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Chapitre 10
Je ne m’attendais absolument pas à avoir Anthony au bout du fil
Anthony : comment vas tu ?
Moi : pas trop le moral en fait
Anthony : qu’est ce que tu as ?
Moi : je me suis séparé cette semaine…
Anthony : ah mince jsuis désolé. Pourquoi ?
Moi : écoute, pourquoi tu m’appelles ? Et déjà comment tu as eu mon numéro ?
Anthony : ne te fait pas plus bête que tu ne l’es, je l’ai pris en cachette du portable de Thomas sinon comment j’aurais pu l’avoir
Moi : et pour quelle raison tu as fait ça ?
Anthony : je voulais te proposer qu’on se voie demain soir ? Ça te dit d’aller se faire un petit resto ?
Moi : je ne pense pas que Thomas sera vraiment d’accord
Anthony : tu ne peux pas t’empêcher de toujours parler de lui… Tu sais bien qu’il repartait aujourd’hui sur Paris
Moi : et comment ça se fait que tu ne l’aies pas suivi ?
Anthony : c’est prévu que je reste encore une semaine dans le Nord
Moi : OK, écoute pour demain soir…
Anthony : j’ai envie de te voir donc dit oui stp, ça ne t’engage à rien. Je t’invite au resto demain soir.
Moi : bon c’est d’accord
Anthony : génial, envoie-moi par message ton adresse et je viens te chercher pour 19 h
On se laisse et je me pose beaucoup de questions. Pourquoi il tient tant que ça à me voir ? Et surtout pourquoi j’ai accepté ? Vu les moments difficiles que je passe en ce moment, ça va me faire du bien et me changer les idées…
Je repars de chez ma mère le lendemain matin assez tôt. Je dois prendre contact avec la société où je travaillais pour récupérer les affaires qui sont encore là bas. J’ai pris la décision d’arrêter définitivement dans cette boîte. Ils me rappelaient régulièrement quand il y avait plus de travail, mais là j’arrête. De toute façon je sais qu’il n’y aura jamais de CDI pour moi. Je m’y rends vers 11 h et ça me fait plaisir de voir que mes collègues regrettent ma décision. Stéphane vient me voir et me prend dans ses bras
Stéphane : je suis dégouté que tu décides d’arrêter ici, mais je te comprends.
Moi : oui il faut que j’avance un peu dans ma vie et malheureusement ce n’est pas ici que je vais pouvoir
Stéphane : tu viens quand même en pause avec moi avant de partir
Moi : oui pas de soucis
On se dirige vers la salle de pause et on discute bien 10 minutes. Je lui explique comment s’est passé mon weekend ainsi que ma séparation.
Moi : bon allez je vais te laisser reprendre le taf. Je vais vite fait aux toilettes et je décolle.
Stéphane : OK bonne continuation à toi
Moi : merci toi aussi
Je vais dans les toilettes et rentre directement dans une cabine. J’ai à peine eu le temps de déboutonner mon pantalon que j’entends au loin la porte s’ouvrir et une voix se fait entendre « julien ? ». Je suis surpris et reboutonne mon pantalon pour sortir du toilette. J’aperçois Stéphane au loin entrain de me regarder sans rien dire et je comprends tout de suite où il veut en venir. Sans hésiter, je me dirige d’un pas décidé vers lui, je le plaque contre la porte et lui roule une grosse pelle. On est collé l’un contre l’autre à se frotter intensément, on sent à travers nos jeans que nos bites sont déjà bien dures et prêtes à l’emploi. Je le prends par le bras et l’emmène dans la cabine. Je le plaque de nouveau contre la porte et on continue notre séance de galoche. Il me déboutonne mon pantalon et se met à me branler. Il me regarde en souriant
Stéphane : il fallait bien terminer ce qu’on avait commencé.
Moi : je suis bien d’accord avec toi
Je retire également son pantalon et le branle à mon tour.
Moi : j’ai trop envie de toi !!!
Stéphane : ah oui ?
Il se retourne et se cambre contre la porte pour me faire admirer son petit cul. Je dois avouer qu’il est très bandant. Je palpe ses fesses puis me mets à genoux pour commencer à lui bouffer son cul. Il gémit, mais essaie de faire le moins de bruit possible, car n’importe qui peut rentrer à tout moment. Je remonte à plusieurs reprises le long de son cul avec ma langue, ma bite est dure comme de la pierre. Je me relève et frotte ma bite tout contre son cul. Je prends sa tête et on se galoche à fond.
Stéphane : vas y prends moi !!!
Moi : tu as une capote ?
Stéphane : non et toi ?
Moi : non plus…
Punaise je suis dégouté, j’avais trop envie de lui défoncer son cul
Moi : je suis blasé…
Stéphane : moi aussi…
Je continue à me frotter contre son cul tout en le branlant. On se galoche avec passion et il finit par éjaculer au bout de 5 minutes contre la porte. Il me retourne et se met derrière moi pour me branler à son tour. J’éjacule assez vite et plusieurs jets se retrouvent sur le toilette. On nettoie vite fait avec le papier et on sort rapidement. On a bien de la chance, car personne n’est rentré et on a donc pas été interrompu cette fois.
Stéphane : ça te dit qu’on s’échange nos numéros ?
Moi : oui bien sûr
Stéphane : on pourra se revoir pour vraiment baiser cette fois
Moi : avec plaisir, j’ai été trop frustré là…
On s’échange un sourire puis nos numéros et je le laisse en lui faisant la bise…
Je suis chez moi, assis sur mon canapé. Je suis prêt et attends l’arrivée d’Anthony. Je suis très pensif et j’espère que la soirée va bien se passer. Je me demande bien ce que fait Thomas en ce moment. Il est retourné sur Paris hier et doit reprendre son rythme de malade. Est-ce qu’il pense à moi ? Non c’est ridicule, tant de temps est passé et il a autre chose à faire que de penser à moi. Je reçois un texto d’Anthony un peu avant l’heure qui me dit que je peux sortir. Je quitte mon appartement et je rentre dans la voiture. Il s’est fait tout beau et j’avoue le mater de haut en bas. On se fait la bise et on se met en route.
Anthony : tu as passé une bonne journée ?
Moi : oui impeccable et toi ?
Anthony : oui j’étais dans la famille. Ça fait du bien de les revoir.
Moi : pourquoi tu es sur Paris maintenant ?
Anthony : je suis agent immobilier et j’ai eu une bonne opportunité, mais le poste était sur Paris… Donc je n’ai pas hésité même si ça a été dur de quitter ma région.
Moi : tu dois bien gagner ta vie alors
Anthony : on va dire que je n’ai vraiment pas à me plaindre
D’un coup je me sens vraiment mal. À côté de lui ou de Thomas, j’ai quoi dans ma vie. J’ai même plus de boulot et pas grand chose dont je pourrais me vanter alors qu’eux j’ai le sentiment qu’ils ont bien réussi dans leur vie
Anthony : tout va bien ?
Moi : oui t’inquiète…
On arrive devant le restaurant et je dois avouer que ça à l’air assez chic. Je ne me sens pas du tout dans mon monde ici. On nous installe sur une table au calme dans un coin et le serveur nous apporte la carte. On commande l’apéritif et Anthony me conseille sur des plats. Une fois les commandes passées, on nous apporte les apéros et on trinque
Anthony : à nos retrouvailles !!!
Moi : oui, à nos retrouvailles…
Anthony : alors comment vas tu dans ta vie ?
Moi : je ne vais pas dire que c’est la grande joie en ce moment
Anthony : pourquoi ?
Moi : ben tu sais bien, plus de copain, plus de boulot…
Anthony : y’a vraiment que ça qui te perturbe ?
Moi : oui pourquoi ?
Mon portable vibre, je viens de recevoir un message
Moi : excuse-moi 2 minutes
Je sors mon portable et là je suis choqué, c’est un message de Sam. J’ouvre le texto, il est juste indiqué « tu me manques… ». Je range mon portable sans répondre, nan, mais c’est une blague
Anthony : c’était qui ?
Moi : mon ex..
Anthony : pour te dire quoi ?
Moi : ce n’est pas important, il doit se sentir seul certainement
Je commence à avoir les larmes aux yeux, je me sens vraiment mal
Moi : ma vie est vraiment pourrie…
Anthony : pourquoi tu dis ça ? C’est n’importe quoi.
Moi : regarde ta vie, regarde celle de Thomas. Même celle de mon ex, il est peut-être célibataire, mais il a un taf. Moi je n’ai rien du tout
Anthony : avoue que ça te fait mal de nous voir ensemble Thomas et moi.
Moi : tu n’as pas idée. Nan tu n’as même pas idée du mal que ça peut me faire. C’est une douleur que tu ne peux même pas imaginer
Anthony : je sais que ça te fait mal de voir Thomas avec un mec et…
Moi : tu n’as rien compris. Habituellement une personne souffre en voyant son ex avec un autre mec. Moi j’avais mal que ce soit de lui ou de toi…
Il pose sa main sur la mienne tout en me regardant
Anthony : ça t’a fait mal aussi par rapport à moi…
Je retire ma main, car je me sens gêné de la situation
Anthony : tu ressens toujours quelque chose pour moi ?
Moi : non Thomas et toi c’est du passé pour moi, je ne ressens plus rien
Je mens ouvertement, mais c’est probablement ma fierté qui parle. C’est à ce moment-là que je sens quelque chose se loger contre ma bite. Il a retiré sa chaussure et frotte son pied contre mon sexe.
Moi : qu’est ce que tu fais ?
Anthony : je tente de voir si je te laisse aussi indifférent que tu le dis
Je veux retirer son pied, mais je n’y arrive pas
Anthony : ta bosse veut tout dire…
Il n’a pas tort, j’ai déjà une trique monumentale. Je ne sais pas ce qui me prend, mais je me mets à retirer sa chaussette et frotte à nouveau son pied nu contre mon sexe. Je veux sentir le contact de sa peau. Je suis excité à fond et je le regarde me sourire. On est interrompu d’un coup avec l’arrivée du serveur apportant nos plats. Il retire son pied et on se met à manger, on ne peut s’empêcher de rire tellement la situation était ridicule. L’atmosphère se détend de plus en plus, on parle un peu de tout, mais une fois de plus je reçois un texto.
Moi : ah punaise, excuse-moi
Anthony : encore ton ex ?
Moi : oui certainement…
Je regarde mon portable et là je sens que mon cœur va s’arrêter en voyant s’afficher « Thomas ». Je range directement mon portable sans lire le message
Anthony : ton ex ?
Moi : oui comme d’habitude…
Anthony : ben le message a l’air de t’avoir perturbé, tu es tout blanc
Moi : nan il dit n’importe quoi, genre qu’on doit se remettre ensemble…
Je mens une fois de plus, mais je ne peux quand même pas lui dire que j’ai reçu un message de « son mec ». On continue le repas et la complicité que j’avais pu avoir à l’époque revient petit à petit. Ça fait vraiment bizarre et ce sentiment de retourner à l’âge de mes 18 ans. On nous apporte le dessert malgré le fait que je n’ai plus très faim
Anthony : je ne t’ai jamais vraiment oublié, tu sais.
Je relève ma tête très surpris par ce que je viens d’apprendre
Moi : pardon ?
Anthony : tu as bien entendu…
Moi : oui, mais je ne m’attendais pas à ça
Anthony : et lui non plus d’ailleurs…
Moi : qui ça ?
Anthony : ne fais pas celui qui n’a pas compris de qui je parle
Moi : mais ne dis pas de bêtises, ça fait 5 ans qu’on ne s’est pas vu
Anthony : avec Thomas, on était en froid le matin quand vous avez dormi chez nous
Maintenant qu’il me dit ça, je me souviens avoir constaté un léger froid entre eux
Moi : j’avais constaté, mais bon pourtant dans la nuit, tout avait l’air de bien se passer…
Anthony : tu nous as matés ?
Moi : je ne voulais pas je te jure, mais je n’ai pas pu m’empêcher de vous regarder malgré le fait que ça me faisait mal de vous voir ensemble
Anthony : c’est pour ça qu’on était en froid. Thomas ne s’en est peut-être pas rendu compte, mais pendant l’acte il m’a appelé « julien » et j’ai honte de le dire, mais je pensais à toi aussi pendant mon rapport.
Je me sens super gêné et je ne sais plus quoi dire. Je suis sûr que je deviens tout rouge.
Anthony : je suis désolé, je n’aurais pas dû te dire tout ça…
Moi : pourquoi tu l’as dit alors ? Et c’est ridicule.
Anthony : tu te dévalorises tellement… Tu ne te rends même pas compte de qui tu es. Tu es une personne qui marque beaucoup les gens. Imagine qu’on ne t’a pas oublié depuis…
Moi : on va y aller ? Je suis assez fatigué.
J’ai préféré interrompre la conversation. Je ne sais pas à quoi il joue. J’ai été persécuté pendant des années donc ça n’a aucun sens ce qu’il dit. Il n’émet pas beaucoup de résistance et on se présente à la caisse. Anthony règle la note et on se met en route.
Sur le chemin du retour, on reste plutôt silencieux. Je n’ai vraiment pas compris le sens de ce rendez-vous au restaurant, mais je me pose même plus de questions. On arrive enfin chez moi et il se gare.
Moi : merci encore pour l’invitation
Sans que je m’y attende, il se jette sur moi et me roule une grosse pelle. J’avoue ne pas opposer beaucoup de résistance, mais je me reprends au bout de 10 secondes et le repousse.
Moi : mais qu’est ce que tu fais ?
Anthony : ose me dire que tu n’en as pas envie
Il quitte son siège pour me rejoindre du côté passager et s’assit sur moi
Anthony : j’ai envie de toi
On s’embrasse à nouveau et là je n’ai plus de retenue. Je laisse voyager mes mains un peu partout sur lui. Il se frotte énergiquement de façon que son cul est en contact contre ma bite. Il me prend dans ses bras et je lui embrasse son cou.
Moi : tu veux monter chez moi ?
Anthony : avec plaisir
On sort de la voiture et on rentre dans le bâtiment. J’ouvre la porte pendant qu’Anthony est collé derrière moi tout en m’embrassant le cou. Une fois dans mon appart je l’emmène direct dans ma chambre et le pousse sur mon lit. Je viens sur lui et on continue à s’embrasser tendrement. Je lui retire son haut et lui lèche tout son corps. Il est toujours aussi bien foutu qu’à l’époque. Je descends progressivement tout en léchant et embrassant son corps jusqu’à arriver à la bosse de son pantalon. Je continue de caresser son corps pendant que je palpe avec ma bouche la bosse à travers son jean. Sans perdre une seconde je déboutonne son pantalon et englouti sa bite, ce que le fait gémir direct. Je pompe sa queue à fond et joue avec ma langue sur son gland. D’habitude je n’aime pas trop sucer mais là je prends grave du plaisir. Je pompe sa queue dans tous les sens. Je vois qu’il kiffe vu les gémissements qui sortent de sa bouche
Anthony : arrête Julien sinon je vais éjaculer.
Je stoppe la fellation et m’allonge sur le dos à côté de lui et on s’embrasse à nouveau. Il introduit sa main en dessous de mon jean pour commencer à me branler.
Moi : pompe moi !
Anthony : à vos ordres !
Il se dirige vers mon pantalon et le déboutonne pour engloutir à son tour ma bite. Il me caresse mon corps et je prends l’une de ses mains pour lécher son index. Il me lèche mes couilles puis descend progressivement pour arriver à mon trou et se met à me bouffer le cul. J’avoue que j’aime pas me faire prendre, mais je kiffe me faire bouffer la rondelle. Je prends sa tête pour appuyer sur mon cul afin qu’il me bouffe à fond. C’est trop bon, il se débrouille trop bien. En même temps je l’ai vu en tant qu’actif avec Thomas.
Moi : par contre je ne suis pas passif
Anthony : oui t’inquiète je m’en souviens
Il se remet à mon niveau et on s’embrasse tendrement. On se retrouve totalement nu et il est assis sur moi entrain de frotter son cul contre ma bite. Il mouille sa main pour humidifier son cul et ma bite
Moi : attend je vais mettre une capote
Anthony : t’inquiète je suis clean, toi aussi ?
Moi : Oui, mais…
Anthony : fais-moi confiance Julien
Il enfonce progressivement ma bite dans son cul. Je le baise dans cette position un petit moment puis je le mets sur le dos pour le prendre à la missionnaire.
Moi : c’est ce vilain pied qui m’a allumé au resto
Anthony : tout à fait (en me souriant)
Je lui lèche ses pieds et continue de le baiser pendant que je le branle. L’excitation est forte.
Moi : je vais bientôt jouir…
Anthony : éjacule dans mon cul
Je le branle pendant que je continue les vas et vient et on éjacule en même temps. Je m’effondre sur lui et je reste tout contre lui
Anthony : c’était trop bon…
Moi : oui j’ai adoré aussi
Il me demande de prendre une douche et je fais un peu de rangement le temps qu’il finisse. Je le vois s’habiller et venir vers moi
Anthony : bon je vais y aller.
J’aurais voulu lui demander de rester chez moi cette nuit, mais j’ai préféré ne pas lui proposer
Moi : OK, attention à la route
Anthony : tu n’en fais pas pour ça. N’oublie pas que je suis là jusque vendredi et il s’en va. Je pense que cette phrase n’est pas dénuée de sens et ça me fait plaisir. Je pars me coucher, car je suis crevé et heureux aussi.
Je suis réveillé par la sonnerie de mon portable, c’est Sam. Mais il me veut quoi encore ?
Moi : allo
Sam : salut, sympa d’avoir répondu à mon message d’hier
Moi : que veux-tu que je te dise ? C’est toi qui as décidé de me quitter et sans vouloir avoir une discussion.
Sam : oui je sais, j’ai eu tort, mais…
Moi : oui tu as eu tort
Sam : je voudrais qu’on se voit cet aprèm pour parler un peu
Moi : quel intérêt ?
Sam : stp Julien
Moi : ok dans ce cas vient vers 14 h
Sam : tu oublies que je bosse. Plutôt vers 16 h
Moi : OK à tout à l’heure
Je raccroche et là je revois le message que Thomas m’avait envoyé la veille. J’avais complètement zappé hier, mais j’ai peur de l’ouvrir. Je prends mon courage et je l’ouvre. « Bonjour Julien, j’espère que tu vas bien… En tout franchise je suis déçu, car j’espérais recevoir des nouvelles de ta part pendant que j’étais encore dans le nord et peux être même se voir, mais bon apparemment tu n’en avais pas vraiment envie… J’ai été très heureux de te revoir et je suis sincère Julien. J’avoue que tu me manques en ce moment. Bon je te laisse et te souhaite une bonne continuation. Tendres bisous… ». Son message me fait quelque chose et je ne sais pas quoi faire. J’envoie un texto ? Je l’appelle ? Je décide de composer son numéro et de l’appeler. Pas de chance je tombe directement sur son répondeur. Je laisse tomber et ne laisse aucun message. Je décide de faire un peu de ménage et prends ma douche ensuite. Il est bientôt midi et je ne sais pas du tout quoi manger. Je me décide à commander quelque part. Au moment de composer le numéro, mon téléphone sonne, c’est Thomas. Je décroche immédiatement.
Moi : allo Thomas.
Thomas : salut Julien, tu as essayé de me joindre ?
Moi : oui désolé c’est par rapport à ton message d’hier
Thomas : comme j’avais pas de nouvelles, j’ai pas insisté
Moi : désolé j’étais pas disponible
On parle de tout et de rien. Je lui explique un peu ce qu’il s’est passé depuis le repas chez lui, mais je me garde bien de parler d’Anthony
Thomas : ça te dit de venir cette semaine sur Paris. Tu prends le train cet aprèm et tu me rejoins. Ça me ferait plaisir
Moi : euh je sais pas…
Thomas : tu n’as rien à faire en ce moment. Ça te changera les idées et ça me ferait plaisir. Allez stp dit oui.
Moi : ben disons que niveau fric je peux…
Thomas : écoute je m’occupe de te réserver ton billet de train et je te réserve une chambre d’hôtel jusque-là fin de la semaine. Je paye l’intégralité de ton séjour. Allez dit oui.
Moi : bon c’est d’accord.
Thomas : super. Je t’envoie par texto toutes les indications.
J’appelle ma mère pour la prévenir que je vais sur Paris et elle m’encourage pour me changer les idées. Je reçois un message et le train est à 16 h 30 il faut que je me dépêche. Je préviens Sam qu’on ne pourrait pas se voir et il semble déçu. Je boucle mes affaires au plus vite et je prends la route. J’arrive à l’avance à la gare et prends le train pour Paris. Je suis un peu stressé, car je n’ai jamais été là-bas. Arrivé sur Paris, je suis les indications de Thomas sur le texto et j’avoue que je galère un peu. J’arrive finalement devant son appartement. J’entre dans le bâtiment et je monte jusqu’à sa porte. Je frappe et la porte s’ouvre. Au lieu de voir Thomas, c’est une fille qui ouvre…
Miangemidemon
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