Histoire : Une nuit, il aura fallu d’une nuit pour que tout change. Fabio, Éric et Léo se fréquentent maintenant depuis bien une dizaine d’année. Fabio, le costaud de la bande, a des cheveux châtains or et ses muscles garnissent son corps de façon à rendre un hétéro homo. Éric, quant à lui, reste discret et intello. Il porte des lunettes, de taille moyenne, d’un style plutôt standard sans trop de fantaisie mais juste assez pour donner envie de le connaître. Léo, le dernier du trio, nous vient d’Espagne. Sa pilosité est foisonnante, ses deux potes n’hésitent jamais à lui faire une plaisanterie sur celle-ci, qu’importe : ça lui donne un charme et ça. Ils le savent bien. Il faut dire que ce garçon détient une poigne qui nous fait devenir sa force et sa douceur à ce simple toucher.
Les trois amis sont gays quand bien même ils n’ont jamais baisé ensemble. « Pas de ça entre amis, ça tuerait notre amitié » comme nous dirait si bien Éric. Enfin, malheureusement pour lui, il n’avait jamais connu le plaisir de la chair alors il parlait ainsi. Les deux autres n’hésitaient à lui répondre que c’était parce qu’il n’avait jamais vu le loup qu’il se permettait de parler comme ça. Ensuite, la bagarre verbale commençait et ils la finissaient environ 10 minutes après sans avoir changer d’argument mais avec la ferme idée d’aller en boîte pour se vider la tête et pourquoi pas trouver une petite occupation nocturne.
Il est important de préciser que nos trois amis vivent ensemble, dans une « colloc-gay-friendly », la promiscuité étant souvent maitresse des lieux, surtout pour Éric. Pour nos deux éphèbes, ce n’était pas un problème. Ils n’hésitent jamais à traverser l’appartement nu en arborant fièrement leur organe (circoncis pour Léo et complet pour Fabio) se balançant de droite à gauche. Ils leur arrivaient quand même de s’embrasser fougueusement lors de leurs soirées alcoolisées et qu’ils n’avaient rien trouver pour passer la nuit. Mais la règle était là. Pas de sexe entre eux.
Ils l’ont tenu deux semaines. Testostérone à foison, un vierge, trois mâles chauds comme la braise, mélangez tout et vous aurez un beau plan à trois à la fin de la semaine. Cette histoire se passe donc durant une de ses soirées où il n’y a rien à se mettre sous la dent et les trois compères sont devant leur verre (avec déjà plusieurs dans le nez) se regardant avec fougue et passion.
- « Comme d’hab’, on finit que les trois. » dit Léo.
- « Oui… » marmonne Fabio en regardant Léo.
Il faut préciser qu’Éric soupçonnait les deux méditerranéens d’avoir déjà rompu le pacte d’arrivée et il avait bien raison. Il n’y avait pas une pièce de l’appartement (hormis la chambre du puceau) qui n’avait pas vu les bites tendues des deux musclés. Ils aimaient particulièrement la machine à laver qui a comme vertu de vibrer… inutile d’en dire plus.
Léo a la main posée sur son short moulant. Fabio, tel un miroir, masse son entrejambe. Éric est au centre. Timide, mais heureux d’être entouré par de si beaux mâles, reprend une gorgée pour se donner du courage. Ce qui va suivre promet d’être assez palpitant et fatiguant. Eric sent qu’une demi-molle se fait gentiment sa place dans son short blanc. Il essaye de la cacher en croisant les jambes. A contrario, Fabio et Léo écartent de manière très provocante leurs jambes pour que le jeune vierge comprenne ce qu’ils désirent.
- « Il fait chaud ici. » Dit Léo en enlevant son t-shirt laissant apparaître un torse velu.
- « C’est vrai ! » affirme Fabio en imitant Léo.
Et Éric, dans un geste alcoolisé, retire son t-shirt. Les deux méditerranéens se regardent, étonnés que les affaires tournent si vite en leur faveur. Alors Léo se lève et va rejoindre Fabio. Il s’asseye à-côté-de lui en posant une jambe sur la cuisse de son compère. Tout en malaxant leur bosse, ils regardent avec envie Éric. Léo commence à caresser les pectoraux saillants du bel Italien. Fabio caresse lui, ces drus cheveux puis il pousse la tête de Léo contre la sienne pour prendre ses lèvres en otage. Leurs mains libres se cherchent le short, leur baiser est long et bruyant, puis, ils arrêtent et regardent Éric avec envie.
- « Tu te rinces bien l’œil ? » s’exclame Fabio.
- « Heu… oui ! » répond timidement Éric.
- « Allez viens te joindre ! Tu verras, c’est sympa. » encourage Léo.
En se levant, les deux êtres enlacés découvrent la belle érection d’Éric faisant déjà une magnifique bosse à travers son jeans. Léo rit et lui dit :
- « Mais enlève donc ce short ! Tu vois bien qu’il gêne ! »
- « Heu… je sais pas… »
- « Disons là… c’est un peu tard si tu veux cacher quelque chose. Regarde, je fais pareil ! Je l’enlève ! »
Léo enlève donc son short et Éric découvre une queue veineuse et bien épaisse. Pas très grande mais très appétissante ! Fabio, voyant que sa virilité va être remise en cause s’il ne suit pas le mouvement, retire son tissu gênant et les deux colocataires admirent le pénis plutôt long et lisse. Tous deux avaient le pubis complètement déboisé tout comme leurs bourses. Éric est maintenant plutôt gêné mais tellement excité alors il décide de sauter le cap et d’enlever ce short de malheur. Une bite splendide fait son apparition, circoncis, couilles rasées, de taille moyenne et proportionnelle, en tout point : parfaite.
- « Et tu as osé nous cacher ça si longtemps » crie presque Fabio. « Viens ici que je la goûte ! »
Éric n’a pas le temps de répondre que Fabio l’a déjà dans la bouche en s’appliquant avec sérieux sur l’objet de désir. Léo s’est déjà rapproché pour occuper leur bouche en s’embrassant et mélangeant leurs langues avec envie. Puis Léo descend d’un étage pour rejoindre Fabio en s’attaquant à deux sur la bite d’Éric.
- « Vous savez que c’est ma première fois… je vais bientôt venir… » dit tout gêné Éric.
- « On sait, mais c’est pas grave ! »
Effectivement, ça ne les arrêtent pas, ils continuent leur affaire en prenant ce délicieux entrejambe à deux bouches, s’embrassant autour d’elle ou en la conviant aux baisers. Et sans prévenir, Éric jouit à gros jets sur les têtes de ses colocataires. Les deux qui sont à genoux, se lèchent leur visage pour reprendre le sperme et l’avaler puis s’embrassent une dernière fois avant de se lever montrant fièrement leur érection.
- « Allez, à toi de jouer maintenant » disent-ils en mettant à genoux le fraichement dépucelé.
Mais Éric se révèle être un excellent dompteur de queues. Il arrive en très peu de temps à comprendre le point sensible de chacun de ses congénères. Fabio aime bien quand il lui titille le prépuce le lèche avec délicatesse et le bout de la langue quant à Léo, il préfère largement une bonne gorge profonde en prenant la tête d’Éric en montrant qui est le maître. Une bite dans chaque main, Éric est au centre heureux et un peu honteux de se retrouver dans cette position de salope.
- « Passons maintenant aux choses sérieuses ! » susurre Léo l’oreille d’Éric en le levant, le tournant pour faire face à son joli petit cul.
- « Tsss, tais-toi et continue de me sucer ! » s’exclame Fabio de peur que la bouche du beau brun quitte son pénis.
Éric laisse échapper des petits gémissements pendant que Léo lui lubrifie sa petite rosette encore très étroite. Léo y insère un doigt et s’aperçoit qu’il rentre très facilement. Alors il tente d’y mettre un second. Il y rentre comme dans du beurre. Léo en fait la remarque :
- « T’es vachement excité, j’ai pu mettre deux doigts sans problème ! »
- « C’est normal, regarde, c’est une petite salope. » dit Fabio en limant la bouche de la nouvelle salope.
À ces mots, Léo se lève et présente sa bite au cul lubrifié. Éric écarte ses fesses avec ses mains pour faciliter le passage de la bête. Léo crache une dernière fois sur son objectif et enfonce gentiment à l’intérieur de ce trou serré. Éric lâche un cri de douleur jumelé avec un cri de bonheur de sentir enfin quelqu’un le pénétrer et de sentir sa prostate fonctionner si rapidement. Il se remet à bander immédiatement et reprend la bite de l’Italien dans sa bouche avec fougue.
- « Maintenant qu’elle est bien dedans, je vais commencer à bouger. » Prévient Léo.
- « Mmmh, mmmh ! » Répond Éric avec un appendice conséquent dans la bouche.
Et il commence ces excitants va-et-vient. Éric n’hésite pas à cambrer son petit cul pour faire plaisir à son ravisseur. De l’autre côté, Fabio continue d’utiliser correctement la bouche du beau brun. Éric lèche les couilles, les aspire dans la bouche puis reprend la bite à la limite du vomissement. Éric se branle en même qu’il se fait prendre des deux trous. Il n’aurait jamais pensé qu’une fin de soirée pouvait se terminer si bien.
- « Je sens que je vais venir ! » s’exclame Éric au centre.
- « Déjà !? » répond étonné Léo.
- « Encore ?! » rétorque Fabio.
- « Oui… » répond en rougissant Éric.
Il faut très exactement cinq coups de reins de la part de de Léo pour qu’Éric lance trois épais jets de sperme sur le tapis du salon. Léo et Fabio se retirent de leurs orifices respectifs et viennent se placer dans leur initiale position, juste au-dessus de la tête d’Éric.
- « Tu nous as joui dessus, il me semble normal que tu reçoives pareil… » dit Léo avec un clignement d’œil.
En moins de 10 secondes, Éric était recouvert de liquide blanchâtre provenant des beaux mâles. Les trois s’embrassent et récupèrent le précieux nectar pour donner un goût à leur baiser. Ils sont restés comme ça longtemps avant de reprendre leur esprit. Puis Éric se lève, regarde ses deux dépuceleurs et s’exclame d’un ton victorieux et pervers :
- « Quelqu’un serait prêt pour une douche ? »
Autant vous dire que l’eau a coulé longtemps…
Emil
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