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Je me réveille dans mon lit... Vide...
C'est pour ça que je veux un mec, c'est tellement déprimant.
Je me traîne jusque dans la cuisine. Un objet sur la table basse attire mon attention.
C'est un téléphone sur un papier.
Je déplis le papier et lit le mot.
"Cali, désolé je devais partir, c'était super cette nuit, ton prince charmant m'a demandé de te remettre ce téléphone.
Bisous."
Je souris : il est accro.
Je prends le téléphone.
Il est rose, avec des hello kitty partout, et il est écrit "Baby" à l'arrière en paillettes.
Il y a un message en attente.
"bonjour Cali, j'espère que mon cadeau te plaît, je voulais que mon bébé puisse me joindre en cas de besoin.
Sinon, il paraît que mon odeur t'as manqué, alors j'ai déposé un autre cadeau devant ta porte."
Je saute du canapé et ouvre. Il y a un colis sur le palier, et avec une nouvelle enveloppe rose.
Je déballe le colis comme un enfant le jour de Noël.
Il contient un sweat à capuche. Je mets ma tête dedans et inspire. C'est clairement son odeur mêlée à son parfum. Je l'enfile tout de suite. Il est tellement grand et large que je peux replier mes jambes dedans.
Entouré de cette odeur enivrante, j'ouvre l'enveloppe.
***
Pour la vue, j'ai choisi une soirée très spéciale.
Un chauffeur te prendra directement au travail vendredi à 17h.
***
Je décide de prendre un selfie de moi dans le sweat. Je vais devant le miroir. Je me tourne un peu et je relève le vêtement pour laisser apparaître mes fesses.
La photo prise, je l'envoie au seul numéro du répertoire avec, en commentaire : "merci pour tes cadeaux, ils sont géniaux. Je ferais tout pour avoir tes bras..."
Je vais me préparer un café. Alors que la tasse est prête, un bip m'indique une réponse.
"tout ?"
Je prends 2 minutes pour le laisser mariner.
"tout ;)"
La réponse ne tarde pas : "lundi soir tu finis à 21h c'est ça ? Tu iras prendre une douche au travail à la débauche... J'ai remis ton gel douche dans ton casier"
Bon, je ne voulais pas empiéter sur le travail, mais je l'ai cherché après tout.
Je lui réponds : "ok mon chéri !"
Il me renvoi un cœur en guise de réponse.
Lundi soir est là.
Je range mon plan de travail et direction les vestiaires.
Quelques collègues dont sous les douches, mais par chance il n'y a ni Sam, qui aurait posé des question sur ma présence, ni Jean, qui aurait poussé les autres à la moquerie.
Les collègues sortent les uns après les autres et je me retrouve seul quelques minutes à me prélasser sous l'eau chaude.
La porte s'ouvre. C'est Nico.
Il enlève la serviette autour de sa taille et la jette au sol puis se dirige vers moi.
Arrivé à ma hauteur, il me prend par la taille, me tourne, me plaque contre le mur et se colle à moi.
Il frotte sa queue dans ma raie et celle-ci prend rapidement du volume.
Il chuchote à mon oreille : "je pense sans arrêt à ton cul depuis l'autre soir. Je vais te baiser à fond."
Il prend mon gel douche et en verse dans la raie. Il râle dans manque toit en faisant des mouvements de hanche, le mec a vraiment fin.
Sans prévenir, sa verge percé m'a fleur et se glisse en moi.
Je vais crier mais sa main se plaque sur ma bouche.
Je sens son bassin toucher mes fesses.
Il grogne puis repart.
Lui : "putain ! Un cul comme le tient... Han !... Ça devrait pas exister... Han !... Tu aimes ma bite ?"
J'ai un peu mal, mais je sais pourquoi je le fais.
Moi : "oui... Ah... Aah!"
Lui : "dit le salope !... Han!"
Moi : "ah !... Oui ! J'aime ta... Aaaah!... Queue !"
C'est pour lui le top départ.
Me tenant fermement la taille avec son autre main, il commence à me pilonner.
Même s'il est rude, il a une bonne bite. Je mouille abondamment, j'adore être plaqué contre ce mur et utilisé comme un sextoy qu'il aurait vantousé là.
Lui : "han ! Han ! Jvais te faire saigner tellement t'es serré ! Han ! Han !"
Moi je gémis comme un fou dans sa main.
Lui : "han ! Prend ça salope : HAN!!!"
Il balance un énorme coup de rein. Mes fesses sont écrasées contre le mur. Sa queue convulse en moi tandis qu'il lâche un long "ooouuuuhhhh".
Il s'immobilise en moi, tout en relâchant sa pression physique, et m'embrasse dans le cou.
Lui : "merci, tu a été parfait... T'inquiète je le dirais à personne."
C'est à ce moment là que la porte s'ouvre.
C'est le patron.
Son regard va de Nico à moi en passant par mon cul encore fourré.
"vous pourriez faire ça chez vous !"
Il referme la porte.
Nico explose de rire tout en se retirant.
Moi je ne rie pas.. Qu'il n'ait rien dit, c'est trop beau pour être vrai.
Ça ne loupe pas. 2 jours plus tard, je reçois une convocation dans son bureau pour le lundi suivant.
Cali
li.cali@yahoo.com
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