Chapitre 1
Aziz est mon médecin généraliste. Quant à moi, je m’appelle Romain.
Il faut vous dire que je connais un peu Aziz en dehors du monde médical car nous avons des amis en commun.
Ainsi, on dîne ensemble 3/4 fois par an, et on commence à devenir amis.
Aziz sait que je suis gay, bien sûr. Il sait que je suis célibataire, mais que j’ai de nombreuses expériences d’un soir (ou un peu plus). Il lui est d’ailleurs arrivé à plusieurs reprises de croiser l’un de mes mecs du moment.
Il sait aussi que je suis plutôt passif.
Pour ma part, je ne connais pas bien la vie sexuelle d’Aziz. Je ne l’ai jamais vu avec quelqu’un d’autre, et il reste très discret.
Une fois, j’ai essayé de voir si je pouvais avoir une ouverture avec lui, mais à mes invitations discrètes, il s’était contenté de mettre son index sur ses lèvres, comme pour dire « chut ». Et cela en était resté là.
Bref, revenons à notre histoire.
Venant de trouver un emploi après une courte période de chômage, et en attendant d’avoir ma visite médicale d’embauche, mon employeur m’avait demandé un certificat médical d’aptitude.
J’avais donc pris rdv avec Aziz.
Et je comptais en profiter pour lui parler de quelque chose qui m’interpellait depuis quelques temps.
J’ai en effet un début de phimosis. Alors rien de bien grave derrière ce nom barbare: il s’agit d’un rétrécissement du bout du prépuce, qui est un peu gênant pour décalotter le gland. En clair, l’érection peut devenir légèrement douloureuse en certaines circonstances, et si on ne met pas suffisamment de gel.
J’arrive donc chez Aziz, et lui explique la situation.
Il est en chemise et pantalon de toile. Il porte également une blouse de médecin.
Il me demande de me mettre en sous-vêtements et de m’installer sur la table d’examen.
Une fois installé, il commence à m’ausculter pour mon certificat médical. La routine… Rien de particulier à signaler.
- Bon allez Romain. Le moment est venu d’enlever ton boxer, que je voie ce qui t’arrive…
Inutile de vous dire que j’étais ultra stressé, tant j’avais peur d’avoir une érection devant mon médecin. Certes Aziz est également un ami, mais on ne se connait pas si bien que cela non plus. Le moment était très déstabilisant. Je ne voulais pas qu’il pense non plus que j’étais attiré par lui, et que ma visite n’était qu’un prétexte pour lui montrer ma bite (quoi que?)…
Le stress aidant, je n’avais -heureusement- qu’une toute petite queue de rien du tout (alors que j’atteins les 19 en action!).
Aziz met des gants et commence à me palper la verge.
- C’est bien beau, tout ça, mais vu l’état de ton sexe, je ne peux rien diagnostiquer… Il faut que tu sois en érection, si tu veux que j’ai un avis médical…
- C’est facile à dire, mais je suis mort de trouille à l’idée d’être à poil devant toi. Je ne suis pas pudique d’habitude, mais là ce n’est pas pareil…
- Et bien désolé, mais il va falloir que tu bandes… Je vais désacraliser le moment. Je peux t’aider à t’imaginer dans une situation plus agréable… Plus érotique?
- Euuuh… Je ne sais pas…
- Moi, je sais.
Aziz a fait le tour de la table d’examen, m’attrape par les chevilles, et me fait glisser sur la table, jusqu’à ce que seuls ma tête, mon dos et mes fesses reposent sur la table.
Il positionne alors mes chevilles sur ses épaules.
Dans cette position, j’ai le cul ouvert et offert au niveau de son bassin. Il a une vue complète sur mon corps nu et sur mon appareil génital. Il me domine complètement.
De mon côté, je ne vois que sa tête, son buste et sa blouse de médecin.
Pour désacraliser la consultation, ça désacralise!
- Alors comme cela, t’es venu voir ton médecin pour lui montrer ta bite?
Stupéfait je ne savais que dire… Factuellement, j’étais effectivement venu pour qu’il examine ma verge et me fasse part de son avis médical…
Je l’ai regardé dans les yeux, d’abord surpris… Mais Aziz avait un regard coquin et dominateur qui m’a plu. Tout d’un coup, il puait le sexe… Et là j’ai renoncé à résister, et je me suis laissé aller
- …
- A te regarder, ça a l’air de te plaire, cette situation… Tu commences à avoir une demi-molle…
- …
- T’aime ça, hein, montrer ta bite à ton médecin? Y’a qu’à voir comme tu commences à te trémousser du cul pour te rapprocher de mon entrejambe…. T’aimes le cul, toi…
J’ai juste hoché de la tête, pour dire oui.
Sans me prévenir, Aziz m’a alors enfoncé un doigt dans le cul. J’ai poussé un cri de surprise, mais très rapidement, j’ai eu envie de plus…
- Vas-y… Enfonce. Défonse-moi…
Ne se faisant pas prier, Aziz m’a mis un deuxième doigt, et a commencé à me doigter avec énergie.
Je gémissait au rythme de ses allées et venues. Et je me suis mis à bouger du cul pour renforcer ses mouvements. Mon érection était maintenant totale. Ma bite était fière, droite, ultra tendue. Elle réclamait du sexe…
- T’es une vraie salope, toi. Tu nous fais ton petit prude pour commencer, mais tout ce que tu veux, c’est de la bite.` T’aimes qu’on te défonces la chatte. Je peux te dire qu’avec la bite d’Aziz, tu ne vas pas être déçu.
Ce faisant, il a arrêté de me doigter, a déboutonné son pantalon et l’a abaissé, ainsi que son slip.
J’ai alors senti son gland sur ma rondelle.
De là où j’étais, je continuais à ne voir de lui que sa tête, son torse, et sa blouse médicale. Mais c’était bien sa bite qui était à l’entrée de mon cul.
Heureusement qu’il m’avait préparé l’anus! J’ai pourtant l’habitude de me faire prendre, mais quand il a commencé à me pénétrer, j’ai vraiment dégusté.
Il a fait une petite pose pour que je récupère mes esprits, et il a commencé à me limer. Sans ménagement.
- Alors? Elle est bonne, la bite d’Aziz? Tu l’aimes?
- OUIII…DEFONSE-MOI… PRENDS-MOI…
- T’aimes ça, hein, de te faire baiser par ton médecin!
- OUIII…
- Putain, je vais te féconder grave, toi…
Mon excitation était également à son comble.
Après quelques minutes de ce traitement viril et sans ménagement, j’ai vu le visage d’Aziz se crisper. Il s’est mis à pousser des gémissements de plus en plus forts, et à accélérer le rythme.
Un cri… Puis un deuxième… Et j’ai senti les saccades sortir de sa tige et inonder mes entrailles. Il a du y avoir une belle quantité de sperme.
Sans même que j’ai besoin de me toucher, j’ai également joui. En même temps que lui.
Je sentais le sperme qui me dégoulinait du cul et qui m’éclaboussait le ventre.
Aziz a remis son pantalon. Je n’aurais même pas vu sa bite!
- Bon ce n’est pas la peine que je te passe de quoi t’essuyer, tu n’as qu’à te rhabiller comme cela. Ca te fera un souvenir de notre séance. Tu garderas nos spermes sur toi toute la journée.
Et Aziz a continué:
- Pour ton phimosis, tu mettras cette pommade à base de cortisone. Elle devrait t’aider.
- Je souhaiterais également que tu reviennes la semaine prochaine, pour voir comment tu réagis. Si ça te va, je serai accompagné par un autre médecin. On se connait bien. Cela me permettra d’établir un diagnostic « plus en profondeur ».
Aziz avait un regard pervers en me disant cela… Inutile de vous dire que j’ai adoré…
Aziz m’a alors raccompagné jusqu’à la porte.
Je suis reparti sans rien dire.
J’ai traversé le plus rapidement possible la salle d’attente pour repartir, de peur que les gens ne voient les tâches mouillées sur. mon t-shirt.
A suivre… Et merci d’avance pour vos messages, si cette histoire vous a excité!
Kiwis
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