Premier épisode
Chapitre 2
Bonjour à tous, et merci pour vos retours sur mes différentes histoires.
Je m’appelle Romain. Dans le premier volet de cette série, j’étais allé consulté mon médecin généraliste, Aziz, pour qu’il me prescrive une pommade à appliquer sur mon prépuce. Aziz en avait profité pour me défoncer la rondelle, et avait demandé à ce que je revienne le voir la semaine suivante…
Tout juste rentré chez moi après cette consultation médicale, je me suis précipité pour reprendre rdv avec Aziz pour la semaine suivante.
La secrétaire que j’ai eu au téléphone m’a indiqué: « Ha effectivement. Votre médecin a insisté pour que le rendez-vous soit le dernier rendez-vous de sa journée. Apparemment, votre consultation pourrait durer plus longtemps que d’habitude. Vous pouvez venir mercredi prochain à 19 heures. »
Je me suis dis qu’Aziz avait envie de prolonger notre expérience sexuelle. Et en plus il m’avait indiqué qu’il serait accompagné par un autre médecin…
J’attendis donc de pouvoir aller à mon nouveau rendez-vous avec impatience.
Avant d’y aller, j’avais choisi d’enfiler un mini slip blanc qui moulant particulièrement bien ma verge, afin que mon médecin soit fier de moi.
Une fois arrivé, la secrétaire m’a fait m’installer dans la salle d’attente, en m’indiquant que le docteur allait venir me chercher. Puis, elle est partie.
Un peu plus tard, Aziz est venu me chercher et je l’ai suivi dans son cabinet.
Il y avait là un autre médecin. Ils étaient tous les deux en chemise, pantalon de toile, avec une blouse de médecin par dessus.
Le pantalon du médecin que je ne connaissais pas était largement déformé par une bosse au niveau de son entrejambe. Il bandait déjà comme un âne. On voyait clairement sa bite qui partait sur sa gauche et qui tendait le tissus façon toile de tente... Elle devait faire une vingtaine de centimètres. Et je jurerais même qu’un y avait une petite tâche de precum. Ce type était déjà carrément excité! Il était clair qu’il n’était pas là pour une simple consultation.
Sans autre formalisme, Aziz me dit:
- Bien, mets-toi en slip.
J’obéis, en enlevant lentement mes vêtements devant ces deux hommes qui ne me quittaient pas du regard.
Mon érection n’était pas encore franche, mais ma bite avait déjà de belle dimensions, qui mettaient particulièrement en valeur mon paquet. Les élastiques du slips se soulevaient. Quelques poils en ressortaient. La bête était encore prisonnière du slip mais ne demandait qu’à s’échapper…
Aziz : Hé bien manifestement, tu es moins timide que la première fois!. Je te présente Thomas. Il est médecin comme moi. C’est mon mec. On vit ensemble depuis 3 ans. Bon, j’imagine que tu as compris que tu n’étais pas réellement venu ici pour une consultation médicale, mais bien pour te faire baiser?
Moi : Oui
A : Dis-le clairement
M : Oui, je suis venu ici pour me faire baiser.
En disant cela, je suis devenu rouge comme une pivoine. Je réalisais que j’adorais que l’on me parle avec ce ton autoritaire. Mon excitation a continué à progresser…
A : C’est bien. Tu vas être bien obéissant avec tes médecins. Abaisse ton slip maintenant, que Thomas puisse voir ce que tu as à proposer.
J’ai donc descendu tout doucement mon petit slip blanc. Mon pubis était déjà largement dévoilé, et bientôt, c’est la base de ma verge qui est apparue, suivie de mes bourses et de ma tige qui était de plus en plus tendue. Enfin, mes médecins ont pu voir mon gland découvert, mon prépuce étant resté replié sur la base du gland. Au bout d’un moment, la bite est complètement sortie du slip, faisant rejaillir mes 19 cm bien tendus.
Pour ceux de mes lecteurs qui le souhaitent, je vous enverrai des photos illustrant la scène ;-)
J’étais maintenant complètement nu, devant ces deux professionnels habillés qui me dévoraient des yeux. J’adorais cette situation.
A: C’est bien. Qu’en penses-tu, Thomas?
Thomas a parlé comme si je n’étais pas dans la pièce.
Thomas: Il est canon, musclé. Très belle bite, bien droite, bien veineuse, déjà un peu baveuse. Il a manifestement l’habitude de se faire tringler. Il saura nous vider les couilles, c’est certain. Tu ne m’avais pas menti à son sujet.
A: Alors c’est parti. Thomas, à ton tour, déboutonne ta chemise, enlève ton pantalon.
Thomas s’est exécuté devant les ordres de son mec. Il a commencé par montrer son torse , puis a enlevé ses chaussures, ses chaussettes et son pantalon. Il ne portait pas de sous-vêtements, et s’est donc retrouvé la bite à l’air, bien épaisse, bien bandée.
Aziz s’est placé derrière son mec, lui a passé son bras gauche autour de la poitrine pour pouvoir jouer avec ses tétons, et lui a attrapé la bite de sa main droite. Il a commencé à branler doucement Thomas devant moi.
A: Alors? que penses-tu de la bite de mon mec? Elle te plait? J’espère que tu couineras autant avec lui qu’avec moi, car à nous deux, on va t’exploser le cul. En attendant, vient donc têter sa bite.
Je me suis rapproché de Thomas, et me suis agenouillé. J’ai commencé par lui lécher les couilles et la hampe. Puis délicatement, je l’ai pris en bouche. Quel bonheur! Une belle grosse bite. Elle avait déjà le goût de sperme… Manifestement il bandait déjà depuis un moment quand je suis arrivé. Peut-être même qu’Aziz et lui avaient fait quelques préliminaires…
Et j’ai commencé à lui bouffer la queue de plus en plus rapidement… en faisant quelques gorges profondes… Je m’appliquais…
Thomas me prenais la tête dans ses mains pour diriger et accompagner mes mouvements de succions, et Aziz a embrassé fougueusement son homme pendant que je m’occupait de sa bite.
Aziz était toujours habillé, Thomas à moitié nu, et moi complètement offert à la vue de mes médecins…
Les bruits de succion de leurs langues se mêlaient à mes propres gémissements… Thomas était aux anges et à mis fin à mon bouffage de queue afin de ne pas jouir trop vite…
Aziz m’a alors attrapé et accompagné face à son bureau. Il m’a fait m’incliner sur le plan de travail, et à écarté mes jambes afin que mon cul soit à la fois très visible et offert. Il s’est positionné à côté de moi, à quelques centimètres à peine de mon orifice offert et à dit:
- Maintenant, Thomas prendre possession de ton cul. Je veux voir sa bite entrer en toi, en très gros plan…
Thomas s’est alors rapproché et a positionné son gland sur ma rondelle. Et très doucement il a avancé ses reins.
Aziz regardait en très gros plan le gland de son mari entrer en moi, écarter les limites de mon anus, d’un mouvement lent, mais constant. Centimètre par centimètre, Aziz a vu la queue de Thomas entrer, s’enfoncer, pénétrer, envahir, posséder, déformer mon cul, jusqu’à ce que ses couilles viennent buter contrer les miennes. Aziz m’a alors chopé la bite, et à commencer à me branler, doucement.
A: Vas-y, Thomas! Baise-le!
Thomas à alors commencé ses va et viens. Il m’a enculé de plus en plus sauvagement, de plus en plus vigoureusement. J’avais mal… mais quel bonheur.
Aziz a cessé de me branler, et, enfin, s’est déshabillé.
Pour la première fois, j’ai vu sa queue. 20 centimètres comme je l’imaginais. Très épaisse, comme mon cul s’en souvenait. Très grosses couilles pleines de foutre, qui allait bientôt pouvoir ininder mes entrailles…
Il a contourné le bureau, et s’est positionné face à moi.
A: Suce!
A vrai dire, j’avais commencé à le sucer avant même qu’il ne me l’ordonne..
Aziz a alors rapproché sa bouche de celle de Thomas, et ils se sont à nouveau embrassé tendrement.
Les deux amants s’aimaient, et j’étais là pour m’occuper de leurs queues, pour les servir… et cela m’allait bien.
Nos trois corps formaient un cercle.
J’avais une bite dans le cul, une bite dans la bouche, et ils s’aimaient. J’étais le réceptacle de leurs pulsions, l’outil de leur amour!
A: Allez, Thomas, je vais prendre ta place. On va voir si son cul se souvient de la bite d’Aziz. Il va finir de te pomper, et tu pourras jouir en lui…
En disant cela, Aziz avait rompu le cercle, et m’avait accompagné sur la table d’examen. Il m’a installé sur le dos, comme la première fois, il y a une semaine. Il s’est positionné derrière moi, et Thomas s’est placé au niveau de ma bouche, pour que je puisse le pomper, ce que j’ai fait sans attendre, goûtant au plaisir de retrouver sa queue en bouche.
Sans prévenir, Aziz à enfoncé sa queue d’un coup, dans mes cul ouvert. Heureusement que Thomas m’avait déjà préparé, car autrement, j’aurais pleuré de douleur.
En fait de douleur, ce n’est que du plaisir que j’ai éprouvé.
Le plaisir de sentir le massage de ma prostate par son gland.
Le plaisir de sentir les frottements de la bite d’Aziz dans mon cul et sur mes fesses.
Le plaisir primaire d’être possédé.
Le plaisir d’avoir la bite d’un mec en bouche.
Le plaisir de procurer du plaisir au mâle Alpha qu’est Aziz.
Et alors que je sentais Aziz me limer, j’ai compris que Thomas était sur le point de jouir. Son visage s’est crispé, et ses gestes se sont saccadés.
Il s’est mis à crier au rythme de son éjaculation.
Il m’a plaqué mon visage contre sa queue, m’empêchant de respirant, et me forçant à avaler son foutre.
Quatre, puis cinq et six jets ont envahi ma bouche. J’ai eu du mal à tout avaler, au bon rythme des giclées.
A: Lèche-le bien, que sa queue soit bien propre…
Je m’exécutais avec délectation…
Puis j’ai voulu me donner du plaisir, et me branler à mon tour, mais Aziz m’a arrêté…
A: Pas tout de suite.
Pendant ce temps-là, Aziz continuait à me besogner le cul, et il était également sur le point de jouir.
A: Ouuiiiii… Je vais à nouveau te féconder avec le bon sperme d’Aziz… Tu vas en avoir plein le cul ma salope…
Quelques coups de reins plus tard, les signes extérieurs de sa jouissance se formaient sur son visage, Aziz a également crié de toute son énergie avant d’éjaculer. Je sentais à nouveau son sperme couler en moi, me remplir, me nourrir.
J’avais du sperme plein la bouche et plein le cul!
Aziz est resté en moi, laissant sa bite bien au chaud, dans mon fourreau. Elle était encore très raide…
A: Romain, tu as été une bonne pompe à jus. T’as assuré. Thomas, il a mérité que tu le branles…
Thomas s’est rapproché de ma queue, et l’a saisie. Il a commencé à me masturber, doucement mais fermement.
J’avais toujours la bite d’Aziz qui me dilatait le sphincter.
Autant vous dire qu’après ce que j’avais vécu, je ne mis pas longtemps à jouir à mon tour. L’excitation aidant, j’expulsais pas saccades des quantités de foutre inhabituelles pour moi..;
Aziz a alors déculé, sa verge reprenant des proportions plus modestes.
A: C’est bien, Romain. Tu t’es bien vidé, et tu nous as bien satisfait. Tu peux te rhabiller et partir. comme la dernière fois, je ne te propose pas de t’essuyer, je préfère que tu gardes ton sperme sur le ventre et le nôtre en toi. Et je vais garder ton slip, ça nous fera un souvenir. Si tu veux le récupérer, il faudra que tu reviennes…
A: Dernière chose. Il faudra que tu reprennes rendez-vous. Ton cas mérite un suivi particulier
Moi: Oui Docteur. Je vais reprendre rendez-vous.
Je me suis donc rhabillé. Pendant ce temps, Aziz et Thomas se sont plaqués, nus, l’un contre l’autre et se sont remis à s’embrasser. Je compris bien plus tard qu’ils avaient chez eux toute une collection de slips « empruntés ».
Le moment était venu pour moi de partir, ce que j’ai fait en laissant là les deux amants, emportant avec moi les preuves de leurs masculinités.
Kiwis
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