la chambre.
C'est ma mère.
- salut maman ! (Thomas me lance un regard de travers... Je ne lui ai que rarement parlé de ma famille. Lui n'a jamais parlé de la sienne non plus d'ailleurs)
- bonjour mon grand. Tu vas bien ?
- ça va et toi ?
- ça va, ça va... Je t'appelle pour savoir si tu viens le mois prochain ? Ton anniversaire tombe pile un weekend. On pourrait faire un bon repas samedi soir ?
- oui pourquoi pas ! Attends 2 minutes !
J'eloigne un peu le téléphone et je demande à Thomas : "tu seras libre le weekend dans un mois ?"
Thomas : "oui ! Et ça sera un plaisir de rencontrer tes parents."
Je fais une grimace, il m'interroge du regard.
Je rapproche le téléphone.
- ok maman. On sera dispo.
- on ? Tu as enfin une copine ?
- un copain maman... Un copain.
Comme je my attendais, l'annonce est suivie d'un silence.
- c'est que... Je sais pas si ton père... Tsss, je croyais que tu en avais fini avec ça ... Je pouvais te défendre à l'adolescence, tu experimentais, mais là qu'est-ce que je vais lui dire ?
- que je l'aime. Il pourrait être un marsien, ça changerait pas que je l'aime.
- bon... Euh... D'accord. Alors à bientôt mon chéri. Bisou.
- bisou !
Elle a déjà raccroché.
Devant le regard de Thomas, je me sens obligé de lui expliquer.
Pour une raison que j'ignore, les larmes me montent aux yeux.
Moi : "peu probable que tu les apprécies. Mes parents... N'ont jamais accepté..."
Il vient me serrer dans ses bras.
Thomas : "je vois... Tu sais, on peut ne pas y aller si tu veux... Quoi que tu choisisses, je serais avec toi."
Je love ma tête dans sa nuque. Il me comprends mieux que moi même : je ne l'ai pas invité pour provoquer mes parents, mais pour ne pas être seul.
Thomas : "tu sais ce qu'on va faire ? Le weekend d'après, on fêtera ton anniversaire une deuxième fois, une vraie fête pour remplacer ce dîner pourri..."
Je sourie, la tête toujours dans sa nuque.
Thomas : "ça t'irait ?"
Moi : "oui !"
Je viens l'embrasser.
Thomas : "bon, c'est pas tout ça, mais on a une soirée à préparer... Mais avant ça... Vient par là que je te baise !"
Il me serre fort, avec un grand sourire, et me presse les fesses.
Il me pousse contre le mur.
Je relève mes jambes l'une après l'autre pour qu'il me porte.
Je sens sa queue raide à l'entrée.
Il pousse tout doucement.
Sans lubrifiant, il met quelques minutes avant que son gland ne perce enfin ma fleur.
Il coulisse doucement.
Heureusement que j'ai une vie sexuelle épanouie, parce que même là je sens ma fleur protester.
Je soupire dans son cou.
Il fait de petits mouvements très lents.
Encore quelques minutes et je commence à mouiller.
Il augmente légèrement l'amplitude et la cadence.
À chaque passage, je sens un peu plus de lui en moi.
Je lance des petits gémissements. Être dans ses bras me rend fou.
Enfin je sens son pubis contre moi. Au même moment, un tremblement partant du ventre parcourt mon corps
Moi : "aaaaahhhh ! Mon dieu ! Encore ! Siteplait !"
Il vient chercher mes lèvres tout en continuant son mouvement mesuré.
Je ne l'avais que rarement connu si doux.
Je m'accroche à lui plus fort, lui griffant le dos. Je me hisse et lui mordille l'oreille.
Moi : "merde ! Han! C'est trop bon ! Aaaaahhhh ! Tu vas me... Han! Tu vas me tuer ! Ahhh mon dieu !"
Il accélère un peu, mais reste très soft par rapport à d'habitude.
J'entends ses grognements dans mon oreille.
Après 20 minutes, ses mouvements deviennent plus saccadés.
Ça n'enlève rien à mon plaisir. Ça fait longtemps que je ne sais plus où s'accrochent mes mains.
Moi : "Ooooh ! Putain je vais... Han! Ahhh! Je vais..."
Il balance son bassin avec force.
Sa queue convulse en déverse son liquide en moi. En même temps je tapisse son ventre et mon sweet avec le mien.
Il se pose sur le canapé tout en me portant, toujours en moi.
Je tremble de tout mon corps.
Il me serre contre lui et me couvre de bisous, laissant son penis sortir de lui même.
Je me rendors pour finir ma nuit dans ses bras... On verra plus tard pour les courses...
Cali
li.cali@yahoo.com
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